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n° 00150Fiche technique19096 caractères19096
Temps de lecture estimé : 11 mn
18/02/00
corrigé 28/05/21
Résumé:  Bruno et Sophie ont rendez-vous pour une soirée chez Eric et Sylvie. Après un bon repas bien arrosé, ils proposent de jouer à un trivial pursuit érotique.
Critères:  2couples couplus fépilée exhib intermast jeu -entrecoup -voyeuroca -exhib -jeux
Auteur : Dubois Dufer
Trivial Pursuit

Avant tout, je voudrais préciser que cette histoire s’est réellement déroulée, même si les noms et les lieux ont été changés. Bruno, c’est moi ; je forme avec mon amie Sophie un jeune couple (28 et 31 ans) et équilibré.


Ce soir-là, nous étions samedi 8 janvier 2000, nous avions rendez-vous pour le repas chez Éric et Sylvie, un couple d’âge équivalent au nôtre, ils habitaient, avant notre déménagement, juste à côté de chez nous. Nous n’avons jamais eu de rapports intimes avec ce couple même si, comme tout voyeur, je m’étais exclamé devant la finesse des dessous de Sylvie lorsqu’elle les faisait sécher dehors en été. Pour ce qui est des rapports de ma femme, je dois avouer qu’elle s’améliore de jour en jour. En effet, au début de notre relation, je la trouvais très coincée, à présent je dois avouer qu’elle m’étonne de jour en jour, il lui arrive de ne rien porter sous sa jupe et même de pratiquer une forme d’exhibition, lorsqu’elle se glisse dans les cabines d’essayage des grands magasins.


Bref, revenons à cette soirée. Après une cinquantaine de kilomètres, nous sommes arrivés en retard chez Éric et Sylvie pour passer une soirée sympa. Je dois dire que je ne pensais pas être reçu de cette manière (champagne et compagnie…), lorsque nous nous sommes installés pour prendre l’apéritif je remarquai que ma femme avait particulièrement soigné son look : elle portait une jupe noire assez courte, avec des bas ou des collants de même couleur, elle portait des bottes en cuir noir qui remontaient jusqu’au bas du genou (il faut dire qu’il faisait froid en ce début de mois). Pour le haut, elle portait un pull en cachemire rose qui, quoique très sage, lui moulait correctement son 90B de poitrine. Pour ma part, étant en retard, j’étais en costume-cravate et cela commençait à me peser. Éric, étant chez lui, était en jean, polo et était plus décontracté. Quant à Sylvie, elle portait une jupe bleu marine, des collants couleur chair et un chemisier qui me rappelait qu’elle avait une poitrine fort imposante.


Je dois avouer qu’après le champagne et le vin à table, je n’avais plus les idées toutes fraîches, je laissai glisser de plus en plus ma main sur les jambes de ma femme qui était assise à côté de moi, je remarquai d’ailleurs qu’elle portait des bas avec une jarretière en dentelle. Pour sa part elle restait très sage, à discuter avec nos hôtes, elle m’avoua cependant après coup qu’elle était bien éméchée par l’alcool. La soirée se terminait et nous étions à court de conversation, lorsque ma femme proposa de faire une partie de tarot. Je pense que nous étions alors tous fatigués et l’idée tomba à l’eau.


C’est Éric qui lança :



Sylvie :



Ma femme Sophie :



Éric :



Pour le moment je restais en dehors de tout cela, j’essayais de reprendre mes esprits, Éric se dirigea vers leur chambre et chercha dans les placards le jeu…


Sylvie :



Éric :



Il ramena un jeu de société banal.


Sophie ouvrit la boîte et, après avoir rangé des cartes, trouva la règle du jeu :



Moi, je n ai pas bougé, c’est Sylvie et Sophie qui ont permuté, elles semblaient désireuses de jouer au jeu. J’étais donc en face d’Éric et j’avais son amie à côté de moi.



À ce moment je pense que l’ambiance a changé ; tout le monde était à la fois détendu et nerveux, tout le monde regardait le premier lancé de dés. C’est Éric qui commença, il tomba sur une question orange et c’est ma femme qui la lui posa :



On se tourna vers lui et il répondit sans pudeur :



Ce fut alors mon tour, et je me souviens encore de la question, question verte, que Sylvie m’a posée :



Elle me répondit :



C’était à son tour de lancer les dés et elle tomba sur une question défi rouge, je pris la carte pour la lui lire. Sur la carte, je pus lire à voix basse le défi :


« Prenez la main gauche de votre voisin et portez-la sur votre poitrine. »


Tous les trois me regardaient et attendaient que je lise la question à haute voix, j’étais très mal à l’aise… Devant l’insistance, je pris mon courage et je lus la question :



Tout le monde éclata de rire sauf Sylvie à côté de moi, c’est elle qui annonça :



Éric :



Mais en même temps, je ne pense pas qu’il réalisait qu’il venait de me proposer de toucher les seins de sa femme.


