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n° 00286Fiche technique30332 caractères30332
Temps de lecture estimé : 19 mn
11/04/00
corrigé 20/04/09
Résumé:  Jérôme prend deux Danoises en stop ! Elles vont s'inviter chez lui ! Une soirée qui promet d'être agitée !
Critères:  ff ffh autostop intermast facial fellation cunnilingu 69 pénétratio -hff
Auteur : Jerome492
Les Danoises


Je m’étais arrêté dans une station sur l’autoroute pour faire le plein et accessoirement pour boire un café. Pour une fois je n’avais aucune contrainte horaire, aucun rendez-vous à ne pas manquer et personne ne m’attendait au bout de la route. Mais j’étais néanmoins toujours aussi pressé d’arriver, ne serait ce que par vaquer à mes occupations. Je n’avais jamais assez de temps et les tâches les plus ordinaires me donnaient l’impression de le gaspiller.



Il faisait un temps magnifique en cette belle fin d’été et je roulais toutes fenêtres ouvertes, le radiocassette à fond pour m’en faire exploser la tête. À la sortie du parking, juste avant la voie d’accélération, me voici alpagué par deux jeunes femmes, très jeunes femmes d’aspect étudiantes un peu fofolles qui me font de grands signes en battant des bras. Je m’arrête sans trop réfléchir, elles sont hilares… Elles baragouinent dans un français approximatif qu’elles désirent aller dans le sud, du côté d’Avignon semble-t-il. Etant donné que je ne vais bien entendu pas aussi loin, j’hésite un peu à les prendre. Je leur explique que je m’arrête avant et j’essaie de leur faire comprendre qu’elles auront peut-être un problème pour retrouver un chauffeur là où je les laisserai. Mais qu’importe, ça n’a vraiment pas l’air de les effrayer et elles ont l’air fermement décidé à monter. Alors je laisse tomber et, après avoir mis leurs sacs à dos dans le coffre, je leur ouvre les portes et les fais monter.



Nous voici donc tous les trois à 160 sur l’autoroute, fenêtres grandes ouvertes, à écouter ma musique de sauvage. Elles gloussent et sont un peu foldingues. Elles ont toutes deux 19 ans, sont danoises, étudiantes et viennent retrouver un de leur copain qui, d’après ce que je comprends, est musicien et vient donner un concert à Avignon. Enfin, nous parlons tellement mal anglais elles et moi, surtout moi d’ailleurs, que nous avons quelque peine à nous comprendre. Elles sont bruyantes, vivantes, dynamiques et pleines d’enthousiasme, surtout Greta. Ingrid, blonde comme les blés et beaucoup plus ravissante est aussi beaucoup plus timide. Greta est une fille de caractère, une aventurière, cela se sent, elle décide pour deux et l’autre suit docilement sa copine. C’est Greta qui parle, c’est Greta qui choisit, c’est Greta qui insuffle son dynamisme, un véritable ouragan cette nana. Pas spécialement belle mais c’est sa vitalité qui fait son charme et l’on ne peut que succomber.



Et précisément, je n’ai pourtant rien fait pour cela, mais Greta s’est mis dans la tête que puisqu’il était assez tard, que la nuit allait tomber et qu’elle me trouvait très sympathique, elles n’avaient qu’à aller passer la nuit chez moi, si cela ne me dérangeait pas évidemment. Justement j’étais en train de tergiverser. D’un côté la perspective de me retrouver pour une soirée avec deux belles petites étrangères me ravissait (J’entrevoyais déjà les perspectives que ça pouvait ouvrir pour la nuit) mais d’un autre côté j’ai toujours été un ours et cette visite impromptue perturbait quelques peu mon planning. D’ailleurs qu’est-ce qui prouvaient que nous allions passer d’agréables moments ensemble ? De toute façon il faudrait encore louvoyer, jouer à copain-copain, éviter d’aller droit au but, ménager la chèvre et le chou, autant de trucs chiants qui allaient m’insupporter. J’en étais là dans mes réflexions, mais je n’eus même pas à décider, Greta avait décidé pour moi et elle avait vraiment le chic pour que tous se rallient à sa vision des choses.



