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n° 00634Fiche technique13502 caractères13502
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Temps de lecture estimé : 10 mn
07/03/23
corrigé 07/03/23
Présentation:  Publié dans un premier temps en 2 épisodes, ils ont été regroupés car le second était fort court
Résumé:  A l'aéroport de Nice, il aperçoit un petit bout de culotte rose, il l'aborde, il prend rendez-vous, la suite sera très chaude ! une vraie fournaise !
Critères:  fh voir exhib photofilm intermast cunnilingu fist pénétratio
Auteur : Bernard_Photographe  (Bernard, le photographe amateur)      
Dans la fournaise de Marie

Nice, année 1974, Aéroport. Je ne suis qu’un touriste V.R.P. de passage à la poste de l’aéroport pour téléphoner, le parking est vaste et gratuit, oui, GRATUIT… à l’époque !


Je regagne ma voiture quand je vois, à une vingtaine de mètres, deux femmes. Mes yeux sont en fait attirés par l’une d’elles : en robe claire, évasée et courte, si courte qu’avec le balancement de la démarche, je crois voir sa culotte ! Je me rapproche rapidement. Je n’ai pas rêvé… un peu de sa culotte rose apparaît ! Elles s’arrêtent près d’une mini Cooper en vogue à cette période.

Cela me coupe toujours le souffle, mais je me calme. J’arrive à la voiture. Celle habillée si court est installée au volant et descend la vitre ; nous sommes en début juillet, il fait très chaud. Je vois de jolies cuisses bronzées :



Toutes les deux surprises, la « court-vêtue » me dévisage et me sourit :



Surpris à mon tour, je rétorque :



Je ne garantis pas les dialogues exacts, mais l’esprit y est sur un ton badin. Bref, je dis que j’aime les photos sexy, elles me demandent laquelle m’intéresse, je dis « les deux ! ». On rigole.


J’apprends qu’elles sont sœurs et habitent ensemble. Je change de place pour faire face à la court-vêtue dont je vois carrément l’entrecuisse grâce à quelques centimètres d’ouverture ! Je lui dis :



La sœur, en rigolant, dit :



Elle tire sur le genou de sa sœur et me montre toute sa culotte !


Je dis que c’est beaucoup mieux ainsi. Puis, je propose de les voir le soir même. C’est d’accord pour vingt heures, elles expliquent leur adresse et je les quitte après leur avoir dit que je viendrais peut-être avec un ami sans qu’elles refusent.


Je suis à la fois heureux de cette rencontre, et incrédule tellement c’est facile.


Je file vite à Nice voir mon copain, un toubib, content de cette aubaine, et, à vingt heures, on se retrouve au pied de leur immeuble. On trouve l’entrée, leurs noms sur une plaque… on prend l’ascenseur et on sonne à leur porte…

Pas d’imprévu, elle s’ouvre. On entre et l’on fait les présentations : Philippe, mon copain ; Marie, la court-vêtue (habillée pareil) ; sa sœur, Michèle. Contact très sympa devant un apéro et, comme hélas je n’ai pas d’appareil photo avec moi, je demande à Marie de me montrer les tenues qu’elle pourrait porter pour mettre son corps en valeur.

Je suis à nouveau surpris qu’elle accepte, on laisse les deux autres, elle me précède dans une chambre, ne voulant pas faire ça devant eux, « ça » en fait, c’est me dire carrément :



Cette coquine remonte sa robe jusqu’à la culotte, puis l’enlève carrément. Petit soutien-gorge pigeonnant, j’apprécie l’ensemble, lui faisant des compliments, mais je lui demande d’enlever le haut.

Elle descend les bretelles puis s’approche de moi, me tourne le dos pour que je le dégrafe. Je me fais un plaisir et je le jette sur le lit quand, soudain, la porte s’ouvre et le visage de Philippe apparaît. Tout de suite, elle vient se cacher derrière moi.



Je dis que c’est dommage tout en sentant les seins de Marie dans mon dos !


La porte se referme. Je pose mes mains sur les hanches derrière moi. Elle se plaque contre moi quelques instants, c’est délicieux, puis je me retourne et m’écarte un peu pour l’admirer. Petits seins jolis. Je m’approche et tire lentement sur les côtés de la culotte pour la faire glisser sur ses cuisses, découvrant une petite toison châtain.

Elle se laisse faire. On s’enlace, on s’embrasse, et la porte s’ouvre encore, sa sœur nous dit qu’elle part !

