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n° 00249Fiche technique19052 caractères19052
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Temps de lecture estimé : 14 mn
25/03/00
corrigé 07/02/23
Résumé:  Aujourd'hui Zette écoute Marc vanter sa toute nouvelle moto. Il lui propose de l'emmener faire un tour. Ça tombe bien parce que Zette a décidé de répondre à ses avances.
Critères:  #journal #érotisme #confession #adultère #différencedâge fh extracon alliance intermast fellation cunnilingu
Auteur : Zetteremy  (Rêveuse et idéaliste)      
La moto de Marc

Mon mari n’a jamais su éveiller en moi de grandes émotions. Il a laissé ma sensualité s’endormir et les choses du sexe ont disparu de mes centres d’intérêt. Cependant, je l’aimais et j’acceptais sans trop de réticences les charges du devoir conjugal. Le plaisir que je lui donnais ou qu’il prenait suffisait à me satisfaire.


Depuis son décès, tout a beaucoup changé. Il a suffi que je remarque le trouble que ressentait un tout jeune homme chaque fois qu’il m’approchait, pour piquer ma curiosité et réchauffer mes sens engourdis. Flattée de l’intérêt qu’il me portait, je ne l’ai pas découragé puis je lui ai cédé et j’ai redécouvert le plaisir de la chair entrevu jadis, avec mes petits flirts pendant mon adolescence. Par la suite, j’ai cherché à renouveler et à multiplier ce plaisir. Ma sexualité a explosé. J’ai succombé avec volupté à de nombreuses sollicitations. Mes appétits atteignent maintenant un niveau tel que je suis capable de vilenies pour les satisfaire. Je peux aller jusqu’à abuser de la confiance de ma propre sœur. Ainsi à l’instant où ces pensées m’envahissent, je tiens dans mes deux mains le sexe de Marc, son mari.


L’aventure commence ce matin même, lorsque ma sœur, Jeanne, et lui me rendent une visite impromptue à l’occasion des premiers essais de leur nouvelle motocyclette. Le peu d’intérêt que je porte à ce genre d’engin m’empêche de me souvenir de la marque et du modèle. Il s’agit d’un bolide de marque allemande, je crois, dont le prix avoisine celui d’une voiture. Une folie à mon sens. Toute la conversation de Marc est centrée sur cette machine. On le sent passionné. Durant le repas improvisé, il n’est question que des avantages comparés d’une marque par rapport à une autre, tandis que le pied de Marc cherche le mien, sous la table. Mon orgueil s’en flatte, mes pensées s’envolent vers des horizons libidineux.


Dans le passé déjà, Marc m’a fait des avances. À l’occasion de nos sorties « en boîte », du vivant de mon mari, il m’avait montré les sentiments que j’éveillais en lui. La danse avait été l’occasion de me faire sentir, à travers nos vêtements, la chaleur et la tension de son sexe. Aucune suite n’avait été donnée à ces contacts intimes, pour de multiples raisons : j’étais mariée, fidèle et peu portée sur la chose à l’époque. De plus, je n’avais nulle intention d’être la cause de ses infidélités à ma sœur.


Aujourd’hui, tout est différent, j’ai envie de donner une suite à ses avances. Je ne le décourage donc pas. Je ne l’encourage pas non plus. Je le laisse espérer. Rien ne flatte plus un homme que de l’écouter attentivement. J’ai envie de flatter Marc. Je fais mine de boire ces paroles. Il y est sensible et aussitôt après le café, il me propose d’aller essayer sa machine. J’hésite. Ces engins me font peur. Jeanne m’y pousse et me convainc. J’accepte. Enfourcher l’engin fait remonter ma jupe jusqu’à l’aine. J’esquisse un geste de pudeur pour rabattre le vêtement. Saisie d’inquiétude à l’idée de chevaucher une pareille machine, j’enlace Marc fermement. Mes jambes écartées enserrent ses cuisses, je me cale contre son dos. Les fortes sensations provoquées par l’engin, la complicité de fait naissant entre passager et pilote ; le souvenir du pied qui me cherchait tout à l’heure sous la table et du sexe qui me chauffait jadis le ventre me fait m’accrocher plus intimement à sa taille.


