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n° 00123Fiche technique7062 caractères7062
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Temps de lecture estimé : 5 mn
31/01/00
corrigé 14/07/20
Résumé:  N'ayant rien d'autre à faire, dans cette petite ville de province, il s'en alla visiter le musée d'histoire naturelle. Pas un chat ! Sauf la femme de ménage. Alors...
Critères:  fh extracon inconnu soubrette fellation pénétratio
Auteur : Ge-perret
Le courant passe

Je suis allé visiter le musée d’histoire naturelle d’une petite ville de province. Pas spécialement le genre d’endroit que je fréquente d’habitude. Mais ce jour-là, j’étais entre deux rendez-vous, j’avais presque trois heures à perdre, et le cinéma local ne me proposait rien de bien palpitant. Il faut dire que je suis un cinéphile convaincu et que je passe ma vie dans les salles obscures et que les bons films en exclusivité je les ai pratiquement déjà tous vus.


Me voici donc, pour une somme des plus modiques, en train d’errer dans le musée désert, à me demander comment ils parviennent à équilibrer leur budget dans ce genre d’endroit. Très axé sur la biologie, sans doute un peu trop scolaire à mon goût, mais somme toute intéressant… Au moins, je n’étais pas ennuyé par la foule, il n’y avait personne ce jour-là et la dame de l’accueil était tranquillement en train de se manucurer lorsque je l’ai perturbée dans ses occupations pour lui demander un billet. Elle ne se rappelait même plus du tarif, c’est dire si elle avait l’habitude de voir du monde !



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J’en suis à peu près à la moitié de ma visite lorsque je la rencontre… une femme un peu gironde, la cinquantaine bien tassée, qui manie dans les couloirs serpillières et balais.

Heureux de rencontrer âme qui vive en ce lieu, je la salue poliment et entame avec elle une aimable conversation. Elle se montre particulièrement bavarde et fort heureuse que j’accepte de discutailler. Elle me demande si je suis du coin, si j’ai une famille, ce que je fais dans cette ville. De fil en aiguille, j’apprends qu’elle est divorcée tout comme moi. Son mari l’a quittée voici plusieurs années et elle élève seule ses deux enfants. Au bout d’une dizaine de minutes, nous sommes déjà en pleine confidence.

Je dois lui paraître éminemment sympathique, car elle m’avoue du coup qu’elle n’a pas connu beaucoup d’hommes depuis sa séparation avec son ex. Elle a l’air de le regretter et quelque part aussi d’en souffrir. Pourquoi me raconte-t-elle tout cela ? Dans son regard, je vois poindre comme un désir, une forme d’espérance, comme si je lui plaisais. Son regard est celui d’une femme disposée à se donner. Je lui avoue que moi aussi j’ai fait très peu de rencontres, ce qui est malheureusement vrai.


Imperceptiblement, nous nous rapprochons l’un de l’autre, une attirance diffuse circule entre nous et sans doute aussi un espoir… Je sens son souffle chaud tout près de moi. Je ne sais pas pourquoi, mais le courant passe entre nous, quelque chose de fort et d’intensément physique. J’ai envie de la toucher, elle m’excite, et pas seulement à cause de son célibat prolongé. Sa blouse m’excite, son visage m’excite, son odeur m’excite, sa voix m’excite, et j’ai l’impression que c’est réciproque.

Cette femme est mûre, peu coquette et possède des formes très généreuses, rien à voir avec les petites minettes filiformes qui attirent parfois mon regard. Et pourtant !

