n° 00552 | Fiche technique | 14949 caractères | 14949 2474 Temps de lecture estimé : 10 mn |
13/03/23 corrigé 13/03/23 |
Résumé: Laeticia Casta croise une jeune journaliste dans les studios de Canal+. Et c'est le coup de foudre immédiat, elle ne s'y attendait vraiment pas | ||||
Critères: ff cunnilingu 69 init | ||||
Auteur : Caroline561 (Caroline, 20 ans, étudiante qui aime le plaisir.) |
NDLR : Laetitia Casta, personnage éminemment public, et à ce titre, forcément l’objet de tous les fantasmes. Nous tenons juste à préciser que les faits relatés ici sont purement imaginaires.
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Laetitia était bloquée sur le périphérique avec sa petite voiture. On lui en avait proposé une avec chauffeur pour la conduire aux studios de Canal+, mais elle avait refusé. Elle aimait conduire et être libre de ses mouvements, mais à présent elle se mordait les doigts de ne pas avoir accepté. Elle avait une demi-heure pour trouver les studios.
Ça y était, elle avait miraculeusement trouvé l’entrée des studios à un quart d’heure de la prise d’antenne. Juste le temps d’être maquillée pour l’émission. Elle avait mis un haut assez moulant avec un décolleté sexy pour mettre en valeur sa poitrine déjà superbe. En se regardant dans le miroir, elle se demanda si elle était exhibitionniste. Certainement un peu, sinon elle n’aurait jamais fait cette carrière de mannequin.
L’orchestre de « Nulle Part Ailleurs » jouait les premières notes du jingle de l’émission. Laetitia était derrière le décor. Elle tremblait légèrement. Elle avait beau avoir fait plus d’une centaine de défilés, le trac l’assaillait toujours au début, mais elle savait qu’au bout de quelques minutes, devant le public, ça passerait. Ça y était, Nagui avait prononcé son nom, la paroi s’éleva et un projecteur l’éclaira. Le public était debout pour l’accueillir sur le plateau, criant et tapant des pieds. Elle s’avança, souriante, et serra la main de l’animateur qu’elle connaissait un peu et s’assit à la place qu’il lui désigna.
Tout se passait bien. Le trac l’avait à présent totalement quittée. Elle se sentait bien, d’autant plus que Nagui faisait tout pour la mettre à l’aise. Elle se demandait s’il ne la draguait pas. Bien sûr que si ! Elle sourit en pensant à cette idée et le laissa faire. Ça l’amusa, bien qu’elle ne soit pas particulièrement attirée par lui.
Le choc ! Jamais elle n’aurait cru que ça lui arriverait aujourd’hui, elle ne s’y attendait pas du tout. Cette jeune femme était entrée sur le plateau pour présenter le journal. Elle avait juste entendu Nagui prononcer son nom, Daphné Roulier, puis elle n’avait vu qu’elle, ses yeux verts, ses cheveux noirs attachés derrière la nuque, et son sourire… magnifique ! Jamais elle n’avait ressenti ce sentiment et encore moins pour une femme, pourtant, elle avait fréquenté parmi les plus belles femmes du monde, mais jamais elle n’avait vu cette grâce, ce charme, un regard si profond, si intense et si doux à la fois. C’était le coup de foudre, son cœur battait à cent à l’heure et elle était plongée dans ses yeux. Tout avait disparu autour d’elle, le public, les caméras, les techniciens. Soudain, l’animateur la sortit de l’état second dans lequel elle était en lui demandant si tout allait bien. Elle répondit que oui, reprenant rapidement ses esprits. Ce fut à cet instant qu’elle s’aperçut que Daphné, elle aussi était déstabilisée, en effet, elle bafouilla quelques secondes avant de trouver les mots pour commencer son flash. Durant le journal, Laetitia ne put la quitter des yeux. Daphné avait également du mal à cacher son émotion et tentait de ne pas perdre de vue le prompteur et la caméra, pourtant, son regard était irrésistiblement attiré par Laetitia.
Enfin, le journal se termina. Nagui remercia Daphné et annonça la météo. Celle-ci se leva et lança un dernier regard en direction de Laetitia avant de quitter le plateau. Lors de ce regard, elles échangèrent tout ce qu’elles ressentaient, leur désir, leur passion, et aussi incroyable que cela puisse paraître, leur amour. Elles ne se connaissaient que depuis cinq minutes, et pourtant, ces cinq minutes allaient changer leur vie.
Ces quinze dernières minutes avaient été interminables pour Laetitia. Elle mourrait d’envie d’aller dans les loges pour rencontrer cette femme qui l’avait bouleversée. Elle n’avait qu’une crainte : qu’elle fût déjà partie ! L’animateur se leva, lui serra la main et l’invita à quitter le plateau. Ça y était, elle allait pouvoir rencontrer Daphné, elles se retrouveraient derrière le décor. Son cœur battait plus vite, le sang tapait sur ses tempes. Elle aperçut un homme qu’elle salua distraitement et qui devait être l’invité qui lui succédait. Elle se dirigea vers les loges, mais elle ne savait pas quelle était celle du paradis. Enfin, elle rencontrait quelqu’un dans les couloirs qu’elle trouvait interminables, il allait pouvoir la renseigner.
