Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 00299Fiche technique17350 caractères17350
Temps de lecture estimé : 11 mn
15/04/00
corrigé 03/08/07
Résumé:  Dans cette nouvelle aventure, Sylvie emmène Patricia chez elle, et, par jeu, lui bande les yeux et l'attache sur le lit. Elle connaîtra ainsi quelques surprises.
Critères:  fffh fbi extracon freresoeur voir exhib fetiche intermast fellation cunnilingu fdanus attache yeuxbandés -hfff -fbi
Auteur : Sliver  (Paty & Phil)      

Série : Paty & Phil

Chapitre 06 / 06
Paty & Phil (Chapitre 6: Retrouvailles)


Paty et Phil



Chapitre 6 : Retrouvailles



L’hiver touchait à sa fin et, comme souvent ces quelques dernières années, Philippe s’était absenté une semaine pour son travail. Le hasard faisant parfois très bien les choses, c’est pendant cette période que Sylvie me téléphona et m’invita à passer une soirée en sa compagnie à Bruxelles. Plus de neuf mois avaient passé depuis notre dernière rencontre au sauna. Deux jours plus tard, par une soirée automnale, nous nous retrouvons place Debrouckère, dans une taverne bien connue. Un rapide baiser, discret, et une joie intense de se retrouver après tout ce temps. Sylvie me proposa une séance de ciné pour débuter la soirée, ce qui nous permettrait de papoter un peu et de discuter de la suite de la soirée. C’était le début d’une soirée très particulière. Je m’y vois encore comme si j’y étais…


La grande salle est peu remplie car nous sommes en semaine et nous pouvons nous glisser dans les derniers rangs afin de trouver un peu d’intimité. Juste avant que l’obscurité ne tombe, un jeune couple s’assied à notre gauche mais une rangée plus bas, à part eux, nous sommes seules dans notre coin. La main de Sylvie cherche la mienne et la porte à ses lèvres pour y déposer un baiser.



Le rappel de cette aventure, me donne des frissons qui descendent le long de mon dos et vont faire frétiller les lèvres de mon minou.



D’abord un peu hésitante car peu coutumière de cette pratique, je cède néanmoins à sa requête car j’ai envie de lui faire plaisir. Discrètement, car le couple n’est quand même pas très loin, je remonte ma jupe et, me soulevant légèrement, je fais glisser lentement ma culotte sur mes cuisses. Au moment où elle arrive aux genoux, je m’arrête, car la jeune fille vient de tourner la tête dans ma direction. Mes mouvements ont probablement attiré son attention. A-t-elle vu quelque chose ? Non, probablement pas car elle reporte son attention sur le film. Je pousse mon slip et il tombe sur mes chevilles. Un pied, puis l’autre et discrètement, je le pousse du pied derrière le siège devant moi. La peur d’être vue m’a autant excitée que l’acte lui-même et je sens mon miel suinter dans ma chatte. La main de Sylvie se pose sur mon genou et remonte sous ma jupe pour atteindre mon minou. Son doigt se fraye un passage entre mes lèvres et glisse sur mon clitoris, tandis qu’instinctivement j’écarte les cuisses pour lui faciliter la tâche.



Sans attendre ma réponse, elle insinue son doigt odorant entre mes lèvres, me faisant goûter le jus qui le nappe. N’y tenant plus, je prends sa main, et la glisse entre mes cuisses.



Ses doigts papillonnent sur ma chatte, tantôt s’enfoncent dans mon ventre, tantôt harcèlent mon clitoris. Un éclair jaillit dans mes reins, mon corps se tend, mes cuisses se referment dans un spasme et je dois mordre ma main pour étouffer un cri. Lorsque je reprends conscience, c’est pour constater que le jeune couple n’a probablement rien perdu de ce qui s’est passé, car ils nous regardent tous les deux en souriant.



C’est la première fois qu’elle m’emmène chez elle. Son appartement n’est pas très loin et, à peine la porte fermée, elle se colle à moi, joint ses lèvres aux miennes et sa langue s’insinue entre mes lèvres pour s’enrouler à la mienne. Tandis que nos salives se mêlent, une main fébrile se glisse sous ma jupe pour se poser entre mes cuisses encore toutes mouillées de mon plaisir. Deux doigts s’enfoncent dans ma grotte pendant que son autre main s’attaque à mes seins dont les tétons sont durs et turgescents. Pour ma part, je ne reste pas inactive et c’est sans surprise que mes doigts se posent sur son slip trempé par le miel qui s’écoule de sa minette. Nous sommes haletantes et dans un état d’excitation qui laisse présager une nuit de folie.