Bretelle de sortie, puis je prends un peu malgré moi la direction de mon domaine, accompagné des deux filles. J’avais prévu de m’arrêter chez un copain entre délire et biture, mais avec les deux danoises ce n’était pas vraiment possible. Je me suis enfoncé dans les bois, j’ai contourné la ferme et ai garé la voiture le long du petit relais de chasse qui me servait de résidence secondaire. Nous avons sorti les sacs et j’ai cherché ma clef. Greta trépignait sur place, elle était toute excitée. La vision de cette vieille ferme délabrée qui tombait en lambeaux, ces murs éventrés, ces toits écroulés, elle trouvait ça super alors que moi je n’y voyais que quelques vieilles ruines sans intérêt au beau milieu de quelques hectares de terrain inculte, le maigre héritage que m’avait laissé mon père en décédant prématurément d’une cirrhose. Et encore quand je dis héritage, c’était sans compter aux traites dont je devais m’acquitter tous les mois pour rembourser ses dettes. J’aurais bien vendu le domaine pour sortir de cette galère, mais il ne valait pas deux ronds de cacahouète et on me l’aurait sans doute repris pour une bouchée de pain.



J’ouvre donc la porte et fais entrer les deux voyageuses dans mon antre. Berk ! Ca sent le renfermé ici, trois semaines sans venir et, comme l’endroit est humide et marécageux, avec la chaleur c’est toujours un peu étouffant et nauséeux. J’ouvre les fenêtres en grand pour aérer et je fais faire rapidement le tour du propriétaire à mes invitées. Il n’y a que deux chambres, la mienne est dans un désordre indescriptible, une grande pièce commune qui sert de salon, séjour, cuisine, salle à manger, une petite salle de bain sans baignoire. C’est vétuste, assez sale (Cela se sent qu’il n’y a pas souvent de femme qui vient ici), et en piteux état, mis à part la sale de bain qui a été refaite récemment par un pote à moi. Pour l’instant, je pose leurs sacs dans la chambre d’ami, on verra bien plus tard.



Ah merde ! Soudain je prends conscience qu’il n’y a rien à manger ici. Et si moi je me serais bien contenté de grignoter quelques gâteaux secs, il en va sans doute tout autrement de mes deux compagnes. Et tout ceci m’amène également à penser qu’il va quand même falloir que je passe chez mon copain, et pas plus tard que ce soir. Je suis en affaires, disons plutôt en magouilles avec lui. Je lui dois de l’argent et c’est pas trop un rigolo sur ce plan là, je lui ai promis de faire un geste pas plus tard que ce soir. J’explique donc aux filles que je dois m’absenter, que je dois faire une course, que je ne peux pas les emmener, qu’elles n’ont qu’à faire comme chez elles et que je ne serai pas très long. À part sur ce dernier point, c’est tout à fait vrai. C’est évident que mon histoire avec mon pote risque de prendre un peu plus que cinq minutes. Il va rechigner, me dire qu’il a besoin de tunes au plus vite, qu’il faut encore que je fasse un petit effort et il faudra au moins trois verres pour le convaincre que je fais mon maximum.



Me voici donc parti, l’esprit tranquille car j’ai plutôt confiance en ces nanas et que de toute façon il n’y a pas grand chose d’intéressant à voler. Deux heures plus tard, me voici de retour. Hello les minettes. Je ne reconnais plus la maison. Un véritable raz de marée, tout est parfaitement rangé. Et les filles elles aussi sont toutes transformées. Elles se sont changées. Greta a troqué son jean et son t-shirt contre une minijupette et un boléro. Quant à Ingrid, elle est plus radieuse que jamais dans une petite robe presque transparente qui m’indique sans équivoque qu’elle est entièrement nue dessous Je vois même ses aréoles par transparence. Quel spectacle ! Ma bitte s’en dresse instantanément de joie. Elles sont toutes les deux debout en train de fignoler leurs rangements. Humm appétissantes à souhait ! Et à la télé, ces petites coquines n’avaient rien trouvé de mieux que de mettre un film porno. Elles avaient fouillé partout et étaient tombées sur un lot de cassettes XXX que j’avais achetées en solde il y a trois ou quatre ans. Des films vraiment quelconques que j’avais visionnés trois ou quatre fois en me procurant un plaisir solitaire, une succession de scènes en gros plan collées à la va vite avec les inévitables soupirs de jouissance de rigueur. Sans grand intérêt mais le fait qu’elles aient mis ces K7 dans le magnétoscope en disait long sur leurs réelles intentions et sur le déroulement de la soirée à venir, d’autant plus que leurs tenues légères me confortaient tout à fait dans cette impression.