Ça y était, elle était devant la porte blanche, les battements de son cœur n’avaient jamais été aussi rapides. Elle sentit ses jambes se dérober sous elle, mais trouva tout de même la force de frapper.
Elle ouvrit la porte et entra dans la loge. Elle était là, devant elle, incroyablement belle et séduisante. Elle portait un pantalon noir et une chemise vert foncé ouverte qui laissait entrevoir la naissance de ses seins. Laetitia referma la porte derrière elle. Les deux jeunes femmes restèrent immobiles, face à face, leurs yeux étaient plongés les uns dans les autres. Après quelques secondes qui leur parurent une éternité, Laetitia bredouilla quelques mots.
Daphné s’avança alors doucement et posa son index sur les lèvres de Laetitia, puis ses lèvres succédèrent à son doigt. Leur baiser fut d’abord timide puis de plus en plus intense et fougueux, comme si c’était une libération pour les deux jeunes femmes. Leurs langues se rencontrèrent enfin et se firent fête. Chacune découvrit la bouche de l’autre et à cette découverte s’ajouta celle de leur corps respectif. Leurs mains s’égarèrent de plus en plus. Daphné caressa les fesses de Laetitia à travers la courte jupe de celle-ci tandis que cette dernière s’intéressa, après l’avoir devinée sous le tissu, à la poitrine de sa partenaire. Laetitia déboutonna la chemise et s’extasia devant les seins de Daphné encore retenus par un soutien-gorge blanc en dentelle.
Daphné lui sourit et dégrafa son soutien-gorge pour qu’elle puisse les admirer. Ils étaient en effet superbes, assez gros et très fermes. Leurs aréoles étaient assez larges et déjà en érection.
Laetitia enleva alors son haut puis dégrafa son soutien-gorge noir qui tomba à ses pieds. Ses seins jaillirent alors, tendant leurs pointes vers Daphné comme s’ils suppliaient d’être caressés. Ils étaient magnifiques. Leur taille était impressionnante… et leur fermeté, plus encore, du fait de leur taille. Daphné ne put résister et les prit à pleines mains – sous ce premier contact, Laetitia laissa échapper un cri de surprise et de plaisir –, elle les caressa longuement, encouragée par les gémissements.
Daphné prit alors Laetitia par la main et la fit venir près du canapé. Elle s’assit dessus et s’occupa à nouveau de la poitrine de sa partenaire. Elle posa ses lèvres sur les seins de Laetitia et les embrassa avec gourmandise, puis titilla les pointes déjà bien dures de la langue… Laetitia gémit de plus belle. Continuant de lécher les tétons de celle-ci, Daphné glissa sa main sous sa jupe et la posa sur une culotte trempée, un sourire vicieux s’inscrivit sur son visage, elle faufila sa main sous la culotte. Ses doigts rencontrèrent d’abord les poils humides de son pubis, puis des lèvres plus humides encore. Elle frotta doucement sa main contre la fente trempée et si douce de Laetitia qui après quelques secondes ne put s’empêcher de jouir.
Daphné profita de l’orgasme de la jeune femme pour ôter son pantalon, mais elle conserva le sous-vêtement. Laetitia la fixa avec gourmandise.
Daphné s’avança sur le canapé et plaça sa cuisse droite entre les jambes de Laetitia. Elle retira alors la culotte de celle-ci et lui fit signe de s’asseoir sur sa cuisse.
Laetitia se mit alors à frotter ses lèvres contre la cuisse de Daphné, celle-ci suçait avidement les tétons de Laetitia qui étaient à sa hauteur. Laetitia ondulait du bassin pour accentuer le plaisir, et à chaque mouvement de ses reins, ses tétons entraient puis sortaient de la bouche de Daphné dont l’excitation croissait en sentant la cyprine couler sur sa cuisse. Elle glissa une main sous sa culotte pour se masturber tout en continuant de sucer les aréoles de sa partenaire proche d’un deuxième orgasme. Laetitia accéléra son mouvement de va-et-vient sur la cuisse de Daphné, et au bout de quelques secondes, elle jouit pour la deuxième fois. Elle s’aperçut alors que Daphné se caressait, elle prit donc sa main, s’agenouilla entre ses cuisses, puis fit glisser la fine défense textile le long de ses jambes. Daphné rejeta sa tête en arrière tout en fermant les yeux, et écarta ses cuisses, offerte. C’était la première fois que Laetitia allait faire ça, mais elle en avait très envie. Elle approcha ses lèvres de la toison brune de sa partenaire, l’embrassa, puis descendit sur les lèvres trempées… elle les lécha avec application, prenant bien soin de les nettoyer totalement. Elle aimait le goût, elle l’adorait même. Lorsque la cyprine eut presque disparu, elle écarta de deux doigts les lèvres et n’eut pas de mal à trouver le clitoris gonflé par le désir et le plaisir. Elle le frôla de la pointe de sa langue, et à chaque contact, elle entendit Daphné gémir.
