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n° 00604Fiche technique11926 caractères11926
1917
Temps de lecture estimé : 7 mn
27/06/00
corrigé 18/11/22
Résumé:  Ce jour-là Nicolas rencontra Blanche-Neige dans le 9e ! arrondissement ! La veille il l'avait vue à la télé...
Critères:  fhhh hbi prost bizarre collection voir exhib fmast intermast humour
Auteur : Nicolas_Solovionni  (Nicolas Solovionni - Un érotisme différent)            Envoi mini-message
Rendez-vous avec Blanche Neige

Dire que j’étais devenu l’amant de Sandrine serait exagéré. On ne devient pas l’amant d’une personne qui, certes, se déclare bisexuelle, mais qui en fait privilégie les relations avec les autres femmes. Malgré tout, jamais elle ne souhaitait s’attacher et son caractère sauvage et indépendant la conduisait à préférer le célibat à toute forme de vie en commun.


Nos relations avaient néanmoins dépassé le stade de la simple complicité. Nous sortions à peu près tous les quinze jours ensemble. La soirée se terminait en interminables bavardages. Et quand, épuisés, il fallait bien nous arrêter, c’était pour me rendre compte qu’il était vraiment très tard et, qu’après tout, je n’avais qu’à rester coucher chez elle. Oh, ce n’était pas le super délire. Elle, qui adorait les mises en scène, trouvait alors que l’heure ne s’y prêtait plus. Et donc, après quelques préliminaires qu’elle allât même jusqu’à parfois abréger, elle me chevauchait telle une Walkyrie jusqu’à ma jouissance. Il fallait pour la sienne qu’ensuite je la lèche et que je la suce, mais cela n’était bien sûr pas une corvée.


Elle avait cessé toute activité régulière et placé son argent dans une petite affaire qui lui permettait de vivre raisonnablement ! Malgré tout, elle avait gardé des contacts, notamment dans le milieu artistique. S’étant mise au défi de réaliser les fantasmes de n’importe qui, y compris les plus compliqués et les plus délirants, elle se fit rapidement dans ce domaine une réputation et parfois elle me racontait ses séances avec des personnalités connues dont elle me cachait le nom, mais que je devais essayer de deviner en pratiquant le jeu des questions et des réponses. Je finissais par trouver, par élimination on trouve toujours :



Parfois, les scénarii qu’elle réalisait réclamaient la présence de figurants plus ou moins actifs ! Elle me sollicitait de temps à autre. Cela me permettait de rencontrer dans d’inattendues circonstances des gens que j’avais aperçus la veille sur l’écran de mon téléviseur.


Cela me permit (mais cela n’est que parenthèses) de me révéler un peu plus l’hypocrisie ambiante, car si voir certains ici m’amusait sans que je n’y trouve matière à tourmenter mon esprit, la présence d’autres me déclenchait des montés d’adrénalines et l’envie de péter un ou deux plombs en leur criant !



Ce soir-là, Sandrine m’avait appelé en catastrophe : une défection de dernière minute dans son casting. Il lui fallait absolument un septième personnage.



Sur ce dernier point, je savais pouvoir lui faire une absolue confiance !


Je me pointais donc chez Sandrine, ou plutôt dans ce qu’elle appelait avec amusement son « atelier professionnel » du 9e arrondissement



Je ne lassais pas d’admirer la beauté un peu sauvage de Sandrine, plus grande que la moyenne, sans être une géante, une belle poitrine tenant sans effort malgré sa quarantaine, une peau duvetée qu’un léger hallage rendait luisante au soleil ! et surtout ce sourire, ce sourire de femme conquérante, qui parlait toute seule et avait l’air dans un murmure de nous dire :



Elle avait passé au privé l’essentiel de ses activités de dominatrice, mais savait en garder ce qui l’arrangeait.



J’obéissais, il est difficile de ne pas obéir quand Sandrine m’ordonne quelque chose. Je me déshabillais donc, enfilais une sorte de culotte de pyjama, sans rien en dessous, puis un tee-shirt. Je ne compris pas tout de suite pourquoi celui-ci portait cette inscription, « Grincheux ». Pourquoi Grincheux ? Je n’ai rien d’un grincheux. Quoique.



Eh oui, le masque, un masque de nain, avec bonnet et barbiche incorporés, il fallait donc que ce soir je joue au nain… Le thème était donc Blanche-Neige.



Mais ce soir, Sandrine n’était pas d’humeur à écouter mon humour !



Je lus le truc aussi vite qu’il m’en était humainement possible, haussait les épaules à cette histoire de fous et fit signe à Sandrine que j’étais prêt. Elle me poussa alors dans une minuscule salle où je retrouvais mes six collègues d’un soir. Nous avions l’air fins tous les sept dans cette pièce trop petite pour nous, à la limite du ridicule, puisque devant jouer des nains, l’un d’entre nous était un gaillard d’un mètre quatre-vingt-dix environ, mais l’attente ne dura pas.