Marc, lui, réalise que je suis une proie à sa portée. Il met à profit les accélérations puissantes de la machine pour m’obliger à m’accrocher solidement à lui. Les inclinaisons impressionnantes, dans les virages, accroissent mon besoin de sécurité. Elles me sont prétexte à l’enlacer plus étroitement encore. Lorsqu’il sent que je me détends, mise en confiance par sa façon de piloter, il adopte une conduite plus sage, puis une de ses mains lâche le guidon et s’aventure entre mon genou et ma hanche, le long de ma cuisse. La surprise et la joie font bondir mon cœur dans ma poitrine. Il répète son geste à plusieurs reprises. Il m’entreprend, me dis-je, et cette pensée me trouble. Mes seins s’affermissent déjà et mes pointes s’érigent. Je suis déjà prête à toutes les folies.


Lorsque, pour la troisième fois, il caresse mes mains que je tiens croisées à hauteur de son estomac, je réagis : en réponse à ses avances, j’emprisonne ses doigts un court instant. J’ai conscience qu’il ne peut se permettre de lâcher le guidon plus de quelques fractions de seconde aussi lorsqu’il m’invite à prendre l’initiative, je me laisse guider et il guide ma main vers sa braguette. Puis avant de reprendre le plein contrôle de sa machine, il glisse sa main dans son dos, entre mes jambes, et m’effleure à travers le tissu de ma culotte. Il m’a clairement fait comprendre ce qu’il désire. À mon tour, de lui faire comprendre que je partage toutes ses intentions. Avant que je ne me décide à devenir active, il doit de nouveau lâcher son guidon, forcer ma main à le caresser. Cette fois, je cède à son invite et je poursuis le mouvement entamé. Je commence à masser sa braguette. Ses mâles attributs roulent sous ma main. Son sexe se tend. Le mien réagit tout autant et s’humecte…


Peu de temps s’écoule avant que Marc ne déboucle sa ceinture, déboutonne sa braguette, et passe tout son « paquet » par-dessus son slip pour l’offrir à mes manipulations. D’une main, j’atteins son sexe, de l’autre, ses testicules. Mes deux mains caressent, roulent, pressent, relâchent, montent et descendent autant que faire se peut. La position du motard sur sa selle ne facilite pas leurs activités. Je tire sur le bas de son blouson pour cacher son sexe au regard des passagers des véhicules que nous croisons.


Peu de temps s’écoule encore avant que Marc n’engage sa machine sur un chemin de traverse qui nous mène dans un sous-bois ombragé et frais. À peine l’a-t-il calée sur sa béquille que nous nous précipitons dans les bras l’un de l’autre. Nos corps se cherchent et se frottent, nos jambes s’emmêlent, nos bouches s’unissent… Sans ceinture, son blue-jean glisse à ses pieds. Il soulève ma jupe. Je crains qu’il ne la froisse trop. Elle me gêne. Je la dégrafe, m’en extrais et la pose sur la selle. Marc en profite pour enjamber son pantalon et s’extirper des entraves de son slip. Son geste m’incite à retirer ma culotte. Il s’agrippe à mes fesses et, de ses deux mains, me pousse contre son ventre. L’excitation nous fait respirer plus fort et plus vite. Je le laisse introduire sa jambe entre mes cuisses. Sa verge brûlante palpite contre mon ventre.

Ces préliminaires m’agacent et j’ai envie de contacts plus concrets, aussi je me dégage quelque peu de son embrasse pour pouvoir atteindre son sexe. Mon mouvement dégage mon propre pubis, Marc en profite pour introduire ses doigts entre mes cuisses et chercher mon bouton. Trois pas en arrière me permettent de m’adosser à l’arbre le plus proche. J’écarte les pieds, tends mon ventre et m’offre à ces doigts coquins. Il les détrempe à l’humidité suintant de mon corps et encercle mon bouton d’attouchements aériens. Ils enserrent délicatement mes lèvres, puis décapuchonnent et recapuchonnent mon clitoris. Tout mon être se concentre sur les sensations qui naissent en moi. Lorsque ses doigts s’éloignent du centre de mon plaisir, je les ramène là où je veux qu’ils me titillent. La langue de Marc qui s’enfonce dans ma bouche ajoute à mon trouble. Je la lui suce. Je la serre entre mes lèvres et s’il fait mine de me l’enlever de la bouche, je l’aspire jusqu’au fond de ma gorge.


