n° 00364 | Fiche technique | 8624 caractères | 8624 1550 Temps de lecture estimé : 6 mn |
14/02/23 corrigé 14/02/23 |
Résumé: Bernard aborde à Nice un couple de Britanniques dans l’espoir de les photographier. Ils sont d’accord et décident de faire cela en plein air. Les photos seront de plus en plus osées. | ||||
Critères: fhh couplus plage campagne voir exhib photofilm fsodo -voyeur -lieuloisi | ||||
Auteur : Bernard_Photographe (Bernard - Photographe amateur) |
J’ai toujours eu une excellente mémoire, ce qui va vous permettre de profiter de mes aventures réellement vécues.
Très voyeurs depuis que les rêves m’intéressent, mon fantasme était déjà, sans en avoir les moyens, à 12/13 ans, de fixer les visions furtives que la vue nous permet de surprendre : jupe soulevée par le vent, fille montant en voiture ou montant des escaliers, etc.
Plus âgé, en différentes circonstances, je recherche ces situations et les plages en offrent quelques-unes…
Nice. Juillet 1972. De passage pour le travail, je loue une caméra, un soir de semaine, j’achète deux pellicules, et le lendemain, à 9 h 30, je fais un tour sur la plage. Peu de monde, je filme de la promenade une dame se déshabillant en se cachant. Rien d’excitant, mais je remarque un peu plus loin, une femme blonde qui lit à plat ventre. Je descends sur les galets et m’assieds à cinq ou six mètres d’elle. Elle est très mignonne, en deux-pièces dont le haut est dégrafé, et à chaque page lue, elle se soulève un peu, laissant apparaître un joli sein blanc. À cette époque, les seins nus viennent tout juste d’apparaître à Saint-Tropez, toujours à l’avant-garde. Ce n’est pas encore le cas à Nice !
Je m’apprête à la filmer discrètement quand surgit un homme qui enlève son jean et s’allonge à côté, son mari, sans doute…
J’attends un peu et, au bout de cinq minutes, je me lève pour partir. Il se lève aussi, remonte sur la promenade. Je le rattrape alors qu’il achète un journal et je l’aborde avant qu’il ne redescende.
Il est anglais, je réunis mes souvenirs de ma seconde langue scolaire, expliquant que je fais des photos et du cinéma en amateur, et que j’ai remarqué son épouse. Très sympa, il me dit que le mieux est de le lui demander, mais il ne fait pas d’objection !
Je suis déjà ravi de sa réponse et l’accompagne auprès d’elle. Il lui explique, elle est très souriante, hésite, puis finalement accepte sans que je comprenne tout des paroles qu’ils échangent. Je peux la filmer quelques secondes sous son grand chapeau, les deux seins presque en dehors de leur bonnet. Puis, il me donne rendez-vous devant l’hôtel Westminster à quinze heures.
C’est mon premier contact avec un couple, en fait, car j’aborde surtout des filles ou des femmes seules.
Je suis fébrile quand je me gare à cinquante mètres de l’hôtel, dans une rue adjacente (à l’époque, il y avait de la place et c’était gratuit !).
J’ai la caméra à la main et, à quinze heures pile, je les vois descendre l’escalier. Vision incroyable : jupette très courte, genre tennis, énorme chapeau et soutien-gorge ! Je ne sais si c’est un haut de maillot, on dirait un soutien « de ville » ! On échange quelques mots, je propose de les emmener en voiture, et je la filme en marchant sur le trottoir. Des gens se retournent sur elle ! On discute en allant vers la voiture, je parle de tenue sexy que j’ai avec moi, des bas et porte-jarretelles. Elle répond quelque chose comme « But I have stockings on ». Je la regarde, incrédule. Dans la rue, elle soulève sa jupette et me montre la lisière d’un bas couleur chair que je n’avais pas remarqué ! Et je vois une jarretelle. C’est très intéressant, tout ça !
Arrivé à la voiture, il la laisse monter devant. Je la regarde s’installer en matant son entrecuisse et sa petite culotte rose.
Ils sont ravis d’aller un peu en promenade, car venus en avion, ils ne vont qu’à la plage et nous allons dans la nature vers le col de Nice… où je commence mon vrai film. Descente de voiture, baissée dans le coffre pour prendre ray-ban et tapis de bain, ce qui me permet de voir toutes ses cuisses et sa culotte, montée dans la colline où elle étale le tapis de bain d’une manière très révélatrice.
