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n° 00186Fiche technique8896 caractères8896
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Temps de lecture estimé : 7 mn
07/03/00
corrigé 05/02/23
Résumé:  Marc flashe sur sa belle-sœur Cathy et sa poitrine de rêve ! Invité avec sa femme Françoise dans son petit chalet, il aura du mal à se contenir et préférera après le repas et la partie de scrabble aller se coucher. C'est alors...
Critères:  #chronique #érotisme #confession #couple #enfamille #voyeur fh couple alliance fellation cunnilingu fsodo jeu
Auteur : Marcmarc31  (Marc, 36 ans part une semaines au ski.)      
Une illusion révélatrice

Cette histoire m’étonne encore… et m’a appris que le bonheur est souvent très proche de nous.


Ma femme et moi étions partis chez sa sœur qui possédait un petit chalet à St Lary. Elle faisait les saisons en montagne et, cette année, se retrouvant célibataire, elle nous hébergeait pour une semaine. Nous n’avions vu son dernier mec que trois fois et n’aurions sûrement pas accepté cette invitation sans son absence. Cathy était plus âgée que ma femme, elle avait 37 ans, brune, mince et une poitrine que j’avais eu le plaisir de reluquer tout l’été. J’avais été au martyr durant ses trois semaines de congé. Lorsque j’entrais après une dure journée de labeur, je la voyais se lever de son transat, et le torse nu, elle venait nonchalamment me faire la bise sous les yeux de ma femme. Dans ces moments, je ne savais plus où mettre mes mains et n’avais d’yeux que pour cette poitrine insouciante qui me frôlait. Ma femme souriait et, à son tour, venait m’embrasser dans la même tenue. Françoise était faite sur le même moule, sportive, des hanches rondes et des chevilles aussi fines que sa sœur. Seulement ses cheveux châtains et ses yeux noisette les éloignaient.


Nous voici donc réunis à nouveau pour une semaine. La première bise de bienvenue de Cathy me renvoie à mes fantasmes bestiaux de l’été dernier. J’ai envie de la coucher là dans l’entrée, déchirer son chemisier et lui défoncer la chatte. Mais je dis juste « salut », on n’est pas des sauvages et ma femme est à côté, raison de plus. Je remets mes fantasmes dans ma poche et me dis que cette semaine va être dure.


Nous passons la première soirée ensemble, Cathy finit à 16 h 30 ce jour-là. Lorsque nous rentrons d’un après-midi de ski éreintant. Elle est là, dans une robe de velours pourpre, nu-pieds, ses seins rapprochés par le tissu, ce qui gonfle encore sa poitrine.


Le ragoût qu’elle nous a préparé est excellent et nous n’attendons pas une heure pour nous mettre à table. Le vin qui l’accompagne est un bourgogne, un peu lourd, et les voilà toutes les deux parties dans des fous rires interminables en parlant de leurs petits copains d’enfance, le truc qui m’énerve : et celui-ci tatati, et celui-là tatata… Et Cathy qui se met à vanter mes mérites : très sympa, de belles épaules… et tu as de la chance toi d’avoir un beau mec… Françoise ne rit plus tout d’un coup… voyant que je reprends goût à la conversation. Un silence lourd s’installe dans la pièce… et moi qui ai du mal à détacher mes yeux de ceux humides et pétillants de la frangine. Cathy propose alors pour changer de sujet de faire un scrabble… Ha, ça, au moins, ça va me refroidir. Je vois ma femme retrouver son sourire et nous nous installons près de la cheminée sur une table basse. Le jeu (chiant) peut commencer.


En un quart d’heure, Cathy mène déjà… elle place « FELLATION » sous la désapprobation de Françoise, je croise avec « LIBERTIN » dont ma femme s’empare pour faire « ICEBERG ». Cathy, qui est en veine, s’autorise « SODOMIE » auquel j’ajoute prestement un « S ». Ma femme s’en sert pour imposer « SALOPE ». Sa sœur aimée, après réflexion, passe son tour en échangeant deux lettres. Je peux mettre « LEVRETTE » avec la « SALOPE » de Françoise, mais je décide de passer pour ne pas semer la zizanie. Françoise se jette alors sur la « FELLATION » de Cathy pour former « FRIGIDE ». Dommage qu’il n’y avait pas de point d’exclamation dans ce jeu, sinon elle en aurait mis à chaque fin de mot ! Le jeu commence à tourner en rond… et tourne court.


Ne voulant pas assister aux prises de bec récurrentes des deux frangines, je prétexte une grosse fatigue pour aller me coucher. Je ne manque pas de lancer un regard lourd de sous-entendus à la délicieuse Cathy en montant l’escalier.


Après une douche brûlante, je m’installe dans une des deux chambres de l’étage, Cathy nous a dit de choisir. Je me glisse sous la couette, vanné, et mes fantasmes reprennent… je sais que ma femme va bouquiner au coin du feu jusqu’à l’épuisement, et ne viendra me rejoindre que lorsque je serai dans un profond sommeil, inutile de compter sur elle pour éteindre le feu qui brûle dans mon ventre… j’imagine le corps de Cathy, sa façon de bouger, son regard lorsque je suis allé me coucher… J’éteins la lampe de chevet et me laisse aller à mes songes éveillés… Et si Cathy se trompait de chambre ?


