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n° 00714Fiche technique28941 caractères28941
Temps de lecture estimé : 17 mn
20/07/00
corrigé 12/11/10
Résumé:  Déçu par sa petite amie, il recherche son bonheur dans les petites annonces... C'est ainsi qu'il fera la connaissance de Nicole...
Critères:  fh inconnu telnet voir chaussures fellation cunnilingu 69 préservati pénétratio -totalsexe
Auteur : Etienne
Une rencontre par petite annonce

Les petits journaux d’annonces gratuits contiennent toujours une page très attrayante intitulée : « Relations- Rencontres ». J’avais songé à utiliser ce moyen pour rompre ma solitude lors d’un épisode difficile de ma vie, mes parents étaient gravement malades et ma vie de couple était peu satisfaisante. J’avais en effet une petite amie, mais nos relations s’étaient peu à peu détériorées en raison de fréquentes séparations imposées par mon travail et de son peu d’entrain aux choses de l’amour. En fait, j’éprouvais un cruel vide affectif et j’avais besoin de relations physiques pour me rassurer, j’avais envie de faire l’amour sans retenue et sans tabous pour retrouver mon équilibre…


Je décidai donc de répondre par courrier à un certain nombre d’annonces de jeunes femmes seules. J’eus quelques appels téléphoniques émanant de professionnelles mais ce genre de dames ne m’intéressait pas trop car je recherchais une relation tendre et sincère. Je reçus enfin sur mon répondeur téléphonique un message qui m’attira particulièrement. Il était énoncé par une femme à la voix assurée et assez forte avec un léger accent du sud-ouest, la proposition était alléchante : elle promettait une rencontre et se décrivait sans retenue comme une jeune femme sexy, bien faite, avec une jolie poitrine bandante et proposait une rencontre amicale et plus si affinités ! Le message était sans équivoque et même plutôt osé !… La jeune femme promettait de me rappeler plus tard. J’étais un peu intimidé par la voix et je redoutais de tomber sur une matrone entre deux âges aux formes rebondies et à l’autorité irrépressible qui m’aurait accueilli comme si j’étais un gamin et commandé comme à un esclave pour une relation brève et sans aucune tendresse.


Peu de temps après, je reçus un nouveau coup de fil de la personne en question qui me donnait son prénom – Nicole - et aussi son adresse. Je la notai fébrilement, je lui exposai ma situation, elle me répondit qu’elle comprenait et qu’elle ferait son possible pour me remonter le moral, la discussion demeura très courtoise, elle me dit de passer la voir à l’occasion pour faire sa connaissance, la conversation fut assez brève. Je dus attendre quelques jours pour lui rendre visite en raison de mon travail. Enfin, un après-midi, n’y tenant plus, je me libérai, pour me rendre à l’adresse indiquée au moins pour voir la personne en question et m’en faire une idée, en me demandant un peu sur qui j’allais tomber !


C’était dans une grande rue de la ville, sur une petite place assez animée, je garai ma moto à quelques mètres et j’arrivai à la fameuse adresse. Il faisait beau un peu gris, assez chaud, c’était encore l’été, j’étais impatient mais sans plus, tout au plus intrigué, me demandant ce qui me poussait à venir là. Une grande maison de pierre de deux étages semblable à ses voisines s’ouvrait par une porte en bois épais ouverte par une grille en fer forgé et peinte en bleu turquoise. Sur l’encadrement un panneau d’aluminium poli portait les prénoms et les noms des locataires dont l’un était Nicole, je sonnai. Un déclic et la gâche électrique libéra la porte qui s’ouvrit sous ma poussée. Je montai deux étages d’un escalier de pierre assez étroit recouvert d’un vieux tapis rouge en corde usé. La lumière venait d’une verrière située au-dessus de la cage d’escalier et celui ci était donc de plus en plus éclairé au fur et à mesure que je montais, mes pas résonants sur les murs de pierre. J’arrivai sur un petit palier, la jeune femme m’y attendait, elle avait discrètement entrouvert la porte.


