n° 00559 | Fiche technique | 20909 caractères | 20909 3580 Temps de lecture estimé : 12 mn |
20/06/00 corrigé 18/11/22 |
Résumé: "Un jour de grève des trains, Nicolas se retrouve nez à nez avec Maud et son grand nez, l'issue de cette rencontre connaitra bien des rebondissements !" | ||||
Critères: fh grp fbi rousseurs caférestau train voir exhib intermast préservati pénétratio | ||||
Auteur : Nicolas_Solovionni (Nicolas Solovionni - Un érotisme différent) Envoi mini-message |
Je prends donc le train ce matin toujours aussi décontracté, je ne suis pas du genre à pénétrer dans un train bourré à bloc, je préfère patienter ! Mais cette fois, j’ai beau attendre, c’est une grève dure, il n’y a vraiment que peu de transport, la chance a voulu qu’une rame s’arrête de façon à ce que la porte du train soit pratiquement devant moi, et sans même réfléchir, poussé par une marée humaine, me voici dans le wagon, debout bien sûr !
Me voilà parti pour un long voyage, les douze minutes de d’habitude se multiplient, le train ne peut partir que les portes fermées, et les gens laissent les portes ouvertes pour faire monter les gens qui arrivent sans cesse. Dedans on est serré comme des sardines et on finit par se trouver nez à nez avec de joyeux inconnus. C’est exactement ce qu’il m’arrive, une dame qui se met à me parler (pas con, d’ailleurs). Ça commence toujours pareil d’ailleurs, ça râle contre les grèves, plus ou moins violemment suivant ses opinions politiques, et comme on ne peut pas passer son temps à rabâcher les mêmes choses, après on essaie de parler d’autres choses…
Cette dame entreprend de me raconter de façon très pittoresque son voyage de la veille au soir, quand soudain mes yeux sont attirés par une femme en manteau violet à trois mètres de nous. En fait, son visage ne m’est pas inconnu, je l’ai déjà aperçue plusieurs fois dans le bus, petite, les cheveux mi-longs, mais surtout un visage comme je les aime, très doux avec un nez assez grand. Je la regarde et elle s’en aperçoit, je crois deviner un sourire d’encouragement mais je ne suis pas sûr. Je décide donc de passer à l’attaque à la première occasion.
On arrive à Sarcelles, premier arrêt. Le quai est noir de monde et le train a beau être archi-plein, il y en a toujours qui se débrouillent pour monter. Il se produit un mouvement de foule, et là, j’emploie un truc qui m’est resté des manifs étudiantes de 68. Dans une foule compacte, il est presque impossible d’avancer librement, l’astuce consiste à profiter du fait qu’un corps humain est plus large de face que de profil (si si ! Je vous assure !) et d’effectuer des rotations sur soi-même pour provoquer un « effet de bille » au contact des gens qui t’entourent (vous essaierez, c’est génial) ! Je tournicote donc vers la dame au long nez, c’est un peu plus compliqué que prévu, parce que le mouvement de foule a tendance à l’éloigner de moi, mais bon, j’y arrive quand même !
Je ne m’attendais pas bien sûr à ce qu’elle prenne l’initiative de l’engagement de la conversation, mais bon… elle se marre, je lui lance 2-3 plaisanteries sur son magnétisme irrésistible qui m’attire inexorablement, et la glace est définitivement rompue. Elle est un peu plus nunuche (non, pas mal, soyons francs) que l’autre dame, mais enfin, ça va… De près, elle semble plus vieille que j’imaginais, le cou est un peu abîmé, et elle est très maquillée, mais bon, je ne regrette pas d’être là.
On discute donc, il serait faux de dire que je drague, mais j’attends l’occasion. Et en fait, cette occasion sera en fait un miracle. Le train arrive à Pierrefite, là aussi c’est noir de monde, il me paraît impossible que quelqu’un puisse monter, mais des gens veulent descendre… L’espace d’un instant, il y a un mouvement de foule assez violent, à ce point que les gens cherchent à s’accrocher à ce qu’ils peuvent. La plupart du temps, ils n’ont rien pour le faire, comme ma compagne de voyage qui, par réflexe, s’accroche à ma taille, ma sacoche bascule en arrière, j’essaie de m’arc-bouter pour qu’elle reste en équilibre, ce qui a pour effet de le coller contre elle, mon sexe contre son ventre…
L’érection fut immédiate, je n’eus même pas le temps d’être gêné. Elle me décoche un sourire complice (ah, que je n’oublierais sans doute jamais !).
