Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 00585Fiche technique12523 caractères12523
2192
Temps de lecture estimé : 8 mn
24/06/00
corrigé 14/11/22
Résumé:  Florence et son mari reçoivent Bob et Stéphanie. Pendant que les hommes boivent en discutant foot, les femmes sont attirées l'une par l'autre.
Critères:  ff 2couples extracon copains voir fmast intermast
Auteur : Florence_Mirage  (Florence)            Envoi mini-message

Série : Stéphanie

Chapitre 01 / 02
Stéphanie - la rencontre

Bob est un ami de mon mari, ils font du foot ensemble. Je le surnomme Bob, mais le premier surnom qui me viendrait à l’esprit et « le Beauf », alors, Bob, pourquoi pas ! Sa femme, on dira Stéphanie, très belle, les cheveux brun foncé, un air si faussement ingénu, mais pour l’heure, je ne la connais que de vue lors de matchs, bonjour, bonsoir, ils ont encore perdu, beau temps, etc.


Ce samedi soir, mon cher et tendre époux me fait la surprise de les inviter à la maison pour l’apéritif, discussion « foot » obligatoire… Le pied !


Quand Stéphanie arrive j’ai vois le regard de mon tendre époux s’illuminer, à sa décharge, la fille déjà très belle est ce soir très en beauté, elle s’est habillée très sexy, petit kilt très court avec un petit haut blanc qui laisse voir son nombril magnifique sur un ventre désespérément plat… Les boules !


La soirée s’annonce mortelle pour moi, du foot et une rivale potentielle, je suis juste légèrement jalouse !


Heureusement, je ne suis pas de reste avec ma minijupe grise et mon chemisier légèrement transparent, dont je dégrafe immédiatement un bouton, histoire de marquer un point. Un regard vers mon bonhomme et il comprend rapidement que s’il louche sur la belle, moi, j’allumerais en règle son copain, il sait de quoi je suis capable, le voilà prévenu ! De toute façon, les voilà partis « foot », et nous, nous discutons politesse ! Je sers les amuse-gueule, et la soirée s’enlise à mourir.


Alors que nous parlons avec Stéphanie de voyages de rêve, en posant mon verre, je remarque les yeux de Bob qui louchent vers moi. Je ne m’étais pas aperçue en discutant que je m’étais assise de travers, position normale en minijupe pour ne pas que la belle en face de moi ait une vue trop plongeante ! Par contre, son gentil mari, lui, de l’autre côté du canapé, doit voir loin entre mes jambes. Je sens un frisson en moi, depuis combien de temps lorgne-t-il ma culotte celui-là ? En général, ce genre de situation me plaît assez, m’excite même, mais toujours si c’est moi qui mène le jeu. L’envie de l’exciter à mort me trotte dans la tête, mais de son côté mon amour est très sage, ne parlant que de foot.


Je décide donc d’éteindre rapidement l’incendie du sportif et me tourne, non sans écarter un peu plus les jambes dans le mouvement, histoire qu’il imprime bien ma petite culotte blanche dans sa tête et qu’il puisse y penser, ce soir, en faisant l’amour avec sa femme… Mesquin, mais tellement féminin.


Nous reprenons notre conversation, vacances, cocotiers et sable blanc, mais alors que je me penche vers les amuse-gueule, je sens le regard de la ravissante Stéphanie suivre le mouvement. Un rapide coup d’œil et je m’aperçois que mon chemisier s’est ouvert d’un cran de plus, et la belle à des vues sur mes jolis petits seins protégés dans un superbe soutien-gorge de dentelles blanches qui a l’avantage de ne soutenir que le bas des seins, laissant mes belles rondeurs bien visibles dans mes décolletés, et surtout, dans cette position, elle ne peut pas manquer de voir mes tétons qui, sur la surprise, se mettent à pointer à m’en faire mal.


