n° 00610 | Fiche technique | 12200 caractères | 12200 2182 Temps de lecture estimé : 9 mn |
05/03/23 corrigé 05/03/23 |
Résumé: Sylvain retourne dans les dunes. Mais cette fois il est déterminé à ne plus faire d'erreurs... | ||||
Critères: fhh hbi asie plage voir nudisme anulingus préservati hsodo uro | ||||
Auteur : Edvard Stokien (Je m'étais promis de faire une suite à la 593 - la voici !) Envoi mini-message |
Ce fut un peu dépité que je rentrai à l’hôtel, tout cela ne s’était pas vraiment passé comme je l’aurais voulu. Jamais je n’avais été maître de la situation. Je me couchai de bonne heure, fatigué, mais le sommeil ne venant pas, je lui donnai un coup de pouce en me remémorant les moments forts de cette journée et en imaginant ce qu’ils auraient pu en être si j’avais eu plus la situation en main. À défaut de situations, ce fut ma bite que je pris en main… et je finis par m’endormir dans l’humidité de mes draps maculés par mon sperme !
En me réveillant, je projetai de retourner dans ces dunes, pour une dernière fois, et cette fois-ci je décidai d’aller jusqu’au bout… « Si je trouve quelqu’un à mon goût qui veut m’enculer, je le laisserai faire, on verra bien ! »
Malheureusement vers midi le temps tourna couvert, et mon projet devint irréalisable. Saloperie de météo qui encore une fois s’était trompée ! Il me restait quatre jours de stage… peut-être vendredi ? « On verra bien », encore une fois !
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Le lundi, je me rends sur les lieux du stage. On attend une heure, deux heures. Quand même, quelqu’un vient nous annoncer que le formateur a eu un accident de moto, et qu’il n’y a pas de remplaçant. Enfin bref, le stage est annulé. Je téléphone à ma boîte !
À midi, je rappelle !
On m’explique, ça ne me paraît pas compliqué, et j’accepte. Je me rends immédiatement sur les lieux, c’est effectivement assez facile et surtout ça ne me prendra pas toute la journée, cela veut dire que je pourrais pendant quatre semaines me balader tous les après-midi dans les dunes. Que soit béni l’accident de moto de ce formateur !
C’est ainsi que ce lundi après-midi, je me mets de nouveau à déambuler dans les dunes des Sainte-Marie. Le problème, c’est la visibilité, on ne voit finalement que le creux de sa dune et rien d’autre… Je croise des gens à poil, des mecs, des filles, des couples, et comme samedi je me mets tout nu, attendant que quelque chose d’intéressant se présente.
Ça ne tarde pas, un peu plus loin, deux mecs sont allongés l’un près de l’autre. Je décide d’attendre avant de me lancer, et pose ma serviette à quarante mètres de l’endroit où ils sont installés. J’attends, j’attends, il ne se passe rien, mais je les gêne peut-être. Je tente un faux départ, je m’éloigne un peu, j’attends cinq minutes et je reviens… Je ne m’étais pas trompé, l’un des deux est en train de masturber l’autre. Je ne sais quelle attitude adopter… Pour l’instant, ils ne m’ont pas vu. J’attends encore un peu, jusqu’au moment où l’un des types se fait sucer ! Je pense qu’ils sont à présent tous les deux trop affairés pour s’occuper de ma présence et je m’approche. Peine perdue… une heure de gâchée pour s’entendre envoyer promener d’un vulgaire « Casse-toi ! »
Je n’insiste pas, et un peu dépité, je continue ma balade. Il y a quand même pas mal de monde, c’est vrai que l’on est lundi et beaucoup de gens ne travaillent pas, et puis il y a déjà des personnes en vacances.
J’aperçois un couple, je vais bientôt le croiser, la femme est toute bronzée, un visage agréable quoiqu’un peu joufflu, un beau sourire, et surtout, une magnifique paire de seins halés par le soleil, un 95 D probablement qui tient presque tout seul. L’homme la dépasse d’une tête, il est blond avec les cheveux courts, il est assez mignon ! Plus la fille se rapproche, plus je mate ses seins. Mes pulsions bisexuelles ont pour le moment disparu. Ça y est ! Ils sont à deux mètres de moi, et au lieu de m’éviter, ils viennent carrément à ma rencontre !
