Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 00746Fiche technique35214 caractères35214
Temps de lecture estimé : 22 mn
27/07/00
corrigé 19/07/07
Résumé:  Comment deux jeunes hommes de 19 ans sont initiés à l'amour par une femme de quarante ans !
Critères:  fh hh fhh hbi fplusag hmast intermast fellation 69 pénétratio sandwich fsodo hsodo attache yeuxbandés init -prememois -inithf -inithh -hbi
Auteur : Bubu.53            Envoi mini-message
Recherchons femmes désespérément



Juillet 1972



Pour Bernard et moi, l’année scolaire vient de s’achever par un total succès à nos examens de Droit. Bernard, c’est un copain de longue date. Nous nous sommes connus sur les bancs de l’école et depuis, nous ne nous sommes quasiment plus quittés. Pas de secret entre nous. Les soucis de l’un sont partagés par l’autre, les joies aussi, d’ailleurs.


Ce jour-là, nous sommes installés à la terrasse du café-tabac-journaux du village. Une jolie donzelle passe à bicyclette devant nous et nos yeux n’en perdent pas un morceau jusqu’à ce qu’elle ait disparu au coin de la place. En reposant son verre vide, Bernard fait le point de notre vie amoureuse :



Mon silence et ma mine lui montrent que non, je ne vois pas ce qu’il veut dire. Pour nous, jusqu’à présent, les nanas, c’est baisers donnés ou parfois volés, quelques pelotages de poitrines lors des slows, avec en prime, une ou deux fois, la main passée sous la jupe, dans un coin sombre des ruelles du village.



Et notre conversation se prolonge un bon moment. Bernard veut absolument me convaincre du bien-fondé de son raisonnement, et pour en finir, j’abonde dans son sens. Il n’en a pas fini pour autant :



Devant mon mutisme, il ajoute :



Comme je suis toujours silencieux (mais rouge, à n’en pas douter), il précise :



Je suis resté longtemps silencieux. Bernard attendait. Il avait sûrement deviné que finalement, je mourais d’envie d’essayer de séduire celle qui occupait une place de choix dans mes nuits sans sommeil.




* * * * *



Le samedi suivant, Bernard arrive à la maison en fin d’après-midi. Sa mine ne laisse pas paraître la moindre émotion ; de mon côté, je ne fais pas la moindre remarque avant que nous nous retrouvions seuls dans ma chambre. Comme souvent, Bernard va passer la nuit à la maison. C’est vers minuit que nous montons nous coucher. Une fois la lumière éteinte, Bernard engage la conversation :



Nous partons à rire, et ce, pendant un bon moment, avec des commentaires sur nos "exploits", puis silence.


Après un bon moment, Bernard, visiblement troublé, murmure :



Et dans le silence de la nuit, nous commençons deux solos de plaisir ! Bernard, d’une voix que je ne lui connais pas, me demande :



Et comme je ne réponds pas, je sens sa main se poser sur ma bite. Jamais, depuis le temps que nous nous connaissons, nous n’avons eu le moindre geste équivoque, mais là, nos histoires nous ont mis dans un tel état… À mon tour, je me décide à prendre son sexe en main et à faire aller et venir mes doigts le long de sa queue, comme j’aime me le faire. Nous ne sommes pas longs avant d’exploser de plaisir dans la main du complice.



* * * * *



Huit jours plus tard, nous devions nous retrouver mais Bernard parti en week-end en famille, ce n’est finalement que quinze jours plus tard que nous pouvons reprendre notre conversation. Il s’en est passé des choses, en deux semaines.


