n° 00158 | Fiche technique | 11330 caractères | 11330 1913 Temps de lecture estimé : 7 mn |
24/02/00 corrigé 18/07/07 |
Résumé: Cette femme de 45 ans n'avait jamais eu d'expérience lesbienne jusqu'à sa découverte de l'Internet... Des mois durant à se caresser en solitaire en s'imaginant dans les bras d'une autre femme. | ||||
Critères: ff extracon complexe douche telnet volupté voir intermast cunnilingu init -initff | ||||
Auteur : Quadragénaire |
Femme mariée de 45 ans, mère de deux enfants, ma vie avait toujours été très sage… Jusqu’à ma découverte de l’Internet. J’y passais de plus en plus de temps, parfois même des nuits entières tandis que mes gosses dormaient et que mon mari était au travail (Depuis quelques années, il avait trouvé un job de nuit, ce qui n’arrangeait guère notre vie de couple qui n’était déjà pas très florissante auparavant !). Au départ, je me contentais de surfer sagement mais plus le temps passait et plus je passais de temps à fouiller dans les sites coquins, avec une préférence, il faut bien l’avouer, pour les sites lesbiens. À plus de 40 ans, je n’avais pourtant jamais eu d’expérience dans ce domaine. Et soudain, la quarantaine passée, je me trouvais un goût soudain et bientôt immodéré pour les histoires de femmes, pour les fantasmes lesbiens, pour les photos cochonnes de femmes enlacées. Et j’en venais même à me masturber en cachette en regardant tout ça, chose qui ne m’était non plus jamais arrivée. Des mois à me caresser en solitaire, en m’imaginant dans les bras d’une de ces femmes.
Ensuite, j’ai "chatté" pour m’amuser, pour jouer évidemment un rôle de lesbienne. Je me faisais draguer souvent, presque tous les soirs et je coupais court au moment crucial, lorsque les choses sérieuses avaient une chance de commencer. Je ne me voyais jamais un jour concrétiser.
À la même époque, je m’étais inscrite dans un centre d’entretien physique et je passais en général trois demi-journées par semaine à entretenir mon corps. Je n’avais que cela à faire, élever mes gosses et rester à peu près convenable. J’y allais pour faire mes exercices et exécuter à la lettre un programme spartiate. Je n’étais pas du genre à me lier avec les autres et à m’en faire des copines. « Bonjour, bonsoir », un petit sourire de compréhension mutuelle et nous rentrions chacune dans nos pénates, c’était beaucoup mieux ainsi. D’où mon grand étonnement le jour où j’aperçus cette femme en train de me contempler dans la glace tandis que je faisais mes exercices. Elle me regardait avec un intérêt non dissimulé et une insistance presque malsaine. De quoi me faire fuir ! Aussi ai-je détourné la tête, fort gênée car je l’imaginais continuant à me reluquer. Très mal à l’aise, j’ai quitté prématurément la séance. Nos regards se sont croisés une dernière fois lorsque je me suis éclipsée. Du coup, je ne suis pas retournée à la salle de gym de toute la semaine, troublée que j’étais par cette curieuse expérience. Finalement, la fois suivante elle était à nouveau présente, mais ne semblait plus vraiment s’intéresser à mon cas, à tel point que je me dis que tout ceci avait dû être le fruit de mon imagination.
Les semaines passèrent et, presque à chaque fois, je la remarquais, elle devait avoir à peu près les mêmes horaires que moi. Mais je dois dire qu’à aucun moment elle ne sembla, dans toute cette période, me porter la moindre attention. Et pourtant elle m’intriguait, et désormais, c’était moi qui n’arrêtais pas de tourner les yeux vers elle, pour un oui ou pour un non, sous le prétexte futile de voir si elle n’était pas par hasard en train de me mater, alors que toute son attitude m’indiquait le contraire.
Elle était séduisante c’est certain. Sans doute un peu plus jeune que moi, plus fine et plus élancée, tellement bien faite que j’étais presque jalouse de sa beauté trop parfaite, une très belle blonde aux yeux bleus, avec un visage proche de la perfection, je n’aurais pas aimé que mon mari la rencontre un soir en boîte… Jalouse, oui, mais jalouse dans l’autre sens, jalouse parce qu’elle me troublait et que, quelque part, sans trop me l’avouer, j’avais envie d’elle. Et les jours et les semaines passaient. Désormais je fantasmais sur elle et il m’arrivait même de me toucher en pensant à elle. Je l’imaginais nue dans mes bras, nos corps tendrement enlacés, nos sexes et nos seins l’un contre l’autre et je prenais vraiment plaisir à cette évocation. Elle remplaçait avantageusement dans mes fantasmes toutes les photos vues sur le Net et se retrouvait dans les plus folles situations… de mon imaginaire…
Elle avait l’habitude, comme beaucoup d’autres femmes de prendre une douche et de se changer dans les vestiaires, alors que moi je rentrais directement à la maison. J’étais trop honteuse de mon corps pour faire de même, trop complexée aussi. Or, une journée particulièrement éprouvante de cet été caniculaire, j’étais pratiquement toute seule à la salle de gym, une des seules folles à faire du sport par ce temps-là. Inutile de préciser qu’au bout de quelques exercices, j’étais en nage ! Mes vêtements complètement détrempés me collaient à la peau, de larges auréoles sous les bras, sous les seins, dans le dos aussi. Et même pour faire les cinq cents mètres qui nous séparaient de notre pavillon, il me paraissait difficile de rentrer ainsi, il ne faut pas exagérer, tout de même ! Par chance, le vestiaire était pratiquement désert à cette heure, juste deux sacs qui appartenaient à des femmes qui venaient précisément d’arriver. Celles qui étaient venues avec moi en début d’après-midi étaient déjà toutes reparties. Aussi, je me décidai à me changer sur place et à prendre une douche rapide.
