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n° 00096Fiche technique6425 caractères6425
Temps de lecture estimé : 5 mn
30/12/99
Résumé:  Tous les prétextes étaient bons pour mater sa superbe prof d'anglais. Elle s'en aperçut ! Entrera-t-elle dans son jeu ?
Critères:  fh frousses profélève école voir exhib noculotte fmast hmast
Auteur : Prince des ténèbres
Les cuisses de la prof d'anglais


La prof d’anglais trônait sur l’estrade, et moi juste face à elle, belle rousse élancée aux jambes interminables. Le printemps était radieux et elle était peau nue, de belles et longues jambes blanches d’une perfection rarement atteinte. Toutes les semaines, imperturbablement, je passais mon temps à moitié affalé sur ma table, à essayer d’y voir plus loin. Parfois aussi, je me hasardais à faire tomber, là un crayon, là une gomme pour essayer d’entrevoir ses cuisses. Evidemment, mon petit manège ne lui était pas étranger et, quoique qu’elle eut une ou deux fois cherché à m’en dissuader de vive voix, en essayant de remettre les pendules à l’heure, j’étais incorrigible et elle avait pris son mal en patience et me laissait la mater.


C’est aux premiers jours du mois de mai que j’eus l’agréable surprise de voir son attitude évoluer. Elle, d’ordinaire si froide et si distante, devint tout d’un coup plus accessible, n’hésitant pas à plaisanter avec les élèves. Sa tenue vestimentaire, elle aussi, se mit à changer, à peu près aux mêmes dates. Elle s’habillait plus court, de façon moins stricte et moins guindée. Les raisons d’un tel revirement de situation restent encore aujourd’hui pour moi un mystère, peut-être une rupture avec un amant possessif comme je l’ai supposé à l’époque. Toujours est-il qu’elle en devenait sexy et même de plus en plus sexy au fur et à mesure que ses jupes raccourcissaient. Et moi, spectateur au premier plan, j’étais aux anges, ses cuisses nues ainsi offertes presque entièrement à moi tant et si bien que je voyais désormais très souvent sa culotte. Emerveillé, j’avais la trique au premier rang, une belle grosse trique bien dure et bien franche et une grosse envie de me la branler.


Cette coquine devait le savoir, s’en apercevoir ou alors le deviner. Oui, elle le savait, j’en suis certain. D’ailleurs elle se hasardait de plus en plus à écarter les cuisses tout spécialement pour moi, presque entièrement pour moi, j’en suis certain. Puis vint le jour où j’eus l’immense surprise de la découvrir sans culotte, entièrement nue sous sa jupette et l’espace d’un instant les cuisses largement ouvertes pour que je ne perde rien de son anatomie. Quelle salope ! M’offrir ainsi sa touffe. Nos regards se sont croisés mais elle est restée impassible, sans doute pour ne rien montrer aux autres. Du coup je fis tomber mon livre et pris tout mon temps pour le ramasser. J’étais là accroupi, le regard rivé à ses cuisses nues, attendant qu’elle les ouvre ce qu’elle fit au bout d’un court moment, le spectacle extraordinaire de sa belle chatoune poilue… Hum ! Je me suis rassis, je n’en pouvais plus, ma queue était prête à exploser sur ses cuisses de belle cochonne. Hum ! Quel pied ! Mais quel pied ! A la fin du cours j’en suis resté scotché à ma chaise. Je bandais encore comme un ours et n’avais nulle envie que les autres me remarquent dans cet état. À regrets, je l’ai vue s’éloigner avec une paire d’autres étudiants.


Les fois suivantes ce fut encore bien pire. Je m’attendais, bien évidemment, à ce qu’elle revienne sans culotte et, à chaque fois elle revenait effectivement sans culotte. Je me serais battu pour conserver ma place au premier rang tant j’avais à chaque fois envie de revoir ses cuisses bien galbées et son joli abricot. Invariablement également, il y avait toujours un moment où elle m’interrogeait en anglais en où je me mettais à bafouiller un anglais très approximatif en tournant au rouge brique. Et je sentais à chaque fois que mon trouble la ravissait car, dans les minutes qui suivaient, elle écartait les cuisses au maximum pour me dévoiler entièrement son anatomie…


Un jour enfin, elle prit son temps pour ranger ses affaires, tant et si bien que les autres étaient tous sortis, il ne restait plus qu’elle et moi. C’était un mardi midi, je m’en souviens car personne n’avait cours dans cette salle après nous. Elle me regarda avec un sourire amusé et finalement se rassit sur l’estrade puis écarta à nouveau largement les cuisses. Plus que jamais à vrai dire. La porte du couloir était restée entrouverte et il aurait suffi que quelqu’un passe pour voir ce qu’elle était en train de faire. Mais c’était l’heure du déjeuner et il n’y avait personne, juste elle et moi. C’est alors qu’elle humecta ses doigts avec sa bouche et qu’elle entreprit de se branler, devant mes yeux ébahis. C’était la première fois que je voyais une nana se caresser toute seule. Ma copine, qui ne me refusait pourtant jamais une partie de jambes en l’air, n’aurait sûrement jamais osé faire cela devant moi. Et je voyais les doigts de ma prof s’activer le long de sa fente, lentement, voluptueusement, guidés par une main experte. Elle écartait ses lèvres pour me faire voir toute son anatomie, titillait un instant son petit bouton d’amour puis glissait à nouveau au plus profond de son sexe chaud. Et, petit à petit, ses gestes s’accélérèrent. Désormais elle me regardait vicieusement, en passant sa langue sur ses lèvres. Elle râlait, suffoquait, se tordait en tous sens, cambrant bien son bassin pour aller plus loin en elle. Et bientôt, elle explosa. Je la vis jouir comme une malade et grimacer de plaisir.


Je n’avais même pas pris la peine de sortir ma queue, j’étais resté sagement devant elle sans rien faire, comme pétrifié, les yeux rivés sur son sexe et sur ces mains qui le caressaient. À peine avait-elle joui que déjà elle était debout et se dirigeait vers la porte. Elle se retourna une dernière fois pour me décocher un sourire complice et s’en fut sans dire un mot… Hors de moi, je sortis ma queue et allai me masturber sur l’estrade, agenouillé devant sa chaise en essayant de humer son odeur de femelle… Et pour une fois je vis mon sperme gicler encore plus loin que d’habitude, de l’autre côté de l’estrade.


Il n’y eut pas de nouvelle occasion, l’été approchait, les cours s’arrêtaient, le bac nous torturait déjà les méninges. Les trois cours suivants furent beaucoup plus chastes. Toujours sans culotte mais pas de prolongation… Dommage qu’ensuite je ne l’aie plus jamais revue…