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n° 00745Fiche technique21081 caractères21081
Temps de lecture estimé : 13 mn
27/07/00
corrigé 12/11/10
Résumé:  Chanette, aidée par Corinne et Phil, veut faire payer à la journaliste Anna-Gaëlle l'affront qu'elle a subi !
Critères:  fffh fbi fsoumise fdomine vengeance contrainte 69 fgode uro sm attache gifle fouetfesse piquepince -vengeance -fsoumisaf
Auteur : Chanette  (Chanette la crevette)            Envoi mini-message

Série : Chanette et la journaliste

Chapitre 02 / 02
La punition d'Anna-Gaëlle

Prologue


Il est 7 heures du matin. Fulbert peut commencer. Il est décidé à faire pour le mieux, Fulbert ! 1500 francs pour un boulot aussi facile, c’est inespéré. Il prend les trois plaques émaillées et aimantées, la plaque de cuivre autocollante et la bombe de peinture noire. Il détache l’échelle de la galerie de la camionnette dont les plaques d’immatriculation ont été trafiquées. Il pose l’échelle à proximité de la plaque indiquant le nom de la rue, et y grimpe. Quelques secondes plus tard la rue Saulnier est rebaptisée rue Michelet-Languereau.



Ce genre de situation a été prévu. Fulbert répond le plus jovialement du monde :



L’intrus a son explication, il s’en va. Fulbert continue à recouvrir les plaques et le 53 devient le 51 bis, le 55 le 51 ter. Arrivé à ce numéro, il compose le digicode et il entre, il donne un rapide coup de bombe sur le tableau indiquant l’emplacement des résidents, appelle l’ascenseur et bombe également les indications de numéros d’étages. Au 3e il auto-collera une plaque où les caractères sont très usés mais où l’on peut lire en s’y appliquant « Docteur Folenfant - rhumatologue ». C’est presque fini, dans trois heures il remplacera les plaques par des plaques neutres et il aura gagné 1500 F, il est content Fulbert.




Préparatifs


C’est Phil qui mena une courte enquête afin de localiser cette Anne-Gaëlle de la Souderie de Chabreuil qui s’était copieusement moquée de nous. Ce n’était pas d’une évidence folle, le groupe de presse dont faisait partie le torchon Globo n’était qu’une nébuleuse de boîtes postales toutes plus anonymes les unes que les autres. Mais, faute d’un numéro professionnel, c’est carrément chez la donzelle qu’il appela !



Phil entendit à ce moment-là un petit déclic, la conversation était à présent enregistrée.



Un rendez-vous fut fixé. Au 17 rue L. Ce n’était pas mon adresse, ni celle de personne de notre entourage, mais ce serait celle enregistrée sur son magnétophone.


J’avais prévenu Phil que la ponctualité n’était pas la qualité première de miss Anna-Gaëlle et le jour convenu, Phil se mit en embuscade devant l’immeuble de l’adresse de rendez-vous. C’est une demi-heure plus tard, qu’il vit une personne, répondant au signalement qu’on lui en avait fait, s’arrêter devant un digicode dont personne ne lui avait parlé. Il allait l’aborder, mais elle le devança :



Première à gauche, deuxième à droite. Ils entrent, prennent l’ascenseur. Phil ouvre la porte avec la clé qu’on lui a prêtée, fait entrer la journaliste et prend soin de refermer le verrou derrière lui !



À ce moment-là Phil se dirige vers la porte séparant le salon de l’entrée afin de bloquer cette sortie et se racle trois fois la gorge. C’était le signal !




La punition


Nous avions convenu, Corinne et moi, de nous habiller exactement de la même façon que lors de cette interview qu’Anna-Gaëlle avait si bien trafiquée. Nous en avions marre d’attendre, aussi dès que Phil nous fit signe, nous entrâmes dans le salon, découvrant le visage horrifié de la journaliste.



La tête d’Anna-Gaëlle ! Instinctivement elle s’est levée et se précipite vers l’entrée. Bloquée par Phil. Nous n’avions pas prévu par contre le coup de genou qu’il reçut dans les couilles et qui le fit s’écrouler de douleur. Malgré tout, elle fut vite maîtrisée et ramenée au centre de la pièce. Histoire de lui montrer que cette séance n’avait rien d’une plaisanterie, je lui balançai un coup de cravache qui cingla en s’enroulant autour de sa taille !



Et c’est reparti pour une crise de larme !



Cette fois c’en est trop, je lui balance une gifle magistrale. Elle se tient la tête, elle pleurniche !



Je lui mets la feuille du journal devant le nez, de colère j’en fais une boule et lui fourre un instant dans la bouche.



Tout d’un coup, elle redevient digne, et c’est avec une expression à la limite du mépris qu’elle nous fait maintenant face.



Je ne m’attendais pas à une telle résistance, mais ce n’était pas pour me déplaire, le fauve serait difficile à dompter. Je la giflais à nouveau. Elle reçut la gifle sans broncher, me cracha dessus et avant que j’ai le temps de réagir, elle me lance :



Décontenancée, j’étais ! C’est Corinne qui vint à mon secours en recentrant le scénario que nous avions préparé :



Anna-Gaëlle ne répondit rien.



Elle ne comprend plus. Phil s’est mis à côté de la prise pour couper s’il lui prenait l’idée saugrenue d’appeler la police, sinon on avait convenu de laisser faire. Elle prend le combiné, compose un numéro, ce n’est pas celui des flics, apparemment elle tombe sur un répondeur.



