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n° 00598Fiche technique13086 caractères13086
Temps de lecture estimé : 9 mn
26/06/00
corrigé 05/08/09
Résumé:  Elle est nue et se croit seule sur ce petit bout de plage, quand soudain elle aperçoit une magnifique brune qui non seulement la dévore des yeux, mais se caresse en la regardant.
Critères:  ff vacances plage hotel fmast cunnilingu 69 fgode fdanus -occasion -plage
Auteur : Nalis
Anaïs

C’était en août si je me souviens bien, il faisait un temps épouvantable depuis notre arrivée dans ce club de vacances. Mais, profitant de quelques éclaircies et rayons de soleil, j’enfilai un bikini et allai bronzer.


En explorant un peu l’endroit à la recherche d’un endroit tranquille, je me suis retrouvée, je ne sais toujours pas comment, sur une petite parcelle de plage, à l’abri des regards indiscrets. Je m’y installai. Me croyant seule, j’ôtai mes légers vêtements afin de laisser le soleil caresser entièrement ma peau. J’éprouvais déjà une certaine excitation à me retrouver nue dans cet endroit, mais plus encore lorsque je m’aperçus qu’une jolie brune me dévorait des yeux !


Mon premier réflexe, en temps normal, eût été de me rhabiller en hâte ; mais près tout, nous étions faites pareil, elle et moi, je ne bougeai ni ne cherchai à cacher quoi que se soit. Je m’enduisais de crème solaire tout en jetant de brefs coups d’œil en sa direction. Est-ce que je rêvais ??? N’était-elle pas en train de se caresser en me regardant ? Cette vision enchanteresse m’excita plus encore que je ne l’étais déjà. Bien que son maillot cachât en partie son corps, je le devinais aisément. Mais j’aime être sûre, alors je lui dis :



(Bien sûr que non, que ça ne me gênait pas !!!)

Quoiqu’un peu surprise sur le moment, elle s’exécuta promptement, me laissant dévisager sa chatte rasée. Elle sourit à ce regard que j’adressais à son sexe !!! Continuant sur ma lancée, je lui demandai, sans trop espérer, si elle voulait bien me passer de la crème solaire dans le dos, je n’arrivais pas à le faire seule ! Au comble de l’étonnement, je la vis se lever et s’approcher à pas de loup vers moi, un sourire complice au coin des lèvres. Quelle démarche, mon dieu !!! Elle incitait à l’amour ! Elle aurait mis le feu au plus frigide des moines !!!


Lorsqu’elle s’assit à côté de moi, elle se présenta - Anaïs, doux prénom s’il en est ! Je lui tendis le tube de crème, pour lui montrer que ce n’était que dans une bonne intention que je l’avais fait venir. Toujours riant, elle reposa le flacon et approcha ses lèvres des miennes, je résistai malgré mon envie. Finalement, je me laissai dompter, elle ferait de moi ce qu’elle voudrait. Tandis que nos langues s’entremêlaient, nos mains parcouraient le corps de l’autre, sous des frissons de désirs et de plaisirs. Je la laissai quitter ma bouche à regret au profit du bout de mes seins, qu’elle titilla.


Ils durcirent rapidement et, satisfaite, comme si c’était le signal qu’elle attendait, elle me fit allonger sur le dos. Les choses s’accélérèrent rapidement, elle était déjà à califourchon sur mon ventre, se penchant vers mon con. Je ne résistai pas longtemps au mouvement de sa chatte au-dessus de mon visage, j’y posai les lèvres… et découvris avec joie une chatte trempée dans laquelle ma langue n’aurait aucune difficulté à s’insérer.


Je fondais sous ses coups de langue. Elle me dévorait la chatte… Écartant délicatement ses lèvres, j’explorais avidement sa caverne d’amour tout en goûtant à son jus abondant et sucré… Ma langue lui titillait le clitoris, ce qui produisit un concert de gémissements et de trémoussements à n’en plus finir… Je sentais sa langue chaude et humide me baiser la chatte, je gémissais comme si je n’avais jamais connu cette sensation… Les va-et-vient de sa langue me faisaient jouir et je ne m’en cachais pas…


J’avais du mal à continuer à la satisfaire, cependant je m’appliquais. J’enfonçai un doigt tout d’abord, tandis que ma langue humidifiait son anus qui se détendit sous mes caresses buccales… Voyant bien qu’un seul doigt ne lui suffisait plus, j’en insérai un deuxième, puis un troisième… Elle laissa échapper un cri… Moi la baisant avec mes doigts, elle me baisant avec sa langue… L’extase était totale… Nous jutions chacune dans la bouche de l’autre… Sentir ce liquide divin couler dans ma gorge… Divin.