Marie me dit que c’est mieux ainsi. On retourne dans le salon pour boire encore un coup. Je la contemple évoluer à poil, elle n’est pas gênée du tout ; elle m’incite à en faire autant. Ce serait vite fait. La première fois que je me trouve à poil, buvant un apéro avec une presque inconnue à poil aussi. C’est le paradis. On s’embrasse encore, puis je la pousse sur le canapé. Je lui écarte les cuisses, découvre sa fente très rose, la caresse puis me mets à la sucer. Très réactive et déjà mouillée en une minute, elle se met à jouir superbement, puis elle me serre contre elle et me chuchote :



C’est fou d’entendre ça ! et aussitôt elle se met à jouer avec mon sexe et me suce divinement, mais je lui dis de se calmer, et comme elle est à genoux sur le tapis, je lui dis de rester ainsi. Je me place derrière elle, caresse son joli cul, la tête sur le canapé, elle écarte les cuisses pour mieux me recevoir et je la pénètre lentement. Bientôt, ce sera avec frénésie que je verrai mon sexe sortir et entrer en elle autant par mes poussées que par les siennes.

On ne résistera pas longtemps. Nos gémissements de plaisir empliront la pièce et on jouira ensemble comme des fous.


Je repense au parking de l’aéroport ! Puis, je lui propose d’aller manger au restaurant, elle est d’accord, on prend une douche, on s’habille. Petit restau pas loin où l’on pourra se caresser discrètement. Cette fille est très chaude, moi aussi… Et sitôt sorti, on prend l’air sur la promenade des Anglais, on descend sur les galets et on s’enlace dans l’obscurité. Comme elle a remis cette robe ample, l’accès à sa culotte est d’autant plus facile. Je la lui enlève… J’ai envie de la prendre là, à quelques mètres de la ville pleine de lumières et de gens qui profitent de l’air plus frais. C’est réciproque. Je m’assieds sur un muret… elle se penche, ouvre ma braguette. Je suis déjà bandé. Elle vient s’asseoir sur moi, se tenant à mes épaules. Je guide mon sexe qui entre facilement en elle. Elle m’embrasse à pleine bouche et le plaisir nous envahit à nouveau, très vite, trop vite. Je ne réalise même pas qu’on pourrait nous voir, on oublie tout et on jouit encore ensemble magnifiquement.


On retourne dans son appart, encore étourdis par tous ces émois, alors qu’elle m’a déjà demandé si je voulais bien la sucer comme tout à l’heure !


On boit un verre, car il fait très chaud, puis le canapé reçoit nos vêtements avant nos corps. On flirte, on se caresse, on vibre déjà. Je m’agenouille sur le tapis, lui écarte doucement les cuisses, contemple sa chatte ouverte, je prends mon temps. Je l’effleure d’un doigt, écarte les pétales très roses, pour découvrir un petit trou béant. Elle regarde ce que je lui fais et quand je glisse doucement mon doigt, elle tressaille et ferme les yeux.

Je m’approche de cette chatte offerte et je commence à la sucer, en haut sur le clito en faisant bouger mon doigt.

Elle respire fort. Mon doigt est trempé, et bientôt j’en glisse un deuxième à côté. C’est si mouillé que je peux les tourner côte à côte .Elle gémit, ce qui m’encourage à faire mieux et plus. Je me souviens lui avoir fait saillir le clitoris de ma main droite et ma main gauche avec deux doigts dedans, avoir titillé ce clito avec le pouce. Je me dis qu’il y a de la place, un troisième doigt entre sans difficulté… Je la sens « couler » sans qu’elle me serre ces trois doigts qui vont et qui viennent… Je commence à penser à une folie jamais réalisée : et si ma main la pénétrait pour la branler monstrueusement ?

Je ne pense plus qu’à ça, encouragé par les gémissements, je mets mes doigts « en pointe » sauf le pouce, la suce avidement, pousse ma main et petit à petit les quatre doigts pénètrent les chairs distendues.

Je contemple mon « travail » tandis que mon pouce masse son clito, les quatre doigts disparaissent dans son trou et visiblement elle y prend un plaisir certain.


Moi, je suis subjugué par cette première pour moi, je fouille ses chairs les plus secrètes et elle y prend un plaisir de plus en plus fort. Son visage est pâmé, son corps vibre, une main crispée sur un sein, l’autre sur le canapé.

Il faut aller plus loin. Je mouille mon pouce de salive, le plaçant à côté des autres, et ouvre cette fente. Je pousse, surpris de voir disparaître mes doigts lentement. Je pousse encore pour faire passer le plus épais et d’un coup, l’ouverture dilatée me laisse passer jusqu’au poignet !

Incroyable ! Elle suffoque. Son ventre ondule, ses seins se soulèvent par saccades. Je bouge doucement ma main prisonnière pour la branler quelques instants sublimes, et elle ouvre les yeux pour regarder ce qui lui fait ça. Regard très troublé.



