n° 00611 | Fiche technique | 15656 caractères | 15656Temps de lecture estimé : 10 mn | 28/06/00 corrigé 12/11/10 |
Résumé: Florence voit débarquer dans son bureau un ravissant petit jeune homme, un vrai trésor sur patte comme elle l'appelle. Elle s'amuse à l'aguicher. Mais il n'admettra pas que l'on joue avec lui. | ||||
Critères: fh fplusag travail cunnilingu préservati pénétratio init ecriv_f | ||||
Auteur : Florence_Mirage (Florence) Envoi mini-message |
Dans mon travail je reste toujours très sage, je peux m’habiller très sexy mais jamais mes gestes ou mes paroles ne portent à quiproquo. Que ce soit avec les hommes ou avec les femmes, je reste une employée modèle !
Pourtant un jour le vernis allait craquer, tout ça à cause d’un petit bout d’homme tout juste sorti de la puberté. Nous l’appellerons Jérémie, il est arrivé un beau matin avec le directeur du personnel pour faire un stage d’entreprise. Dix huit ans. Les cheveux courts très noirs sur un visage fin, imberbe, très féminin, un corps bien bâti, un petit trésor sur patte.
Il s’installa dans un coin, un peu apeuré, et là, notre maquerelle de chef de service se précipita sur lui, sous le faux prétexte de lui donner toutes les explications dont il aurait besoin, et cette garce-là d’en rajouter et un sourire par-ci et un frottement par-là, un vrai harcèlement sexuel !
La journée se passa comme ça, lui, essayant de se soustraire à cette nympho, elle trouvant tous les prétextes pour venir se coller à lui, contre lui. Pour finir, elle lui mit carrément son décolleté largement ouvert sous le nez, sa main posée sur la sienne soi-disant pour le guider avec la souris de son ordinateur. Le pauvre biquet ne savait plus où se mettre, tout rouge avec des yeux qui cherchaient désespérément de l’aide.
Je ne pus m’empêcher de rire, tout en continuant de les regarder. Elle se retourna senti le ridicule de la situation, me fusilla du regard et sortit rageuse avec un bon zeste de honte. Il me regarda, me remercia d’un sourire tout penaud qui le rendit absolument craquant.
Le lendemain matin, mon mari vint me faire la bise comme chaque fois avant son départ pour son travail, et là, il ne put s’empêcher de me demander où j’allais habillée ainsi. Je bafouillai quelque chose, toute surprise moi-même de mon accoutrement.
J’avais mis une superbe robe fuseau noir, qui me moulait tellement que l’on voyait sans problème le contour de mon string rouge, jusqu’au dessin de la dentelle. La robe courte ne pouvait cacher, lorsque je m’asseyais, le haut de mes dymettes couleur chair, et le décolleté dévoilait très avantageusement mes jolies rondeurs, d’autant plus que je n’avais pas mis de soutien-gorge ! La totale provoque !
Je ne m’étais même pas vu m’habiller ainsi, je voulais plaire, mais à qui ? Pas à ce gamin quand même. Quoique… en y réfléchissant bien !
Bon, pour le coup l’amour de ma vie me fit sa crise de jalousie et pour le calmer, je proposai de me changer avec mon tailleur gris, court et joli, mais strict. Voilà qui lui plaisait plus !
Mais la robe fuseau avait fait son effet, et soi-disant pour m’aider à l’enlever plus vite, ses deux menottes passèrent sous la robe glissèrent sur les dymettes et vinrent caresser mes cuisses entre mes bas et mon string. Puis très vite, ses doigts passèrent sous la dentelle rouge, je lui susurrai à l’oreille qu’il allait être très en retard à son travail si on continuait comme ça, et moi aussi d’ailleurs, mais il me répondit en riant, que, dans ce cas il valait mieux faire vite. Exact, je pensais de même !
