n° 00734 | Fiche technique | 27491 caractères | 27491 4745 Temps de lecture estimé : 19 mn |
08/03/23 corrigé 08/03/23 |
Résumé: Une annonce rose l'emmènera vers un monde inconnu dont elle sortira blessée. | ||||
Critères: fh hplusag hagé fépilée voiture telnet fmast intermast fellation cunnilingu anulingus 69 fgode pénétratio fdanus anniversai | ||||
Auteur : Zetteremy (Portée sur la chose) |
Monsieur, soixantaine, non libre, généreux, aimerait partager plaisirs coquins avec D/JF âge indifférent – Rép. au journal qui transmettra
Je ne réponds jamais aux petites annonces roses, quel que soit leur support. Pourtant, j’ai répondu à celle-ci parue dans un journal gratuit. Elle était claire, honnête et simple. Le mot « généreux » n’était pas pour me déplaire. Je ne suis pas vénale, mais il ne me déplaît pas de pouvoir joindre l’utile à l’agréable. J’ai donc posté ma réponse sous la forme d’une feuille blanche anonyme sur laquelle j’ai simplement inscrit mon numéro de téléphone.
Trois jours plus tard, je retrouve l’auteur de l’annonce, Jean-Luc, sur la terrasse de La Coupole. Je constate que son annonce reflète l’exacte vérité. Il a 59 ans. Il est bel homme et semble financièrement à l’aise. Il est marié. Il aime sa femme, mais son peu d’empressement sexuel laisse un vide qu’il a besoin de combler. Sa franchise me met en confiance.
Pour notre quatrième rencontre, il m’invite au spectacle puis à dîner, et enfin, à passer sur la banquette arrière de sa limousine. En quelques minutes, nous sommes nus, lui assis, moi allongée sur le dos, la tête reposant sur ses cuisses. Je sens les pulsations de son instrument contre mon oreille. Je m’abandonne à ses jeux de main. D’instinct ou par hasard, il découvre immédiatement que mes seins sont d’une réceptivité incendiaire. Il les caresse avec un art si consommé qu’une première vague de plaisir me secoue pendant de longues secondes avant même qu’il ait infiltré ses doigts plus bas, entre mes jambes. Je suis à peine remise de ce premier émoi que, à tâtons, dans l’obscurité, il se rend compte que je suis épilée. Il se penche aussitôt sur mon ventre, pose ses lèvres sur mon pubis et y entame un long suçon dont j’ai gardé la trace pendant une dizaine de jours. Sa main s’immisce entre mes jambes, les forçant à l’ouverture, et sa bouche atteint bientôt mon minou. JL est un artiste. Sa langue m’expédie rapidement au ciel pour la deuxième fois. Notre position sur la banquette de sa voiture ne me permet pas de lui rendre la pareille, aussi je me contente de frotter ma joue contre ses ballottes. D’ailleurs, la position lyonnaise n’a pas mes préférences : je suis incapable de faire deux choses simultanément.
Quand vient mon tour de lui donner sa part de plaisir, je roule lentement sur le flanc et me laisse tomber à genoux sur la moquette, entre ses cuisses. Je me saisis de sa virilité. Je la caresse longtemps et lentement sur toute sa longueur. Lorsque je sens la tension atteindre son point de non-retour, je l’embouche au plus profond de ma gorge. Tacitement, il a compris que je le garderai jusqu’à la fin : il s’abandonne totalement.
Une dizaine de jours plus tard, nous commençons à nous lasser de ces agaceries manuelles et orales sur le siège arrière de sa voiture. Nous convenons donc de nous rencontrer tantôt chez lui – en l’absence de sa femme – tantôt chez moi.
Trois mois s’écoulent sans que JL laisse transparaître la moindre trace de générosités. Je décide alors de tester sa bonne foi. Je laisse traîner, bien en vue, la dernière facture de mon garagiste. JL s’en empare discrètement et me la restitue acquittée tout aussi discrètement quelques jours plus tard.