Bernard me demande cette fois-ci de commencer à raconter, ce que j’accepte volontiers :



Un silence suit. C’est Bernard qui reprend la parole, mais d’une voix moins assurée :



Je dois dire que j’ai été troublé par notre séance manuelle de la dernière fois : j’ai pu constater que le plaisir peut être donné non seulement par une femme mais aussi par un homme. Ce n’est plus mon cerveau qui commande, mais mes sens qui réclament d’être servis. Je glisse ma main vers son sexe et, alors que je vais commencer à le caresser, Bernard me dit :



Un mois auparavant, je n’aurais jamais osé imaginer pareille scène, mais là, ce qui m’aurait profondément choqué, voire révolté, me titille. Je me penche vers son sexe que j’absorbe goulûment. Au diable les préjugés ! Je ne pense qu’au plaisir de l’instant présent et quand je vois Bernard pivoter, je suis son mouvement de façon à lui présenter ma bite à la hauteur de sa bouche. Un 69 entre Bernard et moi, qui l’eût cru ? La jouissance est au rendez-vous, forte mais différente. Comme la fois précédente, aussitôt le plaisir redescendu, nous nous tournons chacun de notre côté, heureux mais mal à l’aise, presque honteux.



* * * * *



Après un week-end sans histoire, j’ai rendez-vous avec Lyne, non pas à l’hôtel, comme les autres fois, mais en pleine campagne, dans une ancienne bâtisse que je lui ai indiquée ; pour la circonstance, j’ai fait plusieurs voyages pour apporter duvets et couvertures qui supporteront nos ébats : un vrai petit nid d’amour. Quand Lyne arrive, je m’émerveille une nouvelle fois de ma chance de pouvoir tenir, dans mes bras et sur mon cœur, une femme pareille. Il ne faut pas longtemps pour que nous nous retrouvions nus, allongés sur le tendre matelas de plume et de laine. Entre deux baisers, je lui demande :



Son visage se tend un instant puis, dans un grand sourire, elle m’affirme que oui. Malgré tout, elle ne semble pas rassurée.



Je sors les liens (qui en fait ne sont que des ceintures de sorties de bain) et après, lui avoir attaché les mains derrière le dos, je lui ligote les pieds. Pour achever ces préparatifs, je lui bande les yeux. Pour qu’elle soit pleinement rassurée, je l’embrasse pour un interminable baiser. Pour exciter ses sens avant que n’intervienne la surprise, je me mets à la caresser, n’épargnant aucune partie de son corps. Les gémissements qu’elle pousse quand j’atteins ses seins, ses fesses, puis son clitoris et enfin son anus, me prouvent que je suis parvenu à mes fins, à savoir la préparer à la surprise annoncée. Comme elle se trouve maintenant parfaitement allongée sur le ventre, je sors le tube de vaseline que j’ai apporté et me mets à enduire son petit trou de cet onguent précieux, mais sans introduire mon doigt à l’intérieur, si ce n’est la première phalange. Un « Oh ! » de surprise et, je crois, de contentement est sa réponse à ce petit jeu. Je m’approche alors de son visage et lui glisse à l’oreille :



Cinq minutes après, je suis de retour.



Ensuite, je me tais. Ce silence la trouble et elle soulève sa tête, guettant le moindre son.



Et elle se met à sucer la bite qui lui est offerte sur sa gauche. C’est alors qu’elle sent sur sa droite, une autre queue bien raide qui demande elle aussi à être sucée.



Elle a lâché nos sexes et essaie de se lever, mais les liens l’en empêchent.



Elle ne répond rien. Je me place près d’elle. Je commence à poser mes lèvres au creux de son dos, comme elle me le réclame souvent, puis remonte vers sa nuque, que je couvre de baisers. Je sens son corps qui se détend. Je fais signe à Bernard - car c’est lui, la surprise - de s’approcher. Maintenant, nous sommes deux à embrasser son corps. Après un léger frisson dû à ce nouveau contact sur son corps, elle se met à ronronner de plaisir. Elle marmonne, comme pour se défendre, des reproches, mais si faiblement qu’on ne peut les comprendre. Et je lui enlève le bandeau qui lui voilait les yeux ; et elle nous voit, Bernard et moi, la queue au garde-à-vous, attendant son bon vouloir.