Et pour accélérer le mouvement, je lui descendis la braguette, à peine écarté son slip que son pénis jaillit dans une superbe érection qui me donna une énorme envie. Je retroussai ma robe sur mon ventre, me suspendis à son cou, et, sans même enlever mon string, vins m’empaler sur ce magnifique pieu. Il me plaqua ainsi contre le mur et se mit à me labourer sauvagement. Son pénis s’enfonçait très loin dans mon vagin, et le frottement contre le mur me faisait mal. Mais le plaisir étant le plus fort, je me mis à pousser des cris qui n’étaient pas de douleurs, j’appelais ma mère, criais au secours et je ne sais plus quoi encore.
Cela redoubla son plaisir et je sentis un geyser brûlant jaillir loin au fond de mon ventre.
Pour le coup, je ne regardai pas le petit stagiaire de la journée tellement le souvenir de cette étreinte fut forte pendant les heures qui suivirent. Je trouvai même un peu bête d’ailleurs de se pâmer devant ce môme alors que j’ai un vrai bel homme à la maison, non ?
Pourtant quelques jours plus tard, alors que, accroupie devant l’armoire à archives, je cherchais désespérément un dossier, je sentis un regard posé sur moi. Un rapide coup d’œil et je vis que Jérémie était en train de me mater, dans la position où j’étais, il ne pouvait voir grand chose, hormis mes longues cuisses, vu que ma minijupe noire était remontée très haut. Cela m’amusa et je l’appelais pour qu’il m’aide à trouver le dossier, il vint bien sûr se positionner devant moi, là où il avait le plus de chance de voir au plus loin sous ma jupe.
Je ne fis rien pour le décevoir lui laissant perdre ses jolis yeux verts entre mes cuisses et je compris quand il se figea sans respirer la bouche légèrement ouverte qu’il avait maintenant une vue imprenable sur ma petite culotte. Toute en dentelle bleue ciel, si transparente que le pauvre mignon n’en finissait plus de rougir devant le spectacle de ma petite touffe de poil sous la broderie. Je m’approchai si près, que son souffle devenu saccadé me chauffait le visage. Je perdis l’équilibre lorsque nos deux genoux se touchèrent, le choc n’était évidemment pas violent mais malicieusement je profitai de l’occasion et me laissai partir en arrière. J’éclatai de rire, mi-assise, mi-couchée par terre, les jambes bien écartées. Jérémie ne disait rien, il ne pouvait plus bouger, tétanisé devant le spectacle que lui offrait ma position. Je ne mouillais pas, pas vraiment excitée, mais très heureuse d’allumer ce beau jeune homme.
Pourtant, quand je me redressai, mon rire se coinça dans ma gorge lorsque je vis la déformation du jean de Jérémie, il bandait vraiment, et son sexe devait être d’une taille très respectable !
J’avais très envie de le voir, je m’accrochai à son cou et ma bouche contre son oreille lui murmura qu’il aurait pu me retenir, il bafouilla une excuse, ses lèvres tremblaient. Je me relevai d’un coup toujours contre lui, comme il était toujours accroupi, il se retrouva la tête juste sous ma minijupe. Avec mon plus beau sourire, je lui dis de me regarder, il leva la tête mais quand il se rendit compte de la situation, son réflexe fut de la rebaisser, j’éclatais de rire me pencha vers lui et doucement vint l’embrasser. Juste un tout petit baiser, à peine posé sur les lèvres du gamin. Mais mon jeune soupirant en reçut une décharge électrique qui lui donna une bonne dose de courage et une fougue de mâle auquel je ne m’attendais pas. Il m’attrapa les bras et m’embrassa, j’étais coincée, le petit homme était fort et je sentais sa langue forcer le timide barrage de mes lèvres sans que je puisse y faire quoi que ce soit, si je tenais à conserver mes bras sans trop de bleus. Le voulais-je vraiment d’ailleurs !