Je me débarrasse rapidement de mes courses sur la table en reluquant discrètement les filles. C’est vrai qu’elles sont jeunes, belles, fraîches, appétissantes et que je me vois parfaitement dans un lit avec elles. Mon manège ne passe pas inaperçu et elles gloussent de plus belle dans une joyeuse connivence. J’espère au moins qu’elles ne sont pas en train de se payer de ma bobine. Quelques mots en danois et les voici parties dans un fou rire qui me met quelque peu mal à l’aise. Nul doute que je suis sur la sellette !



C’est le moment que choisit Greta pour s’approcher d’Ingrid et, la saisissant par la taille, la tourne vers elle. Les deux filles se roulent une pelle devant mes yeux ébahis. Bien sûr que j’ai déjà vu des gouines et que je ne suis pas né de la dernière pluie, mais jamais d’aussi près et en tout cas jamais dans l’intimité. Et elles ne se limitent pas à un simple baiser car je vois clairement les mains de Greta posées sur les seins d’Ingrid tandis que cette dernière glisse ses mains sous les vêtements de sa copine. Elle ont précisément choisi un moment où l’on voit sur la cassette deux femmes qui se broutent la foufoune. Et, malgré la pauvreté du scénario, ça a l’air de bougrement les exciter.



Quelques instants plus tard, elles se retrouvent affalées sur la banquette dans des poses lascives. Greta trousse la minirobe d’Ingrid dévoilant une jolie toison d’un blond éclatant. Elle pose bientôt sa bouche entre les cuisses de son amie et entreprend de lui lécher le minou. Je suis médusé, figé sur place dans une attitude de voyeur. La seule partie de mon corps qui bouge c’est mon sexe qui se met à durcir de façon éhontée, il grossit à m’en faire mal.



Les filles semblent m’avoir oublié. Ingrid aide Greta à ôter son boléro, dévoilant bientôt une magnifique poitrine aux proportions généreuses qu’elle se charge de caresser tandis que Greta continue de la brouter. Ces ébats lesbiens n’ont pas l’air d’être une nouveauté pour elles et elles semblent avoir une grande habitude de leurs corps respectifs. Je les vois s’effeuiller peu à peu devant mes yeux avides. Langoureuses caresses, baisers gourmands, elles se retrouvent bientôt entièrement nues enlacées sur le canapé, les seins dressés, les cuisses ouvertes. Tout en me rassasiant de leurs formes splendides, j’assiste à un 69 magistral où chacune se déchaîne avec passion pour donner un maximum de plaisir à sa comparse. La tension monte peu à peu, les bouches se font goulues, avides, les cuisses se font fiévreuses. Des bruits de succions de plus en plus prononcés, des soupirs de satisfaction, des spasmes. Elles se bouffent, elles se doigtent, elles se branlent, elles recherchent le nirvana. Et, en maîtresses expérimentées, elles arrivent à la jouissance ensemble, des spasmes à répétition qui font trépider leurs jolis corps gracieux.



Je n’ai pas bougé d’un pouce. Je n’ai pas osé m’avancer. J’ai besoin d’une invitation ! Je ne sais pas si je suis convié à leurs ébats. C’est vrai qu’il faut être con. Deux jolies filles dans la tenue d’Eve en train de s’envoyer en l’air et moi qui se pose la question de savoir s’il serait opportun de m’approcher d’elle pour oser quelque attouchement. Ridicule ! Après avoir bien joui et s’être reposées un instant dans les bras l’une de l’autre, les voici qui se retournent vers moi en riant, je dois avoir l’air ridicule dans cette attitude de statue. C’est Greta qui une fois de plus prend la parole :



"Come on, Ingrid love you and want to touch your big dick."



Je rougis jusqu’aux oreilles, au moins elle n’y va pas par quatre chemins. Je m’avance timidement tandis qu’elle convie Ingrid à se lever et à venir me rejoindre. La belle Ingrid, blonde de partout avec ses jolis seins dressés aux aréoles saillantes s’approche de moi. Son visage inspire la douceur et la virginité et, quelque part j’ai la nette impression que c’est son amie qui l’incite à devenir coquine. Elle vient si près de moi, ses seins frottent sur ma poitrine. Elle avance sa main et la pose sur la bosse de mon pantalon. Ma bitte est tendue à m’en faire mal. De ses doigts experts, elle parvient bientôt à la libérer et commence à la masturber de ses doigts graciles. Tout en douceur, elle parcourt lentement mon membre turgescent, s’attardant sur mes couilles. Elle me fait gonfler au maximum avant de s’agenouiller devant moi et de poser sa langue sur mon gland.



