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n° 00200Fiche technique22883 caractères22883
Temps de lecture estimé : 14 mn
11/03/00
corrigé 29/07/07
Résumé:  Nathalie a la folle envie de s'exhiber un peu à La Défense. Bien lui en a pris, puisqu'elle rencontrera Nicolas...
Critères:  fh voiture volupté voir exhib intermast fellation -exhib -voiture
Auteur : Nathalie Berg  (Pourquoi un peu de moi-même dans cette provocation !)
Une exhibitionniste, pourquoi pas ?


Nous étions en plein de mois de juin, par une bien chaude journée de celles qui précèdent les vacances, de celles qui sentent bon les départs prochains, de celles qui donnent un vrai sens à la vie.


J’avoue que l’envie de se promener était plus forte que celle de retourner au dur labeur d’un après-midi de stage fort peu rémunérateur. J’inventai donc une excuse, il faut dire que dans l’art de mentir, je n’avais plus besoin de stage…


Je décidai donc que j’allais mettre à profit cet après-midi pour une balade urbaine, où je risquais de me laisser porter par une rencontre amoureuse que je ne pourrais repousser, tant l’envie en était grande. Oui, bien sûr, le temps ne se prêtait pas à des câlins collés sur nos peaux suintantes de sueur, mais c’était l’esprit qui l’emportait, et il faut dire que le mien était particulièrement échauffé.


Je travaillais sur le parvis de la Défense et, avant d’aller récupérer ma petite Mini, plus proche du nom d’épave que d’Austin, je décidai de me rafraîchir en terrasse, dans le centre commercial, afin de profiter de la climatisation et refroidir ainsi tous les éléments de ce corps surchauffé.


Je m’aperçus très vite que l’image qui se dégageait de moi ne devait pas être forcément recommandable, à en juger par les regards de ces messieurs qui louchaient autant sur mon buste que sur mes jambes.


Il faut dire que la chaleur m’avait contrainte à ne pas couvrir mon corps de grand-chose et moi, les contraintes, je ne le les supporte pas, c’est pourquoi même mon buste ne pouvait tolérer des bretelles de soutien-gorge agressives. C’était donc un tee-shirt très court qui couvait ce buste, un tee-shirt "marinière", exactement, laissant apercevoir mon ventre, rendu très attractif par le joli nombril qui m’avait été fait lors de ma naissance, que je te remercie, ô ! toi, la sage-femme. Une minijupe plissée bleu marine, couleur assortie aux rayures de la marinière que je porte pour couvrir si peu ce buste apparemment convoité. Quant à mes pieds, de jolies mules avec des talons pas trop hauts et de couleur marine, pour aller avec la jupe - vous en faites quoi de la coquetterie !


Un string de couleur bleu marine - jusqu’où va se loger l’amour des assortiments de couleurs, quand même !


Hélas un détail m’avait échappé : la longueur de la jupe et le port de ce string risquaient d’effaroucher les regards, mais était-ce vraiment volontaire, je vous laisse en juger.


Pour mes observateurs attentifs, passagers d’Escalator, l’affront était purement prémédité, en jugeaient-ils par leurs regards. Ceci dit, bien que parfois agressifs, ce n’était pas dénué de tout plaisir pour moi.


Il est vrai que je ressentais en même temps un plaisir indescriptible et une gêne insurmontable qui me faisaient, malgré tout, presser le pas pour écourter un supplice ambigu.


Je bus, que dis-je, je dégustai mon citron pressé, à la terrasse de ce restaurant qui terminait son service de midi. Je me mis à flâner du regard et observer les passants, pour y sonder les états d’âme, pourquoi pas.


Puis tout à coup je sentis imperceptiblement un regard se poser sur moi, plus exactement sur mes cuisses. En fait, de l’autre côté de la galerie, accoudé à la rambarde qui surplombait le premier niveau du centre commercial, un homme d’une trentaine d’années avait eu la même idée que moi : laisser flâner son regard ! Mais avait-il les mêmes objectifs que moi, ce regard plus inquisiteur que curieux ? J’avoue que l’homme n’était pas mal, grand, brun, distingué, pantalon de toile qu’il portait bien, beige de surcroît, une chemise foncée tranchait avec ce costume dont il soutenait la veste sur son dos de sa main gauche, style défilé de mode de Kelvin Klein.


