n° 00256 | Fiche technique | 11683 caractères | 11683 1974 Temps de lecture estimé : 8 mn |
28/03/00 corrigé 14/07/20 |
Résumé: Travaillant sous les tropiques, André remarque cette femme qui vit un peu à l'écart et que la piscine ne semble pas tenter. Il faut dire qu'elle devait peser dans les 120 kg... | ||||
Critères: #chronique #société #érotisme #volupté #occasion #fellation #lieudeloisir fh gros(ses) noculotte strip fellation pénétratio | ||||
Auteur : André Sébastien Borland |
J’avais toujours rêvé de travailler dans un pays chaud et cette place sous les tropiques était pour moi inespérée… Aussi, ai-je immédiatement sauté sur l’occasion et décidé, sans hésiter, de m’expatrier.
Nous étions une petite communauté très fermée composée presque qu’exclusivement de ressortissants américains et européens. Nous vivions en vase clos, en plein milieu de cette contrée sauvage. Comme de véritables pachas, avec tout un cortège de domestiques. Je trouvais cette vie de luxe indécente, moi qui venais d’un milieu très modeste.
La première impression que j’en eus fut que ces contrées lointaines sont fort chaudes. C’était la saison sèche en plus. Heureusement que la petite communauté s’était dotée d’une piscine. Celle-ci ne désemplissait pas et la rare fois où elle avait été rendue inutilisable à cause, dit-on, d’un problème de bactérie, cela avait été pratiquement une catastrophe. Il y avait toujours une multitude de résidents tout autour qui flânaient sous les parasols en sirotant quelques sodas bien frais. La belle vie en somme. Même s’il fallait travailler de temps en temps, on était loin, là-bas, des 35 heures.
J’ai tout de suite remarqué que la femme qui occupait la maison proche de la mienne n’allait jamais à la piscine. Elle semblait vivre à l’écart et ne fréquenter personne. Elle restait assise sur sa terrasse à lire durant de longues heures, du moins lorsque j’étais là ; mais je sais qu’elle travaillait chez les Japonais, car je la croisais de temps en temps lorsque mes activités m’entraînaient là-bas. Elle devait avoir environ quatre ou cinq ans de plus que moi et je dois dire que son comportement et son apparence m’intriguaient. Je pense que la principale raison pour laquelle elle n’allait pas à la piscine, c’est qu’elle devait peser dans les 120 kg. Ses énormes seins étaient plus qu’apparents sous un t-shirt trop court pour elle et je pouvais deviner ses gros tétons noirs à travers ses vêtements. La plupart des gens la voyaient sans doute comme quelqu’un d’obèse alors que pour moi, c’était tout simplement la plus jolie femme que j’ai jamais vue. Un jour qu’elle était en train de se promener dans le jardin, je l’ai même vue se pencher pour cueillir une fleur et me suis aperçu qu’elle n’avait pas de culotte. Depuis, j’étais véritablement fasciné par son large fessier, tout en formes et en rondeurs.
Un week-end, alors que je m’étais installé sur ma terrasse pour siroter un coca, elle passa tout près de moi en me décochant un large sourire.
Je l’invitai à monter sur la terrasse tandis que j’allais chercher des boissons au frais. Mon esprit était en effervescence, j’imaginais des situations cocasses en me voyant en train de jouer avec ses volumineux poumons et ses grosses fesses.
Je la regardais cette fois-ci de plus près. Elle n’était pas à proprement parler jolie, disons plutôt, inhabituelle. Sa figure était légèrement bouffie, mais, sans exagération, à peine un double menton. Toutefois, elle était très maquillée, sans doute trop maquillée pour camoufler, je ne sais quelle imperfection imaginaire, alors même qu’elle avait un ravissant minois, un sourire splendide et de grands yeux pétillants.
