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n° 00541Fiche technique20186 caractères20186
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Temps de lecture estimé : 15 mn
05/03/23
corrigé 05/03/23
Résumé:  Un barbu rencontré aux urinoirs organise des petites sauteries à son bureau. Les secrétaires, les clients et l'univers trouble de la bissexualité.
Critères:  grp hbi couleurs frousses lunettes travail toilettes strip préservati hsodo uro
Auteur : Edvard Stokien  (Eddy - 35 ans - comptable - bisexuel)            Envoi mini-message
Une partouse très bizarre (Les urinoirs de la gare 4)

Autant prévenir les lecteurs : contrairement aux trois premiers épisodes de cette saga qui étaient exclusivement gay, ce quatrième volet est « bi » ! Il est aussi très teinté « uro » !


Quand je vais au travail, je pars quand je suis prêt… Il ne m’arrive pas souvent d’être prêt de très bonne heure, mais ça m’arrive. Et ce jour-là, je suis très en avance. L’envie me prend de me rendre aux urinoirs de la gare. Cela fait un petit bout de temps que je n’y suis pas retourné, j’en connais maintenant les pièges et les habitudes, et constate que les habitués du matin sont en général beaucoup plus corrects et intéressants que ceux du soir, malgré tout je ne suis jamais venu si tôt.


À ma grande surprise, il y a pas mal de monde et les six urinoirs sont occupés. La plupart des occupants du lieu sont à l’évidence des gens s’apprêtant à prendre le train, ils sont bien habillés et leur serviette est posée sur le sol, c’est plutôt rassurant. L’ambiance est assez sereine, il n’y a pas ces regards furtifs incessants vers l’entrée, comme à d’autres heures, provoqués par la crainte d’être reconnu ou par celle de l’arrivée du personnel ou de la sécurité.

Ça ne se libère pas vite, tout ce petit monde se masturbe dans leur urinoir respectif. L’un des branleurs masturbe maintenant son voisin qui, non seulement, se laisse faire, mais se décale légèrement pour que ce soit plus facile. Du coup, tout le monde peut voir, et il se forme un mini attroupement. Quelqu’un quitte son urinoir, la bite à l’air pour aller voir. Je me précipite à sa place et je sors ma queue que quelques mouvements de va-et-vient suffisent à faire bander. Je jette un coup d’œil sur ma gauche, bite quelconque et type peu engageant. Voyons à droite, maintenant. Voilà qui est beaucoup plus intéressant : une bonne bite bien longue terminée par un gland bien découvert, une merveille !


Le type est un barbu d’une quarantaine d’années. Je mate carrément, attendant un geste de sa part, mais il est occupé à regarder ce qui se passe sur sa droite. J’attends un peu, espérant que cette attente ne sera pas veine et qu’il me permettra de le caresser. Ça y est ! Il tourne la tête, il regarde ma bite, un très bref échange de regards et il lâche sa bite. Me laissant le champ libre, je la lui branle un petit peu, et je lui caresse le gland, les couilles et la verge. Cette bite est trop belle, il me la faut dans la bouche… et pourquoi pas dans le cul ? Je vais pour lui proposer de nous déplacer dans une cabine, quand soudain un type avec un sans-gêne incroyable s’interpose entre nos deux urinoirs. Surpris, je lâche la bite de mon voisin, laissant ainsi la place à l’intrus, et je quitte ma place, dépité. J’attends un peu derrière puis, très vite, le barbu se reboutonne et sort des toilettes. Déçu, je sors à mon tour, traîne quelques minutes au kiosque à journaux puis monte dans le métro pour me rendre à mon travail. Je me plonge dans la lecture de mon journal, quand, soudain :



La surprise est de taille, le barbu est là, devant moi.



Manifestement, il ne sait pas trop quoi dire.



J’ai peur que ça fasse un peu juste, mais son bureau est dans le même quartier que le mien. Je suis donc d’accord !


