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n° 00389Fiche technique24183 caractères24183
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Temps de lecture estimé : 14 mn
15/05/00
corrigé 17/11/22
Résumé:  Agnès n'a pas une vie sentimentale et sexuelle très épanouie. A l'occasion d'un déménagement elle rencontre Françoise et Marc. Françoise va d'abord lui parler de sa sexualité et ira jusqu'à se masturber.
Critères:  ffh couplus voisins voir exhib fmast fellation pénétratio init ecriv_f
Auteur : Yema59  (Un lecteur averti)
Mes voisins du dessus

Je suis une jeune femme de 29 ans, assez jolie, bien faite de ma personne. J’aime la vie, mais la vie ne semblait pas m’aimer. Je vivais seule, simplement parce que je me sentais un peu « bloquée » côté sexe. J’ignore pourquoi, mais je culpabilisais… je n’osais pas. Il faut dire que, depuis mon adolescence, je n’ai jamais pu parler avec qui que ce soit de tout ce qui est relatif au sexe. Ma famille était très pudique, très religieuse, et ma mère me houspillait chaque fois que des petits secrets difficilement dissimulables semblaient animer mes relations avec mes petites copines. Mes nuits étaient parfois longues, peuplées de nombreux points d’interrogation. Heureusement, depuis l’âge de 16 ans, j’ai appris à me faire plaisir, toujours seule bien sûr, le soir dans mon lit, ou bien quand mes parents étaient absents. C’est mon jardin secret, jardin que j’aurais bien voulu partager avec quelqu’un…


J’avais trouvé une fois dans leurs affaires des revues cochonnes et cela m’excitait particulièrement. En fait, j’avais hâte de rencontrer un jour quelqu’un de suffisamment sûr pour recevoir mes confidences. Car j’avais des questions, des secrets, et personne avec qui les partager. À 22 ans, je dus partir à l’étranger, dans un pays très religieux. L’équipe de travail était peu sympa et pendant deux ans, il ne s’est rien passé. Les hommes qui travaillaient avec moi étaient grossiers, peu amusants et le soir, buvaient beaucoup. Quant aux autres femmes, soit elles étaient moches, soit elles étaient mariées et dans ces pays-là, il ne faut jamais donner le bâton pour se faire battre. Rentrant en France, c’était la déprime, la solitude, les longues soirées sans rien : pas d’amis, pas de tendresse… Et je devais satisfaire mes pulsions toute seule, un peu honteuse à chaque fois.


Et puis tout a changé quand, à l’occasion d’un déménagement pour un nouveau job, j’ai rencontré des voisins super sympas, Françoise et Marc. Françoise était un joli petit bout de femme, environ mon âge, brune, cheveux coupés très courts. Elle était gaie, dynamique. Marc était posé, calme, semblant ne pas louper une occasion de se délecter des bienfaits de la vie. Tolérants, ayant une vue très libérale des choses de la vie, ils semblaient, tous les deux réellement complices de leur existence. Et leur vitalité éclairait facilement leur entourage : moi en particulier dont la vie avait jusqu’ici été si sombre. Nous fîmes plusieurs sorties ensemble, les week-ends, et Françoise venait me voir souvent dans mon appartement, quand Marc partait en tournée. Elle était douce, gentille, prévenante. Le contact passait très bien et nos cœurs ne tardèrent pas s’ouvrir. Elle me confia un après-midi qu’elle était réellement heureuse avec Marc, car il était très attentionné avec elle, et surtout… et elle gloussa en riant :



Là, je n’osais pas répondre. Car c’était tellement confus… Françoise s’approcha tout près, me fit un bisou sur le front :



J’étais presque pétrifiée par un tel propos. Cela ne m’était jamais arrivé. Elle s’en aperçut car elle me lança :



Et elle se mit à tournoyer devant moi dans une petite danse gentille. Je reconnus qu’elle était ravissante dans sa petite robe. Je ne savais quoi dire. S’en apercevant elle me mit à l’aise en m’embrassant gentiment, m’entraîna sur le divan, s’assit tout contre moi, cuisse contre cuisse, et sur le ton de la confidence, en me regardant dans les yeux :



Je bredouillais, ne sachant dissimuler mon trouble :



Elle posa sa main sur mon cou, attira doucement ma tête de la sienne, posa son front sur le mien. Elle sentait bon. Ses yeux dans les miens… elle me chuchota :



Cela me plaisait de recevoir une telle confidence. Savourant le moment présent…



Et elle continua :



