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n° 00343Fiche technique24165 caractères24165
Temps de lecture estimé : 14 mn
04/05/00
corrigé 12/11/10
Résumé:  Voici la description intégrale de la super partouze, qui suit immédiatement le récit n°342.
Critères:  ffh grp fbi jeunes frousses copains vacances toilettes facial fellation cunnilingu fdanus fsodo partouze uro -groupes
Auteur : Cyber Syr            Envoi mini-message

Série : Cadeaux de Noël

Chapitre 02 / 02
Cadeaux de Noël (2)

Concentré sur Chloé et notre accouplement, je néglige un peu les autres, n’entendant que des gémissements et de temps à autre des cris de jouissance. Mon sexe serré dans le conduit de Chloé continue à gonfler et lorsque Chloé prend mes bourses en main, je sais que l’explosion est proche. Je le fais comprendre à Chloé en la soulevant un peu pour me retirer. Elle prend alors mon sexe à la main. Je lui demande de le prendre dans sa bouche et d’avaler le jus qui en sortira. Elle fait la moue, je comprends qu’elle n’a jamais dû le faire. Très bien, je me contenterai d’arroser son visage. Je lui prends de force ma bite et finis de me masturber violemment. Le résultat se fait rapidement sentir et un long jet chaud jaillit sur la figure laiteuse de Chloé. Son petit nez retroussé dégouline de mon sperme, jusqu’au menton qui goutte sur ses seins. Devant le spectacle, ma bite reprend tout de suite de la vigueur et Chloé, qui se masturbait elle-même depuis que je m’étais retiré, jouit à son tour, inonde de nouveau mon ventre. On s’embrasse longuement regardant ensuite Marie et Luc jouir à leur tour.


À ce moment, on s’aperçoit de deux choses dont aucun des deux couples n’avait eu conscience. Les quatre autres nous regardent attentivement depuis un moment visiblement, mais après avoir mis un sac de couchage sur eux pour dissimuler leur nudité. Et de l’autre côté de la pièce, près de la porte, deux personnes nous regardent, l’une excitée et toute rouge (Véro), l’autre surprise et choquée (Claire). Nous nous précipitons tous les quatre sur nos vêtements pour cacher notre corps nus. Véro, voyant le spectacle, rit de nous voir redevenir si prudes. Claire ne dit toujours rien, semble choquée même si une pointe d’intérêt semble apparaître. Véro rompt le silence :



Elle rigole toujours.



Moi :



Claire parle à son tour :



Terriblement gêné et honteux, je regarde Chloé, puis Luc et Marie, visiblement aussi gênés. Mais devant le rire de Véro, la contagion gagne et bientôt tout le monde rigole (plus ou moins jaune d’ailleurs) de la situation.


Avant que l’on ait pu réagir, Rachel et Hervé se précipitent sur nous et nous arrachent nos vêtements des mains.



Nous protestons un peu, pour la forme surtout. Luc prend la parole au nom des quatre dénudés :



Et tout le monde rit de cette réplique pleine d’humour. Chloé, le corps inondé de sperme, et Marie, dont les jus mélangés de sa jouissance et de celle de Luc dégoulinent le long des cuisses, demandent à aller se laver. Mais Rémi se met en travers de la porte de la salle de bain et ordonne :



Luc demande si la partie est finie. Hervé lui répond que le but de ce jeu est de libérer et décomplexer tout le monde et que là, c’est réussi. Rachel et Phil sont déjà dans la cuisine en train de préparer à manger et les deux filles nues se sont assises dans un coin, gênées. Véro et Claire demandent où elles peuvent installer leurs affaires. Hervé leur répond que de toute façon les places ne sont pas définitives et que beaucoup de choses peuvent encore se passer. Il pousse un petit rire sadique en regardant Chloé et Marie.


Toujours nu, je m’approche de Véro que je n’ai pas vue depuis plusieurs mois, en fait depuis notre rupture. Je l’embrasse amicalement et elle rit :



Nous étions sortis ensemble l’an dernier au moment du même séjour dans ce même chalet. Mais les choses s’étaient passées de façon plus classique… Je me souviens encore de ses petits seins pointus à peine plus gros que des balles de tennis, très réactifs, et de son petit minou presque imberbe, juste quelques poils roux qui ne suffisaient pas à cacher ses grosses lèvres rouges. À ces pensées, mon érection reprend et je rougis. Ça la fait rire :



Et, m’embrassant sur le bout du nez, elle fait demi-tour et se dirige vers la cuisine. Je rejoins Chloé et Marie qui discrètement ont réussi à se nettoyer un peu. Claire nous regarde, n’osant pas trop approcher. Comme elle ne veut pas venir à nous, c’est moi qui vais à elle. J’entame la conversation de façon bateau pour détendre l’atmosphère.