Sophie :



En même temps, je savais que nous allions tous les trois voter pour le maintien des défis, moi pour toucher les seins de Sylvie, Éric par opposition à sa femme qui voulait les supprimer et Sophie qui trouvait dans ce jeu du piment. Résultat des votes : un contre, un nul et deux pour le maintien des défis. Je sus après que c’est ma copine qui avait voté nul, elle me laissait par ce geste le choix d’accepter ou de refuser.


Éric :



Elle était rouge de honte, moi j’attendais, la main gauche sur la table.


Sophie :



Rire de l’assemblée.


Éric :



Soudain elle me prit la main et la posa sur son sein droit, par-dessous je fus surpris, elle ne portait pas de soutien-gorge et je sentis de suite l’érection d’un téton ; cela ne dura que quelques secondes mais assez pour remettre un peu de tension dans l’assemblée, j’étais aussi assez gêné par la situation et je regardai alors Sophie de manière interrogative. Elle ne pouvait être jalouse, car sinon elle aurait fait arrêter ce jeu par son vote, elle me lança un clin d’œil et jeta les dés. Entre deux, je reposai mon regard sur ma voisine, elle était toute rouge et avait les seins tout pointus de chaque côté, elle croisa mon regard mais ne dit pas un mot.



De mon côté, j’espérais ce soir qu’elle portait quelque chose, sinon je craignais le pire… Sans effort, elle annonça :



Sylvie :



Ouf, je respire…


Éric lança les dés et tomba sur une question bleue, question couple, Sophie lui lut sa question :



Éric :



À mon tour de lancer, et je tombe sur une question rouge. Sylvie est morte de rire, prend la carte, la lit et éclate de rire. Je suis de plus en plus inquiet sur mon sort et j’entends :



Mon dieu, quel défi ! Et là je dois dire que ma copine me sauva la mise.


Sophie :



Je pris la balle au bond à toute vitesse. Je m’approchai et m’exécutai de manière passionnelle. Cela commençait à me chauffer les idées, embrasser ma femme sans pudeur devant des amis, le ton était monté.


Quand Sylvie lança les dés, je pense que tout le monde espérait qu’elle tombe sur un défi comme le coup précédent, mais non, le sort avait décidé une question orange, que je m’empressai de lire :



Pour se venger ma copine lui dit :



Et Éric qui renchérit :



Au fur et à mesure, elle y prenait goût et continua en rigolant :



Tout le monde éclata de rire. Intérieurement, je fus surpris par son langage si cru par rapport à sa classe et son profil, ce petit jeu devenait de plus en plus excitant.


Ce fut au tour de ma copine. Quand Sophie lança les dés, je pense que je souhaitais qu’elle tombe sur un défi, pour la tester, et ce fut ce qui se passa. Éric prit la question et me regarda en riant :



Il me tendit la carte et je lus :


« Veuillez monter sur votre chaise et montrer vos sous-vêtements en tournant autour de vous-même. »


Elle me regardait en m’interrogeant. Je lui dis :



C’est Sylvie qui lui transmit le défi. Elle était radieuse que son amie soit aussi embarrassée.


Sophie, en me regardant :



Moi :



En vérité, j’espérai qu’elle s’exécute. Éric chanta :



Je vis alors ma femme monter sur sa chaise et elle commença à retrousser sa jupe. Je la détaillai, ses longues bottes, ses bas noirs, progressivement la jarretière le haut de ses cuisses. Elle s’arrêta, et de nouveau Éric renchérit :



Il ne loupait pas une miette du spectacle, Sylvie en rajoutait aussi, pour la faire continuer. En un geste, elle remonta sa jupe jusqu’en haut. Elle portait son ensemble noir que je lui avais offert, il était très excitant à mon goût ; le devant était quasiment transparent, je fixai mon regard et fus assez surpris qu’elle se soit épilée en totalité la chatte, car elle sait que j’apprécie ce traitement. Bref elle était presque nue et je pense que nos amis ont largement pu saisir ce détail. Elle tourna ensuite et nous présenta ses fesses, le string séparait deux masses charnues à souhait. C’était vraiment un beau paysage, et je dois dire qu’à ce moment, je fus très fier de ma conquête.


