n° 00459 | Fiche technique | 23418 caractères | 23418 3930 Temps de lecture estimé : 16 mn |
02/03/23 corrigé 02/03/23 |
Résumé: Ils se rencontrèrent dans la grande roue de la concorde. Leur flirt fut d’abord très classieux, mais quand le sexe se déchaîna... | ||||
Critères: fh intermast fellation fsodo uro -totalsexe | ||||
Auteur : Chris Envoi mini-message |
En cette fin d’hiver, le crépuscule s’annonçait triste à Paris alors que, seul, je déambulais sur les quais du Palais de Justice vers le Musée d’Orsay. Je venais de plaider une affaire et, fait exceptionnel, d’autres obligations parisiennes m’attendaient le lendemain, de telle sorte que je devais y passer la nuit. Mon client avait fait preuve de générosité et je logeais dans un hôtel chic, avec une vue originale dont je parlerais plus avant.
Je méditais en marchant, lorsque mon regard aperçut la grande Roue de la Place de la Concorde, brillante et illuminée, installée depuis plusieurs mois pour l’an 2000.
Poursuivant ma promenade solitaire, je m’approchai de plus en plus de cette Grande Roue et, arrivé place de la Concorde, je me décidai à prendre ma place dans la file d’attente. J’achetai mon billet et attendis l’arrêt de la Roue pour prendre une nacelle. Il y avait beaucoup de jeunes et, juste devant moi, une femme monta. Je la suivis aussitôt et une bande de trois ou quatre jeunes, nous voyant installés, refluèrent pour prendre la nacelle suivante, de telle sorte que je me retrouvai seul avec cette inconnue assise en face de moi dans cette nacelle grillagée.
Elle était brune, les cheveux droits et souples, mais assez courts, des yeux noisette, une bouche sensuelle aux lèvres pulpeuses, environ trente-cinq ans. Elle portait un imperméable vert bouteille au col relevé, de jolies chaussures avec talon.
La Roue commença à tourner. La vue était réellement splendide : les monuments illuminés de Paris, les flots jaune et rouge des voitures sur les Champs… Nous tournions lentement, au rythme de la Roue.
Nos regards embrassèrent la ville et se rencontrèrent. Souriant, émerveillé comme un gamin, je lui rendis son sourire. Elle bougeait de gauche et de droite, regardant autour d’elle. Son imperméable était ouvert et je vis ses jambes, voilées de noir, ainsi que sa jupe de tailleur qui remontait progressivement à mesure qu’elle se tournait d’un côté ou de l’autre.
Sur ma réponse, elle me montra un dôme éclairé.
Elle me montra la direction de sa main.
Un silence…
Elle baissa les yeux et se rendit compte de mon allusion. Sa jupe était bien remontée à force de contorsions pour admirer la vue de chaque côté, et on voyait la lisière de ses bas noirs.
Je me levai de mon siège et vins m’accroupir devant elle dans la nacelle, posant ma main sur une de ses cuisses, la caressant un peu puis passant sous le tissu de sa jupe, ma main faisant crisser le voile de ses jolis bas Chantal Thomass.
Je n’échappai à aucune des observations que l’on entendait des honnêtes femmes en pareille circonstance, mais qui finalement en faisaient peu pour que cela cesse…
La chance vint à mon secours, car notre nacelle s’immobilisa tout en haut de la roue. À genoux devant ses jambes, je les lui caressai doucement, remontant de plus en plus haut. Elle ne réagit pas, tout au plus, lança-t-elle quelques regards pour s’inquiéter de savoir si on pouvait nous voir des autres nacelles… Ce n’était pas le cas.
Ma main atteignit ses cuisses nues en haut des bas… Elle ne les ferma pas, et ma main toucha bientôt sa fine culotte de dentelle. Je commençai à la caresser doucement, avec un doigt, puis deux à travers son slip.
D’autant qu’elle écarta un peu plus les jambes, ce qui me permit d’approcher ma tête et de poser ma bouche entre ses cuisses. Je léchai sa culotte, humai la fragrance de son intimité. Je la sentis regarder de droite et de gauche, tout en avançant son bassin.