Elle répond distraitement. Je la sens absorbée par ma bite encore un peu dure après la séance avec sa sœur. Je me penche vers elle et lui chuchote à l’oreille.



Chloé vient vers nous puis demande ce qu’il se passe. Claire me regarde comme si elle voulait que je parle. Je lui fais comprendre que c’est à elle de demander.



Chloé rigole.



Je suis déçu, ayant souhaité secrètement profiter des caresses de Claire.



Les hésitations de Claire, Marie qui vient donner son accord, rendent ma bite de plus en plus tendue. Chloé la prend et la secoue un peu.



Luc, appelé par Marie, vient voir ce qu’il se passe. Marie lui explique brièvement et immédiatement sa bite se met au garde-à-vous.



On la fixe attentivement, tous les quatre. Elle commence à déboutonner son chemisier timidement. Claire est une jolie fille, de la taille de Marie environ. Les cheveux bruns mais pas trop foncés, le corps assez musclé et bien proportionné, mis à part des seins assez lourds (visiblement, mais je ne les ai jamais vus encore). Devant ce succès, nos deux bites raidissent un peu plus et les seins des deux filles pointent leurs tétons vers l’avant. Chloé continue à me caresser le sexe doucement. Claire finit de déboutonner, laissant apparaître son soutien-gorge effectivement bien rempli. Puis elle commence à dézipper son jean. Luc trouve que c’est trop lent et il s’avance vers elle et lui dit de se mettre à genoux et de commencer à le pomper. Les trois autres, nous sommes chargés de finir de la déshabiller pendant ce temps. Je m’occupe avec Chloé de son jean que l’on commence à tirer à la ceinture, dévoilant une culotte de coton très sage, puis on le passe sur les cuisses. Elle soulève les genoux pour laisser passer le jean. Pendant ce temps, sa langue, même peu expérimentée, a bien compris son rôle et parcourt le sexe de Luc dans toute sa longueur. Marie lui enlève le soutien-gorge et ses gros seins tombent vers le bas, libérés. Elle est à quatre pattes devant Luc. Les trois autres derrière, on regarde ses fesses et les quelques poils qui dépassent de la culotte laissent imaginer que la taille des seins n’est pas la seule chose qui différencie les deux sœurs si différentes. Chloé reprend de plus belle les caresses sur mon sexe et Marie vient s’en mêler, caressant mes fesses et prenant aussi mon sexe. Chloé l’imite et caresse d’une main mon sexe, de l’autre mes fesses. Elle est plus entreprenante que Marie, et ses doigts s’insèrent dans mon sillon vers mon anus. Mes mains sont occupées à masser les fesses de Claire et à enlever sa culotte.


Les caresses des deux filles et la vue de ces fesses bien écartées naturellement et mates m’excitent terriblement. Je sens la jouissance monter et, malgré les deux éjaculations précédentes, je trouve encore les réserves pour inonder les fesses et la raie de la suceuse. Le sperme dégouline le long du sillon et sur les hanches. J’écarte ses fesses pour découvrir la petite pastille marron qui commence à être inondée de mon jus blanc. Je ne peux m’empêcher de la lui toucher et elle pousse un petit cri aigu. Luc gémit de plus en plus fort. Rapidement, avant même que je n’ai eu le temps d’explorer à fond l’intimité de Claire, il gémit et jouit lui aussi assez abondamment sur le visage de Claire, arrosant ses cheveux par la même occasion. Ne laissant pas le temps à Claire de souffler, Chloé me pousse vers elle et ma bite touche sa bouche entrouverte qui l’avale. Rapidement mon érection reprend de la vigueur et Luc me remplace sur la fente de Claire, conseillé par les deux filles. Claire jouit avant moi et je suis soulagé de ne pas avoir à vider mes bourses une nouvelle fois, préférant réserver un peu de jus pour les fois suivantes. Claire se relève, le visage et le cul barbouillés de sperme. Sa sœur sort de la cuisine et la voit dans cet état.



Son aînée lui répond timidement :



Et elle rejoint Phil qui lisait sur un lit en nous regardant du coin de l’œil. Entre ces deux anciens amants (eux aussi), je devine rapidement ce qu’il va se passer.


La fin de soirée fut torride. J’ai réussi à ne plus jouir, simplement regarder les autres baiser en caressant Chloé ou Véro quand Chloé suçait quelqu’un d’autre. Épuisés, nous nous retrouvons tous au lit, les huit en bas, fille et garçon alternés. Mes deux voisines furent Chloé et Marie avec leurs doses de caresses… La nuit fut calme et longue…


Le lendemain, le soleil est déjà haut quand je suis réveillé par l’ouverture d’un volet. Je sens Chloé, blottie contre moi, nue, dormant paisiblement. Je regarde pour voir qui ouvre les volets si brutalement. Véro est debout près de la fenêtre, nue à contre-jour et elle finit de refermer la fenêtre. Elle me voit me réveiller et se dirige vers moi.