Nous parlions de choses et d’autres, de tout et de rien en vérité. Elle était originaire du New Jersey, mais avait passé de longues années à Paris, c’est pourquoi elle parlait si bien notre langue. De fil en aiguille, nous en sommes arrivés à discuter de la faune locale, j’ignore comment et pourquoi. C’est ainsi qu’elle me dit avoir vu un scorpion rentrer dans la salle de bain et que depuis trois jours, elle n’osait plus y entrer même si le boy africain lui avait affirmé n’avoir rien remarqué. Sautant sur l’occasion, je lui proposai tout de suite d’aller y jeter un œil pour la rassurer.
Nous nous dirigeâmes ainsi tous les deux jusque chez eux. Je lui emboîtai le pas en reluquant ses grosses jambes. C’était certes une plus belle maison que la mienne, entièrement en bois, les Japs avaient décidément les moyens. Mais en plus, elle était vécue avec goût. Quelques statuettes africaines choisies avec goût et discernement créaient une ambiance subtile sans surcharger le décor de façon outrancière. Elle m’entraîna directement dans la salle de bain où je me mis en devoir de traquer l’animal, un gros scorpion noir des plus terrifiants. Elle était debout à l’entrée de la pièce et moi à genoux sur le sol à fouiller partout. La bête en question était bien là, tapie derrière un tuyau d’écoulement d’eau, mais m’apparaissait désormais de taille réduite et inoffensive. Je lui fis part de ma découverte et elle se mit à crier et à glousser, elles sont bien toutes les mêmes, ces nanas ! Elle courut chercher un gros bâton, mais le temps qu’elle revienne, j’avais déjà saisi l’animal avec une serviette avant de le noyer dans la baignoire. Elle était là, près de moi, regardant la piteuse victime qui ne bougeait plus et m’acclamant comme son sauveur.
Je me tournai vers elle et tombai nez à nez si je peux dire avec sa volumineuse poitrine ce qui eut pour effet immédiat de me donner une splendide érection. Elle était si près de moi, si chaude, si désirable. Et la peur l’avait rendue si tremblotante et si fragile. Inévitablement, je la pris dans mes bras et je crois qu’en cet instant, elle ne demandait que ça, car sa bouche tendue chercha immédiatement la mienne et nos langues s’entremêlèrent dans un baiser fougueux. Mon érection était au paroxysme. Tout en m’embrassant, je sentis sa main se poser sans équivoque sur mon entrejambe et saisir mon sexe en érection. Il y avait urgence, je le compris à son regard fiévreux, urgence que je me mette nu tout de suite pour qu’elle me regarde. Ma chemise tout d’abord, puis mon pantalon en toute hâte… elle me pressait. Urgence, ma bite bien dure pointait fièrement sous mon slip hyper tendu et elle contemplait, admirative, cette bosse érigée pour elle, n’attendant plus que le moment où je l’ôterais pour elle. Lentement, dans un pseudo strip-tease, j’entrepris de baisser lentement mon slip dégageant peu à peu ma queue durcie de désir et me retrouvant bientôt entièrement nu face à elle, le sexe bien dressé à sa vue.
