n° 00517 | Fiche technique | 7605 caractères | 7605 1260 Temps de lecture estimé : 5 mn |
13/06/00 corrigé 17/11/22 |
Résumé: Deux jeunes femmes découvrent l'amour lesbien dans un jardin | ||||
Critères: ff copains jardin cunnilingu init ecriv_f | ||||
Auteur : Mlle de saint Ange (Une des jeunes filles) |
Ça y est, je me lance, j’ai décidé d’écrire ma première histoire. Jeune fille de 18 ans, je passe de bons moments à me caresser devant mon écran en lisant les autres histoires, le temps est donc venu pour que je vous fasse partager les miennes.
Je voudrais vous parler de Camille, ma meilleure amie. Nous nous connaissions depuis notre naissance. Lorsque je vins passer un après-midi, comme je l’ai fait tant de fois, chez elle au mois de juillet. Habitant toutes les deux dans l’un des plus beaux quartiers résidentiels du nord de Paris, nous avions la chance de pouvoir profiter d’un immense jardin.
Mais si nous tenions tant à nous voir, c’est que je venais d’avoir mon premier rapport sexuel avec un mec et qu’il fallait que je lui raconte tout en détail… Ce dont vous aurez peut-être le droit dans une prochaine de mes histoires. Bref, nous montions dans sa chambre et je commençais mon récit. Au fur et à mesure que je lui racontais tous les détails, je vis ses yeux qui commençaient à s’émerveiller, elle qui n’était pourtant plus vierge et, quant à moi, je me suis surpris à mouiller en lui parlant.
Nous étouffions dans sa chambre, ainsi proposa-t-elle que nous allions dans son jardin. Elle prit deux serviettes et une protection solaire avec elle.
Ainsi, arrivée dans son jardin, la voici qui étend sa serviette et commence à se déshabiller. En moins de deux, elle était en petite culotte et en soutien-gorge. Faisant un sport collectif et connaissant donc bien les situations de vestiaires, cette quasi-nudité n’aurait pas dû me déranger. Pourtant, ce fut tout autre. Je devenais rouge comme une tomate et Camille qui le remarquait ne manqua pas de me le signaler et de me taquiner.
La voici donc allongée sur sa serviette et m’invitant à en faire de même. Ce n’était pas tant me déshabiller devant elle qui me dérangeait, mais de pouvoir être surpris par son père ou son frère qui pouvait revenir à tout moment (ce qui actuellement ne me dérange plus, bien au contraire…). À cette époque, je devais mesurer 1,65 m, peser 45 kg et faire du 85 b. Camille quant à elle était beaucoup mieux dotée : 1,68 m, 45 kg, 90 C. Je lui avouais donc vite mon gène devant sa poitrine généreuse, ce qui là non plus ne manqua pas de la faire rire, mais elle rajouta l’élégance de me féliciter par l’aspect « ensorceleur » des miens. Amen ! Et elle ajouta :
« Profiter » était bien le mot, mais pour ce qui est du soleil, mon œil !
Ainsi se mit-elle seins nus et, devant ma timidité grandissante qui me surprenait moi-même, elle me dégrafa le mien dans la foulée.
Ce que je fis avec un petit sourire complice.
À vrai dire, d’habitude, celle qui masse l’autre c’est moi, en tant que sportif. Je supposais qu’elle voulait me montrer qu’elle avait bien retenu la leçon. Elle ne s’attardait toutefois pas sur les épaules et les omoplates, préférant de beaucoup se consacrer à mes hanches et à mon bas du dos. Mes premières inquiétudes passées, je me sentis à l’aise entre ses doigts de fée. Je me laissais donc dorloter par le soleil, et surtout par ses mains qui n’hésitaient pas à devenir très intimes tant je la sentais baisser ma petite culotte. Puis tout à coup, elle lâcha un :
Nous éclations de rire.
Elle me demanda ensuite de me retourner, ce que je n’hésitais pas à faire tant j’étais bien entre ses mains, et sans même me demander pourquoi et m’affoler de ce qu’elle avait bien dans la tête, d’un seul coup, elle s’écria :
Alors je me redressais d’un seul bon, l’air affolé. En effet, ma culotte était trempée.
C’était vrai, sa culotte était tout aussi trempée que la mienne, si ce n’est plus. Alors, d’un ton timide, gênée mais ressentant une envie grandissante, je lui murmurais :
Nos yeux se fixaient et, lentement, elle s’approcha de ma bouche et m’embrassa. Je me suis sentie fondre sous ses lèvres, comme n’importe quel glaçon ne pourrait le faire même si on le jetait au feu. Jamais je n’ai ressenti autant de plaisir à me faire embrasser. Et là, ce fut par Camille, ma meilleure amie, que je sentais que je désirais et que l’homme qui venait de me dépuceler ne comptait déjà plus pour moi. Décollant lentement nos lèvres, elle me dit :
Et nous nous mettions nues.
Nous venions de franchir le point de non-retour. Me rallongeant au sol, elle me ré-embrassa mais, cette fois-ci, d’un baiser emprunt de fougue et de tendresse. Puis, lentement et minutieusement, elle commença à descendre sur tout mon corps. Elle était allongée sur moi qui écartais les jambes et posais fermement mes mains sur sa tête, lui caressant les cheveux. Elle s’arrêta sur mes tétons qu’elle sentit s’endurcir à la volupté de sa langue. Puis sur mon nombril, pour enfin s’attaquer à mon minou presque imberbe. Je sentais des frissons me parcourir comme des décharges électriques. Puis, je me cambrais, lâchant des cris de plus en plus incontrôlés de plaisir… Je ne sais ce qu’elle faisait avec sa langue. Mais je sais qu’elle le faisait… Avec cette maladresse de débutante dépassée par son désir.
En cinq minutes, son nez, sa bouche et son menton étaient couverts de ma décharge, j’avais tout joui. J’embrassais ce visage où se mêlaient sueur et fruit de ma luxure.
Je ne pris même pas le temps de la caresser. Mes doigts nageaient déjà dans son bas ventre, puis en sortirent pour taquiner son clitoris. Elle jouit en presque trente secondes tant elle était brûlante de désir, en décochant des cris de bonheur.
Nous nous écroulâmes ainsi l’une sur l’autre au beau milieu de son jardin. Après un petit moment, nous décidâmes de remettre nos sous-vêtements. Nous n’arrêtions pas de nous embrasser. Mais en entrant dans la maison, nous avons croisé son jeune frère. Il ne semblait pas gêné de nous voir en sous-vet ». Une seule question nous traversa l’esprit. En avait-il vu plus ? Il m’avouera plus tard que oui, mais cela ne comptait pas. Nous venions d’avoir notre première expérience homosexuelle et nous savions où était notre plaisir. Aujourd’hui, nous sommes toujours les meilleures amies du monde, mais en plus de ça, nous sommes maîtresses et nous nous offrons régulièrement nos conquêtes respectives, qu’elles soient hommes ou femmes.