Experte Ingrid, on ne le dirait pas à la voir ainsi. Mais ses caresses sont empreintes d’une grande dextérité et d’une sensualité torride. Impossible de ne pas succomber dans ces conditions. Et pour ma part, cela fait tellement longtemps que je n’ai pas fait l’amour que je ne tarde à m’épandre sur elle après quelques allers et venues en bouche. Elle s’asperge la figure avec mon dard comme avec une lance à incendie aspirant au passage un maximum de foutre avec sa langue agile. Après toute cette tension je crie de bonheur en jouissant tellement c’est bon et tant mon invitée m’apparaît bonne suceuse. Greta qui nous a regardés ainsi jusqu’à présent, passivement affalée sur le divan, se lève à son tour et vient nous rejoindre. Elle me roule une pelle pleine de désir en caressant mes burnes. Nul doute que la soirée est loin d’être terminée.



Pourtant, étant donné que pour l’instant je suis visiblement HS, les deux filles de se rhabiller, de s’occuper des courses et de nous préparer un repas. Quand je dis se rhabiller, Ingrid ne fait que renfiler sa robe tandis que Greta ne remet que sa jupe et reste seins à l’air. Une bonne occasion pour détailler sa poitrine que je trouve pour ma part splendide. Autant Ingrid à des petits seins bien droits en cône avec des aréoles claires et des tétons pointus, autant Greta à des formes pleines, des globes lourds et des petits tétons sombres. Et c’est vrai que j’ai pour ma part une préférence pour les gros seins. Je crois qu’elle s’est d’ailleurs aperçue que mon regard a tendance à s’attarder sur sa poitrine et que c’est pour cette raison qu’elle a décidé de laisser ses lolos à l’air.



De les voir ainsi ballotter à tout bout de champ à travers la pièce ne tarde pas à me revigorer. Hum, oui, j’adore ses nichons et je n’ai qu’une hâte celle de pouvoir m’en occuper sérieusement. Greta semble lire dans mes pensées parce qu’elle finit par dire : "If you want to touch my big tits, there is no problem, you can do it, no problem". Et, joignant le geste à la parole, la voici qui pose la pile d’assiette sur la table et prend ses mamelles à pleines mains en les soupesant vicieusement, comme si elle avait peur que je n’aie pas compris son mauvais anglais. Et elle recommence à dresser le couvert. Du coup je m’approche d’elle, ce n’est pas tous les jours qu’une jolie fille bien pourvue vous fait d’aussi claires invitations. Et, passant derrière, je lui prends les seins à pleines mains pour les lui palper tandis qu’elle continue à mettre la table. C’est vrai qu’ils sont gros et bien remplis, bien chauds également. Ma queue qui frotte sur les fesses de ma jolie danoise se dresse à nouveau. Humm, comme ces gros nichons sont excitants ! Comme ils donnent envie ! Je suis tout émoustillé de pétrir ainsi d’aussi beaux morceaux. Bientôt Greta doit s’arrêter, elle n’est plus à ce qu’elle fait, je pose ma bouche sur ses nichons et commence à téter avec envie et passion. Quel délice ! Et je crois qu’elle y prend plaisir elle aussi si j’en juge par ses bouts qui deviennent tout durs. Le plaisir lui fait même cambrer les reins et creuser le ventre. Elle rejette sa tête en arrière pour mieux s’offrir à la caresse. Un sein puis l’autre, avec la main ou avec la bouche.



