n° 00753 | Fiche technique | 17434 caractères | 17434 2988 Temps de lecture estimé : 12 mn |
08/03/23 corrigé 08/03/23 |
Résumé: En passant dans une ruelle avec son mari Olivier, ils repèrent une femme qui est en train de se faire prendre par un jeune homme. Plus tard, à la plage... | ||||
Critères: fh ff fffh couplus grosseins plage toilettes douche voir intermast fellation pénétratio fsodo uro | ||||
Auteur : M_moi (Couple Bordelais) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Les vacances Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Après une bonne nuit de repos bien méritée… et un copieux petit déjeuner, nous voilà en route pour la plage où nous devons retrouver nos nouveaux amis, Thomas et Nathalie. Pour accéder à la plage depuis notre petite villa, nous devons traverser tout un lotissement composé de petites maisons identiques à la nôtre, un petit jardinet sur le devant, cerné, lorsqu’elles ont été arrosées, de sapinettes. Alors que nous serpentons au travers des petites ruelles, nous surprenons des gémissements provenant de derrière une haie. Nous nous regardons, un sourire apparaît sur nos visages… Le plus discrètement possible, nous jetons un coup d’œil au travers de la haie clairsemée.
Au travers de la baie vitrée, nous apercevons l’intérieur de la maison. Une femme blonde d’une quarantaine d’années, assez jolie, ma foi, très bronzée, est courbée, sa poitrine dénudée plaquée sur la table. Sa jupe est relevée et un homme, beaucoup plus jeune qu’elle, la baise consciencieusement, sa bite entrant et sortant à un rythme effréné entre ses fesses. Olivier et moi sommes subjugués, nous hésitons : entrer dans le jardinet et risquer d’être vus par le couple, ou rester dans la ruelle et prendre le risque d’être vus par des passants. Même s’il n’y a pas beaucoup de passage, nous décidons de pénétrer dans la petite cour.
Tapis dans un recoin de la haie, nous observons les ébats du couple, Olivier est plaqué contre mon dos et je sens dans mes reins que ce spectacle ne le laisse pas indifférent. Le fait de risquer à chaque instant d’être découverts augmente encore notre excitation.
Je suis fascinée par les seins de la femme, écrasés sur la table par le poids de son corps, ils paraissent très volumineux. Par moments, je peux voir ses tétons, pas très longs, mais de bonne taille. Les bras le long du corps, elle écarte ses fesses afin de favoriser la pénétration de son compagnon. Lui, le pantalon aux chevilles, les mains agrippées aux fesses de la femme, donne de grands coups avec son bassin. À chaque coup de boutoir, la table se déplace de quelques centimètres. Soudain, il se retire, son sexe nous apparaît dans toute sa longueur, pas mal du tout… Il frotte son gland sur l’anus de la femme afin de le lubrifier, elle l’encourage de la voix et du geste, écartant encore plus ses fesses.
Olivier se presse encore plus contre moi, ses mains s’égarent sur mes seins.
La femme a glissé une main entre ses cuisses et caresse son clitoris, le gland rougi du jeune homme disparaît bientôt dans l’anus dilaté. La femme pousse un soupir de douleur mêlé de plaisir. Il progresse lentement puis reprend ses allers et retours. La femme a tourné la tête dans notre direction, nous sommes tétanisés, heureusement elle a les yeux clos, tout à son plaisir. Elle jouit, exprimant bruyamment son plaisir. Le jeune homme ne va pas tarder à jouir à son tour, nous décidons de nous éclipser avant d’être repérés, un peu frustrés, mais c’est plus prudent.
Nous retrouvons bientôt Nathalie et Thomas sur la plage. Ils bronzent nus, Nathalie somnole, Thomas lit un bouquin. Nous nous empressons, après nous être dévêtus aussi, de leur raconter notre petite aventure, nous promettant de retourner rôder près de la petite maison, on ne sait jamais… Nous passons la matinée à nous baigner, nous faire bronzer, chaque incursion dans l’eau étant l’occasion de petits attouchements…
Soudain, alors que Thomas, Nathalie et Olivier sont dans l’eau, je vois arriver dans ma direction la femme de tout à l’heure. C’est bien elle, elle a noué un paréo coloré autour de son cou. Elle s’installe à quelques mètres de moi. Lorsqu’elle dénoue son paréo, ses seins lourds apparaissent, ils manquent un peu de tenue, mais leurs larges aréoles brunes surmontées de magnifiques tétons les rendent plus qu’appétissants. Elle est nue, sa toison brune soigneusement taillée trahit l’illusion de sa chevelure blonde. Ses fesses ont l’air fermes, bien musclées. Je tente de me faire la plus discrète possible… Et si elle nous avait vus tout à l’heure ? C’est quand même une drôle de coïncidence qu’elle s’installe justement ici…
Alors qu’elle va s’allonger, elle se ravise, attrape une cigarette, fouille dans son sac et, jetant un regard circulaire, se dirige vers moi.
