n° 00408 | Fiche technique | 14993 caractères | 14993 2306 Temps de lecture estimé : 8 mn |
14/02/23 corrigé 14/02/23 |
Résumé: Colette est représentante en dessous féminins. Elle sonne chez Chris et Catherine et commence à leur montrer des articles de plus en plus sexy | ||||
Critères: ffh couplus inconnu fellation cunnilingu 69 fsodo uro | ||||
Auteur : Chris Envoi mini-message |
Nous étions en week-end, un samedi après-midi dans cette charmante chaumière de bord de mer que nous partagions alors.
Détendus, devant un feu de cheminée revigorant, et alors que nous n’attendions personne, en cet après-midi froid et venté de décembre, Catherine et moi étions plongés dans la lecture d’un bon livre ; Catherine, un essai sur la condition des femmes intitulé « saintes pouliches », et moi-même, un roman historique « le banquet » après un excellent déjeuner et une petite gâterie réciproque (match nul : une léchette et une pipe).
Soudain, nous entendîmes des pas manifestement féminins qui martelaient le bitume de l’allée et le lourd marteau de la porte frappa contre le chêne. Catherine leva les yeux. Nos regards se croisèrent, l’un interrogeant l’autre. Nous n’attendions personne. Cette inconnue était à notre porte et, en soupirant, Catherine se leva pour aller ouvrir.
Je continuais ma lecture, entendant sans comprendre une discussion dans le hall lointain. Ouf, ne n’est pas pour moi, me disais-je, satisfait de conserver ma tranquillité.
Alors que je me disais qu’il devait s’agir d’une amie de Catherine, voire d’une voisine, je vis entrer dans le salon une superbe femme d’environ 35 ans, blonde aux cheveux mi-longs, elle était vêtue d’un tailleur bleu marine assez court et, ma foi, avait une allure fort plaisante et même sexy. Je remarquai également ses escarpins noirs aux talons fins et, chose devenue très rare, des bas à couture, du moins, le supposai-je.
Catherine la suivait avec un sourire aux lèvres, s’amusant de ma surprise.
Bien que mis devant le fait accompli par ces deux femmes qui s’appelaient déjà par leur prénom, je ne pouvais pas me montrer impoli. L’intruse à notre intimité était là et me regardait, souriante. Pensant ne pas être concerné, qu’il s’agissait de matériels domestique – ou que sais-je –, je répondis à Catherine :
Colette ouvrit sa valise de démonstration et je vis apparaître, dans des compartiments internes, une masse de couleurs froufroutantes, devinant qu’il s’agissait de dessous féminins et, semblait-il, de la très jolie lingerie fine.
Prenant un catalogue des mains de Colette, Catherine se mit à le parcourir et, rapidement, s’arrêta sur un modèle string/soutien-gorge assorti en dentelle bleu pâle, très ajouré et adorablement sexy.
Je matais du coin de l’œil, ma concentration à la lecture commençant à s’atténuer
Catherine prit le soutien-gorge et la culotte, caressa la dentelle.
Et aussitôt, Catherine retira son pull léger et son soutien-gorge, puis dégrafa sa jupe et, toisant Colette qui regardait ce rapide déshabillage, retira aussi son slip brésilien.
Catherine était nue devant nous. Je matais, un peu éberlué par la situation, Catherine, pas spécialement exhibitionniste, qui se mettait nue, comme ça, apparemment naturelle, devant une vendeuse de lingerie assise dans notre salon. Elle enfila la jolie culotte de dentelle bleue et le soutien-gorge à effet « wonderbra ». Ça lui allait comme un gant, si j’ose dire. Elle était absolument craquante.
Colette, se levant de son siège, retira sa veste de tailleur et commença à dégrafer son chemisier, laissant apparaître un soutien-gorge à balconnet blanc. Les yeux tournés vers moi, elle continua ce déshabillage et défit la fermeture éclair de sa jupe, laquelle tomba à ses pieds, dévoilant de jolies jambes gainées de bas-couture, des vrais bas à l’ancienne, retenus par un porte-jarretelles rouge et un mini-slip blanc assorti.
Catherine appréciait visiblement et les dessous portés par Colette et la situation. Elle s’amusait visiblement de ma gêne et de mon excitation, à en juger par le regard appuyé et légèrement moqueur sur ma braguette.
Je regardais l’une et l’autre. J’avoue que Colette avec ses bas et jarretelles m’excitait terriblement.
J’avançai la main sur les seins de Catherine, frôlant le tissu du soutien-gorge, un peu à la façon de Tartuffe avec Elmire.
Colette, souriant de l’évolution de la situation, s’approcha aussi de moi.
Colette retourna s’asseoir sur le canapé en face tandis que Catherine, elle, se laissa tomber sur le sofa où j’étais assis. Posant sa main sur mon pantalon, elle entreprit de le déboutonner devant Colette.
Pendant ce temps, parfaitement conscient d’être le jouet de ces dames, je me laissais faire, et Catherine, devant l’œil intéressé de Colette, ne tarda pas à dégager ma queue, dure et ferme, bien tendue, avec le gland s’échappant du slip qui contenait difficilement cette bandaison.
Elle commença aussitôt à me masturber, me branler devant cette femme qui matait la main de ma copine sur mon sexe fier.
Je regardais cette main, percevant le bruit délicieux fait par ses ongles sur la dentelle de son slip.
