n° 00472 | Fiche technique | 14756 caractères | 14756Temps de lecture estimé : 9 mn | 03/06/00 corrigé 12/11/10 |
Résumé: Séverine s'est fait embaucher comme masseuse dans ce centre de thalassothérapie. Elle s'intéresse aux femmes, un véritable macho sommeille sous sa frêle apparence ! Elle s'apprête à masser Béatrice. | ||||
Critères: ff frousses médical travail massage intermast cunnilingu -initff -f+medical -travail | ||||
Auteur : Valérie_Maingat Envoi mini-message |
Séverine était une grande femme, cheveux noirs et yeux gris bleu. Pas spécialement féminine, elle était souvent habillée en jean et chemise, pas spécialement courtisée non plus, elle vivait à 35 ans en vieille célibataire aigrie… pas si aigrie que cela d’ailleurs car elle avait un péché mignon la bougresse : elle s’intéressait aux femmes, un véritable macho sommeillait sous la frêle apparence de cette gonzesse !
Elle avait pourtant connu des bites d’hommes, de bonnes vieilles bites rugueuses et noueuses qui, pénétrant en elle, lui avaient fait malgré tout un bien fou mais de fait tout ceci était si futile et dérisoire ! Et elle ne s’intéressait qu’aux femmes, langoureuses, sensuelles et désirables. Elle avait envie de les posséder et elle y pensait sans cesse, dès que son travail éreintant lui laissait un moment de répit.
Certes il ne fallait pas qu’une paire de jambes dénudées passe dans les parages parce qu’alors là, elle ne répondait plus de rien, elle ne pouvait pas assurer en même temps son travail et son désir…
Je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître… Hihi, non je plaisante, j’ai horreur de Montmartre, ce vilain piège à touristes. Mais il est vrai que l’histoire se situe… longtemps par le passé et, en ce temps-là, être gouine n’était pas si avouable, il fallait se cacher, cacher ses idées, cacher ses désirs, cacher ses passions, si l’on voulait paraître à peu près naturelle. Et pourtant mai 68 était passé et trépassé depuis longtemps mais il y avait loin de la rose aux lèvres.
Séverine shoota dans la porte comme un vrai camionneur, elle venait de boire une bière et se sentait parfaitement mec, il ne lui manquait que quelques attributs entre les cuisses…
Béatrice L. était là devant elle, sous la douche, une douche épaisse, chaude et embrumée… Et cela faisait des journées entières qu’elle rêvait de cette fille, de cette belle rousse dont l’épaisse crinière dégoulinaient sur sa large poitrine. Cette petite allumeuse, dérangée dans ses ablutions, agrippa prestement sa serviette et se l’enroula autour de la taille en essayant au mieux de protéger sa nudité.
Séverine s’était fait embaucher comme masseuse dans ce centre de thalassothérapie. Ce n’était pas là sa vocation initiale, elle était kinésithérapeute, mais c’était mieux rémunéré. Dans ce centre de luxe pour bourgeoises esseulées, on pouvait se faire des couilles en or et c’est ça qui lui plaisait justement. Certes tout n’était pas toujours aussi rose que cela, la plupart de ces dames étaient de vieux tromblons et franchement ça lui répugnait un peu d’avoir à toucher toutes ces vieilles peaux. Elle eût sans doute préféré qu’elles soient toutes comme Béatrice, peut-être pas spécialement belle mais en tout cas jeune et fraîche, la peau pas encore ridée et la chair ferme… Mais force est de constater que dans cet institut c’était là l’exception et qu’elle avait rarement l’occasion d’avoir une aventure dans le cadre de son travail… Et puis après tout il n’y a pas de sot métier et s’il faut palper des chairs molles pour avoir un bon salaire à la fin du mois, pourquoi pas…
Mais voilà que pour une fois son travail lui apparaissait comme beaucoup plus agréable. Béatrice L. était venue ici avec sa mère, une vieille femme revêche et acariâtre. Elles avaient atterri ici suite un accident, pas trop grave sans doute mais elles se sentaient toutes cassées et "incapables (pauvres petites) d’avoir une activité normales".
Séverine était une bonne masseuse, une des meilleures. À l’institut on s’arrachait ses services et ce n’était certes pas pour sa douceur mais bien pour le savoir-faire qu’elle y mettait. Quand une tâche lui était confiée, elle prenait de toute façon un point d’honneur à la mener à bien. Elle avait beaucoup lu, beaucoup étudié, fait quelques stages pratiques avec les meilleurs spécialistes du domaine. Elle tenait à ce que les clients et les clientes soient toujours le plus possible satisfaits…
Béatrice s’était bien sagement allongée sur la table tandis que Séverine s’enduisait les mains d’huile. Elle sentit bientôt les mains de cette femme rude se poser fermement sur son dos et glisser lentement sur sa peau avec une fermeté inaccoutumée. C’était la première fois qu’elle se retrouvait avec cette masseuse dont on lui avait dit le plus grand bien et c’est vrai qu’elle semblait beaucoup moins "superficielle" que les autres. Cet accident stupide lui avait à moitié chibré la colonne, elle ressentait depuis des douleurs dans tout le dos, le cou, les reins, elle se sentait comme une petite vieille. Et elle était convaincue que ce séjour dans ce centre était une riche idée.
