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Sonia

Depuis que j’ai l’âge de penser aux filles, j’ai toujours eu deux gros fantasmes : tout d’abord, les filles avec une grosse poitrine, puis les filles métisses ou noires. Or, un jour, j’ai eu les deux en un.

J’avais à l’époque une vingtaine d’années, j’étais étudiant, mais là, au mois d’août, j’étais surtout en vacances, je passais cette période entre le VTT, le cinéma, la salle de musculation et la piscine entre autres. Ce lundi, j’étais justement à la piscine, le temps n’était pas terrible, c’est pourquoi il n’y avait pas grand monde, j’étais allongé depuis quelques minutes sur ma serviette quand j’aperçus la fille de mes rêves : elle devait avoir 25 ans environ, métissée avec des cheveux noirs bouclés. Elle ne laissait apparemment personne insensible, les mecs et même les filles se retournaient après son passage, faut dire qu’elle était exceptionnelle. Elle était vêtue d’un maillot deux pièces très échancré de couleur jaune qui contrastait à merveille avec sa couleur de peau. Quand elle passa devant moi, je ne pus m’empêcher de la mater et pas seulement dans les yeux, je pense qu’elle dut le remarquer, mais elle s’installa quand même à cinq mètres de moi, puis s’allongea sur le ventre.

Quel spectacle !!! Elle avait un cul rebondi à merveille, un dos musclé, ces cuisses me paraissaient bien fermes, en bref c’était un vrai canon… Après quelques minutes, elle se retourna sur le dos et, là non plus, je ne fus pas déçu, elle avait une superbe poitrine bien ferme, son haut de maillot de bain était prêt à exploser à chaque inspiration, son ventre était plat sans trop être musclé… Elle avait un physique de top model. Seul problème qui n’en était pas un pour moi, elle mesurait environ 1m60 seulement. C’était le genre de fille qui me semblait inaccessible, même si j’avais pas mal de succès auprès des filles. Je ne pouvais cependant pas arrêter de la mater, notre regard se croisait de temps en temps, ces yeux étaient d’un noir magnifiquement profond et ces lèvres charnues étaient d’une énorme sensualité.

Par moment, il me semblait déceler un petit sourire pour moi auquel je répondais spontanément, mais bon je pensais que c’était mes rêves qui dépassaient la réalité. Autant vous dire que j’étais déjà bien bandé et, que pour le masquer, je me plaçais en permanence sur le ventre. Afin de me calmer, je me précipitais à l’eau et faisais quelques longueurs. Elle aussi nageait, on était dans le même couloir et comme je pratiquais la brasse coulée avec des lunettes de plongée, lorsqu’elle me précédait, j’avais tout le loisir de regarder son entrejambe s’écarter et se resserrer en fonction de ses mouvements de jambes. Je trouvais ça très excitant et mon érection avait du mal à se calmer… Un peu fatigué, je décidais de sortir de l’eau, je me dirigeais donc vers l’échelle, mais comme par hasard elle aussi. Par galanterie, je la laissais passer devant, il faut dire que ça me permettait aussi de reluquer son cul de plus près. Et là, il arriva une chose inattendue, elle rata l’avant-dernière marche et alors qu’elle allait tomber, je dus la retenir par les hanches :

• — Merci beaucoup ! Je ne vous ai pas fait mal j’espère ?
• — Non, non ! Ce fut même un plaisir.

Je rougissais un peu ce qui eut pour effet de la faire sourire et on se dirigea tous les deux vers nos serviettes respectives afin de nous sécher. Après un quart d’heure, elle se rapprocha de moi :

• — Dis-moi, mon sauveur, est-ce que je peux te faire la conversation ? Je suis seule et je m’ennuie un peu !
• — Pas de problème, moi aussi, je suis seul !

