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n° 00112Fiche technique21501 caractères21501
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Temps de lecture estimé : 15 mn
14/01/00
corrigé 14/07/20
Résumé:  La Justine, elle est gnangnan, tordue de partout, elle est bigleuse, elle zozote, elle n'a pas inventé la poudre en plus, pourtant, inexorablement, il finira par la courtiser.
Critères:  #chronique #psychologie #érotisme #initiation #rupture #personnages #voisins #masturbation #travail fh collègues handicap lunettes laid(e)s travail hmast cunnilingu pénétratio fdanus fsodo
Auteur : Epicurien et hédoniste
Une proie facile

La Justine est gnangnan. En disant cela, je crois que l’on a tout dit à son sujet. Et « gnangnan » c’est encore gentil en ce qui la concerne. Elle est tordue de partout, elle est bigleuse, elle zozote, elle n’a pas inventé la poudre : un tableau idyllique en somme… C’est la risée de toute la boîte et la cible de toutes les railleries, et des plaisanteries de mauvais goût. Que fusent donc les quolibets à son sujet, excepté que je trouve ça un peu facile de tirer toujours sur le plus faible !

Je vous passe l’archicélèbre « deux qui la tiennent, trois qui la pinent », des amateurs de rimes en « ine », mais lorsque l’on prend le café en sa compagnie, il y a toujours de la moquerie dans l’air et un petit salopiaud un peu plus osé que les autres pour la brancher cul, sans trop en avoir l’air. La voici qui vous dit qu’elle a envie d’un gros chocolat, et le pitre la charrie en lui disant qu’elle les aime bien grosses et très colorées : le style d’humour très potache, qui ne plane jamais très haut, mais qui la fait, invariablement, tourner en bourrique.


C’est sûr que ça fait parfois du bien d’avoir un souffre-douleur sur qui se défouler, alors, certains ne s’en privent pas. Il y en a toujours un pour faire courir des bruits quant à ses mœurs sexuelles, des bruits qui font invariablement le tour de l’entreprise, derrière son dos. Tantôt, elle reçoit la visite de vieux messieurs chez elle : car qui d’autre en voudrait, sinon des grabataires ? Tantôt, elle est devenue gouine par dépit, parce qu’aucun mec ne s’est jamais intéressé à son cas et sa copine Lili est beaucoup plus qu’une simple copine. Tantôt encore, c’est une vraie cochonne, une nymphomane de la pire espèce, qui cache bien son jeu et qui ne pense qu’à se faire baiser, d’ailleurs il n’y a qu’à observer son regard vitreux quand on lui parle de cul…

Mais, la plupart du temps, lorsque la raison reprend le dessus sur les délires, ses collègues l’imaginent plus simplement toute seule, vieille fille frustrée, pleine de toiles d’araignée entre les cuisses, et complètement paniquée à l’idée de tomber un jour sur un gros dard. Pour ma part, j’ai toujours penché pour cette dernière solution, j’ai toujours eu dans l’idée qu’elle devait vivre recluse, comme une bonne sœur, et qu’elle devait, depuis bien longtemps, en avoir pris son parti.


Que dire d’autre ? Physiquement, elle est vraiment très quelconque, sans parler de son dos voûté et de son air très niais… Une peau très blanche, un torse gracile, des petits nichons ridicules en forme de dôme et, pour compléter le tout, un cul rebondi et des hanches plutôt larges en regard de sa taille de guêpe. Donc, rien de bien palpitant. Surtout si l’on ajoute en plus ses verres triple foyer et son bégaiement maladif, vous voyez que son look exsangue pourrait faire fuir plus d’un chrétien… excepté peut-être après une longue nuit de biture ou après un très long séjour en prison.

En ce qui me concerne, je n’aurais jamais imaginé une seule seconde que je sortirais un jour avec elle (ou alors en secret, en cachette, à l’écart du regard des autres, et en priant le ciel pour que ça ne se sache pas).


Me voici donc en fin de matinée, en train d’attendre, avec elle, à la photocopieuse.

Elle faisait office de secrétaire, de bonne à tout faire, de tête à claques aussi. Ni très douée, ni très utile, mais elle était partiellement handicapée et le PDG la gardait parce qu’il devait recevoir des subventions pour ça ou parce qu’il lui fallait respecter un quota…

Nous étions tous les deux, à nous tourner les pouces, devant la machine qui était en phase de préchauffage, depuis un long moment. En temps ordinaire, je lui aurais confié ces photocopies à faire, c’était dans ses cordes, mais, dans ce cas précis, ce n’était pas possible, un dossier très confidentiel, le style de document à ne pas laisser traîner entre toutes les mains. Et il me fallait impérativement ces photocopies pour midi.