Mon front toujours posé contre le sien, je n’osais plus bouger. Mais elle dut sentir un acquiescement très timide de ma tête. Je baissais les yeux, et je la vis défaire un par un les boutons de sa petite robe, jusqu’en haut, dévoilant ses cuisses, une petite culotte bleue, son ventre et sa belle poitrine nue. Un silence torride régnait dans la pièce… Puis cette même main se caressa les seins, s’attardant sur les mamelons qui étaient gros. Elle mouilla ses doigts et les posa juste sur le bout des seins, les faisant tourner… J’étais fasciné, car je ressentais presque moi-même ces caresses que je connaissais si bien… Puis sa main se dirigea vers le ventre… Elle avait à son tour fermé les yeux, s’abandonnant tout doucement au plaisir.



Et du ventre, sa main s’insinua tout doucement dans le slip… Elle écarta doucement, puis très fortement ses cuisses et je vis sa main faire dans sa culotte, un geste que je connaissais bien, commençant à ressentir le plaisir qu’elle se donnait et que je me donnais depuis tant d’années. Mais c’était la première fois de ma vie que je le voyais faire. Elle gardait toujours les yeux fermés, sa respiration commençait à se modifier. Ses doigts sur ma nuque se crispèrent. Elle se branlait consciencieusement, se faisant bien pénétrer son ou ses doigts… que je ne voyais pas. Mais je voyais le plaisir monter, je voyais tout ce que l’on cache prendre de l’ampleur, sans pudeur, devant moi. Je voyais Françoise me montrer sans complexe son plaisir solitaire, son orgasme, cette chose si intime, si bonne… Elle gémit et, sans s’interrompre, les yeux toujours fermés :



J’osais avouer :



Mais… Elle n’eut qu’à tendre ses lèvres, Les yeux toujours fermés… Elle attendait que je l’embrasse… et je ne pus résister. Mes lèvres se posèrent tout doucement sur les siennes, et ce fut un baiser extraordinaire, plein de douceur, de tendresse, et de promesses aussi. J’embrassais pour la première fois une femme qui sans complexe, s’envoyait en l’air pour me montrer et me faire plaisir. Elle n’était que plaisir, tout entière, si fragile et si persuasive à la fois. Je suivais le courant, j’avais plaisir à l’accompagner dans l’orgasme qu’elle me confiait. Sa main s’activait de plus en plus, sa respiration devint saccadée. Elle se mit à gémir et pour la première fois, je fus la spectatrice très privée d’un orgasme très solitaire qu’elle m’offrait, et qui se répandit aussi dans son bas ventre, comme une brève secousse, plus par pudeur qu’autre chose.


Je n’étais pas encore habituée… La soudaineté de la situation m’avait quelque peu effrayée. Reprenant doucement ses esprits, elle s’enfonça dans le fauteuil. Conservant les cuisses grandes ouvertes et la main dans le slip, elle m’attira à elle et me chuchota :



Et comme pour fuir, je lui proposais de la laisser et de retourner chez moi, au-dessus. Elle n’insista pas, m’embrassa encore tendrement. Je lui rendis ce baiser, comme pour la remercier… Je ressentis encore quelque chose me troubler, mais il me fallait arrêter pour aujourd’hui.



Et je l’embrassais furtivement sur les lèvres avant de me sauver. Elle m’accompagna en me précédant jusqu’à la porte, uniquement vêtue de sa petite culotte. Elle était vraiment désirable avec ses petites fesses… d’autant plus que je savais que ce petit corps ne se refusait rien, et que je pouvais, si je le voulais, le toucher, le caresser, comme j’aurais pu le faire quelques minutes plus tôt. Mais je n’avais pas osé. Passant à sa hauteur pour sortir, je m’enhardis en guise d’adieu, et je passai furtivement ma main entre ses jambes, comme pour lui faire comprendre que ce n’était pas fini… Très vite, elle attira mon visage près du sien et, à la sauvette, me vola un baiser sur les lèvres…



De retour chez moi, j’étais si excitée que, dès mon arrivée, là, dans le salon, je me masturbais comme une folle, la tête pleine des images que je venais de voir, les idées pleines de projets que je n’osais m’avouer… Car Marc n’était pas encore rentré. Et je savais bien qu’après ce qui venait de se passer entre Françoise et moi il allait bientôt se passer quelque chose entre nous trois. Mais j’en étais beaucoup moins effrayée que quelques minutes plus tôt. Laisser venir les choses… Ne pas les brusquer… Ma nuit fut très, très agitée. Les scènes les plus folles m’assaillaient et je ne pus, cette soirée-là, trouver le sommeil qu’après m’être encore et encore caressée. Étais-je en train de devenir grande ? Cela promettait !