Ses yeux étaient rivés, le mot n’est pas exagéré, sur mon entrejambe, quelle impudeur quand même ! Je ne savais plus quelle attitude adopter pour faire détourner ce regard. Mais, au fait, pourquoi faire détourner ce regard ? Ce n’était pas aussi désagréable que vous pourriez le penser, ou tout du moins ce que peuvent penser les jeunes jouvencelles de l’association catholique intégriste "Familles et Patrie".


Je décidai de faire perdre la mâle assurance de mon observateur de dame nature, pour ce, j’allais user de mes arguments de choc ! J’entrepris donc des mouvements somme toute très innocents, mais qui permettaient de temps à autre de faire apparaître à mon observateur les territoires secrets qu’il aurait bien voulu conquérir.


Ah ! je sentais que je reprenais le dessus de la situation, les gestes de mon "sniper du regard" devenaient plus désordonnés, comme si le malandrin avait enfin quelque chose à se reprocher, on sentait chez l’individu une volonté de discrétion, que son attitude avait changé ! Comme s’il s’agissait d’un félin chasseur qui cherche à garder secrète aux yeux des autres sa future proie, pour mieux la déguster en égoïste, serais-je cette proie ? J’étais fière de cette victoire, quand soudain je me rendis compte qu’un autre élément, auquel je n’étais pas étrangère, rendait notre voyeur de service plus humble au regard des autres, surtout au mien, effectivement, il arrivait mal à maîtriser sa joie intense, qui formait une bosse intéressante sous son pantalon de toile beige. Une main essayait vainement de dissimuler ce handicap qui rendait ce "visio-sniper" plus vulnérable à mon goût, et moi, j’aime la vulnérabilité chez un homme.


Soudain, je me rendis compte des proportions intéressantes du sujet, quinze mètres environ devaient nous séparer, mon observateur et moi-même, et je pouvais voir ce handicap, ce devait être un handicap bien intéressant !


Je décidai d’accentuer le jeu en écartant plus longtemps et de façon plus fréquente mes cuisses, afin qu’il puisse à loisir scruter cette entrée mystérieuse. Je levai les yeux pour vérifier l’état du patient, quelle horreur ! il avait disparu, cela avait dû être insurmontable pour lui, il avait pris la poudre d’escampette pour fuir, pour oublier ou aller se satisfaire avec l’image que je lui aurais laissée, j’avoue que cette troisième solution soignait particulièrement mon ego féminin en la matière !


Je me replongeai donc dans la lecture de mon magazine avec plus de tenue que tout à l’heure, et j’arrivai enfin, après cette période de deuil de presque cinq bonnes minutes, à oublier sans souffrance. Le serveur encaissa ma consommation et je commençai à rassembler mes affaires dans mon sac polochon bleu électrique de chez Lancel, quand je sentis soudainement une main douce et électrique sur ma cuisse.



J’eus le souffle coupé net, et l’avantage venait d’être repris par mon adversaire, si tant est que l’on pouvait l’appeler ainsi !


Effectivement, mon cœur se mit à battre plus que de raison, étais-je impressionnée, surprise, plus impressionnée que surprise ou plus surprise qu’impressionnée ? Pour ma part, je préfère la deuxième solution, question d’amour propre, sans doute !


Je gratifiai mon beau voyeur d’un sourire qui dut le mettre en confiance, à en juger par sa main qui se faisait plus pressante sur ma cuisse nue, qui s’électrisa sous l’effet de la caresse.


Que voulez-vous ! je ne suis qu’une faible femme, et sous cette chaude après-midi, sous cette moiteur difficilement contenue par la douce climatisation, je ne pouvais ne pas être insensible à une telle tentation. Pardon, Seigneur !


Nicolas, s’appelait-il, je découvris un homme séduisant et attirant. J’essayais plus de découvrir les possibilités de ces lèvres si bien dessinées que de décrypter les paroles de cet hidalgo. Il faut dire que je ne suivais pas tous les éléments de sa conversation et qu’il s’en aperçut assez vite, éclatant d’un rire communicatif.


Je ressentais une envie indescriptible pour cet homme que j’avais aguiché et qui maintenant démontrait tant d’intérêt pour moi. Nous décidâmes de lever le camp et d’errer au gré de cet après-midi.