Nous parlions de tout et de rien, de l’air du temps, des oiseaux qui chantent. Je lui ai demandé poliment des nouvelles de sa maison. Elle nous avait bassinés tout un trimestre avec sa vieille bicoque qu’elle avait fait retaper. De fil en aiguille, j’apprends que ladite baraque est située tout près de chez moi, à deux encablures, comme quoi le monde est petit. Et moi qui croyais qu’elle habitait à l’autre bout du département ! À peine deux kilomètres par la route et cinq cent mètres en coupant par la forêt.



Elle a l’air tellement fière de ses aménagements, elle insiste lourdement, elle me demande presque une date, une heure, un engagement pour cette visite, alors que, de mon côté, j’ai surtout dit ça par politesse. En plus, je suis très occupé, j’ai de multiples activités et je n’ai aucune envie de me faire chier, le week-end, à aller voir des collègues : déjà qu’il me faut les supporter toute la semaine ! La boîte c’est la boîte et ma vie perso c’est ma vie perso, je ne mélange pas les deux, non mais !


Mais l’occasion se présente beaucoup plus tôt que prévu, le week-end suivant pour être plus précis. À cause d’un jeune bidasse que je prends en stop en revenant du marché, il habite dans le même quartier que Justine, à deux pas de chez elle. Je le dépose devant chez lui et me contente de jeter un coup d’œil discret à la maison de ma collègue. Pas mal du tout, en effet, une toute petite bicoque, mais qui a, vu de l’extérieur, un certain cachet. Ça sent le bois brut et la vieille pierre. Je ralentis à peine pour mieux voir et m’apprête à repartir tranquillement chez moi, lorsque je tombe presque nez à nez avec ma collègue. Sa voiture est justement derrière moi, elle klaxonne comme une cinglée et me fait de grands signes avec ses bras, impossible d’y échapper… Quel traquenard !


Je range gentiment mon véhicule près du trottoir d’en face tandis qu’elle s’enfonce dans l’allée qui jouxte la maison.



Elle est toute pimpante, toute avenante, visiblement hyper heureuse que je m’intéresse un peu à son cas. Elle me fait même la bise !

Elle me fait entrer dans son antre et j’ai le droit à une longue visite guidée. Tout y passe, y compris les toilettes et la petite trappe, dans le vestibule, qui mène, paraît-il, à un petit grenier, qu’elle compte aménager plus tard. Et ainsi de suite, elle me saoule de ses paroles, j’espère au moins qu’il n’y a pas d’interrogation écrite à la sortie !

Nous voici enfin au terme de la visite, elle me propose un verre. Fourbu, je m’affale sur le sofa. Elle n’y a que des jus de fruits ou alors du calva. Ah oui, j’oubliais, c’est vrai qu’elle ne boit pas. L’alcool lui monte à la tête… Enfin, bon, va pour un jus de fruits. Je lui demande si je peux fumer, elle n’a pas de cendrier non plus. Elle m’amène une soucoupe à la place. Alors elle boit pas, elle fume pas, mais est-ce qu’elle baise au moins ? Cette idée saugrenue me vient à l’esprit alors que nous discutons… de sa maison, évidemment ! Non, elle doit pas baiser non plus, tout est nickel et à sa place ici, aucune trace de poussière, pas la plus petite affaire qui traîne, on dirait un musée. Preuve qu’aucun homme ne doit jamais venir ici, aucun mec digne de ce nom ne pourrait vivre dans cette maison de poupée. Et moi, avec ma clope, qui suis en train de mettre des cendres partout, je dois la rendre folle.


Incidemment, je jette un œil sur le tapis. Horreur, mes croquenots ont laissé plein de traces de terre. J’ai presque envie d’éclater de rire en l’imaginant, tout à l’heure, quand elle va s’en apercevoir. Finalement, je me lève et prends congé. Instinctivement, elle me tend la joue pour me faire la bise. Je suis quelque peu décontenancé, je n’ai pas l’habitude de ces contacts entre collègues, mais je m’exécute pour lui faire plaisir. Du coup, je sens ses seins brûlants tout près de ma poitrine. Une surprise de taille, cette chaleur torride qui émane de ses nichons, moi qui m’imaginais qu’une fille sans activité sexuelle devait être froide et sans vie…


Cette simple histoire de nichons chauds a changé tout d’un coup la perception que j’avais d’elle. Ça, plus le fait qu’en arrivant au travail, le lundi matin, j’ai eu de nouveau droit à la bise. Pour elle, c’était désormais rentré dans les mœurs, je faisais dorénavant partie de son univers, l’univers de ceux qui ont droit à la bise. Nous étions quatre ou cinq dans ce cas, tout au plus, garçons et filles mélangés. Les autres n’avaient droit qu’à une simple poignée de main glacée. Pour ma part, je me serais bien passé de ce privilège. J’avais un peu honte au début, je priais chaque jour le ciel pour que ça ne se voie pas, c’était mon angoisse de tous les matins, la peur que l’on ne remarque cette bise et que cela fasse le tour de la boîte.