J’essaie de reculer, mais c’est impossible, d’une part à cause de la pression des gens (merci les gens !) et surtout parce qu’elle reste accrochée. Puisque c’est parti, j’essaie d’aller plus loin, mais non, elle ne veut pas que je l’embrasse, me demandant d’attendre l’arrêt (il y a peut-être des gens qu’elle connaît…), mais il se passe quelque chose, son regard n’est plus le même, un véritable appel au viol, elle est assurément aussi excitée que moi. On resta là, collés l’un contre l’autre pendant de longues minutes, assurant pour ma part de très légers mouvements de frottement pour maintenir une érection qui n’a d’ailleurs peut-être pas besoin de cela.
Enfin nous voici à Paris : nous étions dans un wagon de queue, et à cet endroit, Gare du Nord, il y a plein d’énormes piliers où ça drague et ça pelote sec à toutes les heures de la journée. On s’y précipite, on s’embrasse, on se pelote, ça dure, je ne sais pas, un quart d’heure peut-être, et j’avoue ne pas me rappeler comment on décide de conclure, mais on y va… Premier arrêt obligatoire : la pharmacie de la Gare du Nord où j’achète des capotes, mais pour cela on fait la queue un quart d’heure, j’ai bizarrement l’impression que son excitation retombe, je sens qu’il faut faire vite. Un premier hôtel, là aussi, il faut attendre que Môssieu ait fini de discuter avec quelqu’un, tout cela pour nous entendre dire que c’était complet (que se serait-il passé si cela n’avait point été le cas ?).
On ressort pour en chercher un autre : mais non, Maud intervient (elle s’appelle Maud) :
Ne sachant trop quoi dire pour la contrer, je bafouille un vague :
Très vite, j’esquisse un contre plan, mais il ne marchera pas :
J’espère alors que la magie des arrière-salles va réveiller ses instincts, mais dans un premier temps elle refuse de s’asseoir et commande au bar, pour se raviser : finalement, on s’assied. Je reprends espoir, l’espace d’un instant, et le perds quand je la vois s’arranger pour s’asseoir après moi (et donc en face de moi, pas à côté). Là, elle me fait promettre de faire comme si je ne l’avais jamais connue (je passe… et elle aura quand même cette réflexion : « peut-être qu’un jour il y aura une autre grève, si vous vous approchez de moi, je ne dirais pas non, mais seulement dans ce cas-là »). Je suis dépité, je lui demande un dernier bisou, elle me le fera, mais assez chastement.
Cette aventure m’a perturbé, je n’arrive pas encore à comprendre comment l’attitude de cette femme a pu changer en l’espace de quelques instants. J’ai déjà fait des rencontres dans le train, certaines étaient très prometteuses et se poursuivaient autour d’un petit déjeuner avec bisous, pelotages, et bien sûr promesse de se revoir le soir pour allez un peu plus loin, mais combien de fois ces rendez-vous ont-ils vraiment aboutis ? Et pourquoi ? Parce que loin du feu de l’action on redevient un être convenable, civilisé, social… Ça peut se comprendre, mais là, justement, nous n’avions pas quitté le feu de l’action. Le lendemain, le trafic ferroviaire était redevenu normal, je montais les escaliers conduisant à mon quai, et j’aperçois qui ? Maud et son manteau violet. Manifestement, elle attend quelqu’un. Malgré nos accords, j’essaie de croiser son regard, mais peine perdue, je sais qu’elle m’a vue, mais je n’insiste pas. Je suis un peu dépité, je m’étais fait une raison, mais voilà ! Je m’installe dans le train, incapable de fixer mon attention dans le journal.
Arrivé à paris, je me dirige vers les couloirs du métro quand soudain quelqu’un vient m’aborder.
