n° 00346 | Fiche technique | 25252 caractères | 25252 4106 Temps de lecture estimé : 17 mn |
05/05/00 corrigé 14/02/23 |
Résumé: Quand on a un tatouage sur le sexe, on ne le montre pas à tout le monde. Sinon, on risque une plainte pour attentat à la pudeur. C'est justement pour cela qu'il est chez Catherine, cette jeune avocate. | ||||
Critères: #érotisme #groupe #bisexuel #domination #travail ffh fbi grossexe lunettes ascenseur travail photofilm lingerie fmast fellation cunnilingu 69 fsodo | ||||
Auteur : Chris Envoi mini-message |
Encore un rendez-vous avant que la journée soit achevée !
Depuis le matin, Catherine, avocate, n’avait pas arrêté une seconde. Elle avait commencé sa journée en assistant à une expertise aussi ennuyeuse que possible, puis s’était rendue à l’audience où son affaire fut évoquée avec retard de telle sorte qu’elle rentra à son cabinet vers quatorze heures, au moment de l’arrivée de son premier client.
Elle avait dû ensuite prendre un confrère pour négocier un dossier, restant près d’une heure au téléphone. Après avoir dicté quelques lettres et conclusions, vu le courrier avec Isabelle, sa secrétaire, il était 18 heures lorsqu’elle entendit sonner. Jetant un œil sur son agenda, elle vit qu’elle avait rendez-vous avec un nouveau client, Bernard F. qui souhaitait la voir d’urgence, semble-t-il, pour une affaire délicate. Elle soupira, un peu lassée de cette journée sans répit, pas même une pause pour déjeuner.
Brune aux cheveux taillés mi-longs, la bouche mutine et les yeux noirs pétillants de malice, Catherine venait d’avoir trente ans. Des formes généreuses et très féminines, elle portait le plus souvent un tailleur assez strict convenant à son style BCBG. Cette féminité s’exprimait surtout par les dessous. Catherine adorait la lingerie fine et portait toujours de très jolies choses.
Elle avait mis ce jour-là des bas-couture ancienne mode avec un joli porte-jarretelles noir en dentelle, un string rouge et, sous son chemisier de soie, un soutien-gorge à balconnet assorti. Des lunettes sans monture lui donnaient un air intello.
L’interphone grésilla et Isabelle, sa secrétaire, confirma à Catherine que le rendez-vous de 6 heures était arrivé.
La porte s’ouvrit bientôt et un homme d’environ vingt-cinq ans, jugea Catherine, s’avança un peu intimidé dans le bureau de l’avocate.
Catherine leva les yeux vers son client et le jaugea plus attentivement, un demi-sourire aux lèvres.
Eh bien, je suis, comment dire… très avantagé par la nature, et les dames dont je vous parle le savent et, à mon avis, le disent à d’autres. Or, un jour, une femme que je ne connaissais pas entre avec moi dans l’ascenseur. Elle avait environ quarante-cinq ans et portait une robe assez courte sous un manteau ouvert.
- — Bonjour, me dit-elle en me regardant, vous ne seriez pas Bernard F. du 14e ?
- — Euh si, je lui dis.
Elle me sourit et me dit qu’elle est nouvelle dans la tour, qu’elle vient d’aménager il y a une semaine, qu’elle a été invitée pour un thé chez des voisines et qu’elle a entendu parler de moi et de mes avantages… Je la regarde et, soudain, elle commence à relever sa robe devant moi. Je vois ses cuisses apparaître. Elle portait des bas avec un porte-jarretelles, et ça, je dois vous dire que ça m’excite pas mal. Voir des bas avec un porte-jarretelles, je ne peux pas résister et je… euh… ça me fait aussitôt de l’effet…
Soudain, elle arrête l’ascenseur et le bloque. Elle me dit :
- — Il paraît que vous en avez une grosse…
Et, d’un geste, elle attrape ma bosse à travers mon jean, serrant ma queue, oh, pardon, mon sexe…
Eh bien, elle me tenait comme ça par la queue et voulait ouvrir ma braguette.