Évidemment, ça devait arriver un jour ou l’autre, on me surprit la main dans le sac, si je puis dire, et, du coup, la rumeur comme quoi je devais sortir avec Justine fit le tour des bureaux. À partir de là je n’avais guère que deux possibilités, soit lui interdire de m’embrasser, mais sous quel prétexte, je n’en avais guère le courage, soit jouer l’indifférent, après tout ce n’était que ma voisine. C’est ce que je fis évidemment. Et dorénavant, j’eus donc droit à ma bise tous les matins et tous les soirs et, contrepartie agréable, aux nichons chauds tout contre moi.


La situation devint critique le jour où je me suis branlé sous la douche en passant à ces nichons brûlants. J’avais l’habitude de me masturber presque tous les jours lorsque je n’avais pas de copine. Je fantasmais dans ce cas sur des petites minettes, des allumeuses, sur des petits culs provocants, ou alors je revoyais des situations excitantes. Mais de là à fantasmer sur Justine… Mais, le pire c’est que, le lendemain matin, j’ai recommencé, avant de partir au travail. Je ne vous raconte pas l’état dans lequel j’étais lorsqu’elle m’a fait sa bise matinale, une bise que j’ai voulue bien sûr un peu plus appuyée.

C’est certain, j’avais envie « de me la faire », comme on dit vulgairement… le soir, je me suis même mis à bander en lui disant au revoir. Désormais, à chaque fois que je l’embrassais, j’essayais d’aller un plus loin, je lui mettais par exemple la main sur l’épaule, mes doigts frôlaient sa poitrine ou alors je la collais de plus prêt. Malgré son manque d’expérience apparente, elle semblait parfaitement consciente de mon attention soutenue, de mes gestes de tendresse et de mon empressement. Par deux fois, elle chercha d’ailleurs à m’en dissuader, je devais aller trop loin pour elle, elle n’avait pas envie d’aller dans cette direction.

Mais, finalement, lorsque, découragé, je m’éloignais d’elle, c’est elle qui revenait à la charge, un peu comme si la peur et le désir s’affrontaient en elle. Quand mes lèvres se posaient trop près de sa bouche, elle les évitait, quand au contraire, j’étais un trop distant, elle recherchait le contact. Curieux manège que celui-là : Le jeu du chat et de la souris, j’y vais ou j’y vais pas.


Un jour où nous étions restés tard tous les deux (Le patron lui avait demandé de ranger les armoires et, de mon côté, je restais souvent très tard pour me connecter tranquillement sur Internet), ce jour-là donc nous étions seuls à fermer la boutique. J’étais tranquillement en train de regarder des sites pornos lorsque je tombe par hasard sur les photos d’une fille qui avait quelques traits de ressemblance avec Justine. Le même regard niais, les mêmes lunettes épaisses et un corps vaguement ressemblant.

Évidemment, la ressemblance s’arrêtait là, ce n’était qu’une ingénue Anglo-saxonne, prise en flagrant délit par un photographe amateur. Mais, tout de même, il me plaisait à moi d’imaginer que c’était Justine et j’étudiais donc la dizaine de photos avec grande attention, la main sur la braguette, en me frottant discrètement. Je ne risquais plus rien, les femmes de ménage étaient parties, il se faisait tard.


Je me suis levé, j’ai éteint mon ordinateur et suis allé la rejoindre. La pauvre était dans tous ses états, il y avait des dossiers partout, elle était complètement paniquée. Gentiment, je lui ai proposé de l’aider à ranger, ce qu’elle a accepté de suite, à grand renfort de « merci beaucoup ». Tout en l’aidant, je n’arrêtais pas de la mater et dans ma tête je revoyais les photos de l’internaute, j’aurais bien eu voulu la voir nue, elle aussi.


Après une bonne demi-heure à nous démener, nous avions enfin fini la première armoire, quelle galère !

Je lui proposai d’aller prendre un café, pour nous détendre un peu. Je lui emboîtai le pas en reluquant ses fesses bien rebondies, je la trouvais vraiment bandante, d’autant plus que, probablement sans le vouloir vraiment, son déhanchement improvisé était féroce.