Bon, après le mari, voilà que la petite joue à la voyeuse… ça doit être de famille. Je la sens mal à l’aise mais elle ne peut empêcher son regard de descendre, et ses jolis yeux bleus font le Yo-Yo. Sa gêne me plaît et cela me donne l’envie de l’accentuer encore plus. Je me redresse et, lui souriant, arrange mon chemisier, mais sans le reboutonner. Elle ne sait plus vraiment si je le fais exprès ou pas. Un petit sourire crispé, elle se racle la gorge et relance la conversation. Je me recale bien dans mon fauteuil, décroisant les jambes et – distraite que je suis – oubliant de les recroiser…


La pauvre Stéphanie ne sait plus où poser son regard, elle ne peut pas ne pas voir ma jolie petite culotte blanche. Et, quand elle lève les yeux, ce doit être pire pour elle car, tout en lui parlant et en lui souriant gentiment, je joue avec l’ouverture de mon chemisier, mes doigts longeant l’échancrure, laissant de plus en plus apparaître mes rondeurs.


La soirée devient très intéressante.


Un rapide coup d’œil vers nos sportifs, pas de problème, ils sont trop occupés à narrer leurs exploits pour voir mon manège, je commence vraiment à passer de l’amusement à l’excitation. Doucement, toujours en la regardant, j’écarte pour de bon les jambes… Ma minijupe remontant haut sur mes cuisses je pourrais voir ma culotte en me penchant légèrement. Mon cœur se met à frapper de plus en plus fort dans ma poitrine, qui ressort de plus en plus de mon chemisier.


Elle est trop craquante, là, devant moi, rouge comme une pivoine. Se voulant indifférente, elle continue la conversation. Sa voix tremblotante la trahit, raclant de plus en plus sa gorge, elle se met à se trémousser, trop mal à l’aise pour rester calme.


Et là, un frisson me parcourt quand, lors d’un de ses mouvements, je vois moi aussi apparaître sa culotte, une jolie petite culotte blanche à fleurs roses comme celle d’une petite fille. L’excitation devient palpable, sauf bien sûr pour nos deux hommes perdus entre buts et surtout Ricard, et qui parlent de plus en plus fort, l’alcool aidant, heureusement, sinon ils remarqueraient les tremblements de voix de la pauvre Stéphanie.


Elle se penche pour prendre un biscuit sec, histoire de se donner une contenance. Vite, j’en fais de même, ma main venant caresser la sienne. Ses beaux yeux me fixent pleins d’interrogations, mais elle n’enlève pas sa main. Je referme ma main sur la sienne, sentant bien les tremblements qu’elle ne peut arrêter, cela ne dure pas plus de deux secondes mais je sens bien mon plaisir qui arrive, mon ventre est trop chaud, mes tempes vont exploser tellement mon sang les martèle et je commence à mouiller sérieusement ma culotte.


Elle se rabat d’un coup en arrière, l’air plus sûr d’elle, avec une moue ironique qui me fait un effet terrible. Ses jambes largement écartées, je peux voir le dessin de ses lèvres sur sa culotte, que je devine aussi mouillée que celle qui me trempe les cuisses. Elle se caresse doucement les cuisses et je vois bien sa main dont les doigts se perdent très haut dans l’entrejambe, cela me fait comme un coup de poing dans mon ventre déjà trop chaud. D’un coup, elle prend les rênes et mène la danse, j’ai envie de sentir son sexe, de le caresser, d’enfoncer mes doigts et ma langue entre ses lèvres humides… Bref, je me fais prendre à mon propre jeu.


Je ne sais plus si je veux reprendre le dessus ou si mon excitation m’emporte, mais, tout en regardant les garçons pour être sûre qu’ils ne nous voient pas, je passe ma main sous ma jupe. Stéphanie a les yeux fixés entre mes jambes, la bouche légèrement ouverte, elle ne respire plus du tout. Je me caresse un peu puis écarte d’un coup le tissu mouillé de ma culotte pour offrir à ma nouvelle amie le spectacle de mon sexe.


Elle ferme les yeux, passe sa langue sur ses lèvres trop sèches… Marrant quand on pense à celles d’en bas ! Quand elle les rouvre, ils brillent comme deux étoiles filantes et je vois sa main glisser entre ses cuisses, comme moi, elle jeta un œil vers nos deux hommes. Rassurée, elle me sourit et commence à se caresser par-dessus la culotte. Le spectacle de cette jolie jeune femme se masturbant face à moi avec son mari et le mien à nos côtés qui ne se doutent de rien est vraiment trop fort.


Je sens la jouissance monter comme de la lave en fusion, mon sexe faisant office de cratère. L’éruption promet d’être très très violente, je serre les cuisses très fortement sur mon clitoris qui a pris une taille déraisonnable. Le plaisir va sortir, je me mords les lèvres pour ne pas crier, et là… d’un coup, elle se lève, demandant où se trouvent les toilettes, et disparaît.


