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n° 00088Fiche technique11804 caractères11804
1995
Temps de lecture estimé : 8 mn
26/12/99
Résumé:  " Ma mère est dans les parages, viens plutôt me rejoindre en fin de matinée près de l'étang " me chuchota Jocelyne. Il était devenu fou de cette fille de ferme...
Critères:  fh campagne voir strip hmast fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Jerome492
Filles de ferme

J’étais encore très jeune et totalement inexpérimenté lorsque j’ai surpris Lucienne dans la grange, en compagnie de deux saisonniers, dans une folle partie de jambes en l’air.

Cela a fait naître en moi des fantasmes très marqués et très chauds qui m’ont poursuivi des nuits durant, pendant des années. Je revoyais ces scènes que j’avais timidement entraperçues, camouflé que j’étais derrière des bottes de paille.


Je me souviens encore très bien de cette femme aux joues très rouges, partiellement mise à nu par ces deux paysans vicieux. Elle se laissait tripoter partout, avec un plaisir évident, et réclamait avec avidité leurs attentions.

Elle en a englouti un, en se faisant prendre par l’autre. Puis ils intervertirent les rôles, en la traitant de « petite vicieuse ». Visiblement, elle aimait ça et en redemandait encore, et ce n’était pas la dernière du trio à oser des caresses.


Coincé, que j’étais dans ma cachette, je ne voyais pas vraiment leurs sexes, et c’était bien dommage. Je les devinais plutôt, entrevoyant, de temps à autre, un bout de fesse nue ou le balancement d’une paire de couilles.

Ils eurent enfin la bonne idée de sortir les nichons de la belle de leur cachette, et j’eus l’immense plaisir de les voir un instant ballotter sans complexe, au gré de leurs coups de bite. Les bougres y allaient de bon cœur et la traitaient de tous les noms d’oiseaux que leurs petites têtes avaient pu emmagasiner.

A posteriori, il me semble aussi que l’un des ouvriers avait ce jour-là sodomisé la belle mais, vu mon peu de connaissance en la matière à l’époque, je ne saurais trop l’affirmer.


Un peu plus tard, après s’être copieusement vidé les couilles quelque part, dans ou sur Lucienne, je ne saurais trop dire, les deux gaillards se rafistolèrent prestement et sortirent de l’endroit sans demander leur reste.

Ce ne fut pas terminé pour autant. Apparemment, ces rustres n’avaient pas pris la peine de lui donner suffisamment de plaisir, car je vis l’agricultrice se trousser à nouveau. Adossée contre le mur de paille, elle se termina frénétiquement avec une main fiévreuse. Moi qui n’avais encore jamais vu une femme jouir, et encore moins se masturber, je fus particulièrement impressionné par des réactions aussi extrêmes. Secouée de convulsions, elle laissa échapper un hurlement de jouissance hyper-aigu, un hurlement de bête, avant de s’effondrer sur la paille. Elle resta avachie ainsi quelques précieuses minutes, les yeux hagards, les cuisses largement écartées, tout en face de moi, m’offrant le savoureux spectacle de son corps à moitié dénudé…

Je n’en perdis pas une miette, c’était la première fois que j’apercevais une foufoune, cette grande touffe de poils humides s’exhibait devant moi sans complexe. Je sentis alors une douce chaleur envahir lentement mon bas-ventre.

Finalement, un bruit à l’extérieur sortit la fermière de sa torpeur. En un bond, elle fut debout, en train de se rhabiller à la hâte et, quelques minutes plus tard, elle sortit, me laissant seul dans la grange, avec des étoiles plein les yeux.


Combien de fois suis-je revenu rôder près de cette ferme ? Des dizaines, des centaines, des milliers de fois peut-être ! Je rêvais toutes les nuits de Lucienne, je l’imaginais en train de se faire trousser, de se faire baiser et insulter, et, dans mes rêves les plus fous, je la voyais jouir sans retenue, la main serrée entre ses grosses cuisses. L’adolescent boutonneux et emprunté, encore timide et innocent, était devenu un petit vicieux complètement obsédé par le sexe. Et, plus le temps s’écoulait, plus mes fantasmes devenaient oppressants et débridés…



o-o-o-o



Plusieurs années plus tard, me voici en vacances chez un camarade de classe. Nous préparions consciencieusement nos examens de médecine. Ses parents avaient une grande bicoque en pleine cambrousse, à quelques pas d’une ferme où travaillaient leurs métayers.