Ingrid essaie de nous rappeler à l’ordre, le dîner est prêt. Mais c’est trop tard, Greta est partie dans un monde et s’offre au dieu plaisir. Du coup, Ingrid laisse tomber la salade et vient nous rejoindre. Deux gros seins c’est un peu trop pour un seul homme, aussi elle décide d’en prendre un pour elle. Et nous voici tous les deux en train de téter Greta de concert, de la lécher, de l’aspirer. Ses seins sans cesse plus durs, toujours plus gros. Elle n’en peu plus, parcourue de frissons qui lui traversent tout le corps. Elle prend visiblement un plaisir fou à nos caresses qui la conduisent bientôt au bord de la jouissance. Nous redoublons d’attentions à son égard tant et si bien qu’elle finit par éclater d’un orgasme violent quoique entièrement mammaire… Je ne croyais pas pour ma part que c’était possible de faire jouir une femme rien qu’en lui tripotant les nichons. Mais quel pied de la voir ainsi debout se tordre dans tous les sens en se mordant les lèvres jusqu’au sang.



Cette fois-ci nous pouvons enfin passer. Nous attendons simplement quelques instants que Greta ne reprenne ses esprits car elle a les yeux révulsés et l’esprit plein d’étoile. Elle s’assied à table et Ingrid s’occupe de tout, une véritable petite femme de maison la petite blondinette. Et en bon pacha je la laisse faire. Le repas est en plus délicieux et je ne regrette pas d’avoir pris les étudiantes en stop, bien au contraire…



Le repas à peine terminé et Greta s’éclipse pour prendre une douche, encore toute troublée de cette jouissance mammaire. Nous faisons une vaisselle rapide avec Ingrid, ce qui me permet de constater à quel point elle est chaude. Nos corps n’arrêtent pas de se frôler dans un curieux ballet, à chaque fois que je viens chercher quelque chose à essuyer. Elle est bougrement excitante cette petite garce. Finalement, n’y tenant plus nous terminons cette vaisselle en nous roulant une pelle, nos langues passionnément enlacées devant l’évier. Ce n’est pas très romantique mais le désir est là bien pressant. C’est ainsi que nous trouve Greta qui vient de sortir de la douche, les cheveux encore mouillés, à peine enroulée dans une petite serviette. Elle nous surprend la main dans le sac et semble dire "Alors les petits coquins, vous en profitez quand je suis pas là !". Mais c’est là une interprétation toute personnelle de ses propos auxquels je ne comprends évidemment rien puisqu’elle a parlé en danois et que ce langage reste hermétique pour moi.



C’est au tour d’Ingrid d’aller sous la douche, honneur aux dames, galanterie oblige. Je me retrouve seul avec Greta et nous en profitons pour ranger un peu la chambre et pour faire le lit. Il coule désormais de source que nous allons dormir tous les trois dans ma chambre. En tout cas dans la tête de Greta c’est ainsi et elle ne voit pas du tout la nécessité de préparer un lit supplémentaire. Changer les draps n’est pas du luxe, ils tiennent presque debout tant ils sont enduits de foutre sec. J’ai honte de moi mais ça n’a pas l’air de choquer Greta, elle a du en voir bien d’autres. Ingrid s’éternise sous la douche. Greta me confie à demi-mots que c’est une vraie manique de la propreté. Du coup nous n’avons plus rien à faire, nous sommes assis tous les deux sur le lit, Greta juste recouverte d’une petite serviette qui ne demande qu’à tomber. Il suffit pour cela de tirer sur le nœud. Comme ceci, voilà tout vient… L’instant d’après elle est complètement nue allongée sur le lit fraîchement refait et ma tête entre ses cuisses qui ne demandent que ça. Malgré la douche, je sens déjà sa liqueur, preuve que je ne lui suis pas totalement indifférent. Non pas du tout même, elle est pleine de mouille, son triangle d’or en est tout luisant. J’écarte ses chairs pour admirer un beau sexe rouge appétissant à souhait. Hum divine source où me désaltérer. Et cette délicieuse liqueur me sert un peu de pousse-café. Quelle odeur, quel parfum, quel délice ! Ces effluves me montent à la tête et revigorent mon membre qui s’était endormi. Hum oui tout ce jus divin, je vais tout aspirer jusqu’à ce que la belle ne fonde dans ma bouche et ne libère toute sa cyprine…



Sauf que voici l’empêcheuse de tourner en rond qui revient en chantonnant et qu’elle ne nous perturbe dans notre élan ! Après tout elle lui rend la monnaie de sa pièce, tout à l’heure nous aussi avions été dérangés dans nos caresses.