C’est à partir de ce moment que son comportement se modifie peu à peu, mais je ne prendrai conscience de cette évolution que beaucoup plus tard. De mon côté, de temps à autre, je continue à laisser traîner avertissement fiscal ou autre mémoire. JL les honore toujours aussi discrètement. Plus je mets sa générosité à contribution, plus ses exigences sexuelles deviennent « hard ».
Un soir, alors que nous sommes installés sur la banquette, dans son salon, en train de nous mignarder chaudement, il m’ordonne :
Je mets le doigt dans l’engrenage en satisfaisant cette première exigence. Il en formulera d’autres, de plus en plus difficiles à satisfaire. Le sexe ne m’effarouche pas. Lorsqu’on aime, on ne craint pas, et j’aime, je ne le cache pas, mais je conserve un reliquat de pudeur que JL détruit peu à peu. Il me demande, par exemple, de me pénétrer de mes propres doigts, de chevaucher les bras du fauteuil, de me caresser avec mes brosses à maquillage ou de m’asseoir sur son majeur dressé sous moi. Je dois, pour le satisfaire, adopter des poses de plus en plus impudiques. Je cède à ses fantasmes pour deux raisons : sa générosité discrète et le plaisir qu’il y prend. J’en ressens moi-même d’autant plus de satisfaction que ma pudeur s’effrite peu à peu. Lorsqu’il s’est bien excité à me regarder faire, il me fait l’amour avec une douce violence qui me fait rendre l’âme. Son savoir-faire me fait pardonner ses dérives.
Hélas, ses dérives vont aller trop loin. J’y mettrai le Holà et par là même je mettrai fin à notre relation. Je le regrette, car JL était un amant merveilleux.
L’incident se produit alors que nous fêtons le premier anniversaire de notre rencontre. Nous ne sommes pas ivres, tant s’en faut, simplement éméchés. Dès après les apéritifs, au restaurant, JL est plus grivois que d’habitude et pendant toute la soirée il formule des demandes plus saugrenues les unes que les autres. Il aurait voulu que je relève ma robe pour exposer mes cuisses. Je refuse d’aller aux toilettes pour retirer ma culotte. Dans le taxi du retour, il veut que j’étale mes seins sous le nez du chauffeur. Il me demande de retirer tous mes vêtements, d’abriter ma nudité sous mon manteau et de m’exhiber aux regards des passants que nous croisons aux hasards des rues.
Arrivé à son appartement, il ne me laisse pas le temps de poser mon sac ni d’enlever mon manteau, qu’il me plaque son sexe dans la main et m’ordonne :
Cet échange se prolonge quelques secondes et finit de mettre JL hors de son état normal. Cela me dégrise quelque peu et je me rends alors compte que je dois le ménager : il me donne l’impression de ne pas être en état de supporter mes refus.
Je le lâche pour pouvoir me dévêtir. Je suis à peine nue qu’il replace aussitôt son sexe dans ma main et s’incline sur mes tétons pour les suçoter. Je me tends pour les lui offrir. J’aime mes seins et les gâteries qu’on leur prodigue, cela me met immédiatement dans tous mes états.
Par précaution, j’entre dans son jeu. Je trouve cela vulgaire, mais je sens que la moindre réticence de ma part l’énerve. Cette grossièreté me donne la chair de poule. Comme avant de goûter au fruit défendu. Comme avant de voler un CD dans les rayons HI-FI d’un supermarché.
Ma main s’active sur sa virilité. Ses doigts papillonnent sur ma féminité. Nos plaisirs progressent vers l’extase.
Nous sommes toujours dans l’entrée de l’appartement, je suis nue. JL est toujours habillé, il me coince contre le mur. Je lève une jambe pour être plus accessible, la luxure m’emporte.
En un tour de main, Il est nu. Il me retourne contre le mur et je le sens chaud et raide s’insinuer entre mes fesses.
