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n° 00688Fiche technique15187 caractères15187
Temps de lecture estimé : 10 mn
16/07/00
corrigé 11/08/07
Résumé:  Coincé un week-end dans cette ville de province, il demande conseil sur un lieu de promenade ! On le met en garde à propos du parc aux fauvettes qui serait un vrai repère de pédés ! Ce n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd !
Critères:  hh couleurs jardin voir hmast fellation anulingus préservati hsodo uro sm fouetfesse -hhomo -lieuxpubl
Auteur : Edvard Stokien  (Eddy - 35 ans - comptable - bisexuel)            Envoi mini-message
Le Parc aux Fauvettes


En déplacement dans cette ville de province et n’ayant pas le temps matériel de rentrer à Paris, je m’inquiétai, auprès des gens avec qui j’étais en contact, des lieux de loisirs et de promenades du coin.



Cet imbécile venait sans le savoir de m’indiquer un superbe but de promenade. J’avais emmené un jogging et des baskets, et c’est donc dans cette tenue que je me rendis, le samedi matin, au parc en question, celui-ci (en fait une espèce de bois), plus ou moins entretenu, se trouvait à la sortie de la ville. Ne sachant évidemment pas où se passait ce que j’y cherchais, j’y entrai un peu au hasard et me mis à la recherche de quelque chose d’intéressant. Toujours est-il qu’au bout d’une demi-heure, pas la moindre rencontre, je commençais à me désespérer, ceux qui m’avaient indiqué le "tuyau" étaient peut-être mal renseignés.


J’étais très déçu, car j’avais bien l’intention d’occuper une partie de mon week-end en réalisant mes fantasmes homo ! Je rêvais d’avoir une belle queue dans ma bouche, une belle queue que je rendrais bien raide avant qu’elle ne m’encule ! Une autre demi-heure passe, je décide donc de partir, quand je me rendis compte que je me suis à moitié égaré dans ce parc impossible. Je commence à m’énerver sérieusement, me voici sur un chemin que je ne me souviens pas avoir emprunté dans l’autre sens et, évidemment, aucune pancarte, je suis bel et bien perdu.


Mais voilà que j’entends des voix, effectivement, un peu plus loin, deux types arrivent dans l’autre sens. Ils s’approchent, ils m’ont vu et, pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté, ils se tiennent par la main.



J’ignore quelle est cette clairière, mais je ne refuse évidement pas. Les deux hommes ne démarrent pas pour autant. Sans que j’aie le temps de réaliser, le premier baisse son pantalon, libérant son sexe qu’il tient à pleine main et qu’il fait maintenant grossir en le masturbant légèrement. Cette bite est magnifique, bien droite et terminée par un gland bien lisse, d’une belle couleur un peu mauve. Le trouble me gagne. Cette bite, il me la faut. Soudain, l’homme (appelons-le Mario) cesse de se branler, sa bite a maintenant grossi, et il me l’exhibe, que dis-je, il me l’offre. Je la prends dans mes mains et la masturbe à mon tour. Elle est douce, elle est chaude. Le deuxième promeneur (Arnaud) passe alors derrière moi et, sans me demander mon avis, baisse mon jogging et mon slip, me voici les fesses à l’air.



Le voilà qui maintenant me lèche l’anus, il y a longtemps que l’on ne m’avait pas fait cela, mais par un homme, c’est la première fois, il fait cela très bien, sa langue est douce et agile, et il n’hésite pas à pénétrer dans mon trou aussi profondément qu’il le peut. Il arrête soudain de me lécher, je sens maintenant un doigt me pénétrer, il me masturbe le cul à coup de va-et-vient. Cette position n’est pas pratique, j’écarte les jambes et me penche en avant, j’ai donc du coup la bite de Mario à hauteur de ma bouche, et j’entreprends de la sucer, elle est délicieuse, un léger goût d’urine, mais ce n’est pas pour me déplaire.