On parle un peu de tout et de rien. Elle s’appelle Sonia et passe les vacances chez sa cousine, elle est infirmière et je ne me suis pas trompé sur son âge. Notre conversation se dirige vers la musculation et elle m’apprend qu’elle aussi la pratique depuis deux ans afin de garder la forme et j’en profite pour lui dire que ça lui permettait aussi de garder les formes. On se met tous les deux à rire et elle me dit que moi aussi je suis pas mal bâti. Elle me raconte qu’elle en a marre de se faire mater en permanence, je lui réponds que vu comment elle est belle, c’est tout à fait normal et qu’il vaut mieux ça que d’être laide. Je sais c’est un peu banal, mais on m’a toujours dit qu’il faut complimenter les filles qui sont belles. Ensuite le hic, c’est qu’elle m’apprend ces fiançailles pour bientôt et là elle peut lire ma déception sur mon visage, ce qui une fois de plus la fait sourire. On nage de temps en temps, puis on reprend nos différentes conversations, en bref une amitié est en train de naître, mais malheureusement pour moi, j’ai l’impression que ça n’ira pas plus loin.

Aux environs de 17h, je décide de partir et elle aussi, nous allons chacun dans nos douches et on s’enferme. L’avantage de ces vieilles douches c’est qu’elles sont complètement fermées vers l’extérieur et que l’eau coule en permanence grâce à un robinet et non pas un bouton poussoir, je commence à me savonner le cuir chevelu quand j’entends frapper à ma porte :

• — Fred ? Tu peux me prêter ton gel douche j’ai oublié le mien ? Pas de problème. Attends je t’ouvre.

Elle entre dans la douche et me dit :

• — Écoute, si ça ne te gêne pas, on va se doucher ensemble, ce sera plus pratique.
• — Comme tu veux, je ne suis pas très pudique (ce qui était faux à l’époque).

Nous voilà donc tous les deux sous la même douche. Elle se savonne les cheveux et je la regarde avec envie, j’essaie de contrôler mon sexe pour ne pas trop bander, mais les gouttes d’eau qui perlent sur sa peau la rendent encore plus désirable. Une fois qu’elle en a fini avec ces cheveux, elle me demande :

• — Peux-tu me frotter le dos avec le gel douche ?

Un peu surpris, je m’exécute, elle a la peau vraiment douce et je fais des petits cercles avec la paume de la main, elle s’est totalement retournée, les deux bras tendus contre le mur, la tête penchée en avant, dirigeant ainsi le jet d’eau sur sa nuque, c’est idéal pour la décontraction. Petit à petit, je remonte vers sa nuque, je reprends du savon et maintenant je la masse avec mes deux mains au niveau de ces épaules.

• — Tu es doué pour le massage !

Je la sens se détendre et, petit à petit, je descends mes mains sous ses aisselles à la base de ces seins, son haut de maillot de bain me gêne et, après quelques hésitations, je lui dégrafe, je m’attends à ce qu’elle me demande d’arrêter, mais au contraire elle le retire elle-même et se replace les bras tendus contre le mur.

• — Vas-y, continue, c’est relaxant.

Pour moi, ce n’est pas seulement décontractant, j’ai une érection terrible. L’eau mélangée au savon facilite mes caresses et je peux dire que je prends mon pied, apparemment elle aussi n’est pas insensible, j’ai l’impression que j’ai gagné la première partie. Mes caresses se font de plus en plus précises, je frôle maintenant le haut de ces seins gonflés, ils sont vraiment superbes. Sans les voir, je peux les deviner fermes. Progressivement, j’arrive à ces tétons tendus à l’extrême, je les caresse avec la paume de mes mains, puis je les prends à pleine main, sa respiration se fait plus rapide, elle ne peut plus douter de mes intentions et elle les accepte. Je place maintenant mes lèvres dans son cou pour aspirer l’eau qui perle sur sa peau, quelques frissons lui parcourent le corps. Tout en lui malaxant les seins, je promène désormais ma langue dans tout son dos, elle commence à gémir doucement, je n’ai pas envie de la pénétrer, j’aime faire jouir les femmes avec mes mains, mes doigts et ma langue, ça me donne une impression de plus grande domination… Je descends maintenant mes mains sur son ventre en faisant des cercles autour de son nombril, puis je la plaque contre moi afin qu’elle sente l’érection qu’elle me provoque, je l’attrape par les hanches et frotte mon sexe contre son cul. Elle ne reste pas inactive et accompagne mes mouvements. Je fais rouler maintenant son slip de bain arrivé à ces pieds, elle soulève elle-même ses jambes afin de l’ôter entièrement. Je la sens à ma merci, je remonte mes mains le long de ces cuisses douces et musclées pour arriver à son sexe, elle écarte légèrement les cuisses pour me montrer qu’elle est totalement soumise, je lui masse doucement sa chatte, elle continue à dandiner et à gémir. Avec mon pousse, je lui titille le clitoris puis, sans ménagement, je lui entre deux doigts dans le vagin, elle se cambre un peu plus :

• — Ouf ! Tu m’as eu par surprise me souffle-t-elle.