Un groupe d’adolescents passe devant nous, comme quoi il y a tout de même quelques visiteurs dans ce musée, et nous attendons tous les deux avec impatience qu’ils déguerpissent. Enfin seuls, nous nous jetons dans les bras l’un de l’autre et nous nous enlaçons en nous roulant une pelle d’enfer. Oui, sans nul doute, le courant passe, il y a même urgence si j’en crois la vigueur de ma bite et les effluves qui montent de son sexe en feu. Elle a envie, très envie, même, il serait difficile de ne pas s’en apercevoir. Tout en l’embrassant, je la pelote sans qu’elle émette la moindre résistance. Tout au contraire, alors que mes doigts glissent sous ses vêtements, je sens ses doigts palper ma virilité avec force…


Il serait bien sûr dangereux de continuer ainsi et de nous exposer aux regards de visiteurs de passage. Et elle me désigne également une caméra de surveillance qui pourrait être active. Aussi, m’entraîne-t-elle dans une resserre dont elle a la clef et qui sert habituellement à l’entretien des aquariums. Ainsi protégés du monde extérieur, nous pouvons libérer la fièvre qui s’est emparée de nous. Je déboutonne sa blouse sur toute la longueur et dégrafe son soutien-gorge aux larges bonnets pour libérer ses obus, de gros nichons lourds aux aréoles très larges et très sombres. Elle est brûlante de désir, elle s’agenouille devant moi et ne tarde pas à libérer ma queue et à la fourrer dans sa bouche gourmande tandis que je triture les deux beaux globes de chair blanche. Je ne sais pas si elle suce bien, pas pire que mon ex-femme en tout cas, et, faute de technique, du moins y met-elle tout son cœur. Rien que ça, c’est vraiment excitant. Elle se relève bientôt, elle me dit qu’elle a envie, sous-entendu qu’elle a envie d’avoir mon engin en elle et de se faire limer.

L’endroit est exigu, mais finalement nous trouvons la bonne position : elle s’assied sur des cartons après avoir pris soin d’ôter sa culotte et je me présente debout devant elle. Son entrecuisse est ruisselant de mouille. Lorsque je la pénètre, je me rends compte que je n’ai jamais connu de femme aussi humide. Plus qu’humide, ça coule carrément le long de ses cuisses. Je l’enfourne de bon cœur et elle y prend un plaisir évident. Mais je prends soin de faire durer le plaisir en ralentissant mes allées venues aux moments opportuns.

Son regard vitreux dévoile sa jouissance. Elle jouit à répétition tandis que je continue de piocher dans sa grotte. Je la fais à changer de position, debout, penchée en avant, elle m’offre son beau cul. Et je continue à la limer ainsi en la faisant gémir à chaque coup de bite. Juste avant d’exploser en elle et de la faire jouir à nouveau.

S’en suivent d’autres attouchements, d’autres caresses. Pas de sodomie, elle n’a jamais fait ça et je n’insiste pas. Plutôt des bouche-à-bouche, des bouches à cul, des 69…


Jusqu’à ce que l’on entende une voix dans le hall tout près de nous, une voix qui l’appelle, quelqu’un qui la cherche. Oh mince, il est déjà dix-huit heures, l’heure de la fermeture. Nous nous rhabillons en vitesse et je sors discrètement du bâtiment.



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Ce soir-là, j’ai raté mon second rendez-vous… J'ai préféré l’attendre à la sortie du musée. Elle m’a emmené dormir chez elle et m’a même présenté à ses deux enfants… « Un ami », a-t-elle dit. La fillette qui n’avait pas froid aux yeux a demandé si nous couchions ensemble et Georgina, ma nouvelle compagne, a simplement acquiescé sans plus de commentaire. Pour sûr que nous avons couché ensemble et encore toute la nuit, en faisant le moins de bruit possible, car c’est tout petit chez elle et les enfants auraient pu nous entendre.


Nous avons gardé contact et nous nous sommes revus plusieurs fois lorsque je passe dans cette région. Je ne lui ai pas donné trop d’espoir quant à un avenir commun. J’ai trop d’attaches dans ma région et il est hors de question pour elle pour le moment de déménager. Mais, pour tirer un coup, elle sait qu’elle peut compter sur moi. C’est toujours avec plaisir, folie et démesure que nous nous retrouvons pour passer des nuits torrides, c’est vrai qu’elle m’excite vraiment la grosse Georgina.