Derrière moi, Arnaud a retiré son doigt, j’ignore ce qu’il fabrique, ne souhaitant pas me retourner, et tout d’un coup, je sens quelque chose de plus gros qui tente de pénétrer mon anus. Il est tout bonnement en train d’essayer de m’enculer, la pénétration n’est pas facile, en fait, je ne suis pas habitué, ça fait un peu mal, mais le type a du savoir-faire et continue à me pénétrer, une fois entré, il reste un moment sans bouger, puis commence des petits va-et-vient qui deviendront de plus en plus rapides. Je suis aux anges, voici des années que je recherchais ce plaisir trouble, et me voici dans ce bois de province en train de me faire enculer tandis que je suce une bonne queue. Le bonheur, quoi !


La bite de Mario est devenue toute dure au contact de mes lèvres et de ma langue, j’agis d’instinct, en donnant des petits coups de langues sur le gland, puis me sers de mes lèvres pour effectuer un mouvement de succion. Arnaud s’est retiré de mon cul. Le voici qui passe devant et retire son préservatif, du coup c’est Mario qui se positionne derrière moi et qui me prend le cul, la pénétration est plus facile, sa bite doit être plus longue que celle de son copain, car je la sens nettement aller plus loin. Dans le même temps, je suce la bite d’Arnaud, le contact du préservatif lui a donné un goût de plastique peu agréable, mais ça ne dure pas.


Mais voici que j’aperçois, au bout du chemin, deux types qui viennent dans notre direction, d’instinct je cesse de sucer la pine d’Arnaud !



C’est vrai que j’en ai pas grand-chose à faire, je suis à 500 km de chez moi et, comme si de rien n’était, je reprends ma fellation interrompue. Les deux types se sont maintenant approchés à la hauteur de notre groupe. Ils se contentent dans un premier temps de regarder, puis au bout de quelques instants, ils sortent leur bite et se masturbent en nous regardant. Moi qui adore voir des bites, me voici servi ce matin. L’une d’elle est à portée de ma main, je la tends, le type me laisse faire et je le masturbe un peu, pas longtemps, parce que synchroniser tous ces mouvements demande une habitude que je ne possède pas. Il se place à présent juste à côté d’Arnaud, sa bite tendue vers mon visage, je comprends l’invitation et, abandonnant quelques instants la pine d’Arnaud, j’entreprends de sucer cette nouvelle queue qui s’offre à ma bouche. Je passe de l’une à l’autre, c’est trop bon ! Je suis en plein rêve, et Mario qui continue à m’enculer ! Tout cela est trop nouveau et trop bon.


Le quatrième comparse (Bertrand) ne s’intéresse pas à moi, mais profite du fait que je suce son copain pour engloutir à ma place la bite d’Arnaud ! Je bande comme un cerf, mais personne ne pense pour l’instant à me sucer ou à me branler… Mario, lui, vient de jouir dans mon cul, il repasse à nouveau devant moi, ôte sa capote et me tend son sexe gluant de sperme. J’hésite, je n’ai jamais fait cela, puis je me lance, je lui nettoie tout de la langue et des lèvres, avalant tout.


Bertrand s’est aperçu que la place était libre et, sans me demander mon avis, entreprend de m’enculer à son tour, il n’a malheureusement pas le savoir-faire des deux précédents et me fait un peu mal, à moins que ce soit mon cul qui ne supporte plus une fantaisie aussi longue et variée. Je vais pour le lui dire, mais la douleur a tendance à se calmer et finalement je le laisse faire. J’ai recommencé à sucer alternativement les bites d’Arnaud et de Kévin, ce dernier ne tarde pas à jouir dans ma bouche, et cette fois j’avale tout sans hésiter, puis il va s’asseoir un peu plus loin, attendant probablement que son copain cesse de me sodomiser.


Voici de nouveau quelqu’un qui arrive par le chemin, il s’agit d’un grand noir, seul. Il connaît Arnaud. Ils se saluent. Le voilà devant moi, j’ai maintenant sa braguette à la hauteur de mon visage. Bizarrement il ne fait rien, on m’expliquera plus tard que certains mecs ne sortent pas eux-mêmes leurs queues, trouvant beaucoup plus excitant qu’on le fasse à leur place… Je commence à tripoter sa bite à travers son jean, je la sens se raidir, mais pas assez, je continue donc. Pendant ce temps, Arnaud, que j’ai arrêté de sucer, s’est glissé sous moi et me suce (enfin !) à son tour ! Lentement je descends la fermeture de la braguette d’Alexis, je lui tripote maintenant la bite à travers son slip, je sais que je vais découvrir un très gros sexe, il me tarde de le voir, de le toucher, de le sucer. Délicatement, je sors l’engin du slip. Une merveille, j’esquisse à peine quelques mouvements de masturbation et l’engloutis dans ma bouche. Ma quatrième pipe de la matinée ! Elle est très bonne, peut-être encore plus douce que les autres, question de texture de peau, sans doute.