Je tourne maintenant mes doigts dans son vagin puis, par moments, j’effectue de lents va-et-vient. Sa chatte est chaude et inondée. Après quelques instants, elle me chuchote :

• — Lèche-moi maintenant ! Je veux exploser dans ta bouche !

Même si ce n’est pas trop confortable, je m’allonge à même le sol, elle est toujours debout, je me place sous elle, d’où j’ai une vue imprenable sur son sexe bien bandé. Ces lèvres sont toutes noires, je trouve ça très excitant, je lui ordonne de descendre afin qu’elle place sa chatte contre ma bouche, elle s’accroupit lentement, je peux maintenant sentir l’odeur de sa chatte et je commence à lui sucer son petit bouton rose. Elle est aux anges, de temps en temps, je lui rentre au maximum ma langue dans son vagin. Elle fait elle-même les mouvements de bassin, j’ai l’impression que ma langue n’est plus qu’un instrument sur lequel elle se branle. Elle se lâche d’une main pour se pincer les tétons, puis elle se cabre et jouit en déversant un flot abondant de cyprine :

• — Hum c’est bon ! Tu sais t’occuper d’une femme toi ! Voyons si je sais m’occuper d’un homme.

Elle se tourne pour se placer en position 69 et commence à m’embrasser le nombril. Elle descend jusqu’à l’intérieur de mes cuisses, je peux sentir sa lourde poitrine sur mon ventre, pendant ce temps, je recommence à la sucer. Tout en commençant à me branler doucement, elle lèche et gobe mes couilles. Ça a l’air d’être une sacrée suceuse ! Par moment, elle prend de l’eau de douche dans sa bouche et la crache sur mon sexe sur-bandé. Elle commence à sucer mon gland tout en continuant de me branler. Pour ma part, j’ai introduit deux doigts dans son vagin et c’est elle-même qui vient s’empaler dessus à son rythme. Elle engloutit totalement mon dard dans sa bouche et accélère sa fellation, ces mouvements de bassin sont plus denses sur mes doigts et on ne tarde pas à exploser pratiquement en même temps. Elle avale sans broncher tout mon sperme pour ensuite me nettoyer les dernières gouttes avec sa langue. Ça restera la meilleure pipe de ma vie et je lui dis.

Nous ne voulons pas en rester là, j’ai encore envie de la baiser, mais malheureusement au moment ou l’on s’embrasse en se roulant un patin, le gardien hurle dans les douches que tout le monde doit sortir parce que ça ferme, on finit de se laver et on sort ensemble. Chacun prend son panier avec ses vêtements et elle m’entraîne dans une cabine. Elle prend mon panier, le pose par terre, attrape mon sexe dans mon maillot et commence à me branler. Je ne tarde pas à bander dur à nouveau, elle retire mon slip de bain puis le sien, me force à m’asseoir sur le banc, se retourne et, sans ménagement, s’empale sur mon sexe. Elle ne fait pas tout de suite des va-et-vient, mais dandine du cul avec ma bite bien profond en elle, c’est divin. Moi je lui attrape les seins que je serre dans mes mains et, dans les secondes qui suivent, elle me baise. Littéralement elle s’empale avec violence sur mon sexe, elle prend une de mes mains et la place devant sa bouche afin d’étouffer ces cris. Elle me fait mal tellement elle me mord, puis sans que je m’y attende, elle se cambre et a un nouvel orgasme. Moi je ne résiste pas longtemps et je jouis à grand flot en elle.

Je reste ainsi en elle quelques instants en lui caressant ces seins, puis après avoir repris nos esprits, on s’embrasse, on se rhabille et on sort. Elle m’apprend que c’est la première fois qu’elle trompe son ami, mais elle ne regrette pas. On s’est revus plusieurs fois durant ces vacances et on a baisé souvent. Lorsque je lui ai dit que les femmes noires me faisaient bander dur, elle m’a dit :

• — Je vais te présenter ma cousine, tu ne vas pas le regretter !

Mais ça, c’est une autre histoire.