n° 00022 | Fiche technique | 7226 caractères | 7226 1265 Temps de lecture estimé : 6 mn |
02/09/99 corrigé 13/07/07 |
Résumé: Catherine se masturbe dans son appartement. Mais elle n'a pas verrouillé la porte, et voici Valérie qui entre lui dire un petit bonjour... | ||||
Critères: ff extracon voisins amour voir fmast cunnilingu init -amouroman -initiat -lesbos | ||||
Auteur : Valérie |
À 30 ans, je n’avais encore jamais eu d’expérience homosexuelle et je n’en avais même jamais eu le fantasme. Non pas que de voir des femmes ensemble m’eût dérangée, chacun mène sa vie comme il l’entend, mais en mon âme et conscience ce n’était pas mon truc. Aujourd’hui encore je ne pense pas être lesbienne, même si souvent les apparences sont contre moi. En tout état de cause, je ne me ressens pas comme telle. D’ailleurs, Catherine mise à part, je n’éprouve aucun désir envers les femmes.
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La Catherine en question est une petite brune mignonnette qui est venue s’installer avec son mari près de chez nous il y a trois ans environ. Aussi brune que je peux être blonde, mais à peu près le même gabarit : 1 m 65, 50 kilos, petits seins pointus, fesses rebondies et petite foufounette très peu poilue, mais bien sûr ça ne se voit pas quand les gens nous croisent dans la rue. J’ai tout de suite sympathisé avec elle, dès les premiers jours en fait. Nous allions faire nos courses ensemble et je l’ai très vite affranchie sur tout ce qui peut être intéressant dans notre petite ville…
En deux ou trois mois c’est devenu une de mes meilleures copines. Je dois dire que c’est loin d’être le cas de nos maris. Je ne sais pourquoi mais ils n’ont jamais pu se blairer malgré nos efforts pour essayer de les rapprocher. C’est vrai qu’au départ ils n’avaient pas beaucoup d’atomes crochus. Le mien est cérébral, spirituel, cultivé et intellectuel alors que le sien est plutôt du genre sportif à fond la caisse aussi bien dans les salles de sport que devant sa télé. Mais malgré tout ils auraient quand même pu faire un effort d’autant plus que Claude est charmant et que Damien, malgré sa timidité, est très abordable. Mais non, il doit y avoir quelque chose de particulier dans leurs caractères respectifs, quelque chose de répulsif qui fait qu’ils ne peuvent pas se supporter. Et après avoir imposé deux ou trois soirées pendant lesquelles ils se sont regardés en chien de faïence, nous avons décidé d’arrêter. Nous nous voyons sans eux, dans la journée, pour ne pas les déranger.
Nos rapports faits d’amitié et de complicité auraient pu en rester là… Mais un jour en rentrant chez Catherine à l’improviste, je la trouve à moitié nue sur son canapé et en train de se caresser. Elle est allongée sur le dos, la tête posée sur l’accoudoir, la jupe complètement relevée et les cuisses largement écartées. Elle se branle comme une folle, les yeux fermés, en se mordant les lèvres, et elle a vraiment l’air de prendre son pied.
C’est la première fois que je vois une fille se caresser ainsi en réel. Je reste à la contempler quelques instants par simple curiosité, aucun voyeurisme, aucun désir trouble, je pense même que je vais m’éclipser pour la laisser tranquille et que je reviendrai plus tard. Je compte repartir à pas de loup comme je suis venue, sans manifester ma présence, pour qu’elle ne se sente pas violée dans son intimité… Mais tandis que je recule, j’entends une petite voix qui me dit :
Et je la vois qui se redresse lentement.
Et comme je continue à reculer :
Elle éclate de rire.
Je suis très gênée car je n’ai pas trop l’habitude de ce genre de confidence, même à ma meilleure amie.
Je suis sous le choc, je n’ai pas imaginé ça, inutile de dire que je ne m’en sens pas capable.
Pour lui faire plaisir, presque à contrecœur, je me vois relever ma jupe et commencer à me caresser maladroitement par-dessus la culotte. Je suis hyper-gênée, d’autant plus qu’elle me mate les yeux grands ouverts. J’essaie de m’appliquer. Sans grande conviction, j’écarte ma culotte et glisse mes doigts entre mes lèvres fines. Elle n’en perd pas une miette. De son côté, elle a relevé de nouveau sa robe et a recommencé à se caresser. Elle ne porte pas de culotte et sa petite chatoune est presque entièrement rasée avec simplement une petite touffe au-dessus. Elle est plus douée que moi en tout cas. En plus je suis stressée, je fais cela entièrement pour lui être agréable, mais pour ma part je n’éprouve aucun plaisir. Elle s’en aperçoit bien entendu.
Je viens près d’elle en continuant à la regarder. En passant à ses côtés, je sens son odeur qui me monte au nez, j’en suis troublée quelque peu. Alors, assise à côté d’elle, je recommence à me caresser mais cette fois-ci pour de vrai car je me sens mouiller, j’ai envie de plaisir et, surtout, je ne peux pas me détacher de l’odeur qui émane de son fruit. Alors je fais quelque chose qui me semble insensé, je me penche vers sa chatoune et pose mon nez sur sa minette. Je suis bientôt saoule de son odeur, saoule et complètement excitée, ma langue glisse entre ses lèvres, ma bouche l’aspire, j’embrasse ce fruit défendu dans cette union que l’on dit contre nature. Et au lieu de me dire que je suis folle et de me repousser, la voici qui se penche en arrière pour m’offrir toute son intimité. Et moi de la lécher au plus profond de son ventre et de chercher son bouton d’amour avec ma langue…
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C’est ainsi que tout avait commencé. Par la suite, c’était presque tous les jours malgré nos vies de couple et nos occupations professionnelles. Nous nous arrangions toujours pour nous retrouver, ne serait-ce que quelques minutes, nous ne pouvions plus nous en passer. Et pourtant aucune de nous deux n’avait jamais eu la moindre expérience féminine avant cette rencontre. Peu à peu, nous avions appris à mieux nous connaître, à apprécier nos réactions et à les domestiquer, à nous exciter mutuellement, en cherchant à nous donner le maximum de plaisir. Ce furent des moments inoubliables.
Malheureusement, elle et son mari ont quitté la ville, alors on s’est écrit, on s’est téléphoné, puis les contacts se sont espacés, trop espacés, sa ligne ne répond plus, sans doute a-t-elle déménagé une fois de plus…
Je n’ai jamais remplacé Catherine, et n’envisage pas de le faire… Je me masturbe en pensant à elle.
Si un jour tu lis ce texte, Cathy, je suis convaincue que tu te reconnaîtras. Je veux que tu saches que je n’ai jamais éprouvé autant de plaisir qu’avec toi et que tes caresses me manquent beaucoup, mon adorable petite chérie…