Sylvie :



Éric en me regardant :



Il fit alors un bond sur sa chaise, je pense que Sylvie venait de lui mettre un coup de pied royal.


Ma femme remit de l’ordre dans sa tenue et dit :



Éric lança et tomba sur une question verte, ma femme lut la question :



Éric :



Je pris les dés et les lançai, mon camembert se posa sur une question rouge. Sylvie, en riant, s’empressa de prendre la carte.



En rigolant, tout le monde était maintenant au milieu de la pièce, Sophie et Sylvie étaient face à face, seins contre seins.



Effectivement, cela se compliquait, j’étais donc derrière la femme d’Éric et face à ma femme et Éric était face à Sylvie et derrière ma femme. Sylvie continua de lire le défi :



Nous étions tous très proches les uns des autres et nous devions encore nous rapprocher. Pour pouvoir atteindre les lèvres de ma femme, je dus me coller au derrière de Sylvie, j’espérais qu’elle ne sente pas trop l’érection qui trahissait mon état d’excitation. Bientôt je sentis la langue de ma femme investir mon palais, ce qui augmenta encore mon désir. En même temps, je pense qu’Éric devait être dans le même état que moi, j’imaginai son sexe contre le cul de ma femme et, au regard de l’excitation qu’elle me transmettait dans son baiser, cela était flagrant… À la fin de ce baiser, tout le monde voulut se séparer, et à Sylvie de rajouter :



En gros, je devais embrasser ma femme et caresser celle de mon ami. Quand elle eut fini de lire la fin du défi, personne ne dit un mot. Je sentais la bouche de ma femme se coller à la mienne pour la seconde fois. J’ouvris les yeux et je vis que Sylvie et Éric s’embrassaient aussi de la même manière.


Puis je vis les mains d’Éric remonter et emprisonner les seins de ma femme à travers son pull. Il les pétrissait de manière plus que suggestive, celle-ci redoubla l’érotisme de son baiser. Mes mains étaient posées sur les hanches de Sylvie pour que je puisse la coller davantage. Je les détachai et les glissai par-devant, sur son ventre. Puis, discrètement, je les remontai et attrapai ses seins pour la seconde fois de la journée. Elle ne protesta pas, au contraire, elle encastra ses fesses contre mon sexe. Ses seins étaient vraiment plus gros que ceux de ma femme, elle devait au moins faire du 95B, et je prenais plaisir à en mesurer tous les contours. Je regardai ma femme, celle-ci avait à présent les yeux ouverts et me regardait, tout en se faisant peloter les seins par Éric. Elle ne dit pas un mot et regarda le traitement que je faisais à ceux de Sylvie.


Si Éric avait pris le premier l’initiative pour la première caresse sur les seins de ma femme, je voulais à mon tour renchérir en passant mes mains sous le chemisier de Sylvie. Je dois dire que ce ne fut pas très facile, étant donné que nous étions très collés les uns aux autres. Mais, à force de persévérance, je réussis à ouvrir deux boutons au bas de son chemisier et bientôt je touchai la chair nue de son ventre et je remontai sur ses seins. Ils étaient doux et chauds, j’attrapai les pointes et les fis rouler dans mes doigts. Sylvie n’eut aucune réaction de refus, elle était complètement bloquée entre moi et ma femme. Je tenais dans mes mains deux seins tout chauds alors que j’embrassais ma femme, la situation était décidément très excitante.


Il se passa alors quelque chose, car Sylvie imprima à son corps un repli puis se replaça comme auparavant. Je m’interrogeai alors et j’essayai de voir ce qui venait de se passer. Je regardai ma femme et rencontrai ses deux yeux brillants d’excitation. Je glissai mon regard plus bas et, avec le corps de Sylvie devant moi, je ne pouvais voir grand-chose. Cependant je me rendis compte qu’Éric avait dû glisser sa main sous la minijupe de ma femme. Pour ma part, j’étais un peu figé sur les seins de Sylvie. C’est Éric qui cassa ce silence en prononçant vers sa femme cette phrase :



Mon sang ne fit qu’un tour, il était donc en train de masturber ma femme sous sa jupe ! Je pris alors l’initiative de descendre mes mains et de les glisser sous la jupe de Sylvie. Celle-ci essaya de résister mais bientôt mes mains remontaient sa jupe de part et d’autre. Je sentais la douceur d’un collant et très vite, ma main atterrit sur son entrejambe. Elle était trempée et chaude. Je devinais alors que Sylvie ne portait pas de dessous sous son collant. Je sentais déjà la naissance de son bourgeon sous mes doigts.