Catherine, penchée sur moi, commençait une douce fellation. Je vis Colette écarter sa culotte et m’offrir la vision de sa chatte épilée. Elle ouvrait ses lèvres intimes d’un doigt et d’un autre, touchait son clitoris. Elle regardait Catherine me sucer tout en se caressant de plus en plus franchement.
Après quelques coups de langue, Catherine releva la tête, voyant elle aussi la main de Colette dans sa culotte, et je l’entendis lui demander :
Mais précisément, cette coquine n’attendait que cela, car aussitôt elle fut debout et vint s’agenouiller devant moi, sa main remontant sur ma cuisse. Catherine lui tendit ma bite et Colette, visiblement ravie, la prit entre ses doigts, approchant sa bouche.
Elle goba ma queue délicatement et commença à m’aspirer et me pomper comme une affamée. Catherine regardait en souriant cette gourmande et bientôt, elles se partagèrent mon engin qui allait de bouche en bouche. Soudain, je m’aperçus que Colette avait glissé une main entre les seins de Catherine et, baissant les bonnets du soutien-gorge, les caressait et les excitait, au grand bonheur de Catherine qui adorait cela.
Tandis que Catherine reprit la maîtrise de la fellation, Colette se releva et vint derrière elle, à genoux sur le sofa, pour lui caresser les cuisses et les fesses. Elle appréciait manifestement la bouche de Colette et tendait son postérieur, ouvrant bien ses cuisses, continuant de me sucer divinement.
Catherine se leva après un moment, et nous quitta. Colette se retourna vers moi pour se remettre ma queue dans la bouche, alors que Catherine revint rapidement avec à la main un vibromasseur.
Elle se mit à son tour derrière Colette, lui retira sa culotte de dentelle blanche et entreprit de lui passer son engin vibrant entre les cuisses, sur la chatte, sur ses fesses.
Charlotte se trémoussait de plaisir en avalant ma queue au plus profond de sa gorge. Après quelques minutes, les femmes changèrent de position, et se mirent en 69. Je voyais les fesses de Colette à côté de moi et, par-dessous, la tête de Catherine qui léchait la chatte de la coquine, tout en lui promenant le vibro sur la raie des fesses. Je me masturbais en regardant ce spectacle excitant alors que j’entendais les bruits de succion que faisait Colette qui dévorait la chatte de ma copine. Les deux coquines ne tardèrent pas à jouir ainsi.
Elles s’allongèrent ensuite sur le sofa, face à moi, et Catherine me dit :
Je commençai par Colette qui appréciait beaucoup de se faire enfiler ainsi, gémissant de plaisir.
Puis, ce fut le tour de Catherine, et encore Colette. J’alternais dans leur chatte, mélangeant leur jus sur ma queue. Les cochonnes jouirent une nouvelle fois de ce traitement.
Je ne pris pas la peine de répondre à une telle invitation, et selon le proverbe « qui ne dit mot consent », Colette comprit qu’elle pouvait se mettre en bonne position pour se faire prendre par-derrière.
À quatre pattes sur le sofa, ses fesses relevées qu’elle écartait de ses mains, elle attendait l’intromission culière tandis que Catherine salivait sur ma queue pour la faciliter. Impatiente, elle attendait tout en se touchant la chatte, passant un doigt enduit de cyprine sur son anus.
Je ne la fis pas attendre plus longtemps et présentai mon gland sur son œillet palpitant. Je fus étonné de rentrer facilement et ne tardai pas à la besogner avec ardeur, alors que Catherine se glissait tête-bêche entre les cuisses de Colette.
Tandis que j’enculais Colette vigoureusement, et je pouvais dire qu’elle appréciait, je sentais tantôt le vibromasseur de Catherine qui vibrait sur la chatte de Colette, sur mes couilles, dans la raie de mon cul, tantôt sa bouche et sa langue qui lapaient les nymphes excitées de Colette ou gobaient mes couilles, tantôt ses doigts sur mes fesses ou dans le con de Colette. Bref, la coquine exacerbait les sensations de la sodomie par ses attouchements et agaceries cochonnes.
Excité par le vice de ces deux cochonnes, j’accélérais mes coups de queue dans le fondement accueillant de Colette, et sentais le plaisir monter. J’éjaculais bientôt en de généreux jets de foutre épais sur l’anus ouvert et la chatte de Colette… à laquelle buvait goulûment Catherine, jouissant elle aussi avec ses doigts.
Après une brève récupération, nous nous retrouvâmes dans la salle de bain. Je m’allongeai, nu dans la baignoire, et les deux femmes vinrent debout sur moi, cuisses écartées, l’une face à l’autre, et summum de la volupté de cet après-midi délicieusement pervers, elles commencèrent à uriner sur mon ventre, ma queue, ma poitrine. Je recevais leur jet doré et me masturbant, ce qu’elles regardaient avec gourmandise. Elle se touchaient, elles aussi, suprêmement excitées par la perversité de cette miction naturelle. Je me fis jouir ainsi une seconde fois.
Après une douche réparatrice de nos excès érotiques, Colette accepta un thé. Après avoir noté notre commande, elle nous quitta, fort satisfaite d’avoir vendu la parure bleue et la parure blanche, et surtout, en plus du chèque, ravie d’avoir reçu un paiement en nature de cette qualité.