Son ardeur désordonnée nous fit tomber ; cette fois je ne fis pas exprès de me laisser aller. Je me retrouvai lourdement plaquée par terre mon fougueux garnement sur moi, qui continuait à m’embrasser goulûment. Un mélange d’excitation et de peur me terrassait, et si quelqu’un entrait dans le bureau maintenant, et me voyait ainsi couchée sur la moquette jupe retroussée avec entre mes jambes un jeune garçon ! Cette pensée me glaça le sang et je rassemblai toutes mes forces pour repousser Jérémie qui maintenant s’enhardissais un peu trop et avait passé une main sous ma jupe malaxant plutôt que caressant mon entrecuisse, tandis que sa bouche était descendue sur mon corsage dans l’échancrure de mon chemisier dont il avait réussi à défaire plusieurs boutons.
Il me demanda avec un air de chien battu pourquoi je le repoussais, il faisait triste mine, je me sentais pas très bien, mais il fallait en rester là : beaucoup trop dangereux comme jeu. Je lui caressai doucement la joue, comme à un petit enfant et lui expliquai qu’il était très risqué de faire ça ici, que j’étais mariée et puis qu’il était un peu jeune pour moi. Il le prit très mal me traita d’allumeuse et de garce, il n’avait d’ailleurs pas vraiment tord !
Les jours qui suivirent, furent exécrable. Jérémie tirait la gueule, et moi j’appréhendais qu’il ne se vante de notre aventure auprès de ses nouveaux collègues masculins, il aurait pu vouloir se venger, j’avais un peu exagéré quand même. Moi, je me faisais discrète et m’habillais en pantalon !
La fin du stage arriva enfin. Il y eu un pot en son honneur, pour l’occasion je voulus faire la paix. Je fus tout sourire pendant l’apéro, et pour lui laisser un bon souvenir, j’avais mis une petite jupe d’été jaune, avec un joli tee-shirt bien moulant. J’aime ce genre de jupe légère qui vole en suivant mes mouvements, les hommes adorent aussi, je crois.
Tout se passait bien et je décidai d’en rester là. Je fis la bise à Jérémie lui souhaitant de réussir la fin de ses études et pris congé. En passant devant les toilettes, je me rendis compte que j’avais un peu bu et qu’il fallait en évacuer. Distingué comme phrase mais ça résume bien !
C’est en sortant des w-c que j’eus un choc. Là, devant moi, se trouvait Jérémie le visage crispé, je voulus lui demander s’il allait bien, mais je n’en eus pas le temps.
Il me repoussa fortement en arrière et je me retrouvai assise sur la cuvette, je n’eus pas le temps de me plaindre, il se mit à m’injurier, me traitant de salope et de garce qui l’avait allumé et pas éteint. Je pris peur, le suppliant de parler moins fort, et renouvelai mes excuses.
Il se calma, baissa la tête et dit que c’était dégueulasse ce que j’avais fait, qu’il n’avait encore jamais fait l’amour avec une femme et qu’il y avait vraiment cru avec moi. Il continua en me disant qu’il me trouvait très belle et que mon mari avait beaucoup de chance ! Le coup de grâce !
J’étais touchée et avais envie de me faire pardonner. Il était vraiment trop mignon, je me penchai en avant et posai ma tête contre lui. Son cœur battait très vite et sa respiration était tremblante. Sa main passant dans mes cheveux, il me murmura de gentils mots d’amour. Doucement je lui baissai son pantalon, tirant avec son slip pour me retrouver contre son magnifique pénis. Je le couvris de baisers tout en caressant ses couilles. Sa réaction fut rapide et une très belle érection s’ensuivit. Je lui léchai le gland et commençai à lui faire sa première pipe, ma main droite posée sur ses fesses, un doigt s’enfonçant légèrement dans son trou de balle, j’adore faire ça, et ça avait l’air de lui plaire !
J’arrêtais vite, le chérubin n’allait pas tenir, je l’assis à son tour sur la cuvette et là, à vingt centimètres de son nez, je levai ma jupe lui dévoilant tous les charmes des dessous féminins. Je laissai retomber ma jupe et enlevai ma culotte sans encore lui montrer ce, pour lequel il bandait comme un étalon. Je lui caressai ensuite son visage tout ruisselant de sueur avec cette même culotte, puis me retournai, me penchant bien en avant de façon à ce qu’il ait mon petit cul à raz de sa tête et commençai à remonter ma jupe tout doucement.