Je sens mes jambes trembler sous moi. Marc me soutient. Ses doigts virevoltent sur mon bouton. Mes déhanchements l’incitent à des attouchements plus rapides et plus fermes. Comme pour m’excuser de la folie vers laquelle ils me font monter, je lui murmure :



Ses paroles d’encouragement me libèrent. Ma jouissance éclate. Je vibre de tout mon être. Je serre les cuisses, j’empêche ses doigts de me tourmenter davantage, mon bouton est si sensible maintenant qu’il ne peut plus supporter sans douleur quelque contact que ce soit.


Quelques instants plus tard, je recouvre mes esprits. Marc m’a laissé profiter pleinement de ma jouissance. Il n’a pas bougé. Il n’a pas parlé. Il ne m’a rien demandé ni rien fait qui puisse me distraire. Voilà un amant comme je les apprécie. Voilà un amant qui me donne envie de recommencer.



Son doigt s’insinue instantanément dans mon ventre. Je le sens qui oscille lentement de droite à gauche, puis de gauche à droite. Je me liquéfie. La lenteur de sa caresse montre que Marc est un amant d’expérience. Ma sœur a de la chance d’avoir un tel mari dans son lit. Je pousse sa main pour sentir son doigt me pénétrer plus avant. Je m’accroche à son cou. À peine redescendue des hauteurs de mon premier envol, je remonte vers le septième ciel. Je fléchis mes genoux pour obtenir un contact plus prononcé et accroître les sensations. Marc, toujours attentif, comprend mon geste et affermit sa position. J’agite mes hanches en tout sens.



Je m’entends crier.


La caresse dans mon ventre se transforme en un frottement puissant. Puis à mesure que mon plaisir croît, il se transforme en un va-et-vient rapide et profond et finalement en des saccades désordonnées et violentes. Le plaisir m’envahit et me bouleverse. Mon ventre et mes reins émettent des vibrations de plaisir à travers tout mon être.


Une fois encore, Marc devine le moment précis où il doit se faire oublier, cesser de fouiller mes entrailles et me laisser profiter de la jouissance qui me submerge. Puis alors que le calme reprend peu à peu possession de mes sens, le long doigt qui me vrille le ventre, s’anime à nouveau discrètement. Je le laisse faire, curieuse, puis attentive. Puis intéressée. Puis désireuse de prolonger cet instant. Puis suspendue à ce petit intrus qui malmène mes chairs si délicieusement. Le désir de jouir une troisième fois m’emporte soudain.


J’ordonne :



Mon troisième envol se confond presque avec la fin de l’atterrissage du précédent. Il m’élève encore plus haut dans l’échelle du plaisir. Je m’accroche à Marc pour ne pas tomber tant sont désordonnés mes déhanchements. Je saisis un repli de son blouson et l’enfonce dans ma bouche pour étouffer mes plaintes. Des spasmes m’ébranlent jusque dans mes fondements les plus secrets.


De longues minutes me sont nécessaires pour retrouver mon souffle et mon calme.


J’invite mon envahisseur à quitter les lieux. Marc retire son doigt, me regarde droit dans les yeux, le porte à sa bouche dans laquelle il disparaît et le suce avec délices, semble-t-il. Je le remercie intérieurement de son geste. Il est plus délicat et plus élégant que s’il avait utilisé son mouchoir. Dans le même temps, je me demande s’il a une signification particulière. Cherche-t-il à me faire comprendre qu’il désire que je m’accroupisse, la bouche à hauteur de sa virilité ?


