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n° 00300Fiche technique9045 caractères9045
Temps de lecture estimé : 6 mn
17/04/00
corrigé 31/10/07
Résumé:  Evelyne, la comptable de Chris, vient régulièrement ajuster les comptes. Chris fait tomber son stylo et peut admirer les cuisses d'Evelyne qui, acceptant le jeu, en profite pour décroiser et recroiser ses jambes.
Critères:  fh collègues lunettes travail intermast fellation cunnilingu
Auteur : Chris            Envoi mini-message

Série : Evelyne, experte comptable

Chapitre 01 / 04
Evelyne, experte comptable (1)

Voilà quelque temps que je connais Evelyne, ma comptable, qui vient périodiquement arrêter et vérifier les comptes de mon entreprise. Elle a remplacé mon comptable antérieur et je n’ai rien perdu au change.


Evelyne est divorcée, brune, 40 ans ou un peu plus, cheveux mi-longs, de charmantes lunettes sans monture, des yeux noisette, de jolies formes, des rondeurs bien placées que l’on imagine sous son tailleur de femme d’affaires BCBG. Mais aussi très réservée et sérieuse, du moins je le croyais.


En cette fin d’après midi, les employés partis, nous avancions sur nos dossiers, concentrés et attentifs, quand mon stylo roula sur le bois du bureau et tomba sur la moquette.


Je me penchais sous la table pour le reprendre et je découvris alors un spectacle particulièrement intéressant et plus qu’excitant : les jolies cuisses croisées d’Evelyne, sa jupe de tailleur relevée et laissant voir non seulement ses jolis bas, mais aussi, traversant la peau nue de sa cuisse une jarretelle noire et rouge. Comble de la situation, elle en profita pour décroiser et recroiser ses jambes, de telle sorte que je vis nettement le haut de ses cuisses, son porte-jarretelles et, un instant furtif, la dentelle noire et ajourée d’une culotte qui me sembla minuscule.


Je restais ainsi contemplant les jambes gainées d’Evelyne, quelques secondes de plus que nécessaire au simple ramassage de mon stylo.


En me relevant, je vis qu’Evelyne souriait d’un regard en coin, parfaitement complice.



Je me penchais de nouveau pour mater les cuisses de ma surprenante comptable. Elle releva la jambe du haut pour la décroiser très lentement, de telle sorte que je pus observer son entrecuisse, la lisière à large motif des bas et les jarretelles lui barrant la peau. Les yeux exorbités, je m’excitais de regarder sa culotte tendue sur son pubis. Je vis sa main se poser sur sa cuisse et de ses ongles longs jouer avec une jarretelle en touchant la dentelle de son string.


Je me laissais alors glisser à terre et, à quatre pattes, j’avançais audacieusement sous le bureau vers la fourche de ses jambes maintenant ouvertes. Je posais la main sur son genou, faisant crisser le bas et lui caressais doucement la cuisse. Je voyais et entendais son ongle verni de rouge gratter légèrement sa culotte, de manière très érotique. La fragrance de son entrecuisse m’excitait de plus en plus.


Progressant encore, je posais mes lèvres sur sa cuisse, l’embrassant par-dessus son bas, puis l’autre jambe, de la même façon. Je ne me posais plus de question, elle me laissait faire. Je continuais à remonter, léchant ses bas, caressant ses mollets, ses genoux.


Elle avançait son bassin vers moi, et soudain ma bouche atteignit sa motte, se posa sur la dentelle du string. Je humais son délicieux parfum et sentais son désir. Je tournais la tête pour embrasser et lécher la peau nue de ses cuisses en haut des bas. C’est elle qui écarta de son doigt sa culotte pour me faire découvrir une jolie chatte aux lèvres épilées, magnifique, craquante et humide.


Je plaquais dessus ma bouche et mes lèvres gourmandes. J’ouvrais son huître de ma langue et cherchais le clitoris dur, excité, émergeant de sa gangue. Je commençais à lécher ma comptable et lui sucer son bouton. J’avalais délicieusement le jus de son excitation.



Elle soupirait gémissait, écartant ses cuisses, la jupe de son tailleur relevée. Elle posait maintenant un pied sur le bureau pour être encore plus écartée, plus disponible, plus impudique, offrant sa chatte trempée de désir.


D’un coup d’œil, je la vis dégrafer son chemisier, se toucher les seins d’une main, l’autre se posant sur ma tête.



Sans plus d’hésitation, je lui enfonçais mon index dans la chatte et commençais à coulisser tout en mangeant son abricot, aspirant son bouton bandé. Avec mon majeur, je lui caressais la raie, excitant sa rosette frémissante, ma bouche plaquée sur son minou. Soudain, je la sentis, puis la vis se crisper, se tendre. Une longue plainte, un feulement s’ensuivit. Evelyne, ma comptable, jouissait sous ma langue, avec deux doigts dans sa chatte.


Elle reprenait ses esprits, je me relevais. Je vis son regard viser la bosse de ma braguette. J’étais tendu à craquer devant elle, impudiquement offerte, cuisses écartées, exhibant ses bas avec ses jarretelles, ses seins sortis des bonnets de son soutien-gorge, qu’elle continuait d’exciter d’une main.



Je lui souriais.



Elle la sortit rapidement de mon slip, se pencha dessus et de sa langue commençant à me lécher le gland, prenant bien la hampe dans sa main.



Sur ce, elle l’avala jusqu’à la gorge et commença à bien me la sucer, alternant les coups de langue, la branlant avec sa main, l’enfonçant à fond dans sa gorge, pour la faire ressortir toute luisante de salive.



Cet encouragement l’amena à accélérer sa fellation experte. Je sentais que je n’allais pas tarder à exploser, excité comme j’étais par l’érotisme torride de cet intermède sexuel impromptu.



Je m’approche, viens entre ses cuisses. Elle glisse ma queue à l’intérieur de son bas, sous la jarretelle et me branle ainsi, soupesant et pressant mes couilles de l’autre main.


Je lui caresse ses seins et les pelote en même temps, me penche pour les lécher, les sucer, sentant les pointes dures entre mes lèvres et, soudain, très excité par la situation, sentant ma queue glisser entre sa peau chaude et le voile du bas qui la serre, j’explose et inonde sa cuisse de sperme. J’ai l’impression qu’elle jouit de nouveau, de manière moins spectaculaire, mais diffuse et profonde. Les yeux chavirés par le plaisir, elle presse ma bite et mes couilles pour en extirper tout le suc.


Je me retire de son bas, regardant le foutre blanc étalé sur sa cuisse souillant son joli bas noir.


Elle me sourit.



C’est ainsi que nous terminâmes notre première séance sexuelle, avant de reprendre notre travail.


Elle m’indiqua plus tard, qu’elle avait eu une folle envie de se faire baiser et même enculer, elle adorait ça, mais pour elle aussi c’était imprévu et elle n’avait pas de préservatif à proposer. Ces propos tenus dans sa bouche de femme d’affaires bcbg mais coquine me firent rebander immédiatement, mais ce soir-là nous en restâmes à cette première expérience, tout en nous permettant quelques gestes coquins, moi sous sa jupe ou dans son décolleté, et elle sur ma braguette bien remplie.



À suivre