Maud, je n’en crois pas mes oreilles ni mes yeux, je rêve ou quoi ? Et pourquoi a-t-elle abandonné le tutoiement ? Je souris bêtement, trop interloqué pour formuler une réplique cohérente. Elle reprend :
Pressé n’est pas le mot, je suis sous le régime des horaires variables, j’ai une session de formation à animer à partir de 8 h 45 et plein de travail en retard, mais l’envie de savoir est trop forte
Un bistrot discret ! Et puis quoi encore ? Et puis pourquoi discret d’abord ? Effectivement, je connais ce genre d’endroit, et nous y allons donc. Maud est très paisible, et ne souhaitant pas me dire ce qu’elle a à me dire dans la rue, elle alimente seule la conversation en me narrant ses péripéties pour rentrer chez elle, la veille. Elle cultive une sorte d’humour fataliste que j’apprécie beaucoup !
Nous voici au café, alors que les cafés devant la gare sont pleins à craquer, il suffit de faire cent mètres de plus pour trouver des petits trucs peinards et sympathiques. Maud se cale sur une banquette, me souvenant de la scène de la veille, je vais pour m’installer devant elle…
Me voici stupéfait, elle m’accorde maintenant ce qu’elle me refusait hier, je n’y comprends plus rien mais je ne vais pas refuser l’invitation.
Et avant que j’aie eu le temps de faire quoi que ce soit, la voici qui se colle à ma bouche, nos langues se mélangent dans un élan irrésistible, tandis que mon sexe se durcit… Elle s’en aperçoit et me colle sa main dessus ! Elle cherche la braguette, elle la trouve, et lentement l’ouvre, sa main est maintenant sur mon slip, elle continue à fouiller, et caresse maintenant ma bite, je n’en peux plus. Un raclement de gorge, c’est la servante… Elle est marrante, la servante, une petite bonne femme avec des taches de rousseur sur le nez.
Maud saute sur l’occasion
Elle ne me laisse pas terminer ma phrase, sa bouche s’approche de la mienne et nos langues se mélangent. À nouveau, je me mets à bander, je m’aperçois que ma braguette était restée ouverte, elle imprime un mini mouvement de masturbation autour de mon gland ! Je perds mon contrôle, j’ai l’impression que je ne vais pas tarder à faire une grosse connerie !
Je referme ma braguette, me lève de la banquette pour la laisser passer, et elle disparaît sans un mot. Il ne me reste plus qu’à payer et à rejoindre ma boîte, le cœur gros. Je suis partagé, c’est vrai que j’aurais pu inventer un gros truc ! Après tout, il n’y a personne d’indispensable sur terre. Mais je me dis aussi qu’une femme capable d’avoir de telles exigences doit être une super emmerdeuse, et que, finalement, j’ai bien fait de ne pas céder.
Ma session se prolongeait le lendemain et, ce jour-là, je pris la précaution de partir une heure plus tôt afin d’être sûr de ne pas la rencontrer. Par contre, le jeudi, je n’étais guère pressé, et pour parer à toute éventualité j’avais posé une journée de vacances. C’est très déçu qu’en arrivant sur mon quai je ne vis pas Maud ! Eh Oui ! Et pourquoi l’aurais-je vue ? J’étais en train de me monter tout un cinéma, cette nana n’allait pas s’amuser à m’attendre tous les matins tout de même ! Malgré tout, j’attends un quart d’heure, puis encore cinq minutes… Et puis tant pis, je vais me payer une journée de célibataire à Paris. Ce sera la grande improvisation.
Je descends, gare du Nord, j’aurais pu descendre plus loin, mais j’ai envie d’un petit déjeuner dans le coin.
Maud ! Ce n’est pas vrai, je rêve ! Elle m’attendait donc, Gare du Nord !
À peine arrivée, Maud demande à la patronne deux entrées pour la salle privée. Une porte, une tenture… une chaîne avec un panneau : « privé – entrée interdite »
Quel romantisme !
Je n’en crois pas mes yeux : dans la salle, il y a deux types qui se font sucer alternativement par une fille, l’un des deux est complément nu, l’autre s’étant contenté de se débrailler un maximum. La fille, elle, a remonté son pull-over et elle a libéré ses seins de son soutien-gorge. Dans un autre coin, un type est penché sur une femme qui est allongée sur la banquette et il lui lèche la chatte, provoquant des gémissements de plaisir de sa partenaire. Enfin, à un autre endroit, il y un type, il est seul, il regarde et se masturbe. Je ne m’attendais pas à ce que ça aille jusque là !
Elle n’en revient pas, Maud ! La serveuse nous a suivis, elle nous invite à nous installer, encaisse les 200 francs et nous demande si nous voulons consommer.