Elle s’amuse de montrer ses jolies jambes. Penchée, accroupie, elle sait bien faire ça et son mari l’y encourage. Puis, je la filme, elle baisse les bretelles du soutien-gorge, lentement, en minaudant, elle sait y faire. Enfin, ses seins apparaissent, de forme curieuse, pas très gros, mais pointus, très jolis. Elle les cache, les presse, les offre d’une manière très excitante.
Je lui demande de sauter, de courir pour les faire bouger, elle le fait très bien cette coquine ! Puis, je lui fais enlever les bas et le porte-jarretelles pour qu’elle mette les « miens », noirs. Pour changer un peu, elle le fait, je filme tout ça, mais pas moyen de lui faire enlever la culotte ! Elle fait semblant, mais juste pour exciter. Et à la fin, quand même, je peux filmer ses fesses. Elle finit par tout enlever, elle est nue sur le tapis de bain, mais cache son sexe avec la culotte… ma seconde pellicule est finie !
Et c’est là que tout commence. Tandis que je range les films, le mari prend sa caméra et vise sa femme. D’un coup, je la vois écarter les cuisses, jeter la culotte en regardant son mari. Sa toison est clairsemée. On voit très bien une jolie fente rose. Sa main droite s’y pose et elle commence à se caresser l’entrecuisse !
Je suis subjugué par cette vision. Elle se masturbe carrément. Je regarde son mari qui me fait signe d’aller la rejoindre ! C’est fou, tout nouveau pour moi. Je m’approche, caresse une cuisse, l’embrasse. Je la vois encore écarter les lèvres, sa chatte rose, son clito bien visible. J’y pose ma bouche tout de suite, c’est doux, parfumé. Je la lèche avec délectation et très vite elle se met à gémir, ondulant du bassin. Je vois qu’elle se caresse les seins pendant que j’écarte sa fente en grand.
Elle supplie « lick my cunt ». Je la suce comme un fou et elle pousse un long cri de plaisir ! Je suis au paradis !
Je vois son mari me faire signe de la prendre et il s’écarte pour surveiller les alentours. J’enlève tout en quatrième vitesse pendant qu’elle se caresse, les yeux fermés ; elle est superbe ! Je viens sur elle qui tout de suite guide mon sexe dans sa chatte. C’est doux, c’est chaud, très mouillé. Je m’enfonce en elle comme dans un rêve, je lui suce les tétons, l’embrasse à pleine bouche. Elle soulève son bassin pour mieux me sentir et c’est à ce moment-là qu’en regardant du côté gauche, je vois une tête disparaître derrière un monticule. Le voyeur que je suis est vu par un autre ! Je ne lui dis rien à elle et jette un regard discret de temps à autre. Il profite longtemps du spectacle… Tant mieux pour lui ! Ça m’excite d’ailleurs un maximum.
Je ne peux plus me retenir, d’autant qu’elle me serre avec ses jambes, et soudain, on se met à jouir à l’unisson, elle pousse un long cri aigu que le voyeur a dû entendre et je me vide en elle. Quel régal !
Je me retire. Elle reste inerte. Son mari s’approche, lui murmure quelques mots, elle se tourne à plat ventre. Il baisse son jean sans l’enlever et s’agenouille, elle se met en levrette et fouille dans son sac, à moitié inconsciente, et lui donne quelque chose.
Je me suis un peu éloigné, comme lui avait fait. Il me fait signe de venir alors qu’il vide un petit tube sur l’anus de sa femme ! Je n’y crois pas, je vais assister à une sodomie en direct ! Elle a appuyé son visage sur ses avant-bras, très cambré, son cul est ainsi magnifiquement offert. Il glisse son majeur tout doucement dedans. Je n’ai jamais vu ça. Aussitôt, elle gémit, halète, pendant qu’il fait des va-et-vient. Bientôt, il met deux doigts, ça dure bien cinq minutes, cette manipulation ! Elle le supplie de la prendre. Il se positionne enfin, et pousse son gland. Elle est déjà presque en orgasme. Il s’enfonce lentement, mais complètement dans son cul, et aussitôt elle jouit violemment, se relève, agitant la tête en tout sens et criant encore son plaisir.
Je vois mon sperme qui lui coule sur les cuisses et le mari lui offre le sien dans l’autre trou.
Sur le chemin du retour, je remarque qu’elle a un téton hors du soutien-gorge, mais je ne dis rien. On s’arrête dans un village où je leur offre un verre. Les yeux des gars dans le bar, il faut les voir ! Le téton toujours dehors, c’est en s’installant sur la terrasse que son mari lui dira.
Puis on repart vers l’hôtel après échange d’adresse. Au fait, son prénom c’est Félicity.