Je passai alors un doigt sous l’élastique de sa culotte, touchant les lèvres lisses de son sexe épilé. Après quelques caresses digitales, j’écartai sa culotte, découvrant sa chatte humide sur laquelle je plaquai ma bouche.
La nacelle n’avait pas bougé ; nous étions toujours en haut. Je passai ma langue sur son abricot, excitai son clitoris débusqué et tendu. Elle émit quelques gémissements. Je goûtai sa mouille abondante et m’en délectai. Je suçai avidement cette moule odorante et suintante de désir, au goût vraiment délicieux, buvant, mangeant, broutant.
Je ne tardai pas à mettre un doigt, puis deux dans son fourreau mouillé tout en suçant son bouton turgescent, aspirant ses lèvres intimes, enfonçant ma langue gourmande… Bref, dévorant cette chatte offerte au désir. La situation insolite, manifestement, décupla son excitation, et alors que la nacelle se remit en branle, si j’ose dire, elle serra les cuisses contre ma tête, gémissant son plaisir et sa jouissance.
Je me relevai, la bouche et les lèvres luisantes de son jus, alors qu’elle rabaissait sa jupe, me regardant en coin, puis jetant un regard sur ma braguette tendue. Elle me sourit et me dit simplement « merci », lorsque la nacelle s’arrêta et que nous sortîmes sur le parvis. Je ne la lâchai pas, elle-même demeura près de moi.
Elle resta là, probablement encore un peu dans les nuages, et me dit :
Et justement, je n’avais plus de mouchoir de papier. Elle m’en tendit un, et je m’essuyai un peu la bouche et le nez. Tout en marchant, nous nous aperçûmes être entrés dans le jardin des Tuileries. J’approchai du premier bassin et trempai son mouchoir dans l’eau pour me débarbouiller. Elle était là et souriait.
C’est ainsi que nous fîmes un peu connaissance et qu’elle m’apprit qu’elle travaillait dans la banque, qu’elle était en stage sur Paris pendant trois jours, qu’elle terminait demain, qu’elle venait de Limoges, qu’elle était mariée…
Tout en parcourant lentement les allées, je lui pris la main.
Elle sourit et, m’arrêtant, je l’attirai contre moi. Nos bouches se joignirent. Elle ouvrit les lèvres et nos langues se mêlèrent dans un baiser de plus en plus humide. Elle ne put pas ne pas sentir ma queue dure contre son ventre…
Discrètement, protégée par son imper, elle passa sa main entre nous, serra mon sexe à travers la braguette, puis descendis soupeser le reste.
Lui tenant toujours la main, je pris mon portable pour réserver une excellente table bien connue proche du quai Voltaire. Par chance, il restait de la place.
Nous continuâmes notre promenade, longeant le bord de Seine jusqu’au Pont-Neuf, passant devant les bouquinistes qui fermaient leur échoppe, devisant sur nos vies respectives et le hasard des rencontres.
Naturellement, nous ponctuâmes notre marche de baisers de plus en plus humides. Fabienne se collait à moi, frottant son ventre sur ma braguette.
Le temps passa vite et, revenant quelque peu sur nos pas, nous atteignîmes notre restaurant dont le décor moyenâgeux, armures et même ceintures de chasteté, fit l’admiration de Fabienne.
Installés dans un coin discret, face à face autour d’une table ronde à longue nappe, nous dînâmes avec appétit, notre conversation dérivant progressivement sur le sexe.
Le prélude de la Grande Roue avait en quelque sorte placé Fabienne sur orbite. J’appris ainsi que son mari était peu aventureux en la matière et qu’il manquait singulièrement de fantaisie, avec une nette tendance à l’espacement des rapports et à la réduction de leur durée, ce qui laissait Fabienne sur sa faim sexuelle. Elle avoua facilement qu’elle se masturbait quasiment chaque jour, mais je ne pus obtenir qu’elle me livre ses fantasmes secrets.
Parfois, ma main glissait sous la nappe pour caresser doucement ses cuisses, parfois je touchais sa poitrine, défaisant son chemisier d’un, puis de deux boutons, admirant le sillon prometteur de ses seins lourds.