Je regarde son corps nu que je n’ai pas vu depuis plusieurs mois. Les seins ont peut-être un peu grossis mais elle a toujours aussi peu de poils et est toujours aussi attirante. Doucement pour ne pas réveiller Chloé, je lui fais signe de se mettre entre moi et Marie qui s’est éloignée de moi pour se réfugier vers Luc. Véro se glisse dans l’espace et nos bouches s’entrechoquent, mêlant nos langues. Sa bouche est chaude et humide, un peu acide aussi. Elle me chuchote à l’oreille :



Sans plus de commentaires. Ses mains descendent et empoignent mon sexe qui a retrouvé sa vigueur. Elle le caresse doucement, avec beaucoup plus d’expérience que ses caresses de débutante de l’an dernier. Mes mains ne peuvent s’empêcher de chercher sa petite chatte déjà humide. L’an dernier, elle n’avait pas voulu que je lui mette un doigt avant de la pénétrer ; et on n’avait fait l’amour qu’une fois, assez décevante pour nous deux d’ailleurs. Aujourd’hui, aucune résistance à l’entrée d’un premier doigt. Puis j’accompagne le majeur de l’index et toujours rien, même si je sens la résistance de la paroi. Je n’irai pas plus loin. Elle active le mouvement de piston sur ma bite et commence à gémir sous mes caresses. Ce qui devait arriver arriva et Chloé se réveille sous mes mouvements, se demandant ce qu’il se passe. Mais contrairement à ce qui se serait passé la veille encore, elle ne dit rien et, restant collée à moi, regarde nos caresses mutuelles. Elle m’encourage même en me chuchotant dans l’oreille.



Impatient et curieux, je la laisse prendre ma main qui fouille le sexe de Véro. Elle laisse mon index dans le sexe juteux de Véro, un peu surprise de cette nouvelle venue, et retire mon majeur, le dirigeant vers le petit trou du derrière de Véro. Elle le pose dessus et me dit plus fort, pour que Véro entende :



Sans attendre, l’humidité recouvrant mon majeur me le permettant aisément, j’appuie un peu et entre mon doigt dans l’anus vierge et serré de Véro. La rouquine gémit un peu et prend ma langue pour ne pas faire plus de bruit. Je remue mes deux doigts vigoureusement sous les conseils de Chloé, toujours à mon oreille. Puis je serre un peu, cherchant à rejoindre mes deux doigts et, malgré nos bouches réunies, un petit cri sort de la bouche de Véro et ma main est inondée de son jus chaud. Je me retire et lèche devant les deux filles ma main souillée, l’offrant un peu à Chloé. Voyant l’appétit de Chloé à lécher sa mouille, Véro lui propose de lui lécher la chatte pour goûter sa mouille à elle.



Sur ce, les deux filles se lèvent, nues, superbes, et se précipitent dans la salle de bain. Je les suis rapidement. Bouhh, il fait froid là-dedans, le poêle n’agit pas sur la salle de bain, qui en plus est grande. Je les guide vers le petit réduit où se trouvent les WC à la turque.



Chloé est réticente, pieds nus, elle hésite à aller dans les toilettes. Véro et moi avons nos chaussures et on se dirige vers les WC.



De mauvaise grâce, Chloé nous rejoint et je ferme la porte à clé. L’endroit est petit, nous sommes très serrés. Les WC turcs sont propres mais froids. Je m’avance vers eux et m’appuie contre le mur.



Véro doit s’agenouiller sur les WC pour pouvoir accéder au sexe de Chloé que je lui présente grand ouvert. Après quelques caresses avec les doigts, le premier coup de langue de Véro fait pousser un petit cri à Chloé qui se contracte dans mes bras. Grâce à cette emprise, je peux faire avancer Chloé sur la langue de sa copine quand je le souhaite et le plaisir procuré aux deux filles est accru. Le mien aussi à la vue de ce spectacle et rapidement, ma bite est raide comme du bois. Je la frotte dans le sillon des fesses écartées de Chloé qui sursaute un peu quand je frôle son petit œillet. L’envie ne me manque pas, mais la position n’est pas idéale et, d’après les récits de Rachel, aussi bien elle que moi sommes vierges de toute pratique de sodomie. L’effet sur Chloé est bien présent et peu de temps après ce petit frôlement, elle se met à gémir et à se contracter fort. Puis elle explose dans un orgasme violent qui arrose le visage de Véro qui se relève heureuse. Elle me donne son visage à lécher et je goûte ainsi au jus de Chloé qui reste contre moi, les seins tout excités et le froid des pieds oubliés. Ma bite est elle toujours au garde-à-vous, personne ne s’est occupé d’elle. Je le fais remarquer aux deux filles qui rigolent.