Damien et moi passions nos journées dans les livres, nous nous arrêtions à peine quelques minutes, de temps en temps, pour prendre une collation ou pour plonger une tête dans la piscine. Je sentais que je n’allais pas l’avoir ce putain d’examen, j’avais accumulé beaucoup trop de retard.


Tous les soirs, pour me détendre un peu, je téléphonais à Corinne, ma régulière… Elle était plutôt du genre « coincée », elle avait du mal à parler cul, même au téléphone, même quand elle était en manque.

Elle était plutôt mignonne : joli minois, taille mannequin, poupée superbe. Pourtant, je ne sais trop pourquoi, elle avait de plus en plus de mal à me faire bander, cette nana. Trop terre-à-terre et, en même temps, trop bon chic bon genre, le style à penser au mariage lorsqu’elle se faisait baiser. Et pourtant, j’avais une chance phénoménale que m’enviait la plupart de mes comparses ! La plupart des mecs de la fac étaient fous d’elle et tous m’enviaient parce que je sortais avec elle : comme quoi le monde est parfois mal foutu !


Donc, résumons-nous : un cadre idyllique, un examen improbable, une petite amie à des centaines de kilomètres. C’est dans cette ambiance que j’ai remarqué cette fille aux joues rouges : la fille des métayers.

Je ne sais trop pourquoi, mais elle m’a tout de suite fait penser à Lucienne. Ses joues rouges, bien entendu ! Pour le reste, elle était fort différente.

Le soir même de notre première rencontre, je me suis branlé dans mon lit en pensant à elle. Cette fille aux joues rouges, un peu boulotte, pas spécialement bandante avec ses traits plutôt grossiers, des allures très paysannes, j’étais prêt à parier qu’elle aimait, elle aussi, se faire trousser dans les granges ! Peut-être l’avait-elle déjà fait ? Mais avec qui ? Avec les jeunes du village ?


Du coup je suis allé beaucoup plus souvent traîner du côté de la ferme, sous les prétextes les plus divers, pour un litre de lait ou pour faire un soi-disant footing. À bien y regarder, c’est vrai qu’elle n’était pas spécialement jolie, cette nana, surtout de près, elle avait le visage comme vérolé. Tellement quelconque d’ailleurs que j’ai presque failli abandonner, j’avais l’impression d’être un vicieux dégénéré qui était sur le point de troquer une belle princesse géniale contre un vilain petit laideron… Malgré tout, je continuais à fantasmer un max. Tous les soirs, dans mon lit, j’avais la queue à la main et j’essayais d’imaginer Jocelyne, car tel était son nom, nue et en train de se faire tirer dans la paille. Véritable obsession dans ma tête, je ne dormais presque plus tellement ça m’obsédait.


Cette nuit-là avait été particulièrement agitée ! Au petit matin, j’ai couru à la ferme chercher du lait. Son père était au champ et sa mère probablement encore à l’étable. Hors de moi, dans tous mes états, en la voyant seule pour m’accueillir, seule et à ma merci, je me suis carrément jeté sur elle comme un malotru pour lui rouler une pelle et triturer grossièrement sa poitrine opulente. J’étais comme fou, une véritable bête en rut.


Passé le moment de surprise initial, elle m’a fermement repoussé, fermement, mais « gentiment », gentiment c’est bien le terme, avec un sourire on ne peut plus amusé, par cette attitude si brusque et si soudaine. Elle ne semblait nullement fâchée par mon instinct brutal, mais son refus était néanmoins ferme et sans appel…



Médusé à mon tour par cette invitation sans équivoque, j’eus à peine la force de chuchoter que je préférerais la grange. Elle acquiesça avec un large sourire en me rappelant de ne pas oublier mon lait. Sa mère venait juste de faire irruption dans la pièce.