J’avoue ne pas savoir par quoi commencer, un peu perdu dans ce lieu invraisemblable. Maud n’en peut plus de regarder la femme qui, en face, continue ses fellations.
C’est le masturbateur solitaire qui appelle la serveuse, ils échangent quelques mots, puis l’homme sort quelques billets de son portefeuille. Je crois deviner ce qui va se passer. Mais non ! Évelyne revient vers nous :
Je ne sais plus où me mettre ! Mais Maud fait signe que l’on accepte ! Évelyne fait donc signe à monsieur Paul de venir. Et le voici qui arrive, sa queue sortie de sa braguette ! Il nous tend la main et s’assied à côté de Maud, non sans avoir dégagé complètement son pantalon !
Non, trop c’est trop, je ne suis pas exhibitionniste à ce point, mais Maud n’en a cure, elle m’enlace, elle m’embrasse, en quelques instants ma bite est sortie de ma braguette et elle la branle ! L’excitation est à son comble, je lui tripote les seins à travers son corsage, puis je le lui déboutonne, mais je ne vois pas bien ce que je fais.
Maud retire rapidement son corsage et son soutien-gorge, je peux enfin voir ses seins, ils me plaisent, ils ne sont pas très gros, mais ils sont terminés par de gros tétons assez sombres, et il n’y a aucune trace de maillot. Je me précipite pour les sucer !
Mais je ne l’écoute pas et je continue. À côté de nous, Monsieur Paul n’en perd pas une goutte. Évelyne a mis ses seins à l’air, de jolis seins tout ronds et bien bronzés, elle a coincé la bite du type entre ses deux nichons et le masturbe de cette façon, de sa main il essaie de caresser le dos de Maud, mais celle-ci la lui écarte un peu violemment, il n’insistera plus !
Je me décide à me déshabiller, ne conservant que mes chaussettes, je reste debout, amenant mon sexe au niveau de la bouche de Maud qui me la gobe aussitôt. Surprise, elle ne suce pas très bien, et elle a même tendance à me faire mal avec ses dents. Il se produit alors quelque chose d’incroyable, une main se pose sur mes couilles, ce n’est pas celle de Maud, c’est celle d’Évelyne. Maud lui abandonne la fellation, et voici Évelyne qui me suce ! Évidemment ça n’a rien à voir, je sens sa langue qui s’enroule par petits coups successifs sur mon gland, puis elle me masturbe l’extrémité de la verge avec le bord de ses lèvres avant d’entamer une série d’allers et retours parfaitement contrôlés. Puis elle s’arrête, s’attaquant maintenant à nouveau à monsieur Paul. Du coup, c’est Maud qui me reprend, elle n’a pas l’air vexée de cette intrusion inattendue, et elle s’applique mieux, j’ai malgré tout hâte de passer à autre chose. Je me libère de sa bouche et me place le préservatif que j’avais préparé, tandis que Maud achève de se déshabiller. S’ensuivent quelques instants de franche rigolade parce qu’on ne sait pas bien comment se placer, faire l’amour sur une banquette de bistrot n’a rien d’évident. Maud, alors, se met à quatre pattes, en levrette, et me tend ses fesses, je peux ainsi apercevoir le charmant œillet tout brun de son trou du cul, mais c’est dans sa chatte que je pénètre. Je jouirais assez vite, trop vite pour elle, alors, profitant du fait qu’elle s’est retournée, je me précipite vers sa chatte et entreprends de la lui lécher, je m’enivre de ses odeurs intimes qui lui ont mouillé son corps jusqu’aux cuisses. Soudain, elle est atteinte de soubresauts et se met à jouir en poussant de tels cris qu’Évelyne est obligée de lui mettre la main sur la bouche.
Tout le monde éclate de rire. Monsieur Paul, lui, avait probablement joui, en tous les cas il était reparti à sa place.
Elles se font une bise bien chaste ! Brusquement, Évelyne a l’air troublée !
Maud ne la laissa pas finir sa phrase, elle l’attire vers elle et l’embrasse, mais cette fois-ci goulûment, Évelyne se laisse faire. Voir le spectacle de ces deux femmes, l’une à moitié et l’autre complètement nue, me fait l’effet d’un revigorant, et me revoilà reparti à bander !