Mais ne dit-on pas que les meilleures choses ont une fin ? Une averse mit fin à nos ébats. Rhabillées en vitesse, et enfin au sec, nous découvrons que nous étions descendues au même hôtel…




Il y a une heure encore, nous étions sur la plage, enlacées dans un corps à corps torride… et maintenant ? Nous attendions sagement devant la réception que le concierge daigne bien vouloir nous donner nos clés respectives !


Anaïs, à mes côtés, le corps drapé dans sa serviette de plage, rendit à ma mémoire le souvenir, le doux souvenir de sa peau, plus fort et plus intense qu’auparavant. Nul doute que si je m’étais trouvée seule, cette vision idyllique aurait pu assouvir mon orgasme nécessité par des caresses, la masturbation… mais dans ce hall… entourée par l’objet de tous mes fantasmes à l’air candide et tous ces touristes s’affairant autour de nous, je dus me résigner à laisser ma chatte se remplir lentement avec l’espoir fou que mon Anaïs viendrait s’y abreuver…


Le jeune homme de la réception dut s’y prendre à trois fois avant que je ne lui réponde en lui donnant le numéro de ma chambre… C’est à regret que je pris la clé 18 qu’il me tendait, tandis qu’Anaïs s’emparait gaiement de la numéro 30 ! Peut-être sentais-je que s’arrêtaient là nos péripéties ?


Dans l’ascenseur, contrairement au hall qui était bondé, nous étions seules, mis à part un vieillard espagnol qui se tenait dans un coin, le regard vague. Je me taisais par peur de gâcher le souvenir de notre après-midi par quelques paroles mal choisies. L’homme appuya sur le 1 et l’ascenseur s’ébranla dans un vacarme assourdissant. La porte s’ouvrit au premier étage, puis au deuxième, sans que je m’en rendis vraiment compte… la vision du corps d’Anaïs m’ôtait de tous mes moyens… cette fille exerçait sur moi une telle emprise que j’atteignis presque malgré moi, son étage, le troisième…


Un tour de clé et nous voici dans la chambre, toute notre gêne tomba. Je me glissai dans ses bras pendant que nos langues s’emmêlaient… Le désir que j’avais éprouvé plus tôt dans le hall me revint plus fort encore laissant monter en moi un flot de passion érotique. Je la désirais du plus profond de moi, je voulais la baiser jusqu’à ce qu’elle demande grâce, je voulais l’entendre hurler de plaisir, mais par-dessus tout je désirais avoir le goût de cette jouissance sur le bout de la langue…


Mes lèvres abandonnèrent sa bouche, les baisers que je lui glissais dans le cou eurent pour effet qu’elle laissa glisser mes mains sans protestations jusqu’à son joli derrière rebondi, malheureusement l’essuie m’en enlevait toute la douceur… Avec délicatesse et baisers sur sa peau j’écartais lentement les pans de son drap de plage, derniers obstacles devant mes yeux ravis… Par la même occasion je me débarrassais du mien, je serais plus à l’aise… Son corps enfin mis à nu, mes mains reprirent leur exploration, redécouvrant avec plaisir une raie encore humidifiée d’eau de pluie… Je laissai mon majeur suivre le chemin qui menait à son anus tandis que mon autre main testait la fermeté de sa fesse gauche… mon corps tout entier se mobilisait pour son seul plaisir… Le titillement de ma langue tout contre l’extrémité de ses seins les font dresser rapidement tandis que sa respiration s’accélère… Je devine qu’elle en veut plus…



Mes mains se font de plus en plus téméraires, la gauche m’ouvrant le passage jusqu’à son anus ; la droite étant remontée jusqu’à sa bouche afin d’humidifier mon majeur… Une fois ceci accompli, je le fais glisser à nouveau à la hauteur de ses fesses… et de son anus… Le contact de mon doigt contre son trou l’électrise mais malgré tout elle m’ouvre le passage, l’invitation est assez claire, j’y enfonce mon doigt qui disparaît progressivement dans la chair de son cul… Lui susurrant de douces obscénités à l’oreille, mon autre main, inactive, se dirige vers ses douces lèvres vaginales… Je ne peux aller plus loin… Elle le devine, et d’une grâce sans pareille, elle se met sur la pointe des pieds, son corps collé au mien, les jambes écartées un peu plus… Les caresses peuvent reprendre… mais l’envie n’y est plus…