Nous nous rendions au parking et je sentis sa main devenir plus intime, dirons-nous, dans cet ascenseur, où nos bouches se soudèrent l’une à l’autre dans un baiser arborant ce qui présageait de se passer sous cet après-midi torride !


Arrivés auprès de ma petite Austin, mon cavalier servant fut amusé et me déclara :



Nous partîmes à rire tous deux et j’ouvris ma portière afin de pénétrer dans cette caisse à chaussures qui allait peut-être devenir un de ces endroits de rêve !


Il fallut que je me plie en quatre pour aller ouvrir à mon passager, ce qui, visiblement, ne le dérangeait pas, puisque mes mouvements lui permettaient d’entrevoir encore une fois mes jambes, qui semblaient tant l’intéresser tout à l’heure. Il prit place à côté de moi et me proposa, si mon véhicule le permettait, bien sûr, d’aller dans un endroit plus tranquille, où nous prendrions un peu de fraîcheur.



J’avais tellement envie de cet inconnu, que même un petit coin de la place de la Concorde m’aurait suffi !


Mon moteur vrombissait déjà, ce qui fit sourire mon passager si désirable, qui ne prêtait aucune attention aux instruments de bord, non, d’autres instruments, faisant certainement partie de sa check-list, l’intéressaient plus.


À peine ma voiture s’avançait dans les allées du parking que nous n’avions pas encore quittées, que la main de Nicolas se posa sur ma cuisse largement découverte, vu la longueur de la minijupe. Mais pourquoi Papa ne m’a-t-il pas offert une Austin automatique ? Je n’aurais pas à jouer avec mes deux jambes pour piloter cette caisse à savon ! Ceci dit, il avait peut-être eut-il raison, c’était un tel délice, cette main qui commençait son voyage inquisiteur sur mes cuisses nues et il m’était difficile de les serrer, eût égard à la conduite, bien sûr !

Ce fut dans la rampe d’accès de la sortie que mon passager profita de la situation, alors que j’étais en train de lutter avec tous les éléments - difficultés de la pente, étroitesse de la voie de roulement, maîtrise de ses réflexes pour éviter d’autres conducteurs éventuels, acharnement à maintenir le moteur au bon régime malgré le ralenti - en effet, je sentis sur le tissu du string, pas très épais, il faut le noter, un doigt inquisiteur qui risquait de me trahir sans attendre.


En effet, très vite, Nicolas put se rendre compte de mon intérêt pour lui, lorsque ce doigt joua si excellemment avec le bord de ma petite culotte, ce qui provoqua un premier contact de sa peau sur mes lèvres déjà très largement humides, et croyez-moi, la chaleur n’était pas seule en cause !


Heureusement le jour nous éblouissait soudain, avec ce soleil si violent, surtout après cette obscurité du parking. Je mis très vite mes lunettes, pour ne pas souffrir plus, déjà que de conduire dans des conditions pareilles n’était pas évident, je n’allais pas en plus risquer l’aveuglement !


Puis nous voici fondus dans la circulation si intense d’un après-midi de pleine semaine du mois de juin, comme c’est souvent le cas dans le quartier de la Défense.


Mais ces prouesses de conduites laissaient totalement indifférent mon passager, il faut dire qu’autre chose l’intéressait nettement plus, comme les chauffeurs-livreurs des camionnettes qui nous côtoyaient parfois dans la circulation. Effectivement, il faut dire que n’importe quel gendarme aurait pu me faire la morale, à distraire ainsi les travailleurs de la route, envieux de mon passager pour sa main, qui se promenait ainsi sur mes cuisses et mon bas-ventre largement découverts aux yeux de ceux qui se donnaient la peine de regarder.


J’étais dans un état second, et fus étonnée que ma conduite n’en souffrît pas plus que cela, bon, d’accord, les voitures qui me suivaient, et dont les conducteurs semblaient si énervés du train d’enfer que je leur infligeais, me doublaient avec un agacement contenu dans leurs attitudes, je m’en foutais complètement, à présent je ne pensais qu’à la fontaine d’amour que mon plaisir était en train d’alimenter. Je mouillais tant et tant que je ne pouvais absolument pas mentir sur mes intentions, au même titre que Nicolas, qui exhibait une bosse assez conséquente dans son pantalon et dont j’avais pu me rendre compte - dans une ligne droite, afin de ne pas mettre en péril notre expédition.