Je fus surpris de sa petite taille et de sa voix douce, je reconnus à peine la voix du téléphone grâce au léger accent. Elle était assez jolie avec des traits fins, un visage ovale décoré de beaux yeux noirs avec une petite bouche gourmande rouge et ronde comme une cerise mûre et des cheveux blonds assez courts tirant sur le châtain, bien coiffés ; elle portait un corsage beige plissé et bien ajusté et un tailleur gris sombre presque austère avec des bas fumés et des chaussures noires à hauts talons. Nous entrâmes dans une pièce meublée très simplement d’une table ronde entourée de deux fauteuils, d’un lit et d’une armoire en bois blanc, une fenêtre aux volets entrouverts laissait filtrer une lumière douce, une cheminée en marbre donnait un peu de style à cette pièce triste, un grand miroir vertical complétait l’ameublement. Elle me fit asseoir, nous nous mîmes à parler presque à voix basse, j’étais un peu mal à l’aise, jusque là tout se passait comme si j’étais venu à n’importe quel rendez-vous d’affaires avec un agent immobilier ou un médecin ! Je ne savais trop quoi lui dire et je commençai platement :



Elle semblait presque intimidée par ma présence et j’en fus surpris ! Elle me répondit très laconiquement :



Elle m’offrit un café et me fit quelques confidences sur son mode de vie. Elle avait été mariée quelques mois à un homme sans manières qui s’était bientôt révélé alcoolique et presque impuissant, cette expérience des hommes, l’avait profondément déçue et elle s’était décidée à vivre seule. Cependant elle m’avoua que la solitude lui pesait, étant de nature très sensuelle avec de gros besoins sur le plan sexuel et elle éprouvait l’envie de rencontrer régulièrement des hommes. Pour y parvenir, elle passait de temps à autre une petite annonce telle que celle à laquelle j’avais répondu. Elle m’avoua que le fait de faire ainsi des rencontres sans cesse renouvelées lui plaisait beaucoup et évitait la routine qui s’installe souvent au sein des couples réguliers. Mon cœur se mit à battre lorsque je compris que la femme qui était devant moi m’avouait sans complexes qu’elle cherchait à faire l’amour et que si j’en avais envie j’étais peut-être le prochain candidat !


L’appartement était celui d’une parente retirée à la campagne qui le lui prêtait pour l’entretenir un peu. C’était donc là qu’elle recevait ses amants d’occasion, sans aucun but vénal, juste pour le plaisir, son métier d’expert fiduciaire qui consistait essentiellement à étudier des dossiers financiers lui laissant pas mal de temps libre. J’étais surpris de la voir agir comme une professionnelle et je le lui dis, elle rougit et me répondit que c’était justement cela qui l’excitait, elle choisissait cependant avec soin les heureux élus, refoulant ceux qui ne lui plaisaient pas et sélectionnant les hommes qui lui paraissaient les plus sérieux et les plus distingués. Ainsi Nicole recevait de nombreux amants pour satisfaire ses désirs, c’était terriblement excitant et coquin. Comme je voyais cette fille pour la première fois, j’hésitais un peu, ses manières plutôt sages contrastant singulièrement avec son discours plein de promesses !


Ce qui me décida ce furent ses jolies jambes un peu potelées dont la rondeur était rehaussée par le port des escarpins à haut talon qui cambraient ses mollets et faisaient ressortir le galbe de ses fesses que je devinais sous la veste du tailleur. L’envie montait petit à petit en moi, elle me dit :



Je m’entendis répondre presque malgré moi :



Ce fut aussi simple et laconique que cela : sans circonvolutions et sans hésitation elle me proposait de faire l’amour avec elle ! Je sentis ma queue se dresser dans mon pantalon !


Presque naturellement elle se leva et nous nous rapprochâmes doucement je la pris dans mes bras et je caressai délicatement ses jolis cheveux blonds puis sa nuque, je la serrai contre moi, elle était souple et je la sentais s’abandonner, je lui donnai une série de baisers légers sur ses joues son nez puis le bord de ses lèvres, nos bouches se cherchaient et je goûtai finalement à ses lèvres douces et parfumées, nous nous étreignîmes de plus en plus étroitement et je sentais ses formes à travers ses vêtements, ses seins pointaient durement contre ma poitrine et je sentais le galbe de ses cuisses contre mon entrejambe, nos baisers devenaient de plus en plus chauds et sensuels, sa respiration s’accélérait. Je n’en croyais pas mes yeux, cette fille était chaude comme la braise et je sentis qu’elle avait envie de faire l’amour, ce fut elle qui réagit la première, elle me dit :