Je ne réponds pas, une peur panique me saisit, je refuse cette pratique. Il faut que je détourne son attention.
Il me pousse vers sa chambre à coucher. Derrière moi, JL glisse ses mains entre mes fesses. Je fais un pas rapide en avant pour l’empêcher de toucher mon petit daleau. Je me retourne pour l’attraper par ce qui dépasse. Si je protège ma poitrine, il s’attaque à mon pubis. Si j’attrape son sexe, il pince mes seins.
Ces amuse-gueules érotiques exacerbent nos libidos.
Sur le lit, nos bouches respectives vont vivement à la rencontre de nos sexes. Au-dessus de moi, je vois ses ballottes. Je serre mes lèvres sur l’extrémité du gland qui me fait l’amour dans la bouche. Je sens sa langue folâtrer entre mes cuisses. Ses grondements lourds et profonds alternent avec mes petits cris étouffés. Nous nous faisons actifs à tour de rôle pour mieux apprécier l’activité de la bouche de l’autre. Son premier spasme projette sa première goutte de liquide dans ma gorge et provoque mon envol vers le plaisir, nous jouissons ensemble pour la première fois de la soirée.
Je pensais que JL aurait retrouvé ses esprits et sa bonne éducation après que la tension sexuelle s’est apaisée. Il n’en est rien. À peine a-t-il retrouvé son calme qu’il reprend ses bavardages vulgaires. Comme je tarde à répondre, il insiste :
Je réponds n’importe quoi. Je ne veux pas provoquer une éventuelle crise de jalousie en lui avouant que je tiens mon savoir-faire de mes expériences passées.
Mon premier mensonge en entraîne un autre, puis un autre encore. Je m’enlise.
Cette étrange conversation excite JL. Je vois son sexe reprendre de l’ampleur en même temps que je sens croître son impatience. Prudemment, je cède de nouveau.
Il n’a pas besoin de cela, son sexe a repris toute son ampleur, il me le remet dans la main. Nous sommes allongés côte à côte, ma tête sur son épaule. Je regarde mes doigts manipuler sa guilloche. J’aime bien regarder les hommes, ils semblent tous similaires, mais chaque sexe a ses particularités et j’essaie d’imaginer les sensations nouvelles qu’elles vont faire naître dans mon ventre. Ces rêveries préalables font mes délices et je les fais durer, c’est si bon de présager du plaisir que je vais pouvoir obtenir de ces colonnes de chair, de deviner la consistance du distillat que je vais en extraire, d’évaluer leur puissance et leur aptitude à me pourfendre.
Une goutte de liquide suinte au bout de sa brette, témoin de la véracité de son affirmation. Je lui redonne envie, j’en suis heureuse et fière, mon envie égale la sienne. Je sens mon sexe s’enfler et s’humidifier, le sien luit d’une teinte cramoisie, il pulse au rythme de ses battements de cœur. Je les perçois dans mon oreille et sens leur écho dans ma main.
Son activité dans mon dos me fait immédiatement chavirer. Il masse mes deux fesses et les écarte pour y glisser un doigt. Il me donne de petites tapes qui me font délicieusement sursauter. Il s’allonge sur moi et me fait apprécier la chaleur de son vit, je m’agite sous lui pour le provoquer plus encore. Dans mon cou, son souffle s’accélère.
Il glisse une main sous mon ventre. Le balancement de mes fesses fait le bonheur de son épieu et en même temps, le bonheur de mon petit bout qui frotte sur son doigt.
J’obtempère. La pénétration souhaitée ne vient pas.
Entre mes jambes, je vois JL, assis derrière moi qui me regarde, immobile. Il pose ses deux mains sur mon postérieur puis reprend ses massages mêlés d’attouchements plus légers et plus précis. Je le sens changer de position. Je le vois placer ses genoux entre les miens. Il me soulève, je plonge la tête dans les oreillers et pousse un cri, le souffle coupé. Il pointe sa langue là où il a menacé d’introduire son sexe et cette langue chaude me détrempe, elle papillonne toute alentour. Des contractions irrépressibles me secouent, je hoquette.