Maintenant c’est mon tour d’aller me laver et très sincèrement je dois dire que ce n’est pas vraiment mon truc. Enfin, devant les filles, je ne vais quand même pas passer pour un goret ! Et puis une douche n’a jamais fait de mal à personne. Et même, pour une fois j’y prends goût. Je me demande ce que sont en train de faire ces deux mignonnes. Sans doute dans les bras l’une de l’autre en train de se gouiner comme des folles. J’en suis presque jaloux. Je me demande laquelle des deux je préfère. Sans doute Greta à cause de son opulente poitrine mais Ingrid est beaucoup plus mignonne, beaucoup plus fine et sensuelle. Ça va être la première fois que je vais passer la nuit avec deux filles, je me demande vraiment si je vais assurer. Inutile de se poser trop de questions, c’est le meilleur moyen de tout louper.



Me voici de retour dans la chambre. Comme je l’avais deviner, mes jolies visiteuses sont déjà nues sur le lit en train de se caresser. Des caresses déjà très prononcées semble-t-il puisque l’une d’entre elle est en train de manger l’autre. Deviner laquelle ! Ingrid est à quatre pattes sur le lit, la tête entre les cuisses de son amie déjà au bord de la jouissance. Je m’approche par derrière et la vue de son joli petit cul qui dodeline devant mes yeux me procure une érection immédiate. Je lève sa vulve par derrière pour m’apercevoir qu’elle est toute humide de désir et fin prête à être prise par mon dard. D’ailleurs lorsque celui ci se présente devant sa fente, il est littéralement aspiré d’un coup de rein. Ma bitte glisse aux tréfonds de sa grotte et butte sauvagement contre sa matrice. Quelques coups de reins de sa part me montre clairement qu’elle ne demande qu’à être usinée avec force. Elle imprime le rythme avec force et détermination. Inutile de me le demander deux fois car je ne demande que ça de ramoner ce joli petit cul bien offert. Bien blotti dans sa chatte chaleureuse, j’alterne les mouvements pour faire durer le plaisir tandis qu’elle continue à aspirer Greta. D’ailleurs elle juge celle-ci fin prête à subir à son tour mes assauts car elle se libère de mon dard et m’invite à pénétrer sa copine.



Greta a la chatte grande ouverte, toute trempée d’un mélange de mouille et de salive, les cuisses largement ouvertes, offertes, prêtes à m’accueillir. Mon dard encore luisant de la mouille de sa copine s’enfonce sans peine dans son trou généreux. Et elle de m’agripper par les fesses pour mieux m’attirer en elle. Elle me guide et m’invite à la limer en profondeur avec de lents coups de bitte tout en ampleur. Puis nous changeons de position, je m’allonge sur le lit et elle vient s’empaler sur moi. Je vois ses gros seins aller et venir tandis qu’elle glisse le long de ma queue. Ingrid, quant à elle lui lèche à nouveau les seins tout en pétrissant ses fesses. Les filles sont déchaînées mais elle prennent bien soin de ne pas m’emmener trop loin pour me faire durer plus longtemps. Parfois elles s’arrêtent, changent de position, c’est le tour d’Ingrid de venir s’emmancher sur mon braquemart, puis le tour de Greta de se faire mettre en levrette. Elles ont déjà joui au moins une fois chacune et moi toujours pas. Avec une grande dextérité et un grand savoir faire, elles s’arrange toujours pour que je n’aille pas trop loin et pour m’éviter de cracher trop vite tout mon jus. À ce rythme calculé, avec ces instants de répit, je crois que je pourrais même durer des heures. Je me surprends moi-même par mes performances.



Finalement, alors qu’elles sont toutes les deux bien mures et particulièrement excitées, elles se mettent toutes les deux côte à côte à quatre pattes sur lit et se roulent des pelles sauvages en m’invitant à les défoncer à tour de rôle. Quelques coups dans le con d’Ingrid suivi de quelques coups dans le con de Greta et puis l’on recommence. C’est tellement excitant que cette fois je crois bien que je vais partir. Oui elles sont trop bonnes ces salopes. Dommage qu’il y a l’obstacle de la langue et que l’on ne comprend pas tout. Mais l’obstacle de la langue à ses charmes également. Elles ne comprennent pas un traître mot de ce que je peux leur dire. Alors j’y vais de bon cœur, les traitant de salopes, de pouffiasses, de vicelardes, de cochonnes, d’obsédées et de tout ce qui peut me passer par la tête tout en continuant à les perforer sans retenue. Elles aiment ça ces chiennes, Dieu, qu’elles sont bonnes ! Je vais les engrosser ces catins. Je sens la sève qui me monte dans la pine. Hum ! Je vais tout cracher.