- — Montrez-la-moi, votre grosse bite, disait-elle, je veux voir ça !
Je ne savais plus quoi faire. Elle était pas mal, cette nana, j’aime assez les femmes mûres, en général elles sont drôlement cochonnes, mais j’avais justement rendez-vous avec Céline, une coquine qui habite le 18e étage et qui m’attendait. Elle avait sorti ma queue et, la coquine, comme ça, dans l’ascenseur, la voilà qu’elle commence à me branler, la robe toujours relevée. Moi, bien sûr, je bande, et elle commence à s’extasier.
- — Oh, mais c’est vrai, elle est supergrosse, ta queue. Tu vas me la mettre dans l’ascenseur, là, tout de suite, dit-elle, écartant sa culotte en dévoilant une chatte poilue…
- — Mais non, je dis, vous êtes folle, vous… J’ai pas envie de vous baiser, là, comme ça !
- — Je ne te plais pas ?
- — C’est pas ça, bien sûr vous êtes excitante comme ça, surtout avec vos bas et porte-jarretelles, mais c’est que j’ai justement un rendez-vous maintenant, et que…
- — Que quoi ?
- — Je ne peux pas vous baiser maintenant. Demain, OK, si vous voulez, prenez rendez-vous.
Elle m’a traité de dégonflé, de pédé, même, et puis, furieuse et vexée, elle a libéré l’ascenseur. Moi, je suis allé faire son affaire à la voisine et puis, surprise, ce matin, je reçois cette lettre du tribunal comme quoi cette salope, pardon, enfin, qu’elle avait porté plainte contre moi pour attentat à la pudeur…
Catherine appuya sur l’interphone…
- — Isabelle !? Venez dans mon bureau et prenez avec vous l’appareil photo, s’il vous plaît.
- — Bien, Maître, j’arrive de suite.
Isabelle est une jolie blonde aux cheveux courts, longiligne, souvent habillée assez court, mais ce jour-là, elle portait un jean moulant et un chemisier blanc.
Bernard se leva et, intimidé devant ces deux femmes, commença à dégrafer sa ceinture, puis braguette, et baissa son pantalon et son slip, laissant voir un sexe de bonnes dimensions, quoiqu’au repos.
Catherine regarda et, les lèvres tendues par un petit sourire, vit effectivement quelque chose de plus sombre sur la peau du sexe de son client.
Elle commença à soulever lentement sa jupe, dévoilant ses cuisses gainées de superbes bas-couture. Bientôt, la lisière apparut, puis les attaches des jarretières. La jupe laissait voir maintenant la peau nue en haut des bas. Isabelle regardait sa patronne, tout aussi subjuguée par cette exhibition sensuelle.
Le sexe de Bernard grossissait à vue d’œil sous le regard des deux femmes qui voyaient cette queue se déployer et se raidir au seul spectacle des cuisses de Catherine, et aussi le tatouage se former sur la hampe de ce superbe braquemart.
Isabelle ne put s’empêcher de dire :
Isabelle prit une photo, puis une autre, mais, attirée comme un aimant par cet énorme sexe tendu, elle posa l’appareil et commença à caresser, à masturber la queue bandée. Ses doigts fins avaient peine à faire le tour du chibre.
Catherine ne pouvait s’empêcher de regarder sa secrétaire branler son client.
Bientôt elle approcha sa bouche et commença à lécher, salivant sur le gland, soupesant de sa main les couilles de Bernard.
Catherine, plus excitée qu’elle ne l’aurait voulu, matait sa secrétaire à genoux devant cette belle queue raide et luisante de sa salive. L’avocate, conservant sa jupe relevée sur ses cuisses, résistait de moins en moins à l’érotisme de la situation, et bientôt glissa sa main dans sa culotte, caressant son entrejambe et excitant d’un doigt son clitoris. Elle voyait le tatouage représentant une femme prise en levrette par un homme et en suçant un autre… un vrai dessin pornographique quasi vivant sur la peau de cette queue devant elle…
Maintenant, Isabelle suçait la queue de Bernard, léchait la hampe dure, languait les couilles velues. Puis elle se retirait légèrement, branlait la bite d’une main, admirative devant l’engin, tout en ouvrant de l’autre son chemisier, et s’excitant les seins, ses doigts dans les bonnets du soutien-gorge, matant elle aussi sa patronne en train de se masturber discrètement.