Elle se retira dans sa salle de bains attenante pour se déshabiller, resté dans la chambre, j’enlevai mes vêtements avec la plus grande hâte, le cœur battant à présent de plus en plus fort. Nous nous retrouvâmes nus face à face, je fus admirablement surpris de découvrir une femme extrêmement séduisante… elle était petite mais très bien proportionnée, de jolies jambes avec des cuisses rondes bien galbées mises en valeur par des bas fumés brillants tenus par un porte-jarretelles noir, et surtout une admirable poitrine aux seins pointus ornés de larges aréoles sombres au centre desquelles dardaient de petits tétons bien dressés, j’admirai aussi ses fesses hautes et bien moulées ainsi qu’un petit ventre rond dont je me dis que le frottement allait augmenter mes sensations voluptueuses pendant l’acte d’amour !


C’était vraiment une jolie petite poupée blonde assez potelée et particulièrement sexy qui donnait très envie de faire l’amour… je lui fis compliment de son joli corps, elle sourit et s’approcha de moi timidement en observant mon membre qui se dressait à présent à la verticale tant la vue de cette jeune femme nue et la perspective de faire l’amour avec elle m’excitait.



Que c’était bon cette petite main qui me caressait la queue ! Si le paradis existe, il doit sans doute ressembler un peu à ça ! Nous étions l’un contre l’autre, je caressais ses épaules et sa nuque, je commençai à embrasser son cou puis ses joues et enfin ses jolies lèvres décorées de rouge sombre, à ma grande joie elle accepta à nouveau mes baisers et même vint au-devant de mes lèvres en me butinant d’une série de petits bisous très délicats et sensuels avec sa petite bouche à la fois douce et charnue, je me mis à bander de plus en plus et elle laissa ma pine frotter contre ses cuisses, la trame de ses bas excitait délicatement mon gland, nous nous frottions l’un à l’autre pour profiter des sensations voluptueuses que nous procuraient le contact de nos corps nus, je me plaçai devant la glace et je la pris contre moi, ses fesses pressées contre mon ventre, ma bite dardée enfilée entre ses fesses fermes ; elle me sentait contre elle et remua légèrement pour me masser la bite entre ses fesses tandis qu’elle se caressait les seins en se les remontant, autant pour m’exciter que pour son propre plaisir. Nous étions face à la grande glace verticale, et visiblement elle admirait son propre corps, elle en était fière ainsi que de l’excitation qu’elle provoquait chez moi.


Cela commençait à être très chaud, nous étions à l’unisson, je commençais à la sentir vibrer. Décidément cette fille ne simulait pas le plaisir. Je le ressentais si fort et que je lui dis :



Je pris ma queue dans la main et je l’abaissai pour l’enfiler entre ses cuisses, elle comprit mon désir et leva sa jambe gauche pour m’aider à passer ma queue sous sa cuisse : à présent elle était debout contre moi, les fesses collées contre mon ventre et ma bite était enfilée entre ses cuisses sans la pénétrer, mais comme ma pine est très arquée Nicole avait à présent mon gland en contact avec sa fente déjà très humectée. La position était très excitante et elle sentait mon gland contre sa fente. Elle engagea aussitôt spontanément l’action en se penchant légèrement en avant et en remuant ses fesses, mon gland était enfoncé entre les lèvres de son sexe et ses mouvements augmentaient nos sensations de plaisir, d’une main je la pris par les hanches pour bien la tenir contre moi et de l’autre je pelotais ses jolis seins pointus, elle commençait à haleter de plaisir et moi je sentais divinement ma queue bander dans l’intimité de la jeune femme. Nous nous excitions de plus en plus, je me mis à sautiller pour que ma pine frotte plus fort contre sa moule, elle donnait des fesses dans un rythme qui s’accélérait, je la voyais se tortiller dans la glace, le plaisir montait en nous vers un paroxysme, nous nous accordions délicieusement, mais nous sentions tous les deux que ce serait dommage de continuer car nous étions tellement excités que nous n’allions pas tarder à jouir, je lui dis :



Mais la position était trop bonne et après un instant d’arrêt pour laisser redescendre notre excitation, elle se remit à bouger son cul et moi à sautiller pour bien plaquer mon gland dans sa moule, en fait nous étions en train de faire l’amour debout et comme l’excitation augmentait la tendance de mon membre à se recourber vers le haut, Nicole sentait donc de plus en plus mon gland lui pénétrer la fente et exciter les lèvres de son sexe et son clitoris ces sensations de plus en plus fortes lui arrachaient de petits cris de plaisir.