Béatrice sentit tout d’un coup les doigts fermes de la masseuse enfoncer ses frêles épaules. Elle laissa échapper un grognement de… Curieusement cela ne lui avait pas fait mal, la masseuse avait su trouver le point exact qui pouvait lui apporter un certain bien-être. Sans doute les autres avaient-ils raison, cette femme semblait particulièrement douée… Aussi s’abandonna-t-elle en toute confiance entre ses mains.
Désormais, les mains expertes parcouraient son dos entre son cou et la serviette. Imperceptiblement, ils glissaient à chaque fois légèrement plus bas, faisant par-là même glisser la serviette sur ses fesses. Mais elle n’y prenait trop garde. Après tout , c’était une vraie professionnelles qui l’avait en main…
Un peu plus tard, Séverine retira la serviette mais Béatrice n’en fut pas plus choquée pour autant . Les mains de la masseuse désormais glissaient sur ses jambes, remontaient sur ses cuisses, s’attardaient sur ses fesses rebondies, autant de sensations agréables… Un bien-être fou la submergeait. Pour la première fois depuis bien longtemps, elle se sentait bien dans sa peau. Elle ferma un instant les yeux, repensa à Hubert, à cet amant incertain qui ne l’avait pas satisfaite depuis bien longtemps et qui, comble de maladresse, avait essayé de la chevaucher quelques jours après l’accident… Elle ne savait pas trop pourquoi elle repensait à tout cela maintenant, à ces situations empreintes d’érotisme, peut-être ce sentiment de plénitude y était-il pour quelque chose…
Elle rouvrit les yeux. Séverine, qui n’avait pas arrêté de la masser et qui devait commencer à fatiguer un peu, la regardait. Un regard étrange, mélange de fermeté et de tendresse, lui donna presque une impression de malaise. Séverine rajouta de l’huile, s’attardant maintenant sur le haut de ses cuisses, presque à en être obscène. Pourtant Béatrice regardait sans rien dire, perdue dans un monde onirique… La masseuse lui pétrissait ses belles fesses et elle ne pouvait plus nier qu’elle adorait ça… Elle se sentait bien, merveilleusement bien. Et, au lieu de se rebiffer, dans un élan de folie, elle s’abandonna entièrement.
Séverine sentit imperceptiblement que quelque chose venait de changer… Les muscles étaient moins durs, la peau moins revêche aussi, plus chaude, plus avenante. Elle lui massait désormais franchement les fesses, s’attardant même sans ambiguïté sur sa raie. Puisqu’il semblait ne plus y avoir d’obstacle, autant s’engouffrer franchement dans la brèche. À l’instant précis où Séverine se hasarda entre ses cuisses, Béatrice poussa un soupir de satisfaction. Un simple effleurement et un si grand soubresaut, son bas ventre était en feu, elle n’avait pourtant jamais connu aucun amour saphique, elle avait l’impression d’être totalement déconnectée de la réalité, comme dans un rêve, sauf que dans ce rêve-là elle sentait particulièrement bien les doigts épais de la masseuse effleurer sa chatte. Mais elle préférait ne pas y penser… d’autant plus qu’ils s’attardèrent bientôt sur sa fente, de plus en plus franchement, allant jusqu’à écarter ses chairs… Et ces simples attouchements lui procuraient désormais un plaisir hors du commun. Désormais, Béatrice sentait distinctement les doigts l’écarter et glisser en elle. Elle avait honte, elle était toute mouillée par ce désir malsain. Elle aurait voulu s’en défaire mais il était là, bien en elle, au plus profond de son être, au fond de son subconscient.
Un peu plus tard, Séverine arrêta là ses attouchements et se releva. Elle retira prestement son t-shirt et son jean, dévoilant une poitrine plate aux gros tétons ainsi qu’un entrejambe particulièrement poilu. Surprise supplémentaire, elle ne portait aucun sous-vêtement. Béatrice la regarda se déshabiller sans rien dire, sans rien faire, juste en attendant. Dieu que cette fille était musclée et anti-féminine au possible. Elle eut tout de suite envie d’elle, elle n’avait encore jamais éprouvé aucun sentiment de cette nature envers aucune femme. Séverine lui demanda simplement de se retourner et elle s’exécuta sans rien dire mais sans quitter des yeux la masseuse. Elle était toute ouverte à ses caresses, elle n’attendait que ça.
