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n° 00320Fiche technique22385 caractères22385
Temps de lecture estimé : 14 mn
24/04/00
corrigé 12/11/10
Résumé:  Emmanuelle regardait tranquillement un film porno en se masturbant quand surgissent deux cambrioleurs. Elle leur fera retirer leur pantalon.
Critères:  fhh inconnu bizarre photofilm fmast fellation anulingus pénétratio sandwich fsodo
Auteur : A Huri  (A. Huri, 26 ans étudiant)
Emmanuelle et les cambrioleurs

Notre maison de Sologne est bien froide quand j’y pénètre en ce premier samedi de juillet. Mes parents, qui ne doivent arriver que le lendemain, devant rendre visite à une vieille tante chez qui je n’ai aucune envie de passer la nuit, ont accepté que je les précède, à contrecœur, en raison de l’isolement de la maison, qui inquiète beaucoup ma mère. En dépit de la saison, le temps n’est en outre guère amène, mais après que j’ai allumé un feu dans la cheminée, la maison redevient accueillante, et presque douillette. Je peux alors me déshabiller et, après ma douche, vêtue d’une courte chemise diaphane, je m’installe sur le rocking-chair, auprès de l’âtre réconfortant.


Je place dans le magnétoscope du salon une cassette vidéo porno, parmi les nombreuses que possèdent mes parents, et qu’ils dissimulent maladroitement dans un meuble de leur chambre.


Depuis plusieurs heures, un désir lancinant de me masturber me tenaille, plus précisément depuis que j’ai croisé dans le train le regard d’un mauvais garçon mal rasé, un voyou d’une vingtaine d’années, mais très craquant, qui m’a fait mouiller abondamment.


Ce soir, devant la cheminée, il me suffit de repenser à ce mec pour bander. Les pointes de mes petits seins, que j’agace de mes doigts humectés de salive, sont toutes dures, exactement comme mon clitoris. À vrai dire, voilà bien longtemps que je ne me suis pas branlée. Mais, tout comme la bicyclette, cette pratique ne s’oublie pas et, après quelques effleurements maladroits de mes tendres nymphes, mes doigts retrouvent leur rythme d’antan, et je parviens à faire mouiller ma jolie chatte.


Depuis que j’ai commencé à faire l’amour, d’abord avec ma copine Karine, il y a deux étés, dans cette même maison, à l’âge de quinze ans, puis avec plusieurs mecs de passage, j’avais négligé cette pratique, considérant, bien à tort, qu’une femme comblée n’avait pas besoin d’y recourir. Au contraire, comme je m’en rends compte, la masturbation, outre le plaisir physique qu’elle me procure, fait resurgir à ma mémoire des images bien troublantes.


Tandis que mon doigt glisse avec assurance entre mes lèvres bien souples et brûlantes, je pense à Marc, mon dernier copain, que j’ai quitté quelques jours auparavant en d’assez mauvais termes, mais que j’espère néanmoins retrouver bien vite.


Marc, qui sait si bien lécher mon adorable petit con, comme il l’appelle… Marc, dont j’aime tant la saveur de la splendide queue… Marc, qui a si bien su, il y a quelques semaines, dépuceler mon minuscule anus…


À ce souvenir, mon doigt glisse imperceptiblement de ma chatte vers mon petit trou. Placée sur le côté, blottie entre les bras confortables du fauteuil, j’écarte mes fesses de mon autre main. Après m’être un instant caressé le périnée, j’atteins l’orifice froncé. Son humidité me surprend.


Bien avant que je ne l’autorise à me pénétrer par cette voie, Marc m’a fait découvrir l’extrême sensibilité, que je ne soupçonnais pas auparavant, de cette partie de mon anatomie. L’esprit envahi par l’image de mon amant, je me branle maintenant le cul. D’abord, comme s’il était la langue de Marc, mon index explore consciencieusement la minuscule pastille.


À l’écran, une superbe fille hurle son plaisir d’offrir son arrière-train à un type incroyablement membré. Subjuguée par ce spectacle, je glisse, presque sans m’en rendre compte, sur la moquette soyeuse qui recouvre le sol du salon et me positionne à quatre pattes.


Ainsi, les reins cambrés, mon fessier s’épanouit de lui-même et je peux m’introduire aisément un doigt. Mon excitation monte encore d’un cran quand je me rends compte que le couple de la télévision a reçu le renfort d’un second homme. Je retiens mon souffle lorsque la fille, qui chevauche son premier partenaire, s’apprête à recevoir l’autre dans son anus. J’ai ressorti mon index et au moment précis où la jolie actrice se fait enculer, je m’enfile moi-même deux doigts.