À ces mots, je me précipite, envoyant Chloé sur Véro et me mets en travers de la porte.



Je prends Véro par le bras.



Je relâche un peu la pression.



Chloé me supplie :



Espérant trouver une ruse pour en finir, Véro dit :



Je la pousse vers les WC. Elle glisse et tombe assise juste sur le trou des WC. Apeuré, je lui demande si tout va bien. Elle me dit que ça va et s’accroupit au-dessus du trou. Elle a honte de son état et rien ne sort de sa chatte, elle est paralysée par nos regards. Je m’approche d’elle et commence à me branler au-dessus de sa tête.



Enfin, un petit jet qui grossit progressivement éclabousse les WC et ses chaussures. Je regarde Chloé.



En baissant la tête, un petit oui sort de sa bouche. Véro se relève en tendant le bras vers le papier toilette ; puis elle se ravise et vient vers moi.



Je regarde Chloé qui s’accroupit, les pieds nus dans la pisse que sa copine a mise à côté du trou.



Rien ne sort de la chatte ouverte de Chloé. Elle tremble, de froid et de honte certainement.



Les petits poils courts et roux de Véro sont encore mouillés. Je commence par lui caresser les lèvres pour les écarter un peu, puis j’avance ma bouche et ma langue vers l’écrin chaud et humide. Le goût salé et âcre mélangé avec le goût de son intimité encore excitée fait un mélange inédit pour ma langue ; mais finalement assez appréciable. Chloé, excitée par le spectacle, commence à se caresser les seins et le minou, toujours accroupie, attendant en vain la libération de sa vessie. Véro commençant à gémir de plus en plus fort, j’accélère ma langue, l’enfonçant de plus en plus profondément dans sa fente étroite, titillant son petit clito, tout raide. Mes mains enserrent et massent ses fesses menues et blanches. Le bout de mes doigts caresse son sillon et s’aventure même jusqu’à son petit œillet que je masse doucement, entraînant des gémissements de plus en plus rauques. Chloé continue sa masturbation accroupie, ne perdant aucun geste. Mon majeur pénètre enfin le petit anus dilaté par le plaisir et quasiment simultanément un gémissement rauque et mon visage est inondé du jus mielleux de Véro. Je me relève, ma bite est toujours aussi raide et Véro, peut-être pour me remercier du bon moment qu’elle vient de passer, s’agenouille devant moi et prend ma bite dans sa bouche douce et chaude. Malgré son manque d’expérience, l’effet ne tarde pas à se faire sentir et ma bite à gonfler. Chloé tend les bras pour atteindre mes couilles et commence à masser mes bourses tendrement. L’effet ne tarde pas et rapidement je sens le jus monter dans mon sexe. Me retirant de la bouche de Véro, je continue à me masturber en dirigeant mon sexe gonflé vers la figure de Chloé et le premier jet de sperme l’atteint sur le nez. Les suivants sur les joues ou la bouche inondent son joli petit visage. Cette chaleur sur son visage finit de l’exciter et elle jouit à son tour.


Apaisée, Chloé finit enfin par pisser d’un petit jet frais. On se relève tous les trois. Chloé s’essuie le minou avec une feuille de papier WC. Mon jus dégouline sur son visage, gouttant sur ses seins ronds et dégoulinant sur son petit ventre. Ainsi souillée, je la trouve encore plus attirante. On sort enfin des toilettes et nous retournons, Chloé en tête, vers la salle commune, chauffée.


Les autres se sont réveillés à leur tour, et l’orgie a repris de toute part. Les tableaux pornos sont de partout sur le lit : Marie et Luc font l’amour dans un coin, Luc profitant de ses mains libres pour caresser Claire ; Phil et Hervé s’occupent de Rachel, l’un dans son con, l’autre dans sa bouche. Enfin, Claire s’occupe de Rémi, visiblement tout juste réveillé, en lui suçant sa bite.


Véro, inépuisable, se précipite vers sa sœur et Rémi. Elle pousse sa sœur pour prendre sa place et commence à astiquer le sexe de Rémi, tout en se mettant de façon à pouvoir offrir sa moule à la langue de Rémi. La bouche de Claire, abandonnée, me semble être un bon moyen de nettoyer Chloé du sperme que j’ai répandu. Je le lui suggère. Enchantée de l’idée, elle se dirige vers celle qui, hier, n’aurait jamais cru être aussi perverse. Je me rapproche des lits pour regarder le spectacle. Claire accepte l’idée de nettoyer Chloé et commence à lui lécher le ventre, juste au-dessus du minou épargné par mes jets, remontant petit à petit vers les seins tout ronds de Chloé. Une bonne journée se prépare…


Mais c’est une autre histoire…