Ces douches communes… Mais quelle horreur ! Je venais juste de finir de me déshabiller et étais en train de régler l’eau à la bonne température lorsqu’elle est arrivée, fraîche et dispose et les cheveux mouillés, elle devait venir de la piscine, plus radieuse que jamais. Nos regards se sont croisés, elle m’a souri gentiment et je me suis mise à paniquer. Cette belle femme, féminine à l’excès, était tout simplement en train de se dévêtir en me regardant prendre ma douche. L’instant d’après elle était nue, entièrement nue face à moi, des proportions parfaites, elle évoluait sans aucun complexe. Et tout aussi naturellement, elle m’a rejointe sous la douche alors qu’elle n’en avait visiblement pas besoin. La proximité de son corps (elle était face à moi, à peine à deux mètres) m’effrayait. Et elle devait le sentir car, au bout d’un moment, elle me dit gentiment :
Sa voix était douce et profonde, étonnement rassurante. Je ne savais pas trop quoi dire et je ne savais plus quoi faire. J’avais envie de prendre mes jambes à mon cou mais d’un autre côté, je ne pouvais plus bouger, de peur qu’elle ne remarque les disgrâces de mon corps en mouvement. Mes seins trop lourds, mes fesses trop molles, ma poignée d’amour, ce n’était pas pour rien que je faisais de la gym, je cherchais à éliminer tous mes excès de gourmandise. Et c’est ce corps disgracieux qu’elle était en train de détailler avec affection.
Je n’avais jamais rencontré un tel regard d’intérêt pour ma personne, à aucun moment de ma vie, même durant les premières années de mon mariage. C’était sans doute cela que l’on appelait "dévorer des yeux", je ne savais plus trop bien où j’en étais, comment pouvait-elle donc trouver de l’intérêt à ce corps moche et difforme. Mais d’un autre côté tout ceci m’enchantait.
L’eau ne coulait plus : nous étions toutes les deux, nues, à nous regarder. Elle avait porté une de ses mains sur ses seins ronds parfaits et était tout simplement en train de se titiller les pointes. Je n’en croyais pas mes yeux, toutes ces images vues sur Internet étaient en train de me remonter à la tête. Et tout ce désir, toute cette chaleur entre mes cuisses, toutes ces pulsions si longtemps refoulées. L’instant d’après, elle s’était rapprochée, tout près de moi, sa main douce effleurait mes tétons. Ils n’avaient sans doute jamais été aussi durs, ce n’était pas raisonnable, je la laissais caresser mes seins lourds, les prendre entre ses doigts, les triturer selon son gré.
Je la laissais faire mais, de fait, je ne demandais que ça. Premier contact féminin, sa bouche qui se pose sur mes tétons, qui les mordille en soupesant mes seins… Divin et inespéré, je me sens tellement humide que j’ai peur de sentir fort. Mais déjà ses mains glissent sur mon ventre, déjà sa bouche cherche la mienne, déjà ses doigts glissent dans mon intimité, sensation divine d’une exquise douceur ! Ses doigts experts me transportent, des moments d’une intensité inoubliable, à tel point que j’en perds mes esprits. Elle aurait pu me faire faire n’importe quoi… Mais avec plus d’expérience, et surtout de self-control, elle s’est arrêtée au bon moment, quelques secondes avant qu’une autre femme ne fasse irruption dans les vestiaires. Elle m’a laissée là, vacillante, l’esprit complètement déconnecté, la tête dans les étoiles, et s’en est retournée saluer l’autre femme. Je lui ai emboité le pas, sans savoir trop ce que je faisais. Puis je me suis rhabillée lentement, tardant à reprendre mes esprits. Les deux femmes parlaient mais je n’écoutais pas. Je n’arrivais plus à me concentrer.
Je me suis retrouvée dans la rue, à marcher au hasard vers nulle part. Elle était à mes côtés, elle me tenait par le bras, toute vibrante et collée bien à moi. Elle m’entraînait je ne sais où, dans un immeuble cossu de l’autre côté du boulevard. Nous nous sommes retrouvées dans la moiteur de son appartement, dans une chambre aménagée avec grâce. Sur des draps de soie, le lit défait, sa bouche frénétique décrivait mes courbes et me faisait vibrer de toutes parts. Une douce féminité, mélangée à des pulsions canines l’incitant à me griffer par moment et à me mordre, pour exciter tous mes sens. S’acharnant un instant sur mes tétins, l’instant d’après aspirant mes aisselles, inspectant méthodiquement chaque parcelle de mon corps pour déceler mes réactions. Et enfin, lorsqu’elle posa sa bouche entre mes cuisses, j’étais déjà prête à jouir. Et j’ai joui dans sa bouche, par sa bouche, une sensation d’absolu que je n’avais jamais éprouvée dans ma vie, une jouissance énorme, totale, qui allait définitivement m’orienter vers les femmes…
Cet après-midi-là fut fort longue, fort chaude, torride ! ! ! La chaleur de nos corps enfiévrés se mélangeait à celle de l’atmosphère étouffante. Mais pour rien au monde je ne voulais arrêter. Je savais pourtant que ce n’était pas raisonnable de ma part, que mes enfants allaient m’attendre, que mon mari allait s’inquiéter, qu’il me demanderait peut-être des comptes, mais rien ne pouvait me convaincre… C’est presque elle qui dut me mettre à la porte, elle avait son frère pour dîner…