Elle ne répondit pas, réfléchissant à la proposition. Lorsque je vis son regard espiègle et son sourire, je sus qu’elle allait effectivement venir payer sa dette et expérimenter quelques fantasmes.
Nous arrivâmes au dessert. Je vis son bras sous la table…
Elle me regarda dans les yeux, le regard allumé. Je vis son bras bouger imperceptiblement.
Elle me tendit deux doigts humides de sa cyprine que je léchai avec délectation…
La serveuse vint nous apporter le dessert et je dus interrompre cet interrogatoire qui apparaissait prometteur sur les goûts de Fabienne en matière de queues. Je lui demandai immédiatement l’addition, je payai et la serveuse nous gratifia d’un « bonne fin de soirée » complice…
Nous quittâmes rapidement cet excellent restaurant, nous dirigeant vers son hôtel. Je tenais Fabienne par la taille, le bras passé sous son imper, ma main posée sur ses fesses.
Nous fîmes plusieurs arrêts pour nos embrasser et nous rouler des patins de plus en plus chauds et humides. Chaque fois, elle se collait à moi, pressant son pubis sur ma bosse. Puis, de sa main, elle me serrait la queue à travers mon pantalon…
Quelques mètres plus loin, c’est moi qui glissai une main dans son corsage, et même jusque dans son soutien-gorge, pour caresser et exciter la pointe déjà dure de ses beaux seins.
Je la sentais de plus en plus libérée, l’excellent bourgogne y était aussi pour quelque chose.
Nous arrivâmes à son hôtel.
En patientant, je me dis : « et si elle ne revenait pas ? Non, sûrement pas, elle est bien allumée et elle a envie. Mais elle va penser à son mari, etc. » J’aurais dû monter avec elle… mais elle me rassura, car, après quelques minutes à peine, je la vis redescendre, souriante et complice.
Nous prîmes le chemin de mon hôtel, continuant nos agaceries érotiques dans un état d’excitation croissant dangereusement, nous tenant la main à travers les ruelles du quartier. Ses talons résonnaient sur le pavé luisant après l’averse.
Nous débouchâmes sur les quais, longeant la Seine au flot sombre et inquiétant. Sur le pont Royal, nous nous arrêtâmes dans un renfoncement du parapet pour nous rouler un nouveau patin, nos langues sorties, nous pelotant comme des collégiens. Je lui glissai ma main sous la jupe et de son côté elle baissa le zip de ma braguette, caressant ma queue par-dessus mon slip tendu par ma bandaison.
Pour la première fois de la soirée, je la tutoyai…
Nous traversâmes de nouveau la Seine, apercevant la Grande Roue qui tournait toujours…
Elle sourit.
J’étais satisfait en moi-même de constater qu’elle n’hésitait plus à évoquer ses désirs et sensations intimes et sexuels.
C’est alors que nous entrâmes dans mon hôtel…
Je l’entraînai vers l’ascenseur… J’appuyai sur le 5.
Je mis ma carte électronique dans la serrure, Fabienne découvrit la chambre, spacieuse, et tout de suite l’immense lit de plus de deux mètres de large comme il y en a dans les grands hôtels.
Elle découvrit la salle de bains, presque aussi grande que la chambre, et surtout la baignoire, ronde, à deux places, avec une vue directe et superbe sur l’avenue de l’Opéra jusqu’au Palais Garnier.
Nous retournâmes dans la chambre. Debout, l’un face à l’autre, nous nous regardâmes les yeux pleins d’un désir réciproque. Je lui retirai son imper et sa veste de tailleur, la coquine s’attaqua tout de suite à ma braguette, affamée.
Nous basculâmes sur le lit, nos mains nous déshabillant. En un clin d’œil, je me retrouvai nu, et Fabienne en dessous. Elle retira son soutien-gorge et sa culotte.
Fabienne prit en main ma bite et commença à me masturber, puis à me sucer. Elle caressa aussi mes couilles. Je sentis sa bouche chaude et moelleuse qui me pompa.
Je me mis à quatre pattes sur le lit. Fabienne vint derrière moi et tout en caressant mon gourdin et mes couilles, se mit à lécher mes fesses, ma raie, mon anus. Je sentis sa langue gourmande et coquine frétiller sur mon petit trou, puis son ongle prit le relais.