Dès le lendemain matin, j’étais déjà transformée. Je commençais à voir les choses sous un autre angle, et ma petite rencontre avec Françoise m’avait laissée un petit goût de reviens-y. Je ne sais qui a dit un jour, qu’en Amour, les meilleurs moments ne sont pas les « pendant » ni les « après », mais les « avant »… Je commence à saisir que c’est très probablement vrai, car une porte s’ouvrait devant moi, pleine d’espoir. J’allais peut-être enfin pouvoir avoir, avec d’autres, des relations totales, sans complexe ni tabou. Accepter les autres tels qu’ils sont, se montrer tel que l’on est, et savoir que sur ce plan-là, aucun acte n’est répréhensible. Il suffit de ressentir le besoin de le faire… et de le faire… C’est tout. Deux ou trois jours après, je rencontrais Marc dans l’escalier. Il me fit la bise, m’exprima sa satisfaction d’être revenu, et m’invita à venir manger chez eux un de ces soirs. J’ignorais si Françoise lui avait dit quelque chose, mais il devait être au courant, car en me quittant, son baiser sur ma joue ne tomba pas loin de mes lèvres, et il fut un peu plus appuyé que d’habitude.


Le lendemain, rencontrant Françoise, elle me sauta au cou…



Déjà ! Pensais-je. Mais après tout !



De retour chez moi, je me demandais comment j’allais me fringuer. Et puis, finalement, mon choix s’orienta vers une petite robe échancrée sans rien dessous, deux petites bretelles, ne dissimulant que ce qu’il fallait de ma poitrine sans trop la cacher.


À 20 heures, je sonnais. Françoise vint m’ouvrir… Elle avait une super petite jupe très mini, très collante, des talons… mignonne à croquer… Derrière arriva Marc qui me prit gentiment dans ses bras, et après un profond regard, m’embrassa délicatement et furtivement sur les lèvres. Il était rassurant, doux. Françoise me tenait toujours par la taille et elle déposa sur mes lèvres un très doux baiser… et me félicita sur ma robe. À mon tour, je me mis à virevolter dans le séjour, appréciant les compliments sur ma tenue. Ce soir, tout semblait bon, beau, et j’étais à l’aise. Je me sentais bien avec eux, et je savais que je pouvais tout leur donner… tout leur demander… Le repas fut délicieux… Nous rions beaucoup. Mais j’étais un peu angoissée car j’ignorais totalement comment la soirée allait se poursuivre. Je me sentais bien.


Après le repas, Françoise mit de la musique, puis je l’aidais à débarrasser. Seules dans la cuisine, furtivement, nous nous enlaçâmes, elle m’enlaça et m’embrassa très tendrement sur la bouche, se collant de tout son corps contre le mien… Je lui rendis copieusement son baiser, avec ma langue dans sa bouche, accentuant ma pression de mon corps sur le sien…



Nous passâmes dans le salon. Marc se dirigea vers la bibliothèque et choisit un gros volume en cuir qu’il me tendit :



Et il s’installa sur le divan. Je m’assis dans le grand fauteuil à côté de lui, et il posa l’album sur mes genoux, me laissant le soin de tourner les pages. Les photos étaient soigneusement collées, montrant Marc et Françoise, nus, dans un camping, du côté de l’Ardèche. On les voyait sur la plage, au bronzing, ou à côté de leur caravane en train de prendre leurs repas. Marc se leva, pour servir à boire. Tournant une page de l’album, une photo non fixée tomba au sol. Je la ramassai, et je ne sus que faire… On y voyait Marc, allongé sur le lit de la caravane, nu, les jambes écartées, et Françoise allongée à côté de lui, en train de le sucer profondément, le sexe bien bandé dans la main. Ils regardaient tous les deux l’objectif. Marc vint se rasseoir à côté de moi, et au même moment, Françoise revint de la cuisine. Elle vit la première, la photo que je tenais en main.



Encore plus gênée… :



Et il sortit vers leur chambre. Françoise s’assit sur le divan.