C’est alors qu’elle sortit de la pièce en m’invitant à la suivre sans détacher un instant son regard de ma queue toujours aussi fière. Elle m’invita alors à m’asseoir sur le lit et s’agenouillant face à moi, se pencha vers l’objet de son désir. Lentement, avec la douceur lancinante de gestes voluptueux, elle la prit entre ses doigts pour la caresser. Elle semblait réellement subjuguée par cette bite, objet de toutes ses attentions, et elle la maniait avec une extrême précaution qui n’était pas pour me déplaire. D’un doigt, elle titillait mon gland tandis que de l’autre, elle glissait le long de la hampe, revenant par moments sur mes couilles. Humm, ses caresses étaient réellement divines, méticuleuses à souhait, je n’avais jamais connu pareil délice. Puis prenant mes couilles d’une main pour les palper, elle prit ma queue de l’autre et entreprit de me branler. Avant de remplacer bientôt sa main par sa bouche avec tout autant de précautions. Sa langue doucement sur mon gland, ses lèvres qui m’absorbaient lentement tout en m’humectant abondamment de salive. Ouvrant bientôt la bouche plus grand, elle m’avala progressivement, entreprenant de me pomper avec une dextérité peu commune. Elle l’engloutit en entier, jusqu’à ce que je sente mon gland buter au fond de sa gorge tant et si bien que je sentais presque son menton taper sur mes burnes. Elle y mettait tout son cœur et paraissait exceller dans cet exercice, alternant les phases de douceur aux succions frénétiques, faisant montant peu à peu mon foutre dans ma tige… Jusqu’au moment où, inévitablement, je sentis que j’allais cracher…
Ce qui eut pour effet de la faire redoubler d’énergie pour avoir toute ma sauce, avec sa bouche qui me pompait, avec ses doigts qui me palpaient les burnes. Jusqu’à ce que j’explose dans sa gorge, littéralement, sans retenue, de longs jets de sperme dans sa bouche. Elle avala tout au fur et à mesure, essayant de ne rien perdre, mais mon sperme perlait inévitablement aux commissures de ses lèvres. Ensuite, sa langue s’enroula autour de mon gland pour ne pas en perdre une goutte et elle lapa avidement tout le reste de ma liqueur, aspirant avec gourmandise tout le foutre qui s’était épandu çà et là.
Ensuite, elle se redressa en me regardant dans les yeux, fière du résultat obtenu, et elle ajouta :
Je ne me fis pas prier. Je rebandais déjà, de nouveau d’attaque pour un nouvel assaut. Pour me conforter dans mon état, elle entreprit à son tour un strip-tease pour me dévoiler son intimité. Ce que je préférais chez elle, c’étaient évidemment ses très grosses mamelles, ses larges aréoles et ses gros tétons. J’étais excité rien que de voir ce spectacle. Quant à elle, elle souriait aux anges, heureuse que je sois aussi admiratif à son égard. Elle se retourna pour que je puisse admirer son énorme cul graisseux tandis qu’elle baissait lentement sa culotte. Puis, se retournant de nouveau, elle me dévoila une toison très épaisse de poils noirs entourée de deux grosses cuisses et de bourrelets graisseux.
Elle s’allongea bientôt sur le lit, entièrement nue, les jambes écartées. Debout devant elle, je la regardais. Elle était réellement telle que je l’avais toujours rêvée, prête à être grimpée. Je suis venu sur elle pour téter ses gros tétons l’un après l’autre tandis que sa main, saisissant ma bite, l’orienta vers sa cramouille chaude et humide qui l’accueillit chaleureusement. Je m’enfonçai donc dans son trou et tout en la limant, je sentais son épaisse touffe frotter contre la mienne. Elle était presque plus poilue que moi avec une épaisse toison qui allait du nombril au trou du cul.
Je la limais encore plus à fond tout en continuant de téter ses grosses miches. De plus en plus vite, de plus en plus fort comme elle le réclamait et je la sentais sous moi remuer en cadence, répondant à mes coups de bite par des coups de reins. Elle criait, elle beuglait sans pudeur, des « Ouiii » frénétiques, et l’orgasme s’emparait de tout son corps. Un flot de cyprine débordait désormais de son con tout autour de ma queue raide. Je continuais de la fourrager ainsi jusqu’à ce que je la sente exploser sous moi, quelques secondes avant que j’explose à mon tour. Au dernier moment, alors que j’allais exploser, je sortis ma bite de son trou et crachai tout mon jus sur ses gros nichons. Hummm, je frottais ma grosse trique juteuse sur ses grosses mamelles, puis entre, en les rapprochant avec mes mains. Et elle ouvrit à nouveau la bouche pour m’astiquer le dard, recueillant avec appétit les dernières traces de sperme. Du foutre, elle en avait partout, sur les seins, sur la figure, dans le cou, dans les cheveux aussi et je l’étalais bien en frottant ma bite sur elle.
Inutile de préciser que ce n’était là qu’un début…