Je me détache d’elle, lui prenant la main, je l’amène sur le lit où elle se laisse tomber en arrière… Elle a compris mon dessein… J’ai déjà suffisamment attendu cet instant, mais malgré l’envie de lui lécher son con, je décide de faire monter le plaisir jusqu’à son paroxysme, je veux qu’elle désire ma langue, qu’elle la réclame… Mes lèvres posées sur ses cuisses galbées au goût de sel, je commence un va-et-vient avec mes baisers, les faisant se rapprocher de son sexe… puis s’éloigner… se rapprocher… s’éloigner… visiblement elle aime car j’aperçois quelques gouttes de sa liqueur divine perler à la surface de sa chatte… malgré l’envie qui me tenaille le ventre, je continue d’embrasser avec volupté l’intérieur de ses cuisses, je continue mes va-et-vient… elle est à bout, va-t-elle me le demander ? … elle approche une de ses mains, je la repousse…



C’était le signal que j’attendais, et c’est avec un plaisir infini que j’enfonce ma langue entre ses lèvres… un flot de liqueur inonde nos chattes… j’avale goulûment le fruit de mes caresses, je laisse glisser ma main droite jusqu’à mon propre sexe où mon clitoris gonflé m’attendait… me caressant la chatte et léchant la sienne… nos bouches laissent échapper de brefs gémissements à un rythme saccadé aussi rapide que ma langue dans ses va-et-vient dans son vagin… Ses gémissements se font de plus en plus forts, j’en profite pour enfoncer un doigt, puis deux… dans son anus… Je la défonce de la chatte et du cul en même temps pour son plus grand plaisir.


Le moment est venu d’avoir ma part, je ralentis progressivement les va-et-vient jusqu’à ce qu’ils deviennent quasiment nuls, je me relève et m’allonge sur son corps trempé de sueur, nous nous enlaçons tendrement dans une rafale de baisers et de tendresses… La faisant pivoter lentement à ma droite, je lui saisis la main et la pose sur mon sexe, espérant que je suis assez claire sur ce que j’attends d’elle ! Ses lèvres rencontrent à nouveau les miennes tandis que sa main vérifie que je mouille bien…



Brusquement, elle se relève, quittant la chambre pour la salle de bain !… Si j’étais debout, je serais sûrement sur le cul ! On ne m’avait jamais fait ce coup-là ! … Comme elle se faisait longue, je passai le temps en titillant mon clitoris d’un doigt assuré, l’orgasme ne se fit pas attendre, m’arrachant des cris de plaisir… C’est ce moment qu’elle choisit pour revenir dans la chambre… Je ne me démonte pas et continue de me caresser avec vigueur… Voyant que je m’apprête à m’enfoncer un doigt, elle me dit qu’elle a mieux et ce disant, elle dévoile l’objet qu’elle tenait caché dans son dos… une verge en plastique ! Pas tout à fait d’accord quant à la tournure des événements - si je voulais une bite, je n’avais qu’à me taper un mec après tout non ? Mais cette fille a un véritable organe de persuasion, sa langue divine ! C’est comme ça que je me retrouvai à quatre pattes sur le lit, Anaïs mettant mon anus à l’aise ! Déjà elle pointe le bout de la verge à l’entrée de mon trou… puis de plus en plus profond… Y’a pas à dire, c’est exquis !… Je n’avais jamais éprouvé ça, cette fille qui me défonçait le cul avec cette fausse bite me baisait mieux qu’un mec ! Elle stoppa un court instant, juste le temps de se positionner sous moi, en 69… j’avais d’autant plus de mal à la satisfaire de nouveau qu’elle avait ajouté aux coups de pieu, sa langue, me limant délicieusement la chatte… Je n’en pouvais plus… Je jouissais comme je ne l’avais jamais fait, l’inondant de mouille…


C’est donc à bout de souffle, l’une comme l’autre, que nous nous endormîmes, un sourire béat au coin des lèvres, sachant qu’au petit matin l’on se retrouverait…