La réponse viendra d’elle-même un peu plus tard. Pour l’instant, c’est à mon tour de me consacrer à son bonheur. Il me faut faire preuve de talents pour l’égaler dans l’art de donner du plaisir. Son sexe est gonflé, raide, tendu, presque vertical ; le gland est luisant, cramoisi tant il est gorgé de sang et de désir. Je m’en saisis d’une main. J’en parcours la longueur, descends jusqu’à sa base. Les bourses y sont remontées. Je les prends dans ma paume et je les sens qui ondulent, prêtes à cracher tout leur « venin ». Je les masse délicatement. Marc, à son tour, s’adosse à l’arbre, écarte les jambes et s’abandonne à mes attentions. Du bout de l’ongle, je gratte le périnée. Je prolonge la caresse jusqu’à proximité de l’anus. Debout, je peux difficilement user de mes deux mains aussi je m’agenouille devant sa verge et commence à la flatter avec tendresse. Mes mains la saisissent, l’une après l’autre, et la caressent de haut en bas. Une main prenant la place de l’autre ne laisse aucun répit à ce gland qui sursaute, vibre et réagit à chacune de mes sollicitations. Nos regards se croisent, les yeux de Marc sont troubles. Il lance son sexe au-devant de mes attouchements. Parfois, sa main prend mes mains et me guide. J’observe attentivement les réactions que font naître mes caresses et selon le cas, je les répète, les accélère, les modifie ou en invente d’autres, de plus en plus libertines. Chaque fois que mon doigt s’approche de l’anus, Marc ouvre plus grand ses cuisses. Lorsqu’enfin je l’y pose, il provoque un spasme si violent que je m’en alarme et le retire. Je l’y repose aussitôt, à la demande de Marc. Ses réactions encouragent mon audace et mon doigt s’active sur cette petite zone intime, étroite et sensible. Je le mouille abondamment de ma salive pour faciliter ses glissades circulaires et accroître le plaisir qu’elles délivrent. Je pèse sur l’orifice comme pour le pénétrer, je sens le sphincter se contracter. Pour le détendre, je reprends mes circonvolutions.


Marc respire plus vite et moins profondément. Je ne veux pas le faire jouir trop rapidement, car j’aime profiter de mes amants le plus longtemps possible, aussi je dois être prudente dans mes manipulations. Pour lui donner un instant de détente, je passe mes mains dans son dos et me consacre à ses fesses. Je les masse. Je les sens fermes et musclées. Je les imagine se contracter à chaque coup de reins donnés pour pénétrer sa femme… ma sœur. Sait-elle lui donner tout son saoul de plaisir ? Saurai-je le faire jouir autant qu’elle le fait jouir ? Je m’accuse du peu de moralité dont je fais preuve.


Le sexe de Marc qui tressaute sous mon menton m’attire et j’y reviens bien vite. D’une main, je le décalotte et tiens le prépuce bien tendu à la base de sa verge, tandis que de l’autre, je le masturbe lentement. Ma main forme un délicat tunnel à l’intérieur duquel sa verge peut glisser sans contrainte. Marc gémit, le ventre tendu, le membre vertical. Je vois ses muscles se contracter. J’infiltre mon majeur sous les bourses et l’appuie sur le périnée pour sentir les premières contractions de l’éjaculation. Je lève les yeux vers Marc. Il me regarde. Son regard me fournit la réponse à ma question et au moment où, excité à l’extrême, il va m’en prier, j’approche mes lèvres de son gland. Je le mouille, le bécote et pose mes lèvres sur le filet où je m’applique à faire un suçon.


Marc sursaute. Il pose sa main sur ma tête et caresse mes cheveux. Je n’ai pas léché son membre plus de deux fois du bout de la langue qu’il me pousse à le prendre tout entier. Je l’engobe avec un grognement de satisfaction. J’aime user de ma bouche pour porter mes amants au sommet de l’extase.