Au dernier moment, elles se retournent toutes les deux de concert et viennent se faire asperger le visage par mon jet de foutre épais. Je crache la purée, elles en reçoivent plein partout avant de me nettoyer consciencieusement le dard avec leurs langues avides. Puis ces vicieuses se lèchent mutuellement leurs figures gluante de sperme avant de se rouler une pelle pleine de foutre. Quel pied mes amis de les voir ainsi continuer à s’ébattre. Elles n’en ont pas assez. Je me repose un peu en les regardant se gouiner comme des folles. Elles se broutent la touffe à pleine langue et, à ce rythme effréné, elles ne tardent pas à jouir à nouveau, presque en même temps, l’une dans l’autre avant de retomber pantelantes dans mes bras.



Après la frénésie, le repos des guerriers. Nous sommes repus d’amour, tendrement enlacés tous les trois dans le lit. Et moi le pacha au milieu, une fille de chaque côté. Nous nous endormons bientôt pour un sommeil réparateur avant de nous réveiller en plein cœur de la nuit avec des envies folles plein la tête. Inutile de préciser que nous voici repartis pour un tour. Nouveaux ébats, nouvelles folies, nouveaux corps mélangés. Et cette fois je vais pouvoir goûter au petit trou de Greta (Pas celui d’Ingrid car celle-ci n’aime pas ça paraît-il.) Alors, après avoir bien baisé Ingrid pendant qu’elle préparait de sa bouche et de ses doigts l’anus de sa copine (sans oublier pour autant sa chatte baveuse et son bouton d’amour), je me décide à enculer Greta. Ou plutôt Greta m’invite à l’enculer car comme toujours c’est elle qui prend les initiatives et apparemment elle a très envie aussi de ce côté. C’est assez rare de voir une femme y mettre un tel enthousiasme, assez rare et forcément on ne peut plus excitant. Alors mon vit se fait plus raide que jamais pour trouer le petit cul de la belle qui à l’air d’apprécier d’avoir ce gros manche dans les intestins. Elle imprime la cadence, elle accélère, encore, encore, très excitée, très excitante, elle a apparemment envie que je lui inonde les intestins. Ingrid de son côté n’est pas inactive, elle a glissé sa tête entre les cuisses de son amie et la bouffe avec fougue, au premières loges pour voir mon gros dard enculer sa copine. Nous sommes tous les trois tellement excités qu’il ne nous faut pas longtemps à Greta et à moi pour éclater dans un orgasme incontrôlable. Et moi de me répandre sans retenue dans ses boyaux et elle de hurler sa jouissance comme une bête…



Seule la pauvre Ingrid reste sur sa fin. Mais une fois que nous avons repris nos esprits nous décidons de réparer cette injustice et effectuant sur elle un double cunnilingus à la fois vaginal et anal. Elle ne peut guère résister à toutes ces langues et ces doigts. Le plaisir la foudroie et la laisse sur place, pantelante, vidée de toute jouissance et les draps tout trempés de son jus d’amour qui s’écoule inlassablement entre ses cuisses. Rien de tel pour retrouver le sommeil et pour continuer notre nuit tendrement enlacés.



Au petit matin, re belote, une nouvelle partie de jambes en l’air avant de nous quitter. Car, c’était trop beau, il faut évidemment que les filles s’en aillent, qu’elles reprennent la route, que je les ramène à l’entrée de l’autoroute, tristes adieux… Mais, impératifs obligent, elles devaient être en Avignon au plus tard dans l’après midi. Elles me laisse là seul, rassasié, les couilles vidées mais triste à mourir de les voir partir… Et je ne peux que remarquer un début de larme aux coins des yeux d’Ingrid lorsque nous nous quittons. Greta, plus forte, évidemment n’en montre rien mais n’est-ce pas là qu’une façade, un genre qu’elle se donne.



En tout cas tout n’est pas perdu car elles ont promis de repasser par là au retour. Pour l’instant je n’ai pas de nouvelles (Je n’ai pas le téléphone non plus !), mais cela fait déjà plus d’une semaine et je sais que le retour c’est pour bientôt…



Attendez-vous donc à ce qu’il y ait une suite à cette aventure… Pour ma part, je l’espère de toutes mes forces…