Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 00023Fiche technique10294 caractères10294
1755
Temps de lecture estimé : 8 mn
05/09/99
corrigé 16/07/07
Résumé:  En draguant Muguette, il constate la présence de curieuses marques sur ses seins !
Critères:  fh jeunes campagne pénétratio zoo -regrets -zoo
Auteur : Franck 2
Accident canin

À l’époque, j'avais 19 ans, j’habitais en région parisienne et je venais tous les ans passer mes vacances d’été à la campagne. Mes parents venaient d’acheter une résidence secondaire dans un petit patelin. L’ambiance du village était fort sympathique, nous nous retrouvions toute une bande de jeunes de 15 à 25 ans, composée pour moitié de natifs du village et pour le reste de Parisiens comme moi. Nous passions nos journées à nous balader, piscine, baignade dans les étangs ou les rivières et, le reste du temps, dans les troquets à jouer au baby, à boire des perroquets et à manger des glaces. Quant aux soirées et aux nuits, elles étaient consacrées aux boums. Dans cette ambiance de fête, l’essentiel de nos préoccupations tournait autour de la drague. Filles et garçons confondus, chacun cherchait à sortir, à coucher, à baiser, à vivre ses premiers émois. La lutte était souvent rude entre mecs pour se dégoter une gonzesse. Elles étaient pourtant en plus grand nombre que nous, mais le problème, c'est que nombre d’entre elles souhaitaient rester sages. Elles flirtaient pour savoir si elles étaient désirées et ensuite plus rien…


Pour ma part, j'ai toujours dragué en dehors des sentiers battus, quatre garçons qui tournent autour d’une fille pour essayer de gagner ses faveurs, ça n’a jamais été mon truc. Je préférais tenter ma chance avec des filles probablement moins belles, mais également moins courtisées. Tout d'abord, j’avais sûrement plus de chance d’arriver à mes fins en échappant aux combats de coqs, et par ailleurs, j'avais l'impression que les rapports étaient moins superficiels avec ce genre de donzelle qu’avec celles qui se savent belles, qui en usent et en abusent.

Ainsi, quand j’ai remarqué Muguette, une fille qui était toujours à l’écart dans les troquets et qui ne semblait pas avoir d’ami, j’ai immédiatement jeté mon dévolu sur elle. D’autant plus qu’elle n’était pas trop vilaine, avec ses cheveux tout bouclés et ses yeux marron très clair. Qui plus est, elle était très grande, ce qui me convenait parfaitement. Elle avait 23 ans. Fille d’agriculteurs du coin, elle n’avait guère fait d’études, mais n’en était pas moins intelligente et de bonne compagnie. Elle ne se baignait pas, n’allait pas dans les boums, mais accepta toutefois de venir faire une promenade à vélo avec moi.


Nous voici donc partis tous les deux dans les chemins de terre, à travers les bois et les champs, par une radieuse journée d’été. Plus je la regardais, plus je trouvais de charme à ma nouvelle compagne, qui semblait beaucoup plus souriante et plus décontractée, maintenant que nous étions seuls. Moi, petit mâle aux couilles pleines, je ne pensais qu’à une chose, à me la sauter. Nous nous étions arrêtés près d’un étang et nous nous étions assis sur l’herbe. Au bout d’un moment, j’avais osé lui prendre la main, puis m’étais penché vers elle pour lui donner un baiser. Elle m’avait gentiment repoussé :



Je lui donnai à nouveau un baiser.



Nouveau baiser, caresses anodines, baisers plus appuyés. C’était presque gagné, nous roulions dans l’herbe en nous bécotant. Je glissai les mains sous ses habits, elle se laissa caresser. Même quand j’écartai sa culotte, elle me laissa faire. Sa petite chatte baveuse était toute trempée, toute excitée, cela me fit bander. Je me dégrafai rapidement, tandis qu’elle écartait ses cuisses en m’attirant vers elle. Je la pris aussitôt, sans la déshabiller et, contrairement à mes habitudes, sans capote. Nous en avions tellement envie tous les deux, cela semblait une évidence.