Laetitia joua encore quelques instants avec le plaisir de sa partenaire, puis enfonça franchement sa langue dans la fente. Après quelques pénétrations, elle revint au clitoris qu’elle lécha avec gourmandise, puis elle joua avec, le suça, l’aspira. Elle entendit alors Daphné l’appeler, elle releva la tête. L’image était alors magnifique, Laetitia avait de la cyprine sur tout le visage, et cela excita Daphné encore davantage.
Laetitia replongea alors entre les cuisses de sa complice et suça à nouveau le clito de celle-ci, mais en la regardant. Daphné put alors voir les yeux de Laetitia, remplis de désir, mais en même temps si innocents… Voir ce visage angélique entre ses cuisses l’excita encore davantage, et elle jouit dans la bouche de Laetitia quelques instants plus tard. Reprenant ses esprits, elle vit Laetitia agenouillée à ses pieds, le visage couvert de son jus. Ses yeux la suppliaient de la faire jouir, mais elle n’osait pas le lui demander.
Laetitia se releva et s’assit à côté de Daphné. Celle-ci se mit alors à lécher le visage de sa partenaire, recueillant son propre jus. Après cela, elle se recula légèrement, et regarda Laetitia dans les yeux en se léchant les lèvres.
Laetitia s’agenouilla à nouveau devant Daphné. Ne la quittant pas des yeux, elle hésita quelques instants puis se mit à lécher son jus sur la cuisse de Daphné qui se mit à se masturber.
Lorsque la cuisse de Daphné fut totalement nettoyée, Laetitia se releva et s’assit sur les genoux de celle-ci, mais face à elle, enserrant sa taille de ses cuisses, la chatte collée à son ventre. Leurs tétons se touchèrent. Laetitia fit alors de légers mouvements de bas en haut pour que les pointes de leurs seins se frottent les unes contre les autres. Leurs langues se mêlaient de temps à autre. Leur excitation se faisait de plus en plus forte à mesure que leurs tétons se frottaient de plus en plus vite.
Laetitia s’exécuta et Daphné s’allongea sur elle de façon à faire un 69, et sa langue parcourut la fente trempée de sa partenaire. Le jus de Laetitia était délicieux, elle se régala en nettoyant sa chatte. Sentir la langue de Laetitia sur son clitoris l’excitait terriblement. Leurs gémissements se mêlaient. Tandis qu’elle léchait le clitoris, elle fit pénétrer un doigt dans la chatte de Laetitia. Elle sentit celle-ci réagir en faisant de même, elle en pénétra alors un deuxième, Laetitia copia une fois encore sa complice. Le va-et-vient de leurs doigts et de leurs langues était de plus en plus rapide, leurs gémissements et leurs halètements de plus en plus forts. Quelques instants, Daphné pria pour que l’insonorisation de la loge soit bonne, puis rejeta cette pensée aussi rapidement qu’elle était venue. Après tout, elle s’en foutait, elle prenait son pied comme jamais elle ne l’avait pris, et elle était persuadée que c’était pareil pour Laetitia. Alors qu’elle était au bord de l’orgasme et qu’elle sentit que sa partenaire l’était aussi, elle se releva et lui fit face. Laetitia lui lança un regard étonné qui fit place à un autre suppliant, Daphné lui sourit en s’asseyant face à elle.
Laetitia fit ce que Daphné lui demanda, et quelques instants plus tard, les deux jeunes femmes frottèrent leur clitoris l’un contre l’autre. Le mouvement fut de plus en plus frénétique, de plus en plus rapide. Les seins pointés vers le plafond, les deux jeunes femmes ondulaient leur bassin afin d’accentuer le contact des deux clitoris et leur plaisir. Elles transpiraient de plus en plus tandis que des cris avaient remplacé les gémissements. Soudain, elles jouirent en même temps dans une explosion de plaisir.
Elles s’écroulèrent, épuisées, mais heureuses. Daphné trouva encore la force de se retourner et de se coucher près de Laetitia. Elles s’enlacèrent, nues, et échangèrent un baiser, tendre, mais passionné.
Après plusieurs minutes où elles restèrent allongées, nues, l’une contre l’autre, elles se relevèrent lentement et se rhabillèrent. Alors qu’elles avaient récupéré toutes leurs affaires, elles restèrent debout, l’une devant l’autre, se dévorant des yeux.
Elles s’embrassèrent une dernière fois avant d’ouvrir la porte de la loge et de se diriger vers le parking.