Je lui demande si je lui fais mal, elle referme les yeux et son bassin s’agite. Je la branle carrément maintenant et elle délire. Je sens venir sa jouissance par des contractions sur ma main et elle pousse une longue plainte aiguë, secouée de tremblements.

Je n’ai jamais entendu ni vu tout ça et j’ai failli jouir aussi, mais je sors ma main de sa « fournaise », contemplant le trou laissé qui se referme lentement.

Je l’entends encore dire :



Ce que je fais immédiatement, mon éjaculation – la troisième – ne tarde pas tellement cette soirée est inouïe !




o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o




Je raconte cette folle soirée à mon copain « malheureux », et il me dit que ce serait bien que l’on mette ça sur pellicule, car il a un très bon matériel Baulieu Super 8 mm.


Mais le temps que ça s’organise, je revois Marie chez elle un après-midi et sa sœur est présente. On discute de tout et de photo… Et sa sœur accepte que l’on fasse quelques vues où elle me montre sa culotte sous une belle robe rose et courte. Elle accepte aussi de mettre les bas et le porte-jarretelles que j’ai apportés. Cela devient de plus en plus chaud et Marie l’aide à s’habiller, à s’exhiber puis à se déshabiller, si bien que je peux la prendre sans culotte et alors qu’elle s’écarte la minette !


Elle a envie de faire pipi… Je lui propose de prendre quelques vues pendant et elle accepte, en riant, d’uriner dans le pot de l’enfant !


Ensuite, elle doit partir. Peut-être pour nous laisser seuls ?


Je fais encore quelques vues à Marie, un peu les mêmes, mais à peine sa culotte enlevée, elle me dit de poser l’appareil, car elle a envie de faire l’amour ! En quelques secondes, je suis à poil et elle, assise sur le canapé en bas et porte-jarretelles, se met à me sucer divinement. Puis elle s’allonge pour un bon soixante-neuf et elle jouit en quelques coups de langue. Elle est très très chaude, et à peine remise de son orgasme, elle s’empale sur mon sexe ! Peu habitué à être sollicité aussi rapidement, mon organe ne résiste pas longtemps et gicle sa semence au fond de ce vagin en feu ! Un régal !


Après ça, on met au point cette « séance de cinéma » pour la semaine suivante.


J’arrive le premier et je flirte avec Marie sur le balcon quand on voit la voiture du copain arriver, mais les quatre portes s’ouvrent et trois filles sortent en plus de ce dernier avec son attirail !

Marie me dit :



Je vais au-devant du copain pour quelques explications. Il espère faire une partouze. Je voudrais bien, car elles sont appétissantes, ces filles ! Finalement, la solution est de les « parquer » dans la cuisine pendant le tournage, situation curieuse, mais qui permet de faire ce que l’on voulait.


Le scénario tout bête : Je viens voir ma copine, sonnerie à la porte, entrée, un verre à boire, elle danse sur un joli morceau de musique passant à la radio, on flirte et ensuite un enchaînement de caresses révélant ses dessous, puis ses seins, je la fais danser, les seins à l’air pendant que je mets à poil.


Plus besoin de scénario pour la suite. Elle se prête très bien à l’exhibition : dès la culotte enlevée, elle se caresse, se masturbe. J’essaie de lui enfoncer à nouveau mes doigts, mais impossible d’y glisser ma main, hélas ! Je me console en la prenant dans toutes les positions, en levrette par exemple, elle regarde la caméra vicieusement, très excitée de faire ça, puis elle se retrouve allongée, écartée, la tête appuyée de côté au bord de l’accoudoir. Mon sexe va et vient dans sa bouche tout en la masturbant. Je sens que ça monte et je me dis que je suis sur le point de réaliser un rêve vu sur quelques revues pornos danoises (les seules à l’époque).


Je vais de plus en plus vite dans sa bouche et fais signe à mon copain de bien filmer ça : je sors mon sexe et aussitôt mon sperme fuse, la première giclée au-dessus du visage, mais toutes les autres se répandent sur sa frimousse sans aucune réticence !


Quel plaisir intense ! Je contemple ma semence qui coule dans son cou et je replonge encore mon sexe pour qu’elle n’oublie rien… elle se lèche les lèvres.


Ensuite, elle file dans la salle de bain en me disant de libérer les filles, en fait mon copain paye leurs services et elles s’occupent de lui ; elles le déshabillent et se mettent à poil aussi, l’une est rasée, mais je rejoins Marie dans la baignoire. Quelques minutes plus tard, on entend jouir une fille. Je rebande. Marie s’empale encore sur mon sexe.


Quel bel après-midi !


Quinze jours plus tard, j’apprends qu’elles ont déménagé.



– FIN –