J’entends des sons, mais ne comprends pas les mots qui leur correspondent. Je suis concentrée sur cette langue qui me torture, attentive à bien profiter des décharges nerveuses qu’elle déclenche chaque fois qu’elle pointe dans le mille.
Je ne comprends pas sa demande. Il insiste en criant presque.
Il aime la vulgarité. J’éprouve des difficultés à le satisfaire sur ce plan, mais j’aurais dit n’importe quoi pour qu’il continue. Il le comprend et s’arrête de me suçoter. J’agite mes fesses sous son nez et recherche le contact de sa bouche. Il m’évite. Finalement, je capitule :
Entre mes jambes, j’aperçois son sexe tendu, raide et rouge. Je suis prise d’un vertige sexuel. Je porte un doigt sur ma féminité, j’en sens un autre chercher son chemin dans mon ventre. J’offre mes fesses, le pointu de sa langue se met à vibrer contre mon orifice. J’éclate en jouissance dans un hurlement qui m’effraye moi-même, des ondes successives de plaisir irradient tout mon être, leur origine se situe dans mon entrejambe sans pouvoir la localiser avec précision. Toutes mes parties intimes m’apportent simultanément du plaisir. J’ai envie de crier au monde entier combien ces sensations sont puissantes, j’ai envie de faire le bonheur de tous les hommes et toutes les femmes de la terre. Je mets longtemps à me reprendre.
Lorsque je sens le besoin d’une présence masculine fouailler mes entrailles, je m’offre à JL. Les hommes adorent être désirés, je ne les prive jamais de cette satisfaction. Je suis toujours à quatre pattes, JL se redresse. Son sexe se présente à la bonne hauteur, je le prends en main pour le guider tant j’ai hâte qu’il me pénètre. JL s’agrippe à mes hanches et m’introduit son sexe avec force, on entend un bruit de succion comme si mon sexe aspirait le sien.
JL n’a pas encore eu son plaisir. Je veux lui en donner autant qu’il m’en donne, aussi, je décide d’entrer pleinement dans son jeu.
JL me malmène de plus en plus puissamment. Je résiste avec difficulté à ses poussées qui me propulsent contre la tête de lit. Mon plaisir s’élève lentement, j’en avertis mon assaillant :
Ma grossièreté envenime mon envie de plaisir. J’en éprouve une joie malsaine et je m’enfonce plus avant dans la débauche. Les doigts de JL qui taquinent mon anus m’y poussent, je suis gouvernée par mes terminaisons nerveuses.
JL cesse toute activité pendant un court instant, je comprends qu’il détrempe ses doigts de sa salive.
Une sensation nouvelle naît entre mes fesses. JL me torture avec ses doigts humides et glissants, il les promène tout le long de la raie de mes fesses. Je me sens tressaillir chaque fois qu’ils passent là où il m’a menacée d’introduire son rostre.
Les mouvements de mon avant-bras, seul visible, laissent deviner combien ma main s’active.
Nous restons immobiles, sexes mêlés pendant un très long moment. Aucun de nous n’a le courage, la force ou le cœur de rompre le charme, mes yeux se sont humidifiés de bonheur.
Lorsque nous nous levons pour aller nous rafraîchir, je dois mettre ma main entre mes jambes pour éviter que nos liquides ne dégoulinent le long de mes cuisses.
L’eau fraîche me fait du bien, une toilette intime me débarrasse des traces de nos ébats. JL exige que je le rafraîchisse moi-même. À mains nues, je savonne chaque centimètre carré de ses secrets entre sa ceinture et ses genoux, son joujou flasque et rétréci me fait sourire intérieurement.
Une longue pause, un en-cas préparé pour l’occasion et une bonne ration de whisky irlandais effacent une part de notre fatigue.