À présent, ses doigts pénétraient mon intimité profondément, et je remerciais Papa de m’avoir fourni une voiture avec une pédale d’embrayage, ce qui me permettait d’écarter les cuisses assez facilement en me donnant une contenance.


Je n’aurais voulu que ce voyage s’arrête pour rien au monde, je profitais en égoïste des caresses de cet homme, je m’abandonnais sans rien faire, je n’avais pas à échanger mais à subir simplement, ce que j’adorais, d’ailleurs ! Il fouillait mon intimité, et je m’en régalais, je tenais mon volant à deux mains, et heureusement que mes vitres étaient ouvertes pour m’empêcher de crier mon bonheur, je crois que ce même voyage en plein hiver aurait eu des conséquences assez néfastes sur mes cordes vocales ! Je soulevais de temps à autre mes fesses dénudées pour que Nicolas puisse mieux s’adonner à ces fouilles qui me ravissaient d’aises et d’envies.


Enfin, nous trouvions déjà dans Suresnes quand son index pénétra mon entrée interdite, vous rendez-vous compte d’autant de kilomètres parcourus durant cette aventure envoûtante ! Heureusement que je n’étais pas chauffeur de taxi, payée au kilomètre, je n’aurais certainement jamais pu nourrir quelque famille que ce soit.


Lorsque son index, qui était au centre de mon œillet, rejoignit son pouce, qui était, lui, sur mon clitoris durci du plaisir qu’il me donnait, ce fut un ravissement ! Je ne pus m’empêcher de penser à l’histoire drôle que me racontait mon petit frère : pourquoi les femmes ont l’anus aussi rapproché du vagin… pour les porter comme des packs de bières, me disait-il tout le temps. Et là, Nicolas était en train de placer ses doigts comme un porteur de bière, je n’aurais jamais imaginé que cela pouvait faire autant de bien. Je me mis à sourire avant de sentir un orgasme commencer de monter en moi. Ce fut au feu rouge suivant que cet orgasme arriva à son comble, quand les doigts de Nicolas s’agitèrent en frottant mon bouton d’or et en pénétrant mon intimité si trempée, j’en coulais sur le siège et la cyprine risquait de laisser des taches indélébiles sur ma jupe plissée bleu marine, à ce feu où j’étais arrêtée, un conducteur voisin suivait la scène avec de grands yeux écarquillés, il me vit entrouvrir la bouche et fermer les yeux, dut même entendre mon souffle lorsque le plaisir m’inonda, je venais de jouir, en effet !


Ce fut le klaxon des conducteurs derrière nous qui nous sortit de notre torpeur, mon conducteur voisin et moi-même ! Il nous fallait avancer, au grand désespoir de ce conducteur voyeur qui aurait au moins quelque chose à raconter à ses collègues de bureau.


Enfin le parc de Saint-Cloud s’ouvrait devant nous, j’avais été une prudente conductrice, à en juger par le temps que j’avais mis à me rendre sur place. Ce qui ne semblait pas perturber Nicolas plus que cela ! Visiblement, lui avait adoré rouler aussi doucement, moi aussi d’ailleurs mais chut !


Nous nous engageâmes dans une allée moins fréquentée que les autres, j’arrêtai la voiture et fondis sur Nicolas, comme pour mieux me libérer de cette énergie que j’avais contenue jusqu’à maintenant. Je m’emparai de ce sexe que je libérai de son carcan de vêtements, j’ouvris la braguette de Nicolas pour libérer ce sexe gonflé de plaisir et je posai mes lèvres sur cette colonne qui vibrait sous mes doigts. J’en décalottai le bout pour laisser apparaître le gland rougi de plaisir, mes doigts redescendirent la peau du prépuce puis de nouveau recouvrirent ce gland avec cette peau qui roulait sous mes doigts, ma langue, quant à elle, caressait l’extrémité du méat, je sentais Nicolas qui commençait à défaillir et sa queue tressautait dans ma bouche, j’imaginais l’explosion de son plaisir toute proche. Ma bouche se mit à accélérer son mouvement de va-et-vient, pendant que ma langue, qui courait autour de la corolle de son gland enflé de plaisir, entamait un mouvement de succion responsable, somme toute, de l’état second de Nicolas. Celui-ci fermait parfois les yeux et je sentais l’issue toute proche. Je guettais quand même parfois si nous étions observés, je tenais à garder notre intimité sans être dérangés pour jouir tout notre saoul. Je voulais qu’aucun mateur ne vienne me voler ce plaisir que je voulais à moi tout entier.