Je me maîtrisais à grand peine et je me séparai d’elle à regret. Je la guidai vers le lit en la tenant tendrement par l’épaule, Elle s’allongea et attendit, l’air à la fois détendu et langoureux. Je m’approchai d’elle sans hâte et je l’embrassai sur tout le corps. J’embrassais ses jolis bras puis ses joues en passant toujours par sa jolie bouche car cela m’excitait au plus haut point, toujours des rafales de petits baisers sensuels, je m’attardai sur ses seins et sur son ventre sans trop insister, d’abord sur les pointes dardées qui montraient bien son excitation, je caressais ensuite longuement ses pieds puis je remontais à ses chevilles, ses mollets, l’intérieur des cuisses que je flattai doucement de mes mains, y mêlant mes baisers enflammés, je voyais un trésor, son sexe complètement rasé qui attirait ma langue, elle avait sa corolle bien étalée et gonflée formant comme une rose nacrée et boursouflée ouverte sur sa petite grotte d’amour. Son sexe était relativement petit par comparaison avec celui d’autres femmes, je léchai avec délices les lèvres de la délicieuse corolle et je décapuchonnai le petit bouton par de petits coups de langue à la fois doux et pointus, Nicole se mit à haleter, manifestement le traitement lui faisait beaucoup de bien ! Pendant ce temps mes mains couraient sur ses hanches et sur ses seins fermes tandis que je maintenais mon excitation en effleurant ses escarpins avec ma queue turgide. Je fis alors ma caresse plus insistante, prenant ses fesses à pleines mains pour bien les malaxer tout en faisant rentrer profondément ma langue dans sa moule dodue, là ce fut elle qui finit par demander grâce.



Je me relevai pour lui montrer combien elle me faisait bander, elle me branla quelques instants puis me dit :



Elle me fit allonger sur le lit et vint s’accroupir près de moi pour me faire une fellation. Contrairement à beaucoup d’hommes, je ne suis pas très enthousiaste de cette pratique, l’idée m’excite mais la sensation m’a souvent déçu, en réalité je ne trouve le jeu agréable que si je suis déjà très excité et là c’était justement le cas, si elle avait continué à me branler de sa jolie main rondelette j’aurais probablement éjaculé en moins d’une minute, aussi je me détendis en fermant les yeux lorsque je sentis sa langue douce courir sur mon membre, elle commença par lécher ma hampe puis le gland et enfin m’engloutit entièrement jusqu’à la racine, sa jolie bouche serrant bien la base de ma pine durcie. Je lui caressai en même temps les seins et la croupe puis les cheveux et j’appuyai doucement sur sa tête pour l’encourager à me sucer à fond, je réalisais peu à peu le caractère extrêmement excitant de ma situation, j’étais en train de me faire sucer la queue par une jolie fille qui y prenait manifestement beaucoup de plaisir et nous avions tout notre temps devant nous pour bien faire l’amour, quel délice !


Cela dura plusieurs minutes, afin de mieux partager notre plaisir et en fait pour que son excitation ne baisse pas trop, je la fis pivoter de manière à avoir son bas ventre au niveau de mon visage, elle comprit tout de suite et fléchit légèrement ses genoux de manière à amener sa vulve à la hauteur de mes lèvres, agrippai ses fesses et je la léchai comme un fou, ma langue tournoyant dans sa fente humide tandis qu’elle continuait de me sucer la bite, elle se mit de nouveau à haleter, nous étions en train de nous faire un 69 monumental, jamais je n’avais éprouvé de sensation aussi fortes, Nicole était vraiment une reine de l’amour.