Je me sens toute triste, déçue, roulée dans la farine par cette petite peste, mon plaisir rentrant comme un escargot dans ce ventre qui me fait si mal. J’ai la rage en pensant qu’elle va se finir aux w.c. et me laisse choir, moi et mon désir refoulé. Je reprends une tenue honorable, dis deux banalités aux garçons et bois un grand verre d’eau, espérant éteindre l’incendie dans mon corps.


Mon mari me regarde attentivement, il me connaît trop bien malgré son état d’ébriété avancé. Mon attitude lui laisse un doute, il voit bien que je suis complètement en chaleur, mais pourquoi ? Croyant le rassurer, je lui donne un rapide baiser mais mes lèvres trop chaudes me trahissent. Ses yeux me questionnent, je me sens de plus en plus mal à l’aise. Heureusement, Bob demande un autre verre, il doit se lever pour prendre une autre bouteille, je suis sauvée si j’arrive à reprendre le dessus rapidement.


Stéphanie revient, elle a l’œil joyeux. Elle se penche vers moi pour me complimenter sur ma salle de bain, sur le coup je lui réponds sèchement, elle sourit quand même et sa main vient se poser entre les miennes sur mes genoux. Je ne m’écarte pas mais la regarde avec des yeux qui n’expriment plus l’amour de tout à l’heure. Elle enlève sa main en laissant quelque chose posé là, entre mes doigts, et elle se rassoit. Je retiens difficilement un petit cri en ouvrant ma main, elle y a déposé là sa petite culotte, je la cache aussitôt sous ma jupe bien serrée entre mes cuisses. Stéphanie a vraiment pris son pied, je sens bien la moiteur chaude du tissu mouillé.


En face de moi – tout sourire et comme si de rien n’était – elle reprend la conversation laissée là où elle en était. Je la regarde, ses jambes longues et fines bien croisées, son kilt bien rabattu sur ses cuisses de rêve, les mains sagement posées sur le tout, une vraie petite fille sage qui, il me semble, se fout de ma gueule !


Je me sens toute seule tout d’un coup, Bob se lève et titube jusqu’aux w.c., mon mari et Stéphanie éclatent de rire. Ma tête cogne sous le rire de Stéphanie, je la dévore des yeux, un mélange de colère et de désir qui fait un cocktail détonant. Elle sourit et dit qu’il vaut peut-être mieux qu’ils s’en aillent. Bob ne peut pas sortir tout seul et mon Mari l’amène se coucher à l’arrière de la voiture.


Nous sommes seules, Stéphanie et moi. Elle s’approche, prend mon visage entre ses mains et, doucement, vient poser ses lèvres sur les miennes. Sa main droite lâche mon visage et vient prendre la mienne, tout en m’embrassant, elle la fait remonter entre ses jambes. Ce sont les miennes qui cèdent quand je sens le doux contact de son sexe. Je me mets à le caresser doucement un doigt glissant entre ses lèvres.


La voix de mon époux appelant Stéphanie pour qu’elle lui amène les clés de sa voiture arrête net nos ébats.


Stéphanie recule d’un pas – un sourire éclatant sur son visage un peu rouge – et, doucement, lève son kilt, laissant apparaître sous une touffe de poil d’un noir flamboyant, le sexe de femme le plus beau de la terre, puis, en riant, elle court jusqu’à la voiture.


Cette nuit-là, on fait l’amour avec mon mari, je me tourne, les fesses bien en l’air, j’ai gardé une culotte sur moi et me frotte le clitoris à travers pendant que son sexe, frottant le tissu, va et vient dans mon vagin qui ne demandait plus que ça. Je jouis avec l’image de Stéphanie dans ma tête, la main crispée sur le tissu de cette petite culotte. Une jolie petite culotte blanche à fleurs roses…



______________________




Fantasme ou réalité ? Rêve ou rencontre magique ? Faites votre choix !


Cela a déjà dû vous arriver de flasher pour une copine, une collègue ou même une jolie inconnue croisée dans la rue ! Vous en avez rêvé, fantasmé, de contourner l’interdit que votre conscience vous impose, ou vous vous êtes laissé aller au doux plaisir de l’amour avec une autre femme… N’hésitez pas à me le partager, écrivez-moi !


Bisous


Florence