Je n’ignore évidemment pas l’existence de la perversion à laquelle j’assiste à l’écran. Karine, ma petite gouine chérie, m’a si souvent raconté les cochonneries qu’elle pratique avec ses deux cousins que je ne suis pas vraiment surprise du spectacle auquel j’assiste.


Très vite, sous l’effet du vigoureux massage que j’inflige à mon cul, mes gémissements rejoignent en intensité ceux qui me parviennent par le haut-parleur de la télévision, et je jouis quand la salope reçoit sur son visage le flux torrentiel du foutre mêlé des deux types.


Évidemment épuisée par toutes ces émotions, je plonge bientôt dans un sommeil profond, peuplé, comme il se doit, de rêves sensuels. Mais mon repos est de courte durée : un bruit violent, comme les vitres d’une fenêtre que l’on brise, me réveille en sursaut.


Toute tremblante - je n’oublie pas que je suis toute seule dans cette immense maison -, je me lève et me dirige vers l’escalier qui mène au rez-de-chaussée.


Mon oreille ne m’a pas trompée : au pied d’une fenêtre de la salle de séjour, j’aperçois en effet du verre brisé ; il est hors de doute qu’une ou plusieurs personnes ont pénétré dans la maison, qu’ils pensaient probablement inoccupée. Que dois-je faire ?


Il me vient alors à l’esprit que mon père a dissimulé dans un tiroir du buffet de la pièce où je me trouve une arme, un pistolet, je crois, en prévision d’une visite nocturne de ce type. En quelques secondes, je m’empare de cette arme, dont le contact me rassure, même si je ne suis pas certaine d’être capable de m’en servir.


Des bruits de meubles renversés m’informent que les intrus sont maintenant dans la bibliothèque, de l’autre côté du couloir. Sans bruit, je traverse celui-ci. Par l’embrasure de la porte, je distingue deux ombres dans l’obscurité. Quand mes yeux s’habituent à l’obscurité, j’aperçois les cambrioleurs : deux mauvais garçons, à peine plus âgés que moi, me semble-t-il, un blanc et un noir, très baraqués.



Croyant d’abord à une plaisanterie, ils se figent quand ils aperçoivent mon pistolet. Il n’en reste pas moins que je suis une fille et très vite le Noir retrouve son assurance et m’interpelle :



Je songe alors que je dois m’assurer que les deux rigolos ne s’échappent pas, le temps que je prévienne la gendarmerie, et je leur ordonne :



Avec un empressement qui pourrait être comique si la situation n’était pas si grave, les deux voleurs se déshabillent maladroitement. Quand ils ont terminé, j’exige qu’ils remettent les mains en l’air.


À mon immense surprise, je me rends compte que mes prisonniers se sont permis d’avoir une érection, qui plus est sans mon autorisation ! Il est vrai que je porte toujours ma chemise légère, que je n’ai pas pris la peine de reboutonner, et les mecs ont une vue imprenable sur mon anatomie.


Cet état est plus visible chez le Blanc, qui porte un slip moulant, tendu à craquer par sa bite. Le Noir, quant à lui, est vêtu d’un caleçon qui dévoile moins ses attributs, mais dont je devine qu’ils sont plus considérables encore. Poussée par une envie irrépressible, et encouragée par le fait que je suis en position de force, je les somme d’enlever également leurs sous-vêtements.



Mais son copain lui conseille, avec un drôle d’air, de m’obéir. Les pines splendides qui m’apparaissent achèvent de me faire perdre la tête. Le Blanc, conscient que l’avantage vient de changer de camp, m’interpelle :



Totalement subjuguée par le désir de m’emparer de leurs deux queues, je m’exécute. Tandis que je me dénude, les mecs prennent leurs bites en main, décalottent leurs glands, et commencent à se branler.



Sans plus de formalité, je m’approche des deux pines tentatrices, que j’empoigne d’un geste décidé. J’embrasse à tour de rôle les deux malfaiteurs et je masturbe en même temps leurs bites. Elles sont toutes deux d’une taille appréciable, mais je suis plus bouleversée encore par celle de l’Africain, dont ma bouche s’empare bien vite.