J’avais à présent sa fente humide fortement appuyée sur mon visage et je rentrais ma langue au plus profond, je léchais aussi sa corolle et surtout son bouton d’amour qui se dressait, à présent fortement renflé, mais tous les deux nous étions à présent trop excités pour nous contenter de caresses, aussi chaudes et coquines soient-elles, je sentais Nicole impatiente et j’avais moi aussi envie de lui faire vraiment l’amour, aussi c’est pratiquement ensemble que nous nous sommes relevés, elle s’est à nouveau allongée sur le dos et elle m’attira vers elle, les mots furent brefs, nous nous comprenions à merveille, bien que ce soit notre première rencontre. Elle était donc allongée les cuisses bien écartées ses jambes légèrement repliées, toujours chaussée de ses escarpins vernis à hauts talons.



J’en profitai pour me caresser le gland en le frottant lentement le long du cuir verni, enfonçant doucement les talons aiguilles dans mes cuisses, délicieuse sensation, moi qui me moquais du fétichisme dévoué aux chaussures de femmes, voilà que je me mettais aussi de la partie et avec quel bonheur ! Je m’attardai en frottant doucement mon membre le long de la chaussure pointue, puis j’enfilai mon gland entre la semelle et le talon, ce contact à la fois ferme et lisse m’excitait au plus haut point, Nicole me regardait faire en souriant, Je ne résistai pas au désir de lui sucer encore une fois la fente et je me jetai goulûment sur elle, tandis que je pelotais ses seins merveilleusement fermes et élastiques, elle haletait de plaisir, je n’en pouvais plus moi aussi.



Cela m’excitait au plus haut point, j’aime assez les invitations explicites et les mots crus pendant l’amour à partir d’un certain degré d’excitation, même s’ils sont d’une banalité affligeante ! Bien que je sois très doux et caressant, je lui dis d’autorité :



Elle tendit alors le bras vers sa table de nuit et saisit prestement un préservatif, elle ouvrit l’enveloppe et déroula sans peine la fine membrane de caoutchouc le long de ma bite dressée, c’est là que je maudis certains fabricants qui font des étuis qui sont calculés bien trop courts, celui-ci couvrant à peine la moitié de mon membre dont les dimensions sont pourtant dans la moyenne ! Mais l’inquiétude ne fut que passagère, sa main douce effleurant très sensuellement ma pine me fit reprendre mon enthousiasme. Nicole avait de la suite dans les idées, elle s’était mise à quatre pattes devant moi, sur le lit, les bras pliés sous le menton et elle me regardait d’un air coquin en relevant sa croupe superbe au milieu de laquelle brillait sa fente humide a la corolle épanouie. Nicole avait des fesses bien pommées, un peu pointues, j’étais à quelques centimètres d’elle, la queue au garde-à-vous prêt à l’embrocher, quel instant délicieux, je sentais combien cette fille avait envie de se faire baiser, et la levrette est une position très excitante à la fois dans sa bestialité et dans l’invitation lubrique qu’elle suggère de la part de la femme.


Je suçai une dernière fois sa chatte en lui pelotant les fesses puis, n’y tenant plus j’approchai ma queue de son nid d’amour impatient et je posai mon gland contre sa fente, Nicole gémit en sentant enfin le membre au bord de sa fente, elle remua légèrement les fesses, suscitant mon désir, je la pénétrai enfin lentement, savourant la progression de ma queue dans l’étui tendre et chaud qui moulait à présent ma bite tendue, enfin je baisais Nicole, un sentiment de plénitude et de satisfaction m’envahit, j’étais très excité mais aussi détendu, en paix comme si ce petit instant de bonheur se transformait instantanément en un espace où la durée était mesurée avec une autre échelle infiniment plus étendue.