Depuis combien de temps suis-je là à sommeiller ? C’est un petit bruit feutré qui réveille mes sens. Je suis nu, brûlant, ma position sur le ventre bloque une érection naissante. Dans l’encadrement de la porte, j’ai le temps de voir une silhouette se glisser furtivement dans la chambre. Des bruits de tissu qui tombent sur le plancher, un soutien-gorge qui claque. Mon cœur s’emballe, je n’ose plus bouger et mon sexe ne demande qu’à revoir l’air libre. Je sens alors sur mon pied nu une langue caressante qui me fait frissonner, elle remonte lentement le long de ma jambe. Des soupirs, des cheveux qui chatouillent mes cuisses. Oh, c’est si bon.


Sa langue continue de monter et vient laper mes couilles, elle monte encore, je ne bouge pas. Pour donner un peu d’air à ma queue, je soulève mes fesses qui viennent se coller sur son visage, et sa langue continue son office, me mouillant l’orifice. Ses griffes zèbre mon dos, je frémis. Je me retrouve à quatre pattes et me laisse lécher le cul. Ses mains coulissent sur mon vit juteux et je découvre à cet instant le plaisir que peut ressentir une femme dans cette position, totalement offerte aux caprices de son amant. L’entrejambe humide d’excitation. Elle me tire le membre en arrière et le met en bouche, les bruits de succion me ravissent, je n’en peux plus. Il me faut la toucher, dévorer sa bouche, aspirer sa langue, sentir son sexe sur mon visage. Je me dégage et, dans un mouvement parfaitement synchrone, nous nous retrouvons bouche à bouche. Mon odeur est sur ses lèvres, une odeur animale, nos langues s’enroulent. Je pars déguster ses lèvres, celles qui me donneront un autre nectar. Mon visage est immédiatement trempé de ses humeurs, ma langue taquine son bourgeon et je ressens au même moment les contractions de son vagin sur mes doigts qui la fouillent. Elle vient de jouir.


Mes sécrétions se font plus abondantes et elle se hâte d’en recueillir les gouttes, elle se tourne et offre son autel à mon dard. La saisissant par les seins je la relève violemment et l’empale sur mon pylône. Je reste planté là, je pousse de tout mon corps pour en sentir le fond. Je la lime méticuleusement en recueillant son eau pour l’étaler sur sa fleur. Mon pouce entre dans cette croupe docile, je la sens vibrer, ses spasmes sont incontrôlables et l’oreiller étouffe les cris de son orgasme. Mon gland vient caresser sa rosette, il s’y complaît comme dans un bain mielleux, et décide d’y plonger la tête. Elle est si serrée que je dois reculer, mais ses doigts viennent forcer la place et la préparent à l’assaut. Je peux enfin m’installer dans le fief, je me sens aspiré, et en de savantes contractions, elle cherche à extraire la semence qui libérera mes tensions, ses mains griffent mes cuisses, son cul se remplit de foutre, un voile bleu passe dans mes yeux, j’entends à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.


Je suis complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commencent à ressentir la fraîcheur du bâtiment pyrénéen. Nous retournons à la réalité. Je la sens se dégager et le matelas sursaute. Quelques instants plus tard, j’entends des bruits d’eau dans la salle de bain. Quelques voix chuchotantes. Puis… gros dodo.


À mon réveil, je me retrouve seul, comme sortant d’un long coma. Quelle heure est-il ? Françoise est déjà levée. Comment n’aurait-elle pas soupçonné ce qui s’est passé avant qu’elle ne se couche ? L’odeur de nos corps doit flotter dans la pièce… L’angoisse me saisit. Que va-t-il se passer lorsque je franchirai la dernière marche de l’escalier ? Bon, il faut bien me décider… De toute façon, je ne vais pas finir mes jours dans la chambre d’un chalet au fin fond des Pyrénées.


Dans la cuisine, l’ambiance est joyeuse, à mon plus grand étonnement… et Françoise me gratifie d’un baiser amoureux en guise de bienvenue. Elle chantonne même. Je lance des regards interrogatifs à Cathy qui hausse les épaules. Elle ne comprend pas elle non plus cette gaieté soudaine. C’est vrai, y a pas de quoi ! Le petit-déj’ se passe en silence, je ne peux quitter la frangine du regard et je retourne en pensées à cette nuit. Elle me fixe aussi, en désignant Françoise du menton. Je peux lire dans ses yeux mille questions au sujet de sa sœur.



Puis elle se penche à mon oreille… les quelques mots qu’elle articule me font sursauter et j’en lâche ma tartine dans le café.


Encore une fois, j’avais baisé ma femme cette nuit-là.


Comme quoi le bonheur est plus proche qu’on ne le pense.