C’est la fille qui m’adresse la parole, je ne sais pas quoi répondre, surpris de cet abordage inattendu. Elle porte un petit collier sur lequel son nom – Helvia – est indiqué ! Drôle de nom !
Et ils repartent ! Mais je suis con ou quoi ? Mais pourquoi ai-je répondu une chose pareille ? J’ai envie de leur crier : « Revenez, je me suis trompé, je ne sais plus ce que je dis, c’est la chaleur ! ». Je m’étais pourtant promis de ne pas me défiler devant les occasions ! J’ai bien envie de foutre le camp et de rentrer à l’hôtel. Oui, c’est ça, je vais rentrer ! Encore deux ou trois dunes et je rentre !
Là, dans cette dune, un homme seul. Il est nu. J’aime bien sa morphologie, il n’est ni trop musclé ni trop poilu. Je refais le coup de la serviette à quarante mètres, on verra bien ! Je m’installe et m’aperçois que l’homme est probablement d’origine asiatique, ce qui ne me dérange bien sûr en aucune façon. Il m’a vu, je le sais, et le voici qui se touche négligemment la queue. Je l’imite. Il me fait un sourire, c’est bon signe, il se masturbe à présent ! Cette fois, je ramasse ma serviette et j’y vais. Il continue de se branler en me regardant arriver, mais s’arrête quand je suis à ses côtés. D’un geste de la main, il m’invite à prendre le relais. Je ne me fais pas prier et empoigne cette belle pine à la peau sombre. Elle est déjà bien raide et une goutte s’est échappée du gland ! J’ose un petit coup de langue, il se laisse faire, je continue donc à laper le bout de sa pine à la manière d’un chat ! Je pose ensuite mes lèvres à la hauteur de son prépuce, mais sans sucer, en me contentant de donner des petits coups de langue sur le gland. À présent, je commence la fellation proprement dite en faisant coulisser la verge entre mes lèvres. Ma pine est évidemment toute raide, mais mon partenaire n’a pas l’air de vouloir s’en occuper. Je me dis qu’après tout, une fois n’étant pas coutume, je vais prendre la direction des opérations et je pivote pour me mettre en position de 69. Ça n’a pas l’air de le contrarier et il entreprend de me rendre la politesse en me suçant également. Il suce assez moyennement, il est en fait plus préoccupé par son propre plaisir que par le mien. Je m’écarte un peu.
Il ne me répond pas, mais hoche la tête en signe d’assentiment. Après tout, peut-être ne parle-t-il pas notre langue ?
Il fait signe que non ! En fait, il est peut-être muet…
Pour toute réponse, il me désigne mes fesses !
Ben voyons, faut pas se gêner ! J’ai failli partir, et puis je me suis dit que « quelque part » j’étais aussi venu pour ça… On verra bien ! La seule condition sera le préservatif, mais il l’a déjà en main. Je me positionne donc à quatre pattes, jambes légèrement écartées, et j’attends ! Cette bite de taille moyenne devrait me dépuceler l’anus sans problème. J’ose simplement espérer qu’il saura s’y prendre… j’aurais néanmoins préféré quelqu’un qui dialogue un peu plus, mais si je me mets à choisir, maintenant… ! Il a dû s’apercevoir que j’étais très serré : il m’humecte le trou avec sa langue – curieuse sensation –, ce type me suce mieux le cul qu’il m’a sucé la bite, il m’en donne la chair de poule. Puis il me doigte un peu, c’est maintenant normalement l’affaire de quelques minutes, voire de quelques secondes. Effectivement, je sens le gland qui force l’entrée de mon anus. Il a du mal, je fais ce que je peux pour l’aider en poussant, en agissant sur les muscles des sphincters, et en tirant sur mes fesses. Ça y est, ça passe ! Ça fait un peu mal. Encore une fois, je constate que l’impossibilité de dialoguer peut rendre les choses compliquées. Il s’enfonce, il s’enfonce, ça fait toujours mal, et le voici qui se met à me pistonner, je sens derrière la douleur une sensation trouble de plaisir qui à présent recouvre tout le reste. C’est bon, c’est trop bon ! Quand je pense que je ne connaissais pas ça ! Ça ne dure, hélas, que trop peu de temps. Il se retire après avoir joui, me fait un sourire, ramasse ses affaires et disparaît ! Et moi, alors ? C’est une manie, sur cette plage, de ne pas s’occuper du plaisir de ses partenaires ?