Elle repose le combiné. Nous éclatons tous les trois d’un fou rire nerveux ! Anna-Gaëlle ne comprend plus rien. Je peux reprendre l’avantage. Cependant le plan est devenu bancal, voire dangereux. En la faisant téléphoner nous ne pensions pas qu’elle donnerait ce délai d’une heure, c’est vrai l’adresse n’existe pas, mais un numéro de téléphone ça se localise ! Et puis il y a ses menaces de plainte. Il faudrait à présent la jouer fine et vite.


J’ouvre mon blouson. J’ai mis un soutien-gorge rouge en dentelle très sexy. Je ne lui laisse pas le temps de le détailler, je pivote et lui présente mon dos.



Elle le fait en maugréant, plus pour éviter des baffes que par soumission.



Sauf que maintenant elle a mes seins sous le nez ! Son regard se trouble. Il se troublera encore plus quand, quelques secondes plus tard, j’entreprends de faire durcir mes tétons en les faisant rouler entre mon pouce et mon index.



Hé ! Hé ! La réflexion de trop, elle aurait dû rester dans son rôle de victime fière, hautaine. Elle est en train de fragiliser sa position.



Sa défense s’est complètement lézardée !



Elle se déshabille complètement. Elle est belle, Anna-Gaëlle. J’aime ces gros seins laiteux terminés par une petite pointe rose. Exprès je la regarde avec envie. Je recommence à me faire durcir les tétons et soudain c’est les siens que j’agrippe.



Je continue et augmente ma pression.



Elle va tomber dans le piège dans une seconde, j’en mouille à l’avance.



Je baisse ma pression.



Je relâche tout.



J’ai gagné ! Un frisson me surprend. Ma chatte coule !



Et la voici à nouveau en larmes !



On emmène la journaliste dans la petite salle que Corinne a emménagée, on la suspend à une barre. Corinne lui place des pinces sur les tétons et sur les lèvres de sa chatte. Elle hurle, puis se calme. Je tourne autour d’elle, le martinet à la main, et applique le premier coup.



J’avais prévu cinquante coups, mais tout d’un coup ça me semble énorme, au quinzième je décide de m’arrêter à vingt. Anna-Gaëlle, manifestement, souffre, elle crie, elle gigote, mais ne me dit pas d’arrêter.



Ça me paraît complètement invraisemblable, mais je m’apprête à le faire, quand soudain Corinne arrête mon bras.



Je n’y avais pas pensé ! Je continue à frapper mais normalement.



Je regarde Corinne, elle a l’air comme moi de penser qu’on peut prendre ce risque. Alors de toutes mes forces, je vise le joli cul rebondi de la journaliste et je lui zèbre les fesses de longues traînées rouges. Cela la fait hurler, je le fais quatre fois, à ce stade on a comptabilisé vingt coups. Je stoppe. Nous avions envisagé de la faire sodomiser par Phil pour finir en beauté, mais moi non plus je ne tiens plus en place. Phil s’est, lui, déshabillé et s’apprête à entrer en scène !



Il n’en fera rien, ça n’a jamais été l’amour fou entre eux deux. Je détache Anna-Gaëlle, Je l’enlace, et me faisant tomber, l’entraîne dans ma chute, je l’embrasse avec fougue, je lui caresse le corps, lui pétris les seins, les fesses, les cuisses, je lui mets mes doigts partout, dans la chatte, dans le cul. Elle non plus n’est pas en reste et veut m’embrasser partout. Elle me serre les tétons comme je les ai serrés tout à l’heure.



Encouragée, elle réussit à me faire crier, je lui rends la pareille, nous devenons folles tandis que nos corps ruissellent de sueur et de mouille. Je veux la boire, on change de position et nous voici en 69. Je la bois et elle me boit. Ma langue lèche maintenant sa chatte au goût de miel, tandis qu’elle me suce le clitoris. J’ai du mal à me retenir de pisser et puis à quoi bon me retenir, je me laisse aller. Anna-Gaëlle lape mon urine comme un chat laperait une source de lait. J’ose espérer qu’elle me rendra la politesse, je la sens qui force et tout d’un coup elle libère à son tour sa source dorée qui s’écoule dans mon gosier. Son urine a un goût unique, (elle m’expliquera bien plus tard qu’elle avait l’habitude de boire du thé au jasmin). Ça y est ! La source est tarie, elle a repris ses mouvements de lèvres et de langue sur mon clitoris, je l’imite, je ne vais pas tenir longtemps, un geyser de cyprine s’écoule de ma chatte tandis que je suis atteinte de soubresauts nerveux, j’essaie de me reprendre au plus vite pour la faire jouir à son tour, elle le fera quelques minutes plus tard, en poussant un feulement de tigresse. Nous nous enlaçons à nouveau et nos bouches qui ont connu tous les liquides se soudent à nouveau.


Je me relève fourbue !

Corinne est assise dans un fauteuil les jambes écartées et s’envoie un vibro dans la chatte en poussant des petits cris. Phil s’est masturbé en nous regardant et nous a probablement arrosé de son sperme, mais nous ne nous en sommes pas aperçues.



En raccrochant, Anna-Gaëlle ne comprit pas pourquoi nous étions de nouveau éclatés de rire.



À ce moment-là Anna Gaëlle s’approche de moi et me prend la main.



Épilogue


Quelques jours après en relevant mon courrier, je découvre une enveloppe provenant du Palais de justice. Je l’ouvre stupéfaite et découvre qu’une dénommé Anna-Gaëlle de machin chose portait plainte… contre son journal, pour extorsion de signature et abus de confiance.

Le téléphone sonna quelques moments après.