Je dois être rouge comme une pivoine. Je fouille fébrilement mon sac de plage, sors mon briquet et le lui tends. Elle approche, la cigarette aux lèvres, s’agenouille. J’allume sa cigarette, ma main tremble, la flamme s’éteint. Je rallume, elle pose ses mains autour des miennes pour maîtriser la flamme. Son regard plonge dans le mien.
Je ne sais pas ce qu’il me prend, je lui réponds :
Elle ne paraît pas surprise, elle s’assoit près de moi.
Je n’ose pas répondre. Elle poursuit :
Je hoche la tête.
Au loin, je vois que Thomas, Nathalie et Olivier ont assisté à la scène. Au lieu de venir me sortir de cette situation embarrassante, ils partent marcher le long de la plage. Solange, c’est son prénom, me propose alors d’aller nous baigner. Sans conviction, je la suis dans l’eau. Je ne vois pas vraiment où elle veut en venir, bien que sa remarque sur Olivier me trouble un peu.
Elle part en courant, ses belles fesses ondulent. Je passe la culotte de mon maillot et la rejoins. Elle nage très bien, tourne autour de moi, nous arrivons un peu au large, je n’ai plus pied. Sans prévenir, elle disparaît sous l’eau, je cherche en vain où elle pourra bien réapparaître. Soudain, je sens deux mains se plaquer sur mes hanches, glisser sous la culotte de mon maillot et la faire glisser à mes chevilles. N’étant pas très bonne nageuse, je ne peux que subir, craignant de boire la tasse. Solange réapparaît quelques secondes plus tard, ma culotte à la main. Elle est à quelques centimètres, ses seins flottent, de ses jambes elle entoure ma taille et vient se coller à moi. Ayant peur de couler, je suis obligée de m’accrocher à elle, tombant du coup entre ses bras. Elle relâche l’étreinte de ses cuisses et, glissant ses bras sous les miens, sa bouche vient se plaquer à la mienne, je sens sa poitrine contre ma peau. Me soutenant à bout de bras, elle m’embrasse avec fougue, sa langue joue avec la mienne, ses lèvres emprisonnent les miennes. Je m’abandonne, répondant à son baiser. Étant parfaitement maintenue par Solange, je peux caresser son dos et ses fesses de ma main libre.
Lorsqu’elle abandonne ma bouche, je lui propose de revenir plus près du bord.
Nous rejoignons le bord et restons longtemps entre sable et eau, à nous caresser discrètement, ses pieds jouant avec les miens, ses mains frôlant mes seins. Mes amis reviennent, je fais les présentations, Solange a un regard appuyé lorsque je lui présente « officiellement » Olivier. Nathalie dit qu’elle a une course à faire en ville avec un regard complice, Thomas et Olivier proposent de l’accompagner, pour aller chercher, soi-disant, des cigarettes. Je ne suis pas dupe, ils ont dû nous voir de loin et ont décidé de nous laisser seules. Après avoir récupéré leurs affaires, le trio infernal s’éloigne.
Nous avons regagné nos serviettes. Je fume une cigarette, Solange, allongée, me demande de lui passer de l’huile solaire. J’en verse un peu au creux de ma main et commence par ses épaules, puis son dos. Les yeux fermés, elle s’abandonne à ce qui ressemble plus à des caresses qu’à autre chose. J’arrive sur ses fesses, elles sont bien fermes, insensiblement mes doigts s’insèrent entre ses globes rebondis. Solange se cambre afin de m’inciter à aller plus profond. Elle se retourne, je reprends le flacon d’huile et en verse sur ses seins. Elle frissonne au contact frais et visqueux du liquide. J’étale du bout des doigts, dessinant le contour de ses aréoles. L’huile qui se mélange aux dépôts de sels sur sa peau devient légèrement mousseuse, blanchâtre, ce qui nous fait éclater de rire… la comparaison avec du sperme s’impose. Se redressant sur ses coudes, Solange m’embrasse.
J’acquiesce d’un hochement de tête. Nous rassemblons nos affaires et remontons vers le lotissement. Arrivées chez elle, Solange jette ses affaires dans un coin et, dénouant son paréo, me propose de prendre une douche afin de me débarrasser du sel et du sable collés à ma peau. J’entre dans la salle de bain exiguë, tire le pare-douche, et fais couler l’eau fraîche. Je me savonne abondamment, me rince. Alors que je me sèche, emmaillotée dans une serviette, Solange entre.