Au moins, lui, il est correct, il demande ! J’appréhende quand même un peu. C’est quand même pas mal gros, tout cela !



Du coup Bertrand cède la place en maugréant et se finit à la main. Je n’ai plus personne à sucer ! Dommage ! Alexis pousse pour rentrer, seule l’introduction sera un peu difficile, après ça glissera tout seul, mon cul ayant été bien lubrifié par les trois autres lascars.


L’excitation est à son comble, je sens que je vais bientôt jouir dans la bouche d’Arnaud, tandis que le plaisir anal que me donne le grand black monte à son paroxysme. Ça y est ! Je jouis enfin, précédant Alexis de quelques secondes. Arnaud, lui, se finira à la main.



Puis, se tournant vers Mario et Arnaud :



Puis Mario me demande :



On se rhabille et nous voilà partis vers cette fameuse clairière, qui est à un quart d’heure de marche. Arrivés sur place, il n’y a effectivement personne, et Alexis exprime le désir de pisser un coup.



J’avoue ne pas bien comprendre, et Arnaud vient à mon secours



Tout en parlant, il s’est déshabillé, il va très vite n’ayant qu’un jogging.



Je n’en crois pas mes yeux, Alexis commence à pisser, il vise le postérieur d’Arnaud et le lui asperge. Il s’arrête de pisser, afin d’étaler le liquide sur ses deux fesses. Ce spectacle insolite me fait bander à nouveau. Arnaud s’est retourné, et Alexis lui asperge maintenant la bite, puis ce dernier s’accroupit doucement. Alexis ne change rien à la direction du jet, qui atteint maintenant le torse d’Arnaud, puis son visage, il ferme les yeux, mais entrouvre la bouche, avalant une lampée de l’urine de l’autre. Je n’ai jamais vu cela, il m’est arrivé très rarement de pratiquer des jeux uro avec des femmes, mais là, je n’en reviens pas, et ma bite est vraiment toute raide ! Mario intervient !



Je me déshabille.



J’hésite encore, il faut que je me lance dans ce jeu, mais un je ne sais quoi m’en empêche encore.



Mario va chercher quelques branchettes, il en choisit une et la tend à Arnaud.



Arnaud cingle d’un violent coup de branchette les fesses de son copain. Le coup laisse une traînée rouge.



Je m’approche et lui tends mes fesses. Sans préavis, un premier coup atteint mon cul, ça fait mal mais c’est supportable.



Un deuxième coup arrive, plus fort, puis un troisième, ça commence à faire mal



Et celui-là fait très très mal !



J’y vais ! La pisse a séché, mais il reste une odeur un peu forte, je lèche minutieusement, essayant de pénétrer au plus profond que je peux avec ma langue. Mario s’approche à nouveau de moi



Mario vise ma bouche et me balance une goutte. Ce n’est pas mauvais, son urine est très claire, il doit boire beaucoup d’eau.



Cette fois il pisse d’abondance et j’en avale plusieurs lampées. Quand il a terminé, il se masturbe légèrement, faisant atteindre à sa bite une taille convenable, il me demande maintenant de lui présenter mes fesses, je crains une autre volée de branchette, mais non, il m’encule à nouveau, tandis qu’un peu plus loin Alexis se fait prendre le cul à son tour par Arnaud.


C’est complètement épuisé, le cul défoncé, que je terminai.



Je rentre à l’hôtel, m’amusant à l’avance de la question que me poseront mes imbéciles de collègues lundi matin, sur mes occupations du week-end. C’est par la pensée que je leur répondrai :



Mais il n’est pas fini, ce week-end, et j’espère que la soirée avec mes nouveaux amis sera très chaude !