Isabelle regarda sa patronne, se releva et entraîna Bernard vers le secrétariat, se défaisant rapidement de son jean et de sa culotte de dentelle.
Catherine, assise devant son bureau, cuisses ouvertes, continuait de se masturber en écoutant les soupirs, les gémissements et les cris de plaisir de sa secrétaire qui se faisait enfiler royalement et très profondément sur son bureau. Au moment où Isabelle hurla sa jouissance, Catherine explosa à son tour, traversée par un orgasme profond.
Quelques jours plus tard, en robe noire, car elles étaient toutes deux entre deux audiences, Catherine prit rendez-vous avec la juge devant qui l’affaire serait sûrement portée si les poursuites étaient maintenues contre son client. Elle s’appelait Marie-Claire, d’un abord sévère, aux cheveux blonds en chignon, mais avec des rondeurs qui adoucissaient le personnage. Elle reçut Catherine venue lui exposer l’affaire, bien décidée à poursuivre le dossier.
Par curiosité, apprenant que Catherine avait fait quelques photos de l’objet du délit, elle voulut les voir. Catherine les lui montra et, Marie-Claire, surprise et interloquée, resta à contempler ces photos d’un sexe tatoué en érection.
La juge parcourut rapidement le dossier.
Catherine regarda la juge, surprise, et lui répondit que oui, maintenant que l’occasion lui était donnée de se remémorer la vision de cette belle queue, et ensuite celle de sa secrétaire qui la branlait et la suçait, puis qui s’était fait sûrement bien baiser dans son bureau, à entendre les râles de plaisir.
Pendant ce temps, Marie-Claire s’était levée, était allée verrouiller la porte extérieure, et était venue s’asseoir dans le fauteuil identique à celui occupé par Catherine devant son bureau. En souriant devant l’avocate, elle releva sa robe, dévoilant ses cuisses et ses bas, encourageant de ses yeux Catherine à faire de même.
En face l’une de l’autre, les deux juristes, troublées par la vision et l’évocation de cette grosse queue, se regardaient écarter les jambes, exhiber leur culotte, un slip de dentelle pour Marie-Claire et un string noir pour Catherine.
Les deux femmes commencèrent à se caresser, à se masturber chacune s’excitant de la vue de l’autre, impudique et voluptueuse, glissant leurs doigts sous le tissu des slips, écartant les dentelles pour se montrer leur chatte.
Marie-Claire la première se mit à quatre pattes et approcha son visage entre les cuisses de Catherine, huma les effluves de son excitation, et finit par poser sa bouche sur le string moite, ses mains caressant les cuisses de l’avocate, faisant crisser les bas. Écartant le fin rempart cachant encore les lèvres intimes palpitantes de désir, Marie-Claire posa sa bouche sur la chatte excitée de Catherine et commença un savant ballet, léchant, titillant, fouillant tous les replis de l’odorante moule de l’avocate, jusqu’à la faire jouir, tandis que Catherine, chemisier ouvert, se malaxait les seins sortis des bonnets de son soutien-gorge à balconnets.
Relevant sa jupe autour de ses hanches et enlevant prestement sa culotte, Marie-Claire se mit debout et, les fesses appuyées sur son bureau, jambes écartées, attendit de Catherine le même service.
L’avocate n’hésita pas et, à son tour, lécha consciencieusement l’abricot bien mûr et bien juteux de la juge.
Soudain, la porte latérale du bureau que Marie-Claire avait omis de fermer s’ouvrit, et Michel, le jeune greffier, fit irruption, surprenant la position de sa patronne assise sur son bureau, cuisses écartées, se faisant lécher par une avocate.