Je n’ai pas le loisir de répondre qu’elle est assise sur les toilettes, face à moi, entre ses cuisses coulent déjà quelques gouttes dorées. Cette vision impudique me trouble, je reste immobile à fixer son entrejambe d’où s’écoule maintenant un jet puissant. Solange aussi me fixe, elle se lève, s’assoit sur le bidet qui occupe le coin de la salle de bain, fait couler l’eau et commence sa toilette intime. Je vois sa main enduite de mousse frotter sa chatte aux poils courts. Petit à petit, ses mouvements deviennent plus précis, ses doigts glissent maintenant entre ses lèvres. Elle tend les bras, m’invitant à m’approcher. Je fais deux pas et reste plantée là, comme une idiote. Solange prend ma main dans la sienne et l’approche de son ventre, je me laisse guider.
En quelques instants, mes doigts sont recouverts de mousse, ils coulissent le long de sa fente, sa main presse sur la mienne, lentement ils pénètrent son con. La tête rejetée en arrière, Solange savoure mes caresses. Je sens sous mes doigts s’ériger son clitoris, je le masse délicatement, le pince, arrachant à Solange de petits gémissements. Mon autre main vient se plaquer sur son sein, j’aime sa douceur, sa consistance à la fois flasque et ferme, je le soupèse, le flatte.
L’eau ruisselle toujours, je suis prise d’une soudaine envie d’uriner à mon tour. J’en fais part à Solange, tentant de me dégager. Son visage s’éclaire.
Disant cela, elle me serre contre elle, plaquant ses mains sur mes fesses. Mon ventre vient se coller à son visage, mon sexe est juste au-dessus de ses seins. Comme pour m’encourager, elle glisse une main entre ses seins et du bout de l’ongle griffe doucement mon clitoris. Je ne peux plus me retenir, je sens monter en moi la douce chaleur, quelques gouttes s’échappent de mes lèvres, venant souiller ses doigts, puis je sens ruisseler entre mes cuisses l’urine. Le jet doré vient s’écouler sur la poitrine de Solange, il coule dans le sillon qui sépare ses seins, elle introduit deux doigts dans ma chatte, son autre main entre ses cuisses elle masse vigoureusement son clitoris. Le jet se tarit, elle me masturbe toujours énergiquement et j’ai un premier orgasme fulgurant. Je presse sa tête contre mon ventre, mes doigts jouant dans sa chevelure blonde. Elle atteint à son tour l’orgasme, sa bouche collée à mon pubis, sa langue titillant mon clitoris.
Solange se relève, nous retournons sous la douche afin de nous rincer, chacune nettoyant l’autre. Après nous être séchées, nous rejoignons la salle à manger où nous attendent deux verres de Martini. Nous discutons un bon moment, Solange écoute avec attention et une pointe d’envie le récit de notre rencontre avec Nathalie et Thomas. Elle m’explique qu’elle est divorcée et vient tous les ans ici passer ses vacances à la recherche de jeunes hommes comme celui de ce matin. Elle me raconte comment, chaque matin, il vient, prétextant auprès de ses chefs une réparation à effectuer, et la baise. Comme nous avons pu le constater, il est magnifiquement monté et, malgré son inexpérience, il procure à Solange ce qu’elle désire. Elle lui glisse un billet en échange de ses services.
Il est bientôt quatorze heures, je propose à Solange de venir déjeuner avec nous, elle accepte avec entrain. Elle enfile une robe légère sans soutien-gorge et, alors qu’elle allait passer une culotte, je l’en dissuade. Elle sourit, m’accusant d’avoir une idée derrière la tête. En riant, nous sortons et rejoignons ma villa où mes amis m’attendent. Je sens le regard interrogateur de tous, je m’amuse de leur curiosité et fais celle qui ne comprend rien.
Nous voilà tous les cinq à la terrasse d’un restaurant dans la rue piétonne. Solange prend place entre Thomas et moi, Nathalie est à ma gauche. La conversation va bon train, le courant à l’air de passer entre Thomas, Nathalie et Solange. Je trouve Olivier bien silencieux, il faut dire qu’il a le regard plongé dans le décolleté de Solange. La conversation peu à peu s’engage sur un terrain, disons plus « glissant ». L’alcool de l’apéritif et le vin associé au soleil commencent à faire son effet.