Sa respiration devint très forte et je crus qu’il allait jouir au moment où apparut devant son nez mon sexe ainsi offert. Dans cette position, je ne pouvais le voir mais je le devinais tremblant devant ce beau spectacle, admirant la forme des lèvres roses toutes mouillées de ce sexe qu’il découvrait, ainsi que le petit trou si attirant juste au-dessus.
J’étais là, soumise, attendant qu’il ait fini sa leçon de chose, quand ses deux mains m’attrapèrent par les hanches et je sentis son visage plaqué dans mes fesses, son nez entrant dans le plus petit de mes deux trous d’amour et, ô bonheur, sa langue qui me pénétrait. D’une main gentille mais énergique, je le guidai pour lui apprendre le plaisir des femmes et très vite mon clitoris fut à la fête. Léchant et mordillant, le gamin comprenait vite, remontant régulièrement pour honorer mon anus. Pas mal du tout pour un débutant !
Il fallait maintenant faire vite, Jérémie ne tiendrait plus très longtemps et je voulais sentir son sexe dans mon ventre, je fouillai mon sac, en sortis un préservatif. Devant ses yeux de merlan fris, je compris qu’il valait mieux que ce soit moi qui lui mette, moitié à la main pour lui montrer, moitié à la bouche pour le feeling. Son cœur dut cesser de battre quand je me suis assise sur lui, bien empalée par son pénis qui n’avait trouvé aucune résistance à pénétrer mon vagin trempé et dilaté de plaisir.
Les bras autour de son cou, tout en l’embrassant, je me mis à onduler du bassin et à monter et descendre le long de son sexe. Ça ne dura que très peu de temps hélas, et Jérémie eut un sursaut, un grognement et je sentis au fond de mon ventre les contractions de son sexe.
Il se blottit contre moi et je ne bougeai pas, attendant qu’il retrouve ses esprits, toute attendrie que j’étais devant cet adolescent dont j’avais fait un homme et qui était là, dans mes bras, comme un tout petit enfant, un homme quoi !
Puis, je repris mes mouvements de haut en bas profitant des derniers instants de son érection, pris sa main et la posai entre nos ventres contre mon sexe. Lui expliquant qu’une femme lui pardonnerait toujours une éjaculation, disons, un peu rapide. Mais pas de la laisser choir comme çà, si proche de son plaisir !
Sa main devenue experte caressait mon clitoris, ses doigts fouillant dans mon vagin ouvert à tous les plaisirs. Je me suis mise debout, les deux pieds sur la cuvette, lui toujours assis se retrouva le nez sur mon pubis. Il comprit de suite et sa langue me pénétra, tandis qu’un de ses doigts profanait mon orifice le plus serré. Mon corps se mit à trembler, je retins un cri et serrai très fortement sa tête contre mon sexe ; il crut étouffer là, le nez enfoncé dans mon vagin. Mon plaisir fut intense, quand je relâchai mon étreinte, son visage était rouge et tout mouillé de mon bonheur de vivre. Il souriait heureux de son exploit si nouveau pour lui.
Quand nous sortîmes du bâtiment, nous tombâmes nez à nez avec cette garce de chef qui crut avoir le bon mot de dire à Jérémie :
Elle ne comprit jamais pourquoi nous sommes partis dans un fou rire interminable, avec des regards complices qui l’énervaient, que son air excédé ne faisait qu’accentuer.
Je n’ai jamais revu le beau Jérémie, pas un mail ni un coup de fil. Était-ce un ingrat ou mon imagination a trop marché ? Dans ce cas c’est quand même un chouette fantasme !
Mais tout cela était-il très moral ? Jérémie était jeune ok, mais ne vaut-il pas mieux que je me sois occupé de son dépucelage, ses futures conquêtes m’en remercieront, non ? Au fait qu’auriez vous fait, vous, à ma place ?