Personne en vue, je ne devais plus compter que sur moi, Nicolas était incapable de surveiller quoi que ce soit. Il allait exploser, j’avoue que le plaisir m’inondait également, à sucer ce pénis d’une taille tout à fait honnête, qui ne vibrait que pour moi en cet instant. J’aurais tant voulu que cette colonne me procure un plaisir intense à me pénétrer profondément, mais hélas ! j’étais bien certaine que Nicolas ne pourrait attendre jusque là, puis je ne voulais pas qu’un tel plaisir soit par trop éphémère, sans avoir eu le temps de me procurer une jouissance dont j’étais digne.


Je me savais suffisamment capable de réveiller Nicolas après ce plaisir buccal, dirons-nous, afin de me provoquer un orgasme vaginal dont je rêvais depuis le début de l’après-midi. Puis celui-ci ne m’avait-il pas fait jouir tout le long du chemin ? Puis j’aime tellement les préliminaires des caresses qui me procurent une telle jouissance, j’aime ces masturbations qui provoquent chez moi une réelle envie de faire l’amour, de me donner complètement !


Ma bouche, qui se faisait pressante autour de ce gland qui tressautait entre mes lèvres, aspirait, pendant que de mes mains libres je caressais ses bourses, mon doigt s’immisçait entre ses fesses qu’il soulevait, pour me faciliter le passage, de temps en temps mes doigts aidaient la peau de cette colonne à s’agiter de bas en haut puis inversement, je le branlais superbement pendant que je le suçais, quand enfin je sentis les premières giclées envahir ma gorge. Je dus ouvrir ma bouche pour éviter ce déferlement de plaisir qui coulait telle une fontaine. Je ne pouvais tout avaler, un plaisir si intense l’aurait-il mis dans cet état d’abondance ? À moins qu’une longue période d’abstinence n’eût précédé nos ébats - un si bel homme, je n’y croyais pas, ce n’était pas possible.


Ma bouche, maculée de son sperme que je dégustais, avait à présent cessé d’envelopper ce gland que j’admirais déverser ces derniers spasmes de plaisir. Je léchais les dernières coulées qui faisaient irruption de son volcan en mouvement, je buvais son plaisir avidement. Ma langue apaisait cette furie qui s’était emparée de cette colonne en en caressant le sommet, en suivant les courbes de ce superbe champignon qui gonflait encore par soubresauts successifs entre mes lèvres si actives. Mes mains, enfin, continuaient de flatter cette peau si douce sous les doigts, et ceux-ci, de temps en temps, opéraient un nettoyage en règle, en re-calottant le gland noyé de ce sperme que j’avais tant aimé !


C’est sa langue à lui qui est venue me nettoyer la bouche, dans des baisers tendres que j’ai particulièrement appréciés, tant par l’érotisme que par l’attention. Je me rendis compte soudain que j’avais joui uniquement dans cette fellation, c’était la première fois que j’éprouvais autant de plaisir dans cet acte, que j’avais pourtant déjà dispensé à d’autres.


Puis nous restâmes un moment soudés l’un à l’autre, sans rien dire, juste un peu rajustés dans nos tenues, chacun, afin de ne pas susciter des fausses idées d’exhibitionnistes mal placées. Cet instant était magique, j’eus voulu qu’il dure éternellement.


La fin de l’après-midi commençait à nous rappeler à la réalité, je ne voulais pas le quitter, la faim nous tiraillait un peu, puis je voulais tellement qu’il me fasse l’amour, mais pas comme ça, dans la voiture, je le voulais tout à moi, à l’abri des regards, je le voulais sans inhibitions, je le voulais créatif dans les actes d’amours, je le voulais tout à moi, je ne voulais pas le partager, je le voulais nu, je le voulais me pénétrer, je le voulais communier avec moi dans ces fougueuses aventures.


Mais ceci sera l’objet de la suite de mon récit dans un avenir très proche soyez-en sûrs !


Nathalie !