Je sens la cuisse de Solange contre la mienne, par instants elle me pousse légèrement, me désignant du regard Olivier qui décidément semble passionné par la poitrine de Solange. Discrètement, je glisse ma main droite sous la table, caresse ses cuisses. Elle serre ses jambes comme pour emprisonner ma main, mais rapidement elle se ravise et écarte largement ses cuisses. Mes doigts remontent lentement sur la peau douce. Nous continuons la conversation comme si de rien n’était. J’atteins son petit abricot, pas la moindre trace d’humidité. Je retire ma main, négligemment je trempe mes doigts dans mon verre et les replonge sous la table. Quelques allers et retours sur ses lèvres suffisent à me permettre de faire coulisser mes doigts lentement dans sa chatte.
Soudain, je sens Solange frémir, lui ferais-je tant d’effet que cela ? Du regard, elle m’indique de regarder en direction de son ventre, elle relève légèrement la nappe qui dissimulait ma main et oh surprise ! Je m’aperçois alors que je ne suis plus seule à investir les cuisses de Solange. La main de Thomas est posée sur sa cuisse droite. Solange me sourit, nous allons lui jouer un joli tour. J’écarte un peu ma main afin de laisser le champ libre à Thomas. La nappe relevée me permet de surveiller la progression de ses doigts sur l’intérieur de la cuisse de Solange. Je m’amuse à le voir faire, impassible. Ça y est, ses doigts se posent sur les lèvres lisses. Il doit être surpris d’y trouver tant d’humidité, il sourit d’ailleurs largement.
C’est alors que j’interviens, je glisse à nouveau ma main sous la table et la pose sur celle de Thomas qui à ce contact, sursaute. Son regard étonné va de Solange à moi. Nous lui sourions de toutes nos dents. Il ne sait plus où se mettre. Il ne peut se dégager, pressant avec ma main, j’enfonce ses doigts dans la chatte de Solange. Celle-ci, trop heureuse, se mord la lèvre pour ne pas gémir. Elle a posé sa main sur la braguette de Thomas, jaugeant du bout des doigts l’effet produit. Il devient difficile de cacher aux autres ce qui se passe sous la table, je décide d’accélérer les choses en posant ma main libre sur la cuisse de Nathalie. Elle paraît surprise, mais sans plus, elle prend ma main et la caresse. Du regard, je lui fais signe d’observer Solange.
Olivier ne comprend rien, Nathalie se penche vers lui et, posant une main sur sa braguette, lui explique à l’oreille ce qui se trame sous la table de notre côté. Désireux de vérifier par lui-même, il laisse tomber sa serviette et, se penchant pour la ramasser, en profite pour jeter un coup d’œil sous la table. Le spectacle qu’offre Solange, sans culotte, avec mes doigts et ceux de Thomas entre les cuisses doit être charmant si j’en juge par le temps qu’il met à se relever.
Il était temps que nous arrêtions, lorsque le serveur vient nous présenter la note, Solange a le rouge aux joues, elle est au bord de l’orgasme, sa jupe est restée relevée et le brave garçon peut se rincer l’œil copieusement. Nous quittons le restaurant et décidons d’un commun accord qu’il est un peu tôt pour aller à la plage, la chaleur étant trop forte (dans tous les sens du terme). Nous proposons d’aller boire un café chez nous.
Nous nous installons sur la terrasse, Olivier vient m’aider à préparer le café. Apparemment, l’épisode du restaurant l’a émoustillé, à peine entré dans la cuisine, il passe ses mains sous ma robe. J’ai du mal à le raisonner, collant son ventre à mes fesses, il me fait rapidement sentir sa queue au travers de son pantalon de toile. En hâte, je verse le café dans le filtre, mets en marche et me retrouve à genoux. Je déboutonne, trop lentement à son goût, les boutons de sa braguette pour libérer son sexe tendu. Je dépose de petits baisers sur son gland, le lèche, le mordille. Olivier est trop pressé, plaquant ses deux mains sur ma nuque, il s’enfonce dans ma gorge, manquant de m’étouffer. Ma langue tourne autour de son membre dont je sens palpiter les veines. Le repoussant, je le fais sortir, serrant bien les lèvres, puis je l’aspire puissamment. Quelques allées et venues à ce rythme l’amènent au bord de l’explosion. Alors que je m’apprête à abandonner ma fellation, je sens le goût à la fois âcre et sucré des premières gouttes de sperme et je n’ai le temps de rien faire. La première giclée vient s’écraser au fond de ma gorge, je déglutis péniblement avant de recevoir les suivantes dans la bouche et sur le visage.
C’est le moment précis où Nathalie entre dans la cuisine, intriguée de ne pas nous voir revenir.