n° 00772 | Fiche technique | 9850 caractères | 9850 1651 Temps de lecture estimé : 6 mn |
02/08/00 corrigé 14/11/22 |
Résumé: Episode 3 des premières vacances (initiatiques) d'Elodie. | ||||
Critères: ff fffh fbi jeunes copains vacances bus voir exhib hmast intermast | ||||
Auteur : Soliste (Homme 40 ans) |
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Préambule :
Les récits de ces vacances sont totalement imaginaires.
Nous rentrions toutes les trois. Le terrain n’était qu’à quelques minutes de marche de la plage, il suffisait de suivre un petit chemin ombragé traversant la pinède. Gaëlle était vraiment trop mal à l’aise pour que nous puissions faire semblant d’ignorer cette situation. Céline et moi la prîmes chacune par un bras. Si Céline était la plus coquine de nous trois, elle avait toujours eu plus de difficultés que moi à aborder les problèmes plus cérébraux, ce qui m’incita cette fois encore à parler la première alors que nous avancions toutes trois bras dessus, bras dessous.
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase.
Cette réponse me fit l’effet d’un coup de poignard. À n’en pas douter, elle s’était réveillée pendant que Céline m’honorait de sa bouche et de ses mains. Elle avait tout vu. Elle avait l’impression que nous l’avions trahie alors que cela n’était pas du tout le cas. Je n’avais jamais voulu ni pensé lui faire de peine. J’avais juste cédé à Céline, bien volontairement certes, pour répondre à l’appel de mon corps. Je me sentais injustement agressée, ma réponse fut vive, je la voulais à la fois apaisante et provocante.
La phrase de Céline arriva au moment le plus opportun, dédramatisant la situation et poussant la balle dans le camp de Gaëlle qui fut prise de cours par la situation. Céline ne lui laissa pas le temps de se reprendre. Elle s’arrêta, saisit gentiment Gaëlle par la taille et s’approcha, posant un bisou sur ses lèvres. Gaëlle ne chercha à aucun moment à se dérober. Je lâchai son bras.
Je leur laissai environ une demi-heure d’intimité. Elles m’attendaient, souriantes. Tout malentendu dissipé, Gaëlle était radieuse. Je ne pouvais avoir aucun doute sur ce qui venait de se passer entre elles, et je me surpris à en éprouver non pas de la jalousie, mais une vive satisfaction. Nous nous retrouvions. Sans oser me l’avouer, j’étais aussi empreinte d’une certaine excitation. Nous avions la même amante. Gaëlle avait passé une superbe petite robe courte et évasée. Céline portait une jupette et un cache-cœur. Gaëlle me sauta au cou.
Elle posa sur mes lèvres un tel baiser humide que j’en fus tout émoustillée. Ces vacances partaient vraiment sur de bonnes bases…
Le repas fut joyeux. Je m’étais moi aussi changée, optant comme Gaëlle pour une robe légère arrivant à mi-cuisses. Gaëlle pétillait, ne résistant pas à son envie de parler de nos expériences du matin. À quelques minutes d’intervalle, nous venions de vivre le même plaisir avec la même amie, et pour toutes les deux, être caressée par une fille était une grande première.
Le ciel s’était couvert. Nous décidâmes donc de laisser tomber la plage pour aller faire un tour en ville. Il fallait prendre le bus qui s’arrêtait juste devant le terrain de camping, il était bondé. Juste derrière moi, un homme d’une cinquantaine d’années, look sportif, en short, t-shirt et baskets. Son parfum était très agréable.
Je fus surprise par le démarrage un peu brutal du véhicule et reculai, me collant bien involontairement à lui. Avant que j’aie eu le temps de faire quoi que ce soit pour me dégager et m’excuser de l’avoir ainsi bousculé, je sentis ses mains se poser sur mes hanches. Je fus immobilisée net par son audace. Nous ne nous connaissions pas, et ses mains étaient sur mon corps, à travers le seul tissu léger de ma robe. Je me sentis soudainement incapable de faire quoi que ce soit. La panique. J’eus juste la capacité de chercher des yeux Céline ou Gaëlle. Céline était juste à côté de moi, je fixai ses yeux. Elle n’avait pas l’air affolée. Elle me sourit et d’un air plutôt rassurant, me fit un clin d’œil accompagné d’un petit signe de tête qui en disait long : elle ne voulait pas que je tente quoi que ce soit pour me dégager, elle me demandait en fait de me laisser faire. Gaëlle me regardait aussi, visiblement surprise et dépassée par la situation, ses yeux ronds de stupeur.