Ce que je n’avais pas vu, c’était les spectateurs. Ils sont là à cinq mètres de moi, ils n’ont rien raté de la scène. L’homme a sa queue dressée. C’est le couple de tout à l’heure.
Je leur fais signe que oui… je ne vais pas rater une nouvelle fois cette occasion. Je ne sais pas trop comment m’y prendre, c’est la première fois que je vais faire des trucs avec un couple, mais c’est Helvia qui prend la direction des opérations.
On le fait, elle m’explique carrément que son truc c’est de voir son copain sucer des bites, et même que s’il se faisait enculer ce serait génial ! En matière de fellation, je préfère sucer qu’être sucé, mais bon, je ne vais pas jouer au trouble-fête… je laisse le biquet me gober la bite tandis que Helvia s’occupe de la sienne. À ma grande surprise, il suce beaucoup mieux que mon partenaire précédent – je le soupçonne de ne pas en être à sa première –, à tel point que je suis obligé de le ralentir afin de ne pas jouir trop vite. Du coup, il abandonne la fellation et se met dans la même position que moi tout à l’heure. Il aurait pu me demander si j’étais d’accord, mais c’est vrai que je n’ai pas dit non. Il m’ouvre son cul, qui est aussi serré que le mien. Helvia me tend un préservatif. Je refais les gestes que l’Asiatique a faits avec moi, je lui lèche consciencieusement l’anus, puis je prépare l’entrée en le doigtant. Helvia passe derrière moi, elle attrape le bout de mes seins et me les pince. Cette délicieuse caresse me permet de maintenir mon érection, alors j’entreprends une première tentative, je m’en vais dans les décors, recommence, et cette fois le pénètre. J’essaie de mesurer mes aller et retour afin que ma jouissance ne vienne pas trop rapidement, le type, lui, pousse des râles de plaisir sur l’air de « Vas-y, c’est bon ! » comme dans un mauvais porno. Un petit déclic me prévient que la jouissance et toute proche.
Il était temps ! Je décule, enlève la capote et fais ce que Helvia me demandait. Le type veut m’embrasser sur la bouche, sans doute pour me remercier, j’aime pas trop, mais me laisse faire. Helvia fait ensuite signe à son copain.
Elle écarte les cuisses et il la pénètre avec une sauvagerie incroyable, leurs corps deviennent rouges tellement l’excitation est à son paroxysme. Le coït ne durera que cinq minutes, mais ils en sortiront épuisés après avoir joui simultanément.
Helvia se relève, fourbue, ses cuisses sont trempées d’un mélange de sueur, de cyprine et de sperme !
Mais de quoi parle-t-elle ? Et comme je ne réponds pas, elle s’accroupit sur le visage de son copain et lui pisse dans la bouche ! Je savais que ça se faisait, mais je n’avais jamais vu cela de si près. Je vais peut-être rater quelque chose ! Après tout, j’ai pris de bonnes résolutions depuis tout à l’heure !
Je pose ma tête sur le sable, ouvre la bouche et avale. Ce n’est pas mauvais, on dirait de la bière chaude !
Elle fouille dans ses affaires.
Je n’en reviens pas.
Je trouve que ça fait tard, mais une invitation ne se refuse pas.
Je quitte la plage. Bizarre, cette invitation… ce n’est pas comme cela que l’on invite les gens au restaurant ! Je regarde le papier : c’est en fait un bon de 300 francs à valoir sur l’un des menus. Où a-t-elle eu ce truc ? Je me change et attends patiemment l’heure. Je commence à avoir sacrément faim, en entrant je tends mon papier et on me conduit à une table, seul ! Je ne comprends plus ! Je pensais retrouver mes tourtereaux, eh bien, non ! Quelqu’un me tend une carte.
Je connais cette voix, je me tourne vers la serveuse. Helvia ! Quelque chose me dit que la soirée va être longue…