Fabienne était de plus en plus déchaînée et prête à tout. Je sentis son doigt dans mon cul, puis elle en mit un second tout en suçant mes couilles. Elle vit que je me branlais la queue en même temps.
Je ne pus plus me retenir. Je sentis ma sève monter et allai exploser de plaisir.
Ainsi traité, je ne résistai pas longtemps. Fabienne me branla la pine tournée vers ses seins, et bientôt je lui lâchai plusieurs jets de foutre épais qu’elle répandit sur ses tétons en partie, et ramassa avec son doigt pour le goûter…
Elle prit tout de suite la position et je vins par derrière lui caresser les fesses, léchant sa raie en la branlant d’un doigt, puis ma bouche et ma langue la léchèrent de haut en bas, depuis son clitoris excité jusqu’à son anus palpitant de désir, mais que je voyais bien serré. Elle ne tarda pas à jouir une nouvelle fois sous ma langue coquine, feulant de plaisir.
Je ne pus évidemment pas résister à une telle invitation.
Je vins derrière elle et n’eus aucune peine à enfiler mon chibre tendu entre ses cuisses dans son con trempé.
Je la limai bien à fond. Elle gémissait de plaisir, la bouche sur l’oreiller étouffant ses cris lorsque je lui défonçais sa chatte.
Elle eut orgasme sur orgasme. J’admirais son joli cul ferme et rond, que je caressais en la besognant, agaçant sa rosette de mon doigt.
Je pris alors de la mouille, puis de la salive et, doucement, léchant son anus, je lui enfonçai progressivement un doigt qui coulissa dans son cul qu’elle tendait vers moi. Je lui mis un deuxième doigt, sentant ses muscles s’assouplir.
Je vins derrière elle et posai mon gland sur sa rosette lubrifiée et palpitante de désir. Je poussai.
Je sentis son anus se relâcher pour laisser passer mon gland. Je lui mis de la salive. Ma queue entra. Je commençai à bouger doucement.
Elle-même faisait de petits mouvements pour absorber totalement ma queue.
Basculant sur le côté, je me retrouvai sur le dos avec Fabienne sur mon ventre, emmanchée sur ma queue, face au grand miroir de la chambre. Elle se voyait, cuisses écartées, avec ses bas, sa main posée sur sa chatte, à se branler comme une salope, pressant mes couilles à l’occasion, et surtout, elle voyait ma grosse queue dans son cul, allant et venant entre ses fesses.
Elle bougea sur ma bite, me l’aspira en elle, serrant ma hampe qui ne put résister non plus très longtemps, si bien que je giclai dans son anus pour la seconde fois dans la demi-heure…
Elle regarda le liquide blanc s’écouler de son anus palpitant, se le caressant d’un doigt… Je me levai pour prendre une demi-bouteille de champagne dans le Minibar et lui tendis une coupe. Nous trinquâmes au sexe et à ses plaisirs.
Fabienne, tout engluée de son jus et de mon sperme, retira ses bas et nous allâmes dans la salle de bain, faisant couler de l’eau chaude dans la grande baignoire avec vue.
Je me mis quasiment allongé dans la baignoire.
Fabienne se mit accroupie et écarta les lèvres de sa chatte. S’approchant de moi, elle commença à uriner.
J’ouvris la bouche pour en boire en peu. Elle me regarda recracher son pipi, le liquide s’échappant de ma bouche remplie. Je me masturbai en même temps.
Je me levai et, debout, fis pipi sur le ventre et les seins de Fabienne, qu’elle se tripota sous mon jet. Elle prit ma queue pour la diriger vers son visage. Mon urine l’éclaboussa. Elle souriait, la coquine, happant les dernières gouttes de sa langue curieuse.
Une bonne douche nous calma et nous regagnâmes le lit, témoin de nos turpitudes, qui nous attendait… Nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre, repus de plaisirs.
Le matin arriva très vite. Après quelques baisers, nous eûmes à peine le temps de nous préparer, d’échanger nos coordonnées et de nous quitter. Pour le moment, nous ne nous sommes pas revus, mais avons échangé quelques conversations téléphoniques coquines. Nous attendons une prochaine occasion.