Debout, face à la machine à café, en train de trifouiller sur toutes les touches, elle irradiait d’imprécision, mais sa chaleur était intense. J’étais derrière elle, près d’elle, trop près, tout contre elle, je la touchais presque. Sa main a ripé pour introduire une pièce. J’ai profité de l’occasion, je suis venu à son secours, j’ai avancé encore pour lui venir en aide, collé à elle, plaqué contre son corps bien chaud.

Je lui ai pris la main, elle était à la fois brûlante et tremblante. Un étrange fluide corporel traversait nos deux corps, l’instant était intense, presque magique. Je me suis penché vers elle et lui ai fait un bisou dans le cou qui l’a fait frissonner. Elle était toute tremblante. Je l’ai fait se retourner, cherchant sa bouche avec la mienne.

Elle détourna instinctivement la tête dans un premier geste de refus, mais regretta de suite son geste et revint trouver ma bouche.


Je la bécotais en la serrant contre moi, ses nichons brûlants écrasés sur ma poitrine. Elle se détendit entièrement et se laissa aller, finissant même par participer très activement et prenant visiblement goût à ce baiser goulu qui n’en finissait pas.

Nous étions enlacés près de la machine à café, nos bouches collées l’une à l’autre, nos langues entremêlées, mes mains baladeuses qui en profitaient pour parcourir son corps, tantôt sur les seins, tantôt sur ses fesses. Mes mains agiles glissaient partout, sans relâche. Et lorsqu’elle essayait de se maîtriser, elle était déjà ailleurs. J’excitais tous ses sens, je fouillais tout son corps.


Elle se retrouva bientôt à demi nue sans savoir comment j’avais fait, les seins à l’air, les fesses à l’air, la jupe descendue au niveau des genoux, la culotte à moitié baissée. Et je ne lui avais laissé aucun répit. Elle était tout ébouriffée, complètement dépassée par les évènements. Ces mains, ces doigts, cette bouche, cette langue, qui parcouraient tout son corps… elle n’en pouvait plus.

Sadiquement ou pour lui laisser le temps de se reposer, je me suis écarté d’elle. Elle semblait totalement ivre, partie sur son petit nuage, tant de caresses d’un coup l’avaient totalement déstabilisée et elle avait du mal à émerger. Elle était vraiment géniale, à moitié dépoitraillée, les yeux hagards révulsés par l’envie. J’ai pris mon temps pour la contempler…

C’est alors que je l’ai vue s’avancer vers moi, décidée, désireuse, désirable. Elle s’est de suite accrochée à mon cou et a cherché fiévreusement ma bouche avec la sienne. Visiblement, elle cherchait à reprendre l’étreinte, notre premier contact lui avait bien plu. Nouveaux baisers goulus, nouvelles étreintes sensuelles. Comme je restais légèrement en retrait, elle me prit même la main pour la poser sur ses fesses. Manifestement, mes attouchements n’étaient pas pour lui déplaire…

Elle semblait mûre, complètement mûre pour le grand saut. Ce moment, qu’elle craignait sans doute depuis longtemps, ne pouvait plus être retardé.


Je l’ai attirée doucement vers une vieille banquette en cuir qui traînait près de la machine à café. Nous nous sommes assis et je l’ai lentement effeuillée. Elle se laissait faire, docile, et se contentait de me regarder. Le haut de son corps était maigre et gracile, et ses petits seins en poires pointaient fièrement, gonflés visiblement par le désir, et surtout toujours aussi brûlants.

Je me suis penché vers elle et lui ai titillé les pointes avec le bout de la langue. Je les mordillais, ce qui eut pour effet de la faire se cambrer instantanément. Elle était remplie d’électricité, une vraie petite bombe qui allait éclater de toutes parts.


Lorsque ma bouche se posa lentement sur le haut de ses cuisses, je la vis vaciller, ses jambes flageolaient, plus du tout par peur, mais parce qu’elle était assaillie par un déluge de sensations nouvelles et absolues, et surtout incontrôlables. Je la fis allonger doucement sur la banquette. Puis ma langue se mit à jouer lentement le long de sa toison broussailleuse tandis que j’écartais ses chairs avec précaution. Lorsqu’elle atteint enfin son but, l’endroit de plus sensible de son anatomie, Justine éclata instantanément dans une jouissance bestiale et archaïque, un plaisir brut et parfait.