Chemin faisant, il me parle de sa secrétaire, une blonde sculpturale prénommée Carole, il m’apprend aussi qu’il existe des filières recrutant des secrétaires, voire des femmes de ménage à qui leur patron demande en plus de leurs activités d’avoir un comportement sexuel explicite dans certains cas. Souvent, ces filles se recrutent dans le milieu des peep-shows ou des théâtres érotiques. Bien évidemment, tout cela donne lieu à des primes substantielles ! Il m’explique aussi qu’aujourd’hui vendredi, seule Carole sera là !


Première surprise en arrivant : ce n’est pas Carole qui nous ouvre la porte, mais une ravissante Antillaise. Notre barbu, appelons-le Olivier, à l’air déçu !



On s’installe dans le bureau d’Olivier et Valérie nous prévient qu’elle va faire du café !



J’imite donc Olivier et on se déshabille, mais voici ce dernier qui me mate les fesses.



On s’assoit dans deux fauteuils proches l’un de l’autre en attendant le café. Bien sûr, mon regard est rivé sur sa bite, il se la tripote un peu, je fais de même avec la mienne et elles ne tardent pas à atteindre chacune une taille respectable. Ma main s’aventure sur sa queue et je reprends ma masturbation interrompue tout à l’heure. Olivier de son côté me rend la politesse et me branle également. C’est dans cette position insolite que nous retrouve Valérie avec le café.



Sur ce, elle commence sa séance. Elle n’avait évidemment pas prévu de venir en tenue sexy. Elle se débarrasse assez vite de son pantalon, fait un peu traîner le déboutonnage de son chemisier et se retrouve ainsi très vite en soutien-gorge et culotte. Malgré tout, les gestes sont précis, calculés, on sent le professionnalisme ! Elle libère d’abord sa culotte, se retourne pour dandiner des fesses, puis se recule jusqu’à mon fauteuil où elle se débrouille pour me frôler la bite avec son postérieur. Je commence à être dans un état d’excitation assez explosif. Elle libère ensuite sa jolie poitrine bien ferme agrémentée de tétons très noirs et très durs. Elle se penche maintenant vers un petit meuble et tout en tortillant à nouveau des fesses, elle en sort une flûte de champagne. Je n’en crois pas mes yeux, elle pisse carrément dedans. Lorsqu’il est pratiquement rempli, elle s’amuse avec le verre, fait avec sa main le geste de le masturber, puis soudain, elle trempe son index dedans, le porte à sa bouche et le lèche. À nouveau, elle retrempe son doigt, mais cette fois elle s’approche de moi et me le tend. Je suis comme dans un rêve et je lui lèche son doigt dégoulinant de pisse.



Elle recommence !



J’approuve, je suis dans un état second. La voici qui retourne dans le petit meuble et qui en extrait une toile en plastique qu’elle dispose à terre. Je me couche dessus. Valérie se met debout au-dessus de moi et commence à me pisser sur la queue, puis elle remonte sur mon torse. Le reste m’asperge le visage, dans un réflexe, je ferme les yeux et la bouche !



J’obéis et avale une gorgée de ce précieux liquide. Elle termine, je veux alors lui lécher la chatte, mais elle refuse. C’est maintenant elle qui prend la direction des opérations !



Depuis le temps que j’attendais cela, je me précipite. Lui sucer sa belle queue est un vrai plaisir, j’essaye de l’engouffrer au plus profond de ma bouche, mais elle est décidément trop longue, je me concentre donc sur son gland.. Pendant ce temps-là, Valérie me tripote les fesses, je sens quelque chose qui essaye de me pénétrer l’anus, effectivement, elle tient un gode à la main, mais ne le pénétrera pas ce matin. Olivier vient de jouir dans ma bouche. Valérie s’empare alors de ma queue et la suce goulûment.



C’est exactement ce qui se passe cinq minutes plus tard.


Un rendez-vous est pris pour lundi vers 16 heures, et cette fois il y aurait Carole.


