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n° 00148Fiche technique6725 caractères6725
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Temps de lecture estimé : 5 mn
17/02/00
corrigé 14/07/07
Résumé:  Pour Jérôme, tous les prétextes pour draguer sont bons. Alors si, en plus, la caissière s'appelle Gwladys et qu'elle a des gros nichons...
Critères:  #délire #érotisme #personnages #occasion #magasin #voyeur fh grosseins magasin anniversai voir
Auteur : Jerome492
Le décolleté de la caissière


J’vais à l’hypermarché pour m’acheter des canettes. J’organise une p’tite sauterie ce soir en l’honneur de mon anniversaire. Waouh ! Quel peuple à la caisse ! Ça m’gave, j’aimerais bien m’tirer sans payer mais d’l’autre côté de la barrière il y a les molosses, deux grands noirs musclés, deux as de la gonflette, qui se prennent pour Rambeauf. Il y a vraiment des coups de flingues qui se perdent ! Donc j’prends mon mal en patience, j’fais la queue comme tout le monde au milieu de tous ces tarés. Y sont tout contents d’aller s’balader au supermarket le samedi après-midi, quel panard ! J’en profite pour mater les minettes. Y a pas de beaucoup de beaux p’tits lots dans la foule, c’est fou ce qu’il y a de moches sur Terre ! Des déterrées avec des gueules de con, des truies avec des culs énormes, des boutons juteux, des vieilles défraîchies, des gamines insipides… Toutes les vilaines se sont donné rendez-vous ici cet après-midi-là, j’ai presque envie de vomir. Et les mecs sont parfaitement assortis, de toute façon je mange pas de ce pain-là.


À ce moment-là, il y a encore trois pékins devant moi, la caissière passe un coup de bigophone parce que je sais pas quoi, il manque un prix quelque part, ou le mec a magouillé avec les étiquettes, je sais pas moi. Vingt ans de malheur, elle n’avait qu’à rien dire cette pouffiasse. Et voilà, j’vous raconte pas, une espèce de roller chevelu se présente, il a l’air à moitié stone, cet enfoiré n’a rien trouvé, il faut appeler la caisse centrale. Que des conneries tout ça, tout pour nous faire chier, je vous dis. Même les beaufs de devant commencent à râler, j’en profite pour les exciter un peu, il va falloir que ça saigne, ça fait presque un quart d’heure que ça dure. Finalement, pour calmer les esprits, ils se décident à ouvrir la caisse d’à côté. Et tout le monde s’engouffre dedans en vitesse. Minute, je suis là, j’vais pas passer ma journée ici. À l’arrivée j’ai gagné deux places, j’ai été coiffé au poteau par un vieux con facho, une tête de pine, qui traîne un chariot chargé de fayots et une mamie liquide. Il me toise avec un air méprisant ce pédé en matant mes chaînes.


« Je t’encule gros con, tu veux une mandale ? »


Mais on y a gagné au change, la nouvelle caissière est beaucoup plus mignonne, sans doute un peu bouffie mais très baisable. Et en plus, comme je n’ai pas les yeux dans ma poche, je remarque tout de suite que sa blouse est dégrafée et, ma qué pas possible, qu’elle ne porte pas de soutif. Elle a les nichons à l’air cette salope. Elle devait être dans la réserve en train de se faire tringler par un manutentionnaire, il n’a pas eu le temps de se rhabiller… Wouahou, de quoi réveiller un mort… Vite, vite, mon tour. Ceci dit, je suis plus trop pressé, j’ai tout mon temps, y a de quoi mater la meuf. Même s’il y a mieux, ça m’démange quand même la quéquette.


Je mets tranquillement mes affaires sur le tapis en me penchant pour mieux voir. D’oblique, on voit nettement le galbe de son nichon gauche, humm, appétissant ! En mettant les citrons, j’arrache discrètement l’étiquette pour faire comme si j’avais oublié de les faire peser. Et dire que le vieux con a rempli son chèque, quel nase ! Pffff ! Il ne sait même pas que c’est automatique, il y en a vraiment qui sont handicapés du bulbe. En plus il est sourd comme un pot, il fait répéter à la jolie jeune fille ce crétin, de quoi encore s’en payer une bonne tranche. La minette tourne les yeux vers moi, je lui jette un clin d’œil complice, elle lève les yeux au ciel.


Et puis c’est enfin mon tour :



Elle sourit sans rien répondre en passant mes canettes au scanner. Elle rougit un peu sans trop me regarder, sans doute gênée d’être ainsi reluquée. Après tout, elle n’a qu’à pas allumer, c’est une tenue pour se faire emballer ça. Et puis elle en vient aux citrons… Oh ben mince alors, il y a pas le prix. Oh pourtant je vous jure, je les ai fait peser, je comprends pas, l’étiquette a dû se coller. Elle appelle un roller, comme ça nous restons en tête-à-tête. D’ailleurs, en ce qui me concerne, c’est plutôt yeux à nichons et les bougres sont sacrément rebondis et fort bien galbés. Popaul entre en action dans ma culotte. Et puis un joli grain de beauté juste au-dessus des seins, voilà qui n’est pas pour me déplaire. J’avais presque envie de tendre la main et d’écarter un peu plus sa blouse pour en voir un peu plus. Mais j’étais en société et je sais quand même me tenir.



Le roller était revenu depuis longtemps avec mes citrons et les gens de derrière commençaient sérieusement à s’impatienter. Je me suis retourné et j’ai dit « Minute vieux, je parle à Mademoiselle » à un blondinet qui faisait presque une tête de plus que moi. Je l’ai vu hésiter, ce grand échalas avait le sang qui était en train de lui monter à la tête. Il aurait pas fallu qu’il me cherche des noises sinon j’étais prêt à lui démonter sa tête de chiottes.


Je me suis retourné vers la jolie Gwladys et ses jolis tétons et j’ai griffonné mon numéro de tel sur un p’tit bout de papier.



J’ai reluqué une dernière fois les nichons de ma belle en lui décochant un clin d’œil tandis que je récupérais ma carte bleue et puis j’ai laissé ma place à contrecœur.


Il fallait voir la tronche du doberman africain qui rôdait devant la caisse lorsque j’ai tendu le papelard à la donzelle. J’ai cru qu’il allait me sauter dessus et me bastonner. Il a dû croire à une magouille ou à un hold-up et s’est un peu plus approché. Ces animaux-là sont pas fins pour deux sous. Je lui décoché un sourire ironique en m’éloignant en évitant toutefois le bras d’honneur ou le doigt dans le cul. J’avais pas vraiment envie de passer ma soirée d’anniversaire à l’hosto…


Elle n’est pas venue à ma fête, sniff, et ne m’a pas téléphoné, re-sniff. Je crois que je vais pas tarder à retourner là-bas pour lui glisser la main dans la blouse. Un presse-nichon, c’est bien le moins auquel j’ai droit, non ?