Elle se rejeta d’un coup complètement en arrière en poussant un cri de bête et j’eus toutes les peines du monde pour la retenir par les fesses et qu’elle ne se scratche pas sur la machine à café. Mais ce n’était là qu’un début, car, loin de relâcher mon emprise et de lui laisser le temps de souffler, je continuai au contraire à lui bouter son petit minou détrempé par sa jute. Comme elle ne tenait vraiment plus debout, je la fis asseoir en travers du fauteuil et lui écartai largement les cuisses pour voir toute son intimité. Ma langue ne faisait que passer et repasser sur son bouton durci, arrêtant juste quelques secondes pour explorer sa cavité. Je sentais à nouveau le plaisir grimper en elle à vitesse grand V au fur et à mesure que j’excitais un peu plus son bouton d’amour. Profitant de son état d’abandon total, je hasardai d’abord un doigt en elle pour sentir contre ma peau la fine membrane de son hymen. Je tournai tout autour, essayant d’élargir peu à peu ce passage jusqu’à lors inviolé. Puis de plus en plus profondément, de plus en plus vite, de plus en plus de doigts. Je sentais le passage éclater sous ma pression répétée. Et, au moment précis où son clito poussé au paroxysme libérait en elle toutes ses sensations de plénitude, je l’embrochai fermement avec mon gros phallus turgescent. Des spasmes violents zébrèrent tout son corps, tandis que je prenais soin de bien la pilonner en profondeur. Les spasmes continuèrent un certain temps tandis que je continuais à l’usiner en cadence. Reprenant peu à peu ses esprits, elle était là totalement avachie et passive à me regarder aller et venir au fond d’elle, interloquée par cette expérience nouvelle.


Je me sortis d’elle une première fois pour m’apercevoir que ma bite était toute sanguinolente, ainsi que ses cuisses et aussi le bras du fauteuil. Je la fis se relever et se mettre à quatre pattes, penchée en avant contre la table basse. Elle ne fit aucune difficulté et se laissait totalement guider. J’aurais pu lui demander n’importe quoi, je crois. Pour preuve lorsque j’enduis un doigt de salive et lui enfonçai vicieusement dans l’anus. J’avais tout autant envie de lui prendre son cul et tout en lui bourrant à nouveau la chatte par derrière l’idée de l’enculer s’imposa dans ma tête. Profitant qu’elle venait pour la troisième fois, effet conjugué de ma bite qui la labourait et de mes doigts qui lui branlaient le clito. Donc profitant de cette dernière explosion, je glissai dans son cul avec la fermeté qui s’impose et entrepris une sodomie en bonne et due forme. Et Dieu que son cul était bon à défoncer ! Tellement bon que je sentis rapidement mon foutre monter dans ma tige. Et, au dernier moment, prêt à exploser, je ressortis ma bite pour lui asperger le dos de colle. Hummmm, quel pied ! Je l’aidai ensuite à se relever et à se rhabiller. Elle était dans un état second, une vraie chiffe molle, apparemment complètement épuisée par cette partie de baise.


Du coup, on laissa tout en plan et je l’ai raccompagnée chez elle, car elle ne me semblait pas trop en état de conduire. Je l’ai même aidée à enfiler sa chemise de nuit et je l’ai bordée dans son lit, avant de m’en retourner chez moi.


Le lendemain matin, lorsque je suis passé la prendre chez elle, elle s’est jetée à nouveau à mon cou et me roula une pelle bien baveuse. Elle m’aimait, qu’elle voulait vivre avec moi… une vraie sangsue. Je lui fis remarquer qu’il valait peut-être mieux continuer comme avant, et nous voir en cachette, afin d’éviter les ragots.

D’ailleurs, les ragots commencèrent le jour même quand ils me virent arriver au travail avec Justine, j’ai beau leur expliquer que sa voiture était tombée en panne…


On refit l’amour de nombreuses fois par la suite, chez elle ou chez moi ou même dans le petit bois qui séparait nos maisons. Toujours avec passion, et toujours avec cette jouissance bestiale qui me ravissait. Au lit, on peut même dire qu’elle avait un sacré répondant et qu’elle était toujours très chaude. Trop chaude d’ailleurs, c’était là le problème, car des parties de jambes en l’air de temps en temps, ça m’allait bien. Mais la voir constamment suspendue à mes basques et débarquer chez moi pour un oui pour un non, c’était beaucoup trop pour moi, je tenais à ma petite liberté.

Elle était amoureuse de moi, alors que, de mon côté, j’étais seulement amoureux de son énergie sexuelle, je ne souhaitais pas me fixer avec elle, ni avec aucune autre, d’ailleurs. Je préférais essayer sans cesse de nouvelles expériences. Alors j’ai fini par rompre et elle s’en est trouvé un autre pour me remplacer. Tout ce que je lui souhaite, c’est d’être heureuse en amour…