Me prenant la main, elle me conduit à sa chambre puis se tourne vers moi et déboutonne mon chemisier tout en déposant de petits bisous sur mes lèvres. Passant derrière moi, elle défait l’agrafe de mon soutien et glisse ses mains sous les bonnets, emprisonnant mes seins. Je me cambre dans ses bras, tournant la tête, cherchant ses lèvres tout en tentant de glisser une main sous sa jupe. Mais elle se dérobe et défait ma jupe qui tombe à mes pieds. Je suis nue devant elle. Mes seins se tendent vers elle, avides de ses caresses. Sylvie prend un foulard dans sa table de nuit et me bande les yeux avant de m’allonger sur le lit.



Dans le noir, je sens des foulards se nouer à mes poignets puis me tirer les bras vers le sommet du lit. Les mains de Sylvie s’emparent de mes chevilles qui subissent le même sort. Je suis écartelée sur le lit, nue, impudique, offerte à son regard et à son envie. Frémissante de désir, j’attends. Ses mains frôlent mon corps, glissent sur mes seins, mon ventre, se séparent en atteignant mon mont de Vénus et suivent mes cuisses pour échouer sur mes pieds avant de rompre le contact. Plus rien ne bouge, pas le moindre bruit. Où est-elle ? Je sens mes tétons se durcir. Cette attente dans le noir m’excite et une douce moiteur envahit mon sexe. Les jambes écartelées, je sens le miel suinter entre mes lèvres intimes qui, du coup, s’ouvrent impudiquement.



Pas de réponse.


Soudain, je sens son souffle chaud sur la plante de mes pieds. Sa bouche emprisonne mon petit orteil et le suce, tout en faisant courir sa langue sur toute sa longueur. Sylvie passe ensuite à l’autre et me suce chaque orteil un à un, longuement, savamment. Je suis prise entre le chatouillement et l’excitation, mais c’est finalement cette dernière qui l’emporte. C’est terriblement bon de sentir cette bouche que je connais si bien me lécher les orteils les uns après les autres. Sa langue délaisse finalement mes orteils englués de salive pour remonter le long de mon mollet, puis de ma cuisse, léchant, virevoltant sur ma peau. Tout mon corps appelle ses caresses et c’est avec soulagement que je sens son souffle chaud qui fait vibrer les pétales de ma fleur. Ses lèvres se posent délicatement sur le capuchon qui emprisonne mon bouton et y dépose un baiser. Lentement, avec de petits baisers discrets, ma tendre amie parcourt le pourtour de mes lèvres intimes. Mon ventre se tortille d’impatience et déverse un ruisseau de miel qui coule le long de ma raie, humidifiant mon œillet avant d’aller imbiber les draps.



Son souffle chaud se rapproche et sa langue vient cueillir les gouttes de nectar qui coulent d’entre mes lèvres, commençant un ballet qui m’entraîne implacablement vers la jouissance. Sylvie lape le jus, tantôt enfonçant sa langue agile vers les profondeurs de ma grotte, tantôt agaçant mon bouton dans son écrin. Mon ventre est en feu et l’orgasme monte en moi. Mes fesses se soulèvent, se lançant au-devant de cette bouche si merveilleuse, mais juste avant que n’éclate mon plaisir, elle m’abandonne, me laissant insatisfaite au bord de l’orgasme.



Je ne l’entends plus et l’attente devient torture. Les minutes passent et le feu qui brûlait en moi s’éteint lentement. Je m’inquiète du silence et je m’apprête à crier quand soudain j’entends un craquement sur ma droite. Sa bouche se pose sur mon sein droit, sa langue agace mon téton avant que ses dents ne le mordillent. Tout à coup, je pousse un cri de surprise sentant une autre bouche engloutir le téton de mon sein gauche.



Quelque chose se glisse entre mes cuisses et se pose sur mon buisson, juste entre mes lèvres. La pression s’accentue et un sexe d’homme pénètre ma grotte inondée de mon miel., Lentement, la queue inconnue va-et-vient dans mon ventre. Que faire, que dirait Philippe ? Sylvie, il est au courant. Mais un homme. Déjà que l’autre fois, pour le tatouage ! Tans pis, de toute façon, je ne peux rien faire et c’est si bon. Tout à coup, la queue quitte la chaleur de mon ventre pour se poser sur ma bouche. Mes lèvres s’écartent docilement pour l’accueillir et ma langue virevolte sur cette bite chaude encore napée de mon jus.