Marc revint avec un album tout rouge. Il le posa sur mes genoux et s’assit à côté de Françoise sur le divan. Il lui passa le bras derrière le cou et elle se blottit contre lui. L’album sur les genoux, je l’ouvris tout doucement, consciente qu’il allait me révéler des choses que jamais personne n’ose demander à autrui. Sur la première, Françoise était sur le dos sur un lit, les cuisses repliées sur la poitrine, ouvrant avec ses doigts sa chatte vers Marc, qui, à genoux devant elle, s’apprêtait à la lécher, se tenant lui-même le sexe dans une main. Les autres étaient du même genre. On y voyait Marc sur le divan que je reconnus, chevauché par Françoise qui lui tournait le dos. On voyait clairement le gros membre à moitié enfilé dans la chatte de Françoise, ouverte sans pudeur à l’objectif et semblant visiblement prendre son pied. Toutes ces photos me fascinaient…



Il me sortit de ma torpeur. Ils étaient là, tous les deux, amoureusement enlacés. Les mains se promenaient sur les rondeurs, sur les bosses, les lèvres se cherchaient, se collaient… Et j’étais là à les regarder…



J’approchais mon fauteuil tout près, à portée de main… Je m’y enfonçais, à l’aise, consciente que le spectacle que j’allais voir était assez exceptionnel pour moi… Ils étaient là, tout près, et s’apprêtaient à m’offrir ce que je souhaitais intimement voir depuis longtemps. Françoise était chaude comme une chatte. Elle n’arrêtait pas de ronronner, d’embrasser Marc à bouche que veux-tu, de passer la main sur la bosse de sa braguette en me faisant un clin d’œil complice. Bientôt, Marc passa sa main sur la hanche de Françoise et se dirigea vers ses cuisses. La mini jupe ne cachait pas grand-chose. Françoise releva une jambe, posa le pied sur le divan, écartant fortement les cuisses, offrant son intimité sans culotte à la main de Marc, et à mon regard. J’avais les yeux fixés sur cette chatte que je n’avais jamais vue. Je vis les doigts de Marc y rechercher la fente et y pénétra un doigt. De suite, le bassin de Françoise commença à onduler. Elle gémissait tout en l’embrassant, et je vis ses doigts s’activer avec beaucoup de précision sur la braguette de Marc. La main s’y enfila et je ne pus que deviner les caresses. Mais elles furent du goût de Marc, qui défit lui-même sa ceinture pour faciliter les choses. Effectivement, le pantalon s’ouvrit, et je vis un énorme gland dépasser du slip, presque au niveau du nombril, bien bandé. Françoise le prit à pleine main, le dégagea tout entier, et toujours en embrassant Marc, se mit à faire coulisser la peau. J’étais là, l’album sur mes genoux, à me délecter du spectacle. Ils se branlaient devant moi… sans complexe… Françoise arrêta d’embrasser son mari, me regarda en souriant :



Lui regardait sa femme faire, toujours la main entre les cuisses. Puis il me regardait avec beaucoup de douceur pendant que Françoise le branlait. Françoise me montrait ce moment d’intimité avec beaucoup d’application. Elle se mouilla la main et la caresse devint plus fluide… Puis elle se pencha, me regarda et me dit :



Et elle posa sa bouche sur le gland de Marc, le lécha tout doucement, ouvrit les lèvres, et se l’enfonça dans la bouche. Sa caresse fut longue, douce. Marc, la tête renversée en arrière, grognait de plaisir. Elle suçait avec beaucoup d’application, tripotant les couilles… Je commençais vraiment à ressentir une forte démangeaison entre mes cuisses. Resserrant les genoux, je me surpris à appuyer d’une main sur mon pubis, comme je le fais parfois quand je ne veux pas que cela se voie… Elle le branlait, le suçait… C’était super de voir cette bouche déformée par le volume de ce braquemart qui coulissait entre les lèvres…


Soudain, elle se dégagea du fauteuil, se leva, finit de lui enlever son pantalon, et s’assit sur ses genoux, lui faisant face. Passant une main derrière elle, elle saisit son énorme sexe, le positionna en se surélevant un peu, et s’empala tout doucement sur lui, se l’enfonçant jusqu’à la garde… Elle resta immobile quelques secondes, laissant le plaisir l’envahir, puis commença une danse du ventre d’avant en arrière à réveiller un mort : Elle tendait bien son petit cul en arrière, faisant apparaître la colonne de chair jusqu’au gland et renvoyait d’un coup de reins : la bite disparaissait, avalée… Elle cambrait de nouveau avec lenteur son petit cul, laissant la colonne de chair coulisser devant mes yeux… puis se l’enfonçait brutalement d’un nouveau coup de reins, lui arrachant un râle de plaisir… Elle rentrait, sortait… c’était vraiment merveilleux, plein de tendresse, de douceur, d’un érotisme intense…