Mais Nicole n’avait rien à faire de mes rêveries, elle avait mes 18 centimètres de queue profondément enfoncés dans son vagin et elle entendait en profiter au maximum. Elle remuait pour sentir ma queue frotter contre ses parois intimes. Soudain j’admirai son cul et je me mis à le peloter frénétiquement, massant vigoureusement ses fesses et les malaxant à deux mains tandis que je lui faisais de longues allées et venues avec ma bite dans sa chatte vibrante de plaisir, elle appréciait bien le traitement et se mit à émettre force petits cris et halètements qui soulignaient son plaisir, oh que c’était bon ! Le problème était que le rythme et l’excitation s’accéléraient, j’avais de plus en plus de plaisir et elle aussi, c’est l’un des inconvénients de la levrette, la position est très jouissive et on risque d’y être surpris par l’orgasme alors que l’on pense avoir encore bien du temps devant soi… Le plaisir est noué à nos fantasmes secrets dont nous sommes parfois inconscients, là je réalisais brutalement que j’étais en train de prendre mon pied avec cette fille formidablement sensuelle, alors qu’une demi-heure auparavant je ne la connaissais pas du tout ! Je pelotais ses seins d’une main et de l’autre je titillai sa fente et je massais son clito pour lui donner un maximum de plaisir ; ses gémissements redoublés et les contractions de son vagin furent un merveilleux remerciement.


Le spectacle de son cul qui se tortillait sous les coups de ma bite raide m’excita brutalement, deux jolies petites fossettes creusaient le bas de son dos de part et d’autre de sa colonne vertébrale et au-dessous son joli cul bien rond avec ma bite qui s’enfonçait en elle, quel spectacle, je sentis que j’allais juter et je lui criai brutalement :



Et elle se retourne alors, offerte et impatiente, les seins pointés et la fente ouverte, prête à m’accueillir à nouveau. Alors, je m’approche d’elle lentement et je lui écarte bien les cuisses en lui relevant les genoux, je prends ses fesses fermes entre mes mains, je remarque encore combien le porte-jarretelles noir souligne les courbes de ses fesses et encadre sa jolie moule, qu’est-ce que je bande dur ! Et j’approche ma bite, je frotte le gland contre les cuisses puis je pousse enfin ma pine dans sa fente, quel délice, je suis enfin enfoncé en elle.



Là je ne sais plus trop décrire, c’est un rêve, un enchantement, je la baise d’abord doucement en gardant mon gland au bord de sa fente pour bien sentir ses lèvres qui m’enserrent, elle halète, je malaxe ses fesses et je remarque qu’elles commencent à se contracter par saccades dans un mouvement réflexe : Nicole commence à jouir, la fille a des contractions je sens son vagin animé de spasmes de plus en plus rapprochés et violents, elle émet en rythme des petits cris de plaisir qui décuplent ma jouissance. Je la pine à présent à fond faisant de longues allées et venues dans son étui, je donne de grands coups de bite violents, elle ressent mon membre au plus profond d’elle-même, je la sens qui monte dans le plaisir puis ça y est, ça vient, c’est une vague qui monte, je sens ma queue gonflée au paroxysme, la jeune femme ne peut plus se retenir et elle a à présent une vague de contractions du vagin qui me transportent de plaisir, je lui crie dans un souffle :



Là elle se caresse les seins en faisant rouler ses tétons durcis sous ses doigts, je sens une rafale de contractions de son vagin qui déclenche mon propre orgasme, et je jute à fond, je jouis intensément comme un fou en sentant ma semence partir hors de moi en torrents furieux. Nicole prend ma queue à fond avec de grandes convulsions du bassin, c’est une véritable tempête de jouissance qui nous secoue tous les deux, j’ai l’impression d’être emporté par un torrent furieux, les vagues se succèdent avec une violence et une douceur inouïe, puis tout se calme pendant que je continue à la baiser doucement, en effet quand je jouis bien fort, mon membre reste dur quelques minutes et j’en profite pour continuer à pistonner doucement ma partenaire pour lui permettre de profiter encore des sensations voluptueuses que lui procure mon sexe dressé dans son étui d’amour, calmé, mais encore tout prêt pour l’orgasme.


Nous passerons encore de longues minutes à nous embrasser et à nous câliner. Après cette extraordinaire séance de baise, nous avons senti une tendresse indéfinissable se développer entre nous, nous avons éprouvé le besoin de nous revoir. C’est pourquoi je renouvelle régulièrement mes visites suivant nos désirs communs. Avec Nicole c’est à chaque fois une merveilleuse fête, et nous sommes de plus en plus attachés l’un à l’autre… j’espère que cela vous aura plu de connaître ce délicieux extrait de nos premières relations…