Pendant un long moment, j’hésite à avaler tout entier ce membre démesuré, et je me contente d’en pourlécher l’énorme gland, afin de me familiariser avec sa taille. Quand le mec en a assez de mes léchouillages, il s’empare de ma chevelure blonde et d’un geste assuré, bien que sans méchanceté, il m’oblige à l’emboucher en totalité. Jamais évidemment je n’en ai eu une aussi grosse dans ma bouche, et il me faut quelques interminables secondes pour m’y accoutumer. Quand c’est chose faite, je jouis du rare plaisir d’avoir entre les lèvres cet incroyable morceau de chair.


De temps à autre, il me faut tout de même me consacrer à l’autre malfrat, mais sa bite, bien que de dimensions respectables, ne peut se comparer à celle de son copain, vers laquelle je retourne bien vite. Le Blanc finit donc par se lasser et, à mon intense satisfaction, vient s’occuper de mon entrecuisse dégoulinant.


Je n’attends aucune délicatesse de ce malfaiteur, mais je suis tout de même un peu surprise quand il m’enfonce d’un coup, sans préparation, son majeur tout au fond du con, dieu merci abondamment lubrifié par ma mouille. Il en va tout autrement de mon anus, dans lequel le mec introduit bientôt de la même façon son doigt.



Ces paroles m’emplissent de sentiments très contrastés. D’un côté, je commence à prendre un peu peur de la tournure que prennent les événements. Je comprends en effet que les deux bandits sont décidés à jouir au maximum de mon corps et que cela pourrait tourner mal si jamais je me rebiffais. Mais d’un autre côté, un sentiment de plénitude m’envahit à l’idée d’être bientôt labourée par les queues d’acier des deux mecs, et c’est celui-ci qui prédomine, et de loin.


Mais, pour que les choses se passent au mieux, je dois reprendre le contrôle de la situation. Précisément, Jimmy ne parvient pas à s’introduire entre mes fesses, qu’il a pourtant largement ouvertes.



Un instant décontenancé par cette injonction, le mec finit pourtant par obtempérer. Sa langue râpeuse est maladroite dans mon cul, mais mon désir est si intense que bien vite je m’épanouis. En outre, je ne perds pas de vue que je vais dans peu de temps être défoncée par l’énorme queue de Tom, et qu’il en conséquence vital que l’action de son complice soit efficace. C’est pourquoi je me permets de temps à autre de conseiller le cambrioleur empoté, plus à l’aise sans doute pour faire s’ouvrir les coffres-forts que les anus des jeunes filles !



Le type comprend, à mes gémissements, que j’apprécie à leur juste valeur ses progrès et, s’enhardissant, il introduit le bout de sa langue dans mon tunnel resserré.


Cette vicieuse incursion me conduit à cambrer les reins et à soulever ma croupe. Jimmy comprend que le moment est venu et il vient placer son gland tout contre mon anus humide. Je m’attends à ce qu’il m’encule tout de go, mais il se contente de faire aller son instrument entre mes fesses satinées, se révélant ainsi meilleur amant que je ne l’avais pensé au départ.


En effet, ce petit jeu a pour effet d’enflammer plus encore mes sens, et j’en viens à supplier mon tentateur de m’enfiler enfin. Le calibre de son membre se révélant assez semblable à celui de Marc, avec lequel mon petit cul est si familiarisé, il peut dès le premier assaut me le mettre tout au fond, ce qui m’arrache un soupir de contentement.


Pendant que je prodiguais mes conseils avisés à mon futur enculeur, il va de soi que j’ai dû délaisser un moment la monumentale pine du Noir, me contentant de l’astiquer de ma main, des couilles jusqu’au gland. Quand il se rend compte que son copain est bien en place, Tom me prend avec rudesse la tête entre ses mains, qu’il plaque aussitôt contre sa queue. Je me retrouve à la hauteur de ses bourses velues, qui ont durci spectaculairement sous l’effet de mes caresses manuelles. Le type sursaute quand je les effleure du bout de ma langue.



Les deux mecs me traitent comme une vraie chienne, et le pire, c’est que je justifie totalement cette attitude, agitant le plus que je peux ma croupe sous l’effet du pilonnage de Jimmy, et engloutissant en totalité l’immense bite de Tom.



À cette annonce, les battements de mon cœur s’accélèrent. Dès qu’il est ressorti de mon cul, Jimmy s’allonge sur le sol, et il m’attire rudement au-dessus de lui.


Mais je n’ai pas l’intention de me livrer sans résistance aux fantaisies des deux mecs, et je décide de me livrer à un de mes amusements préférés : tout en branlant de ma main droite la queue de Tom, que je gratifie d’un petit coup de langue lorsqu’il s’approche de moi, je m’empare de la pine de l’autre mec, que je frotte délicatement contre la peau si douce de mon entrecuisse, contre les boucles blondes de mon pubis, contre les lèvres en feu, béantes de désir, de mon sexe.



