n° 00840 | Fiche technique | 15818 caractères | 15818Temps de lecture estimé : 12 mn | 21/08/00 corrigé 11/05/23 |
Résumé: Sur la plage, Florence allume un homme qui les observe, elle et son mari, en train de se caresser. Ils n'ont pas fini de le rencontrer | ||||
Critères: fh couple vacances plage voir exhib intermast | ||||
Auteur : Florence_Mirage (Florence) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Devoirs de vacances Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Une longue histoire, je vais la partager en deux, voire trois, pour ne pas vous lasser et me laisser le temps de rassembler mes souvenirs pour vous la narrer. À vous de me dire si elle vous plaît, n’hésitez surtout pas, que je n’écrive pas ce « mini-roman » pour rien.
Bisous à tous.
Quel con, mais quel con ! Je n’en pouvais plus de l’écouter, de le voir même m’irritait. Je regardai mon mari et crus éclater de rire, les nerfs peut-être. Il ouvrait de grands yeux, ne croyant pas ce qu’il voyait et entendait, il se tourna vers moi et je lus dans ses yeux un appel au secours, du genre : « S’il te plaît, on se tire de là ». OK, ce n’était pas mon habitude d’être impolie, mais là, franchement, il y avait de quoi. En plus, c’était ma faute !
Nous ne partions qu’une semaine en vacances, mais dans un club ou avec une agence c’est un peu cher, et c’est pourquoi une semaine suffisait à notre bourse. Là, c’était vraiment le paradis, et moi j’y avais rencontré le « beauf » le plus « bof » de la planète ! Le personnage pourtant était plutôt beau garçon, la quarantaine sportive, et m’avait matée toute la matinée sur la plage avec de petits sourires en coin. Moi, vous me connaissez un peu maintenant, je n’avais rien fait pour. Qu’il arrête !
Je ne bronze jamais les seins à l’air, je ne suis pas folle, j’aime le soleil, mais pas les coups. Je mets plutôt un maillot classique deux-pièces, mais je le choisis avec soin pour qu’il soit le plus craquant possible et souvent blanc ou jaune. Comme ça, une fois mouillée, tous les mâles dans un rayon de dix mètres ont les yeux sur moi ! De toute façon, les hommes aiment deviner le corps des femmes, et moi, j’aime qu’ils en aient envie. Je m’étais donc amusée à l’allumer ce matin-là, y allant de poses subjectives, allongée sur le sable, « oubliant » la simplicité de mon habillement, croisant et décroisant les jambes, me caressant les cuisses, arrangeant régulièrement mon maillot (ça marche à tous les coups), me passant de la crème à bronzer en forçant un peu sur les endroits stratégiques, levant mon maillot pour ne pas oublier les contours ! Bref, un allumage en règle, de quoi le clouer sur sa serviette et lui faire attraper une insolation. Sa femme, à côté, ne voyait rien, pas plus que mon mari d’ailleurs qui passe sa vie dans l’eau comme un gamin. Elle lisait un roman, assise avec un chapeau sur la tête, pas moche, mais invisible pour la race masculine, alors pour moi…
Quand mon mari sortit de l’eau, je commençais à être passablement excitée, j’étais couchée sur le ventre, il vint s’allonger sur moi, son corps mouillé me fit du bien, j’avais besoin d’être refroidie. Il me trouva chaude, avec un air malicieux, je lui dis qu’il en était de même partout. Je savais qu’il ne manquerait pas de vérifier, sa main glissa sous mon ventre et essaya de passer sous mon maillot. Avec son poids sur moi, sa main me fit mal au ventre et tout en riant, je me dégageai en roulant et le fis tomber, mon regard croisa celui de l’homme que j’avais « un peu » allumé, il n’en perdait pas une miette. Cela m’amusa, et comme je suis un peu garce parfois, je décidai de l’achever.
Je fis celle qui, anxieuse, regarde autour d’elle pour être sûre de ne pas être remarquée. En fait, je vérifiais que le malheureux, ou bienheureux après tout, ne manquerait rien de ce qui allait suivre, et pris la main de mon mari pour la porter entre mes cuisses. Mon époux, toujours prêt aux galipettes, n’en demandait pas tant. Immédiatement, ses doigts écartèrent le tissu, et il commença à me caresser. Il s’était collé à moi, lui sur le côté, moi sur le ventre, mais, quand même, légèrement sur le côté. Normalement, personne ne pouvait voir ce que nous faisions, mais je repliais une jambe pour que mon voyeur suive nos ébats, bien qu’il devinât plus, à mon avis, qu’il ne voyait réellement. De toute façon au bout de quelques secondes je l’avais complètement oublié, tout entière aux caresses de mon mari