Alors, Séverine entreprit de lui masser la poitrine, pas spécialement développée sans doute mais en tout cas beaucoup plus que la sienne propre. Ses mains faisaient des cercles concentriques autour des tétons qui pointaient durs et fiers vers le ciel. Elle était terriblement excitée cette bougresse, rien qu’à regarder le bout de ses seins on ne pouvait s’y tromper. Elle hasarda un doigt sur ces extrémités turgescentes ce qui eut immédiatement pour effet de faire gémir Béatrice. Hyper-sensibles qu’ils étaient et ses globes gonflés à bloc. Elle se hasarda à rouler les tétons entre ses doigts, les deux en même temps en rapprochement les seins et cette fois Béatrice hurla sa jouissance. Elle était si excitée que ce simple attouchement mammaire venait de la faire jouir une première fois.
Sans s’arrêter une seconde, Séverine entreprit d’inspecter méticuleusement le corps de son amante en descendant doucement vers sa fève. Puis elle entrouvrit les lèvres charnues et, se penchant entre ses cuisses, posa sa bouche sur son bouton d’amour. Nouveaux gémissements d’approbation, nouveaux spasmes. Cette fille était vraiment à fleur de peau, c’en était un régal… En plus elle adorait cette toison clairsemée qui ne cachait pas grand-chose de son intimité. Elle lui fit légèrement écarter les cuisses et enfonça prestement les doigts dans sa chatoune. Elle était en eau, un filet de cyprine dégoulinait entre ses fesses, elle avait rarement vu une fille aussi excitée. Elle lui enfonça un doigt, deux doigts, trois doigts bientôt quatre doigts. Elle était si trempe, si ouverte, elle se laissait faire avec délectation… Elle râlait, elle gémissait, tout en laissant s’échapper de temps à autres de petits "Oui", certes timides mais qui n’en étaient que plus poignants…
Maintenant Séverine avait la bouche entre les cuisses de sa belle patiente et humait avec délice ses effluves. Quel parfum, quelle odeur, cette odeur de chatte excitée la mettait comme à chaque fois hors d’elle-même et cela suffit presque à la faire jouir. Elle sentit un flot de cyprine couler entre ses cuisses. Et, par gourmandise, elle huma de nouveau ce fumet. Elle écarta les chairs de sa compagne et plongea sa langue dans cette liqueur divine. Dans ces moments-là, elle devenait chienne, elle lapait, elle était folle de ce savoureux nectar. Elle aspira goulûment tout ce qu’elle put, elle aurait voulu tout boire, tout aspirer, tout avaler et s’enduire le visage du jus de son amie… En attendant, celle-ci cambrait ses reins à la recherche de l’extase. Reprenant ses esprits, Séverine entreprit de lui lécher le clito tout en la branlant avec ses doigts. Elle se déchaîna sur elle, léchant et défonçant sans ménagement, mais l’autre n’attendait que ça… Sans plus s’arrêter… jusqu’à ce que Béatrice vienne dans sa bouche en lui inondant la figure de son jus…
Pour autant, Séverine continua à la lécher pour ne pas en perdre une goutte. Béatrice gémissait sans plus s’arrêter un instant, mugissait devrais-je dire, totalement partie dans un univers parallèle, le corps secoué de spasmes ininterrompus comme si elle était soudain tombée sur un fil électrique dénudé, électrocutée par le plaisir…
Et ceci dura, dura, de longues minutes. Les deux femmes étaient sans voix. Béatrice était toujours pantelante sur la table, Séverine toujours à genoux entre ses cuisses, sa bouche posée sur sa fève. Elles seraient bien restées ainsi éternellement. Ce fut Séverine qui émergea de la torpeur… Quoiqu’elle n’ait pris aucun plaisir, si ce n’est celui de faire jouir sa nouvelle amie, elle savait qu’il était temps de remettre tout en ordre… Une autre patiente devait arriver et dans cinq minutes ce serait elle qui serait là à la place de Béatrice… Elle se rhabilla en toute hâte, remit de l’ordre dans ses cheveux et alla se laver les mains et la bouche pendant que Béatrice émergeait péniblement. Il fallut même la houspiller un peu pour la faire se dépêcher. Séverine l’aida à se rhabiller. Puis, une petite claque sur les fesses, un petit bisou sur la bouche et elle l’expédia, sans doute à regrets mais il fallait se montrer raisonnable…
Juste avant de partir, elle lui souffla :
L’autre esquissa un sourire et s’en fut béatement, elle était encore sur son petit nuage…
Peut-être un jour la suite…