Olivier me téléphone entre-temps pour m’expliquer qu’il attend un couple dont le mari est bisexuel et branché « uro ». Sa femme, elle, verrait son mari en action pour la première fois. Il m’indique qu’il faut tout faire pour que le type soit satisfait, ce dernier étant sur le point de signer un contrat. C’est Carole qui vient m’ouvrir avec un sourire prometteur, cette sculpture doit mesurer un mètre quatre-vingt et son tour de poitrine est impressionnant sous son chemisier blanc. Elle m’informe qu’Olivier a été retardé par une démarche à l’extérieur et qu’il arrivera le plus tôt possible. Je m’installe dans un fauteuil, et Carole réapparaît, elle n’a pas changé sa tenue, mais son soutien-gorge a disparu de dessous le chemisier, laissant apparaître derrière le voile deux magnifiques globes au bout déjà assombris par le désir !



Là, je ne réponds pas, je n’ai aucune envie de dévier vers la scato. Elle change de tactique.



Mais l’arrivée du couple met fin à cette curieuse conversation. Ils se présentent, la quarantaine, lui Jérôme, elle Martine, petite rousse à lunette, très souriante. Le téléphone sonne et Carole revient en nous informant qu’Olivier en aurait décidément pour plus longtemps que prévu, mais que l’on peut commencer sans lui.

Carole fait asseoir les deux arrivants, Jérôme à ma gauche, et Martine à ma droite, elle met de la musique, puis commence à se trémousser, malaxant ses gros seins par-dessus son corsage. Le spectacle est très excitant. Soudain, elle s’approche de moi et de Jérôme et place chacune de ses mains sur nos braguettes, elle parvient après quelques essais à les ouvrir, c’est maintenant à travers nos slips qu’elle tripote nos bites, mais elle ne va pas plus loin :



J’obtempère sans problème, Jérôme également, sa queue est moins belle que celle d’Olivier, mais elle reste néanmoins très correcte. Et tandis que Carole toujours en chemisier entreprend d’enlever le bas, une main se pose sur ma queue, j’attendais celle de Jérôme, mais surprise, c’est Martine. Elle se met à me masturber très doucement du bout des ongles avec un savoir-faire que je n’aurais pas soupçonné… Du coup, Jérôme se met complètement à poil. La main de Martine est repartie, elle s’occupe maintenant de son propre sexe. Carole n’a plus que son chemisier pour vêtement, sa chatte est complément rasée. Elle se dirige vers moi et me demande de me déshabiller à mon tour. Je le fais, bien sûr, puis elle me demande de m’allonger sur le sol où elle a étalé la même toile plastique que Valérie la semaine dernière. Je sais qu’elle va me pisser dessus. Elle vise carrément mon visage, j’ouvre la bouche, elle s’accroupit pour que cela soit plus facile, puis s’arrête :



Jérôme connaît exactement le même sort, je reste debout, un peu idiot, ne sachant que faire, puis Carole se relève



Elle le fait !



Elle fait un petit signe de la tête pour dire oui, et déjà Carole l’emmène au milieu de la pièce. C’est à ce moment-là que mon attention est attirée par un bruit insolite, presque imperceptible, j’écoute attentivement, ça vient d’en haut, et je comprends, Olivier n’est pas parti du tout, il est en train de filmer tout cela à l’aide d’une caméra qu’il télécommande à distance. Je trouve le procédé un peu moyen, mais je ne dis rien ! Carole est en train d’embrasser goulûment Martine sur la bouche, c’est assez marrant à voir vue la différence de taille ! Puis elle entreprend de la déshabiller. Un petit peu maigre, la Martine, mais les seins sont mignons à croquer. J’envoie une main baladeuse sur la bite de Jérôme, je la branle, mais il ne me rend pas la politesse… allez donc savoir pourquoi ? Carole fait ensuite coucher Martine sur la toile déjà pleine d’urine et lui pisse dessus. Martine lui demande de cesser après avoir absorbé quelques gouttes.



Carole ouvre un tiroir, d’où elle sort un grand sac plastique, elle en retire trois godes, ils sont quasiment identiques du moins quant à la taille, assez petite. Elle se couche sur le sol, toujours recouvert de la toile pisseuse, relève les jambes, puis s’introduit le premier gode dans l’anus, et lui fait faire quelques aller et retour, puis le ressort. Sans être franchement souillé, le gode n’est pas très propre, je ne vois pas où elle veut en venir. Elle prend le deuxième gode, je crois que c’est pour sa chatte, mais non, c’est encore pour son cul, elle le garde un peu plus longtemps, puis le retire et le place à côté du premier. Le troisième gode subit le même traitement. Elle se relève, prend les godes et nous les présente.