Il fallait ensuite entrer dans la pièce contiguë en farandolant sur l’air de « Aie Ho ! Aie Ho ! On rentre du boulot ! »


Blanche-Neige était là sur son fauteuil ! Je la reconnus bien sûr, peut-être pas un personnage de premier plan, n’empêche qu’on peut la voir toutes les semaines sur nos lucarnes. Belle, magnifiquement coiffée et maquillée, sans loup sur le visage comme trop d’autres habitués de ces lieux ! Vêtue d’une robe bleue que je trouvais bien simple, elle me paraissait plus grande qu’à l’écran.


Il fallut danser autour d’elle en gesticulant, en grimaçant, et nous le fîmes tant et si bien que notre Blanche-Neige éclata d’un fou rire non prévu qui se révéla vite communicatif.


Une voix au micro : celle de Sandrine.



Je me plaçais donc à côté de Timide. Le premier était Prof, il s’approcha de Blanche-Neige, lui fit une révérence et s’approcha d’elle, puis, lui attrapa la main avec des trésors de délicatesse et la lui baisa, il la fit ensuite lever de son siège, puis se plaçant derrière elle dégrafa la fermeture de sa robe qui du coup tomba à ses pieds. Blanche-Neige était maintenant en sous-vêtements aussi bleus que sa robe. Sa belle poitrine n’était que symboliquement cachée par le petit trésor de dentelles qui l’enveloppait. Simplet eut l’ingrate tâche de la libérer des ses escarpins. Dormeur dégrafa l’un des bas du porte-jarretelles et le retira avec d’infinies précautions, comme s’il déshabillait une poupée en porcelaine qu’il craignait de briser. L’autre bas fut pour Joyeux, ce gredin trichait effrontément, car contrairement aux instructions il en profitait pour caresser d’un doigt la chair de la cuisse de la belle. Atchoum eut droit à l’enlèvement du porte-jarretelles, ce qui n’est, reconnaissons-le, guère passionnant. J’avais donc décroché le gros lot puisqu’il me revint l’insigne honneur d’être celui qui retirerait son soutien-gorge ! L’une des agrafes était plus ou moins coincée et j’eus un mal de diable à parvenir à mes fins, je craignais le ridicule, mais non, l’ambiance était rigolarde et bonne enfant par cette soirée d’automne ! Je libérais enfin ces deux globes laiteux et un peu lourds, terminés par d’adorables tétons bruns qui déjà se redressaient d’excitation contenue. Mon excitation personnelle ne se portait pas trop mal non plus ! Enfin, Timide eut droit à l’ultime faveur et lui retira sa minuscule culotte en dévoilant une chatte que je n’aurais imaginée rasée d’aussi près !


Nous devions reprendre nos gesticulations, à ce moment-là, ce que nous fîmes, j’en profitais pour découvrir le cul de Blanche-Neige et ce joli popotin blanchâtre et charnu ne me laissa pas indifférent.


Celui qui tenait le rôle de Prof tendit une serviette de bain sur le sol, et Blanche-Neige s’y allongea. Stoppant nos danses, nous nous sommes installés autour d’elle. Au signal de Prof, nous nous sommes alors débarrassés de nos bas de pyjamas, nous retrouvant donc, la bite à l’air !


Alors, très lentement, nous nous mîmes à tourner. Au fur et à mesure que l’un d’entre nous arrivait à portée de sa main droite, elle s’emparait de sa bite et la maintenait quelques secondes dans sa main, sans rien faire, attendant simplement qu’à ce contact charnel, elle grossisse, puis elle esquissait un bref mouvement de masturbation. Quand nous fûmes passés tous les sept entre ces mains, la ronde stoppa, et nous nous sommes mis à nous masturber ! Timide attrapa alors ma queue pour la branler à ma place, je lui rendis la pareille puisque Sandrine tenait tant à offrir ce petit « plus » à cette chère Blanche ! Je me souviens que c’est Joyeux qui éjacula le premier, suivi de Dormeur, les autres suivirent rapidement. Avec Timide, nous avions pris du retard, et reprenant nos engins respectifs nous entreprîmes de conclure l’affaire, je fus le dernier et mon jet de sperme lui atterrit entre les seins, endroit déjà bien arrosé ! La Blanche-Neige était alors recouverte de sperme. Prenant ses deux mains, elle étala toute cette semence sur son corps, ses seins, son ventre, son nombril, ses cuisses, puis bien sûr son sexe. Ses doigts étaient gluants de sperme, elle les lécha, sa respiration devenait saccadée, déjà elle n’était plus là ! Très vite, elle attaqua son clitoris tandis que sa cyprine dégoulinait littéralement d’entre ses cuisses. Elle jouit très vite en convulsant son corps et en poussant un hurlement de plaisir qui dut s’entendre jusqu’à l’arrondissement voisin !


Elle se releva, ébouriffée, et eut ce geste étrange de se couvrir le corps avec la serviette de bain !


Manifestement, elle attendait quelque chose !


Sandrine arriva, lui présentant un plateau d’argent sur lequel était posé le téléphone. Alors Blanche-Neige prit le combiné et nous fûmes tous témoins de cette étrange communication téléphonique.



Et de raconter la scène dans ses moindres détails. Mais voici qu’elle jette la serviette, qu’elle se pinsouille les tétons, qu’elle se rebranle et, qu’à nouveau, elle jouit en hurlant !



Et en plus, elle est sympa ! Bien sûr que nous allons trinquer !