Michel regardait Catherine brouter la chatte épilée de sa patronne. Il voyait la langue exciter le clitoris tendu, lécher les lèvres intimes, s’enfoncer dans la grotte ruisselante d’excitation de la juge. Celle-ci lui fit signe d’approcher, et sans plus de cérémonie, posa la main sur sa braguette, serrant le sexe de son greffier.
Le greffier défit rapidement sa braguette et sortit une superbe queue toute raide que la juge prit en main aussitôt, la branlant avec vigueur en regardant Catherine d’un air coquin, la bouche dévorant la chatte excitée de la juge, tandis qu’en plus Catherine doigtait la coquine, son majeur dans le cul de Marie-Claire et son index dans sa chatte.
Le jeune greffier ne se le fit pas dire deux fois et vint enfiler gaillardement Catherine qui apprécia cette intrusion, alors qu’elle continuait de brouter Marie-Claire qui se pencha un peu pour ouvrir le tiroir de son bureau et en sortir un vibromasseur, qu’elle mit en route pour exciter ses tétons.
Catherine, bien ramonée par le greffier, criait de plaisir et jouissait sur cette bonne queue qu’elle prenait au fond de son vagin, tout en excitant de deux doigts son clitoris excité. Puis Michel enfila sa patronne, assise sur le bureau, alors que Catherine se mettait le vibro dans la chatte, caressant d’une main le cul du greffier s’excitant entre les cuisses de la juge dévergondée.
Michel s’allongea sur la moquette du bureau et Marie-Claire vint poser ses fesses sur le ventre du greffier, et, cuisses bien écartées, exhibant sa chatte à Catherine, elle prit en main la pine dure pour se l’enfoncer dans le cul.
Catherine vint alors en 69 sur la juge et, frottant sa chatte contre le visage et la bouche de Marie-Claire, la pénétra avec le gode pendant que Michel l’enculait à fond. Ainsi sandwichée de deux bites, l’une de chair et l’autre de plastique, Marie-Claire prenait son pied, divinement doublement ramonée, avalant la mouille de Catherine qui jouissait sous les coups de la langue vicieuse, lapant sa chatte et la raie de son cul.
Catherine voyait la bite de Michel entrer et sortir de l’anus de Marie-Claire, et elle-même actionnait le vibro dans la chatte trempée de plaisir. Marie-Claire gémissait de bonheur, ses soupirs étouffés par les cuisses de Catherine. Soudain, les soubresauts de la queue de Michel annonçant un prochain déluge, Catherine la retira du cul de Marie-Claire, la sodomisa avec le vibro à la place et branla la grosse pine du greffier pour le faire gicler sur la chatte de Marie-Claire et dans sa bouche de gourmande.
Après que les trois protagonistes aient soufflé quelques instants, Marie-Claire appela le procureur par téléphone.
- — Salut, Jacques dit-elle, je t’appelle pour l’affaire Bernard F.. Je viens de voir le dossier, que, comptes-tu faire ? La plaignante, euh, Thérèse LE C. maintient sa demande ?
- — Euh, figure-toi, Marie-Claire que cette dame sort de mon bureau et, tu es toute seule ? Je ne te raconte pas, elle vient de me faire une de ces pipes, une vraie vorace, et quelle science… Elle suce encore mieux que toi. C’est pas peu dire… Et elle aime ça, la gourmande, elle a tout avalé… Et puis nous avons un peu discuté. Au fait, j’ai appris pour le tatouage… Très original… Mais je vais faire traîner un peu, ça me permettra de la revoir, cette cochonne, et donc, je ne poursuis pas, tu peux classer l’affaire…
Marie-Claire regarda Catherine, mais préféra lui dire :
Catherine sortit de ce rendez-vous très professionnel non sans surprendre dans le vestiaire des avocats, une jeune stagiaire à la bouche pulpeuse sucer la queue d’un ténor du barreau. Elle sourit en voyant cette situation, et encore imprégnée physiquement et mentalement de sexe, elle s’approcha, très décontractée, pour regarder la stagiaire s’affairer pour arracher le plaisir liquide de cette queue à la belle prestance. L’avocat l’invita à partager, mais Catherine refusa tout en remontant sa jupe, et exhiba ses cuisses et son ventre nu.