À ma grande surprise, Jérôme s’empare d’un des godes et sans se poser plus de questions et se met à le suçailler. Martine hésite une seconde et en prend un à son tour. Pour ma part, je refuse !



J’obéis, lèche ce cul plein de la pisse de Carole, c’est de façon complètement inconsciente que je m’approche de son trou, que je l’écarte afin d’y faire pénétrer ma langue, tout cela à un goût un peu âcre, pas vraiment génial, mais la situation est tellement excitante. Je veux me racheter de mon refus de tout à l’heure, je lui lèche le trou du cul aussi profondément que ma langue le permet.



Et elle laisse volontairement sa phrase en suspens.



Elle a oublié d’être con, la Carole. Elle s’adresse à Jérôme :



OK, on commence par le lécher en même temps, c’est agréable, mais pas forcément pratique, Carole prend la direction des opérations et lui gobe la bite, la sortant de temps à autre de sa bouche pour me la faire goûter. Il éjacule assez vite !



Comment, c’est fini parce que môssieur a joui ? Et moi, alors, c’est quoi ce truc ? Mais que dire ? Apparemment, Jérôme ne s’est servi de la salle de bain que pour s’essuyer, car le voici qui se rhabille, et comme Martine l’imite, j’en fais autant.

Carole, qui elle est toujours toute nue, revient.



Quel baratineur, cet Olivier, mais à quel jeu joue-t-il ?



Elle a l’air d’accord. Jérôme prend congé et me file sa carte, il est aux anges ! je vais pour partir à mon tour quand Carole intervient :



Le temps de boire un petit rafraîchissement, voici notre Olivier qui se pointe, il ne sait pas que je sais, il doit être excité comme un fou



Je prends ce sexe magnifique et l’introduis dans ma bouche, la fellation dure trop peu de temps malheureusement. Il se chausse le sexe d’un préservatif, baisse son pantalon, et me fait baisser le mien, et tandis que Martine suce les bouts de seins de Carole, Olivier pénètre son dard dans mon fondement, il entre facilement malgré la belle taille de son sexe, puis commence par imprimer des mouvements de va-et-vient, je suis saisi d’un plaisir trouble, indéfinissable, je voudrais que ça dure encore, mais il prend rapidement son plaisir. En ce qui me concerne, je n’ai pas encore joui, mais il faut croire que tout le monde s’en fout. Je commence donc à me masturber pour bien leur faire comprendre que j’aimerais bien moi aussi prendre mon plaisir. Carole et Martine sont trop occupées pour s’occuper de mon état et Olivier est parti à côté chercher je ne sais quoi. Puisque c’est cela, je décide d’aller me finir dans les chiottes, mais il y a quelqu’un. C’est donc là qu’allait Olivier, tout simplement ! La porte s’entrebâille et, surprise, j’aperçois Viviane assise sur la cuvette, elle me fait signe de venir.



Je comprends alors qu’elle devait être aux côtés d’Olivier pendant la partouse.



Je ne peux pas refuser pareille proposition, rapidement elle enlève le haut et se retrouve à poil, je lui pisse au visage, elle ouvre la bouche de plaisir, et se branle en même temps. Ça y est, j’ai fini de pisser, je n’ai plus la moindre goutte. Elle est tout aspergée, elle continue à se branler et prend son plaisir en poussant d’étranges petits cris.



Elle se tourne, ferme l’abattant de la cuvette et se met à califourchon dessus de façon à me présenter ses fesses



Des sentiments contraires m’assaillent, je me dis qu’ils sont complètement fous dans cette baraque, mais l’excitation est trop forte, je m’approche comme dans un songe de son trou et je lèche, c’est cette fois très très âcre, mais la situation m’excite ! En même temps que je lèche le joli trou pas très net de l’Antillaise, je me branle et je jouis enfin.