Une bouche quitte mon sein gauche et descend à petits coups de langue vers l’antre de mes cuisses pour s’enrouler autour de mon clitoris. Je voudrais crier, hurler mon plaisir mais le pieu est toujours enfoncé entre mes lèvres. Une autre bouche glisse jusqu’à mon buisson. Mon jus coule de ma chatte comme l’eau d’une source, inondant les deux langues qui dansent sur mon sexe.



Après quelques secondes d’adaptation, quelle n’est pas ma surprise de reconnaître le jeune couple du cinéma.



Sa tête replonge entre mes cuisses et sa langue s’enfonce dans ma chatte dégoulinante. L’idée de faire l’amour à quatre avec Sylvie et son frère me remplit d’excitation. Marc est beau, comme Sylvie, musclé et bronzé à souhait… et surtout bien monté. Nathalie, blonde, avec des seins menus mais fermes, se glisse au-dessus de moi et vient offrir sa jolie petite chatte blonde à ma langue pendant que Marc termine de défaire les liens qui entravent mes chevilles. Des mains, j’écarte les lèvres roses de la jeune fille pour mieux laper son nectar onctueux qui perle sur ses lèvres juvéniles et délicatement ourlées. Je relève les jambes, maintenant libres, pour que Sylvie puisse mieux me sucer. Nathalie se pince les tétons entre ses doigts et s’agite sur ma bouche, m’offrant sans restriction son jus qui me dégouline dans la gorge.



De mon côté, il est vrai que la situation actuelle m’excite également au plus haut point. Pendant que ma langue lape son miel, j’enfonce un doigt dans sa chatte et l’y agite quelques instants. Mes mains écartent ses fesses, mon doigt nappé de son jus humecte son œillet brun avant de s’y introduire sans rencontrer la moindre résistance.



En effet, le spectacle incestueux ainsi que l’action combinée de ma langue et de mon doigt la font mouiller intensément tant et si bien que j’ai peine à boire tout le jus qu’elle sécrète.



Et elle s’abat de plaisir à mes côtés. À ce moment, retrouvant la vue, je découvre mon amie, la tête coincée entre mes cuisses, les fesses remontées, se faisant pilonner par son frère dont les mains sont accrochées à ses hanches. Relevant son visage, sur lequel se lit la jouissance, elle dit à Marc :



Elle lui cède la place et Marc s’enfonce d’un trait dans ma chatte en feu. Les deux femmes ne restent pas inactives et leurs lèvres s’attaquent de nouveau à mes seins, tantôt suçant, tantôt mordant. Leurs mains, enfouies entre leurs cuisses s’agitent au plus profond de leurs grottes. Tour à tour, elles portent leurs mains, aux doigts nappés de leur mouille, à ma bouche et me les donnent à sucer. Marc accélère son mouvement et s’enfonce dans mon minou à grands coups de boutoirs.



Trop excitée pour refuser, j’entrouvre les lèvres pour accueillir sa bite toute humide de mon suc. Marc baise ma bouche comme il baisait ma chatte et sa queue glisse rapidement entre mes lèvres. Sylvie et Nathalie se sont approchées de part et d’autre et leurs langues agacent les coins de ma bouche et glissent le long de sa pine. Le contact de mes lèvres et de leurs langues déclenche son orgasme et il déverse son foutre en longs jets dans ma bouche. Mais le mouvement de son bassin le fait glisser et une partie de sa semence se répand sur mes lèvres, dégoulinant sur mon menton. Tandis que Nathalie lèche le jus épais et blanchâtre qui me barbouille le visage, Sylvie repousse gentiment son frère avant d’engloutir sa queue pour en sucer les dernières gouttes.


Je me rappelle que lorsque j’ai quitté Sylvie, bien après le départ de Marc et Nathalie, j’avais, au fond de moi, un sentiment très confus, car tout allait un peu trop vite et je me sentais dépassée par les événements. En y repensant aujourd’hui, je me dis que même si je dois à Sylvie de m’avoir révélé ma bisexualité, sa relation incestueuse me met, après coup, mal à l’aise. Je suis à nouveau, comme avec l’uro, confrontée à des tabous et à des préjugés bien ancrés au fond de moi. Et pourtant, je sais aussi qu’il est si bon de les transgresser.



Paty