JL a enfilé une robe de chambre et m’a convaincu de passer un des déshabillés de sa femme. Nous bavardons, profondément installés dans le sofa du salon depuis un moment, lorsqu’il me dit brusquement après un long silence :
Il ne tient pas compte de ma dernière remarque. JL plonge dans le tiroir de la table de nuit et en sort une large boîte dans laquelle il me fait découvrir tout un assortiment d’accessoires masculins et féminins. Certains me laissent perplexe, je n’en comprends ni l’utilité ni l’utilisation. Des plaisanteries coquines agrémentent sa démonstration au fur et à mesure qu’il se saisit d’un objet ou d’un autre.
Il devine que les objets destinés aux hommes excitent ma curiosité. Il m’en présente deux ou trois puis en met un en bonne place. Quelques pressions sur la poire lui permettent d’ajuster la pression à l’état de son vit. Lorsqu’il met le dispositif en marche, je vois l’objet s’activer d’un mouvement alternatif. Le grésillement du moteur électrique me fait penser qu’en plus de ces mouvements apparents, le sexe de JL doit être soumis à d’autres excitations, invisibles, celles-là, car je le vois prendre rapidement l’ampleur et la couleur que procure la montée du plaisir. JL interrompt la démonstration avant qu’il ne soit trop tard. Curieuse, j’interroge :
Tout en parlant, il sort de la boîte un étrange dispositif, tout rouge, ressemblant grossièrement à un papillon, équipé de jolies cordelettes et laissant apparaître une protubérance de quelques centimètres de long. Un fil électrique émerge du dos du papillon.
JL entrouvre mon déshabillé et applique le papillon sur ma féminité. La protubérance se presse contre mon pronaos. Il ajuste et tend les quatre cordelettes autour de mes hanches et de mes cuisses de façon à maintenir l’objet bien en place. Il se plaque contre moi et m’offre sa langue que j’accueille avec gourmandise.
Je m’interroge sur ses intentions et sur l’utilité de l’objet entre mes jambes. Mes seins, activement mignardés, font monter ma tension. La protubérance s’infiltre en moi, en douceur, au fur et à mesure que je m’humidifie. Sans prévenir et sans explication, JL met le contact, simultanément, j’entends le grésillement du moteur. JL me fait gober sa langue, pendant qu’il manipule ma poitrine, de petites vibrations animent le papillon contre mon clitoris et la protubérance dans mon intimité. Je veux protester. Je tente de le repousser, mais il me tient fermement. La bouche pleine de sa langue, je ne peux qu’émettre des protestations étouffées. Le papillon entre mes jambes poursuit son travail de sape : ma volonté fléchit, ma surprise se transforme en curiosité et ma curiosité en intérêt. Finalement, de guerre lasse, et émue par les vibrations qui mignotent mon petit bout, je dépose les armes.
JL sent que ma résistance est vaincue. Il manipule la commande électrique et les vibrations s’amplifient. Je m’écroule sur le lit, JL à mes côtés. Sa langue, mes seins et le papillon font monter mon bonheur, un nid de fourmis s’active entre mes cuisses.
Je ne prête aucune attention à son bavardage. Je jouis. Longuement. Je me noie dans une vague de fond. Un mascaret m’emporte. De longs cris aigus, les miens, percent mon tympan. Le papillon me rend folle. Une torture de bonheur. JL ne coupe pas le contact. Loin, derrière ma tête, la douleur prend forme. Maintenant, j’ai mal. Mon sexe me fait souffrir. C’est insupportable tant la sensation de brûlure est forte. J’arrache violemment le papillon d’entre mes jambes.
C’en est trop. Sa grossièreté est avilissante. Ses fantasmes me font horreur. Je prétexte précautionneusement une trop grande fatigue causée par la trop grande jouissance qu’il m’a donnée. Je me retire. Chez moi, je pleure de honte.
Je changerai mes serrures et mon numéro de téléphone.
Je ne le reverrai jamais.