Vite détachée, elle se remet à nous sucer et à agrémenter ce délice de caresses anales que nous apprécions au plus haut point. Craignant de ne pouvoir tenir trop longtemps, nous nous retirons de sa bouche avant le point de non-retour. Je lui fais part de la virginité de Bernard et elle se met à le dorloter aussitôt.



Comme elle s’allonge pour recevoir Bernard, je lui indique que c’est Bernard qui se placera dessous. Elle a deviné mon projet, car elle me dit crûment :



Que dire de ce moment, encore plus fort que les précédents ? Je viens de lui placer ma bite à l’entrée de son petit trou. Elle glousse déjà sous les coups de boutoir de Bernard (il a une fameuse queue, bien plus longue que la mienne). J’attends le signal de ma douce pour la pénétrer. Elle, qui a toujours un langage très posé et élégant, me lance :



Le cri qu’elle pousse peu après montre que je lui ai obéi. On voudrait que ces instants magiques durent indéfiniment, mais, nous ne tardons pas à déverser notre jus, et dans son con, et dans son cul. Nous sommes maintenant allongés, tous les trois, Lyne, au milieu, bien sûr. Elle tient nos sexes dans ses mains, et tout en nous caressant, nous bavardons. Bernard lui apprend son penchant pour la boulangère.



Et nous échangeons un baiser à trois. Coquine comme je la découvre, elle pose ses mains derrière nos têtes, retire sa langue du jeu et nous contraint à finir le baiser tous les deux. Excités comme de jeunes fous, nous faisons tourner nos langues dans nos bouches, puis nous reprenons nos places, au creux de ses épaules. S’ensuit un silence.


Lyne se tourne vers moi :



Je ne me fais pas prier pour la satisfaire et je me retrouve rapidement, planté en elle. Elle ondule sous moi et nos corps s’épousent parfaitement. Soudain, elle s’arrête :



Bernard s’exécute et je sens les doigts de la main gauche de Lyne écarter mes fesses, puis le doigt huilé de sa main droite masser mon petit trou.



Bernard et moi n’osons pas nous regarder. Lyne pose maintenant ses mains sur mes fesses, pour ouvrir la voie, et se jette sur ma bouche pour un baiser qui doit me détendre. Elle y parvient merveilleusement, et quand Bernard fait aller et venir sa queue, de haut en bas, entre mes fesses, j’en arrive à souhaiter qu’il m’encule tout de suite. Mais Lyne fait durer le plaisir. Enfin, je sens sa main droite quitter ma fesse gauche. Elle doit s’être saisie du sexe de Bernard. En effet, je sens le gland de son sexe qui est à la porte de mon petit trou.



Je ne peux m’empêcher de crier quand la bite de Bernard franchit l’obstacle de mon anneau culier. C’est Lyne qui imprime la cadence ; elle a mis ses mains sur Bernard pour qu’il la suive dans ses désirs. Mais, à un moment, Bernard n’en peut plus d’attendre et il se met à me défoncer avec une violence rare - et pour mon plus grand plaisir. Dans quel ordre jouissons-nous ? Peu importe ! En tout cas, nous nous retrouvons rapidement tous les trois, ivres de plaisir, et de fatigue, aussi.



* * * * *



Comme cela est loin ! Et pourtant, à taper ces souvenirs, mon sexe bat la chamade ! Nous avons passé des après-midis merveilleux, tous les trois. Nous avons beaucoup joué à ces jeux qu’on dit défendus.


Pour une initiation, elle alla bien au-delà de nos espérances. Puis nos récréations se sont espacées. Lyne est devenue possessive, nous voulant pour elle toute seule. La jeunesse est sans pitié. Nous l’avons lâchement abandonnée. Quant à Bernard, il a été le seul "homme" de ma vie. Nous nous revoyons de temps en temps, mais nous n’ouvrons plus la porte de ces jardins secrets.