Il assortit cette dernière réflexion d’une retentissante claque sur mon fragile arrière-train. Sous l’effet de ce geste, je m’empale brusquement sur la queue de Jimmy, qui pousse un soupir de soulagement. Le Noir, quant à lui, m’introduit d’un seul coup son majeur dans l’anus, qu’il fait aller et venir sans aucune douceur, me donnant ainsi un aperçu de la double pénétration que je désire. Tandis qu’il se masturbe de son autre main, il m’insulte copieusement :



Je sais que j’y suis parvenue quand je sens l’énorme sexe de Tom remplacer son doigt à l’entrée de mon petit trou. Fort heureusement, mon enculeur n’est pas un sadique, et, même s’il me prend sans tendresse, il a la délicatesse de m’enfiler en deux temps, d’abord son gland démesuré, qui me déchire la rondelle et m’arrache un cri, puis le reste de la verge, qui coulisse avec moins de problèmes.


Je n’en reviens pas de la facilité avec laquelle j’ai accueilli ces deux sexes ! Il faut croire que les filles sont vraiment faites en caoutchouc à cet endroit-là… Cette aisance ne va évidemment pas sans un soupçon de souffrance, qui fait tout le piment de l’opération.


Depuis qu’il m’a pénétrée, le Noir a pris le contrôle de notre copulation ; il s’est emparé de mes hanches et à grands coups de reins donne le rythme de la chevauchée commune. Tandis que Tom martyrise comme une brute mon petit anus, il se permet de pincer cruellement les bouts de mes seins fragiles et continue de me traiter de tous les noms. Tout se passe comme si les deux mecs tenaient entre eux une discussion dont je serais l’objet unique, et dans laquelle les mots de salope, vicieuse, chienne, reviennent le plus souvent. Le terme qui me trouble le plus est celui de "pute", car j’ai conscience qu’il est parfaitement justifié : ne me suis-je pas vendue à ces deux mecs en échange de leur promesse de ne pas cambrioler la résidence familiale ?


La douleur initiale a laissé place en moi à la joie intense de sentir mes orifices comblés par les deux énormes mandrins. Pourtant les deux malfrats ne me ménagent pas, surtout Tom, dont la pine coulisse sans égard dans mon trou du cul, rendu plus étroit encore par la présence de Jimmy.


Les grossièretés dont m’abreuvent les deux mecs, au lieu de me révolter, ont pour effet, moi qui suis habituellement plutôt réservée pendant l’amour, de m’arracher des insanités plus perverses encore que les leurs, du style :



Les deux types sont incroyablement endurants, et je commence à penser que nous sommes tous les trois soudés les uns aux autres, pour une éternité de jouissance, quand je sens enfin les signes d’un dénouement proche, à l’accélération du pilonnage de mon cul et de mon con.



Les malfaiteurs ne se font pas prier et, bientôt, je suis allongée sur le lit, deux sexes au-dessus de mon visage avide, que leurs propriétaires masturbent habilement.


Quand le déluge commence, je me rends compte que j’ai été un peu inconsciente d’offrir ma bouche menue au flot de leurs foutres, que très vite elle ne parvient plus à contenir. Je dois alors à mon grand regret fermer mes lèvres et tandis que je déguste en connaisseuse le nectar que je suis parvenue à absorber, du sperme bien chaud continue à dégouliner sur mes joues, mon menton, et même mes seins, dont les salauds se servent sans vergogne pour essuyer leurs pines gluantes.


Sitôt cette apothéose achevée et les garçons repartis, fidèles à leur promesse de ne pas cambrioler la maison, je m’endors comme une masse, repue de plaisir, prenant tout juste le temps de revêtir ma chemise et de remonter dans ma chambre. C’est là que mes parents me retrouvent le lendemain midi, à leur arrivée, extrêmement anxieux de mon sort, après qu’ils ont vu le verre brisé dans la bibliothèque.


Tandis que je me remémore les événements bouleversants de la nuit, je me taille un joli succès auprès de mes parents en leur racontant une histoire abracadabrante, dans laquelle je fais preuve d’un courage prodigieux en faisant fuir à moi toute seule les méchants cambrioleurs à l’aide du pistolet de mon père. Ma mère, bouleversée par mon récit et très inquiète de mes traits tirés, est même prête à faire appel à un médecin, pour soulager mes angoisses.


La pauvre, si elle savait…