Toute une matinée consacrée au système digestif, à explorer des estomacs, des intestins, j’en avais la nausée, j’avais du mal à me concentrer et ne pensais qu’à mon futur rendez-vous. Finalement, sur les coups de 11 heures, Damien me fit part de son envie d’aller jusqu’au village. Je déclinai l’invitation, j’avais beaucoup mieux à faire de mon côté…

Déception en arrivant à la ferme, car le père était justement devant la grange en train de bricoler le tracteur. Formule de politesse, diversion sur le beau temps qu’il fait, tandis que j’apercevais Jocelyne qui, telle une chatte, se faufilait derrière son dos, pour se glisser dans la grange en me regardant d’un air complice. J’ai donc laissé le père à son bricolage et j’ai fait le tour par l’autre côté pour tromper son attention.


À peine entré dans la pénombre de la grange qu’une main m’a tiré vers le fond. Nous avons grimpé prestement sur une échelle de bois pour nous retrouver dans un petit grenier plein de paille.


L’instant d’après, elle était déjà torse-nu, sans aucun complexe, en train de me dévoiler ses lourds appâts, deux gros seins ronds d’une blancheur immaculée. Et elle de continuer son strip-tease avec malice, de mettre à nu un fessier tout aussi blanc et de se retourner pour me dévoiler son épaisse forêt vierge. Je sentais que ma bite allait éclater dans son carcan et, étant donné que ma complice en avait vaguement conscience, elle s’approcha de moi, compréhensive, et libéra mon bâton dur comme la pierre. Elle entreprit alors de me déshabiller. Je n’avais encore jamais connu femme aussi entreprenante. Bientôt, elle se retrouva carrément entre mes cuisses en train de m’en tailler une (et pas une petite, à pleine bouche cette goulue !). Rien qu’à la voir faire, on avait vraiment l’impression qu’elle avait l’habitude de ce genre de sucette. Et elle s’y prenait tellement bien qu’elle était on ne peut plus efficace. Je ne tardai pas à lui éclabousser la bouche et le visage de puissants jets de foutre, aussi généreux que mon excitation.


Sans doute un peu déçue par cette trop rapide réaction de ma part, la voici maintenant debout, son sexe poilu à hauteur de ma bouche. Elle me prit la tête et me demanda clairement de la bouffer. Elle me plaqua à elle et m’étouffa presque en m’écrasant la bouche contre son con avide. J’étais fasciné par son épaisse forêt vierge et l’odeur forte qui émanait de son con. Au début un peu écœuré par son odeur âpre et entêtante, je ne tardai pas à être à nouveau franchement excité. Je me mis alors à la manger frénétiquement en y mettant tout mon cœur tandis que je sentais ma bite durcir à nouveau entre mes jambes. Cette vicelarde se frotta bientôt carrément sur ma langue en donnant des petits coups de rein pour chercher son plaisir. Elle m’inonda d’une mouille abondante, j’avais presque l’impression qu’elle me pissait dessus tellement il y avait de jus. Et elle jutait, et elle jutait, en se tordant dans tous les sens, en se mordant aussi les lèvres pour ne pas crier.


Entre temps, le bruit rassurant du tracteur qui s’éloignait libéra nos dernières inhibitions. Elle se mit à quatre pattes dans la paille me priant instamment de la prendre comme une bête, le cul bien cambré vers mes coups de bite. À mon tour donc de tringler une fille de ferme en la traitant de tous les noms d’oiseaux, ainsi que je l’avais vu faire dans une autre grange quelques années auparavant… Elle gémissait à chaque mot cru, encourageant même par quelques remarques vulgaires mes instincts les plus vils, elle n’en avait jamais assez.

Et croyez-moi, cette année-là, je ne m’en suis pas privé, je lui en ai donné pour son compte à cette gourgandine, dans la paille et ailleurs, partout où elle le souhaitait, elle ne me refusait rien et moi j’étais toujours partant.

Belle fin de vacances en perspective et tant pis pour les exams.


Et depuis, je sais que ces filles aux joues rouges, ces campagnardes bien solides, lourdaudes et rustiques, ce sont presque toujours les meilleures, les plus douées pour l’amour et les plus excitantes… Elles aiment vraiment le sexe et en redemandent toujours plus, elles ont donc plus d’un atout pour séduire un homme parfois lassé par l’apparence de beautés plastiques qui se voient bien trop belles.