Tout se déroulait à une vitesse folle dans ma tête. Les mains de l’homme se mirent à m’attirer plus encore contre lui. Mes fesses étaient maintenant collées contre son short. Je n’eus plus aucun doute sur l’effet que je lui faisais : je sentais son sexe durcir. Céline prit ma main, cela me rassura. L’homme me caressait maintenant les hanches à travers la robe. Il s’était mis à onduler, frottant son dard contre mes globes. J’aurais voulu m’enfuir, que tout cela s’arrête, mais je ne pouvais pas. Inconsciemment, quelque chose me retenait là, je restais collée à cet homme que je rencontrais pour la première fois et avec qui je n’avais pas échangé le moindre mot. Le désir montait en moi, le désir du plaisir, mais je refusais de me l’avouer.
Céline lâcha ma main, prit celle de Gaëlle et la plaça sur mon pubis. Médusée, Gaëlle se laissa guider (elle m’avouera plus tard que bien que désemparée par cette situation, elle n’en était pas moins totalement excitée). Céline fit alors la chose que je craignais et désirais tant à la fois. Elle écarta légèrement l’homme et caressa son membre à travers le short. Il profita de l’espace qui s’était créé entre nous deux pour placer ses mains sur mes fesses qu’il pelota un peu avant de remonter ma robe, découvrant ma culotte de coton blanc. L’ex-adolescente bien sage était exhibée. Ma tête allait exploser. J’étais en train de me faire tripoter dans un bus par un inconnu et par Gaëlle, sous la conduite de Céline… Et tous ces gens autour de nous qui n’avaient qu’à tourner la tête pour nous voir !!! J’étais gênée, honteuse. Mais mon ventre appelait le plaisir, je sentais mon abricot s’humidifier, je ne pouvais y résister.
Passé le moment de stupeur, Gaëlle massait maintenant mon pubis, et bien que ce soit à travers deux épaisseurs de tissu, je sentais chaque déplacement du bout de ses doigts fins. Je mouillais. Céline attrapa le short de l’homme et dégagea son sexe : il ne portait pas de slip !!! Elle me prit la main et la posa sur cette bite gonflée. Elle laissa sa main sur la mienne pour m’encourager, me guider et m’aider à le masturber. Je ne voyais pas le sexe. Dans ma main, il me paraissait énorme. Céline m’avait fait refermer mes doigts sur sa turgescence, allant et venant à un rythme lent. Je sentais maintenant le gland qui appuyait entre mes fesses, sur la raie. Gaëlle continuant à titiller mon pubis. Je perdais la tête, victime de mes sens. Je devais être trempée, je sentais entre mes cuisses, le miel de mon plaisir mouiller le fond de ma culotte. Soudain, l’homme écarta nos mains et entreprit de se branler seul. Le mouvement s’accéléra soudainement. Je sentis sa respiration devenir plus forte, plus saccadée. Partagée entre la honte, la crainte, le plaisir, je me laissais aller. J’entendis son râle au moment même où je sentis ma culotte se détremper entre mes fesses. Plaqué contre ma raie culière, il commençait à exploser et n’allait pas tarder à lâcher sa semence. Une sensation étrange : le liquide tiède allait arriver par vagues successives. Je me souviens bien des deux premiers jets venus m’inonder, puis tout est devenu flou. La progression du liquide se répandant sur le coton, la main de Gaëlle sur laquelle j’ai serré mes cuisses, Céline me soutenant. Mon ventre s’est tendu et j’ai joui, là, debout, à l’arrière de ce bus, ma culotte maculée de sperme.
Lorsque j’ai repris mes esprits, l’homme avait réajusté son short et se dirigeait vers la porte. Nous étions proches d’un arrêt, il descendit sans même se retourner. Je n’avais pas entendu le son de sa voix. Céline me dit gentiment de me laisser faire. Elle fit discrètement glisser ma culotte pleine de ce jus poisseux et la fourra dans son sac.
Elle posa un baiser sur mes lèvres, imitée par Gaëlle. Je ne savais plus où j’étais, si heureuse, si honteuse. Personne autour de nous ne semblait nous avoir remarqués, du moins c’est ce que je croyais…
Je venais de vivre mon premier contact avec le sperme. Contact indirect, mais que je n’étais pas près d’oublier. La découverte simultanée de tous ces sentiments me révélait une image de moi que je ne connaissais pas, dont je ne me doutais même pas. Tout se bousculait.
Nous descendîmes au centre-ville. J’étais encore sur mon nuage. J’en avais oublié que je ne portais plus de culotte…