Laissant la fille pomper de plus belle, Catherine rentra à son cabinet, surprenant d’ailleurs Isabelle en train de visionner des photos d’hommes nus à la queue bien bandée sur internet.
Décidément, personne n’échappe au plaisir du sexe…
La semaine suivante, Bernard F. fut présent au rendez-vous, ne sachant pas quel serait son sort, son avocate s’étant abstenue de lui révéler la probable nature de l’entretien.
Et cette mise à l’épreuve commence de suite, Monsieur, dit la juge en se levant, venant vers Bernard qui ne savait pas trop ce qui allait se passer et qui jeta un regard un peu inquiet vers son avocate.
Elle vint s’appuyer les fesses sur son bureau devant Bernard, et Catherine, assise en face, releva sa robe de magistrat en les regardant tous les deux. Elle découvrit ses jolies jambes gainées de bas dim-up blancs avec un porte-jarretelles en dentelles de même couleur.
Stupeur, elle n’en portait rien d’autre que ses bas et exhiba sa chatte épilée.
Elle attendit que Bernard, les yeux fixés sur le spectacle excitant de la juge impudique, réalise la situation puis lui dit :
Bernard, ébahi, mais sentant sa bandaison grandir dans sa braguette par l’effet garanti des bas et du porte-jarretelles, se leva de son siège et, devant le ventre de Marie-Claire écartant les cuisses, sortit son gros engin, libérant sa queue bandée aux dimensions hors du commun que la juge empoigna aussitôt dans une savante masturbation.
Tandis que Bernard ramonait le con de la juge, Catherine, excitée, relevait sa jupe et commençait, la main dans son string, à se branler, excitée par les fesses nues et musclées de son client, allant et venant entre les cuisses de cette garce de Marie-Claire.
S’approchant au plus près, Catherine caressait le cul de Bernard et ses couilles par-dessous, passant un doigt dans la raie de son client, excitant son anus brun, et grattant de ses ongles les belles couilles poilues. Elle retira sa jupe et son slip, gardant ses bas avec ses jolis escarpins.
Marie-Claire se mit à genoux sur la moquette, son cul rond tourné vers Bernard. Celui-ci enfonça de nouveau sa queue entre les cuisses de la juge pour enfiler sa chatte trempée.
Bernard voyait ainsi, et ça l’excitait encore plus, la juge bouffer le con de son avocate.
Catherine, très excitée elle aussi par cette situation, se laissa à son tour glisser sur la moquette et se plaça en 69 sous Marie-Claire, qui put continuer à lécher sa moule, tandis que Catherine avait sous les yeux la bite et les couilles de son client dans la chatte de la juge, elle léchait le tout, clitoris, couilles et bite avec délectation, sortant même la queue pour la mettre dans sa bouche, toute luisante du jus de la juge et après quelques coups de langue, la remettre dans la chatte palpitante, avide d’être remplie
À ce traitement, Bernard ne résista pas longtemps, et tandis que Marie-Claire criait son plaisir, Catherine, sortant une nouvelle fois la queue de son client, aspirant le gland, lui faisait cracher des flots puissants de sperme qui se répandait dans sa bouche et sur la chatte de la juge. Cette jouissance entraîna en même temps un fulgurant orgasme de Catherine qui, pantelante, sous la langue experte de Marie-Claire, jouissait divinement.
Voilà une affaire bien réglée ! se dit Catherine, regrettant finalement de n’avoir pas pris la grosse queue de son client entre les cuisses…
Quelques jours plus tard, repensant à toute cette affaire, réfléchissant quelques secondes, hésitante, elle prit son téléphone et fit le numéro de son client.
Après plusieurs sonneries, celui-ci répondit enfin, un peu essoufflé.