Je remuais en elle, elle avait du répondant, même un sacré coup de reins. Dans le feu de l’action, je remontai son t-shirt, j’avais envie de voir ses seins. Elle protesta et essaya de m’en empêcher. Je ne compris d’abord pas pourquoi, alors que ma biroute était en train de la labourer sauvagement. Puis, je remarquai les cicatrices sur sa poitrine et la laissai réajuster son t-shirt, voyant qu'elle était gênée. Mis à part ce regrettable incident, nous nous entendions à merveille. Nous changeâmes plusieurs fois de position, elle se donnait bien à fond, elle était vraiment très chaude, cette gonzesse. Et, cerise sur le gâteau, après avoir elle-même bien joui, elle me termina à la bouche et avala tout mon sperme. C’était réellement un bon coup, aucun motif de déception à l’horizon !


Un peu plus tard, nous abordâmes le sujet des marques sur ses seins, de mes propres termes sans importance. Après avoir longuement parlementé, elle finit par accepter de me les montrer. Elle m'avoua que, à la suite d'un accident, elle avait eu la poitrine abîmée. Elle était couverte de cicatrices sur les seins et sur le ventre, une quinzaine en tout. Je comprenais qu’elle soit gênée (ce n’était pas très esthétique) et qu’elle ne veuille pas se baigner, car même un maillot de bain une pièce laisserait entrevoir les marques qui débordaient au-dessus de sa poitrine. Mais, en ce qui me concerne, cela ne me gênait absolument pas. Je la pris dans mes bras pour la cajoler et la réconforter, pour lui faire comprendre que tout ceci n'était pas grave. Ce n'était pas quelques cicatrices qui allaient m’éloigner d’elle, je tins à la rassurer. Les jours qui suivirent furent idylliques, nous passions nos après-midi ensemble, à nous promener dans la nature et, bien sûr, à faire l’amour sur l’herbe dès que l'envie s'en faisait sentir. Je commençais même à faire des projets à long terme, je devenais amoureux. Jusqu’au jour où…


Jusqu’au jour où je suis allé faire un tour au troquet. Deux garçons du village, assis au bar, me regardaient de travers. Je leur demandai ce qui n'allait pas.



Et, l'autre type d’ajouter :



Ces tarés éclataient de rire, manifestement, ces deux types cherchaient la bagarre. J'ai préféré m’en aller et les laisser à leurs délires.


L’après-midi, je devais retrouver Muguette. J’hésitais désormais à y aller, mais je savais pertinemment que je ne pourrais pas reculer éternellement cette rencontre. Selon le bon vieil adage, il vaut mieux ne pas remettre au lendemain ce que l’on peut faire le jour même. Vu l’air que je devais avoir, Muguette remarqua immédiatement que quelque chose n'allait pas, quelque chose de grave et d’important…



Nous nous sommes séparés ce jour-là et je me suis trouvé une autre nana pour le restant de l’été.

Depuis, les années ont passé, et il m’arrive souvent de repenser à Muguette et même d’imaginer un chien entre ses cuisses, en train de la labourer. Elle fait désormais partie de mes fantasmes et je m’en veux d’avoir été aussi lâche à cette époque. Cette fille était géniale et je garde un excellent souvenir des après-midi passés ensemble. D’ailleurs, ce qui m’avait fait fuir, à l’époque, ce n’était pas tant le fait qu’elle avait copulé avec un animal, c’était beaucoup plus l’opinion des autres, ce qu'ils allaient penser de moi.


Elle est toujours dans mes pensées. Peut-être qu’un jour, si je repasse par là, si j’ai un peu de courage, je m’arrêterai pour reprendre contact avec elle… Peut-être même que je l’épouserai.