Peu de femmes acceptent de le faire, me suis-je laissée dire. Elles passent à côté de beaucoup de joies. Quelle joie en effet de se sentir maîtresse et prêtresse du plaisir de son amant, de lui faire perdre la tête sous l’effet de succions amoureusement prodiguées, d’être suppliée de le faire encore et de le sentir s’effondrer de jouissance dans des grognements de bête sauvage ! La saveur légèrement saumâtre du « venin » de ces messieurs et sa consistance me rappellent le blanc des œufs que ma grand-mère m’avait appris à gober. J’aimais gober ses œufs tout frais pondus, j’aime gober le sexe de mes amoureux.


Toujours, en retour, je suis gratifiée de la même gâterie. Quel plaisir alors de sentir une langue d’homme, humide, chaude et molle, s’insinuer entre mes jambes et porter mon minou au septième ciel !


Marc m’a donné une telle jouissance que je m’efforce de le remercier à ma façon, du mieux que je peux. Je m’efforce de le faire planer aussi haut qu’il m’a fait planer. Il semble que j’y parvienne, car il perd la tête peu à peu. Ses grognements deviennent des gémissements puis des ordres ou des suppliques :



Je respecte ses instructions à la lettre. Mon doigt, entre ses jambes, surveille toujours la naissance des premières contractions tandis que je consacre toute ma science d’amoureuse à câliner ce membre. Je le tète, l’embrasse, le lèche et le pince entre mes lèvres. Ma bouche s’y frotte. Je m’en caresse les joues et le cou. Je l’aspire au fond de ma gorge, le repousse et l’aspire encore. Je le tapote sur le plat de ma langue. Je le secoue entre mes lèvres entrouvertes.


Ma salive le rend glissant. Il est si raide qu’il m’échappe parfois, je le rattrape alors vivement pour en reprendre le contrôle. Je m’efforce de rendre audibles quelques bruits de clapotis ou de succions : Marc apprécie, car je le sens alors qui se cabre davantage. Moi aussi je perds la tête, car son excitation m’excite. J’aimerais sentir ce membre vigoureux et glissant me pénétrer. Je lèverais alors mes jambes bien haut pour mieux le sentir m’investir jusque dans mes tréfonds. Je sais qu’il me ferait crier de joie.


J’aimerais lui dire combien j’aime son sexe dans ma bouche, combien j’aimerais le faire mourir de plaisir, que j’ai envie de le tenir dans ma bouche tout l’après-midi. Mais dès que je le lâche pour lui faire part de mes phantasmes, il pousse son membre contre mes lèvres pour que je le reprenne.


Soudain, il entreprend de basculer son ventre d’avant en arrière, entraînant son vit dans un mouvement de va-et-vient dans ma bouche. Petit à petit, il accélère son branle.



Mon doigt détecte le premier spasme. Son premier jet, le plus puissant, va me parvenir. Marc fait mine de s’extraire de ma bouche. Je m’agrippe à ses fesses pour l’enfoncer au plus profond de ma gorge et y recevoir tout son plaisir. Du bout du doigt, je masse son anus et son périnée tandis que ma paume de main malaxe soigneusement ses testicules. Il m’honore d’une bonne demi-douzaine de jets. Puis les contractions faiblissent, s’espacent et cessent tout à fait. Je garde sa verge serrée entre mes lèvres jusqu’au moment où je sens le volume du gland décroître dans ma bouche.


Je me relève, pose ma tête sur sa poitrine et garde une main sur son intimité. Marc flatte distraitement mes fesses. La tempête s’apaise dans nos sens et dans nos têtes embuées de luxure. Nous convenons tacitement qu’il n’est pas possible de prolonger nos ébats. Nous nous rhabillons en silence, épuisés, mais heureux.


Nous n’échangeons pas un seul mot jusqu’au retour à la maison. Là, Jeanne s’étonne du temps que nous avons consacré à cet essai. Je détourne la conversation en insistant sur le repas du soir à mettre sur le feu et sur les lits à préparer.



Je formule l’invitation sans y avoir pensé. Inconsciemment, j’espère qu’il va se passer quelque imprévu, cette nuit, qui ramènera le sexe de Marc à ma portée. Cette fois, je le veux dans mon ventre. Je n’atteins la plénitude du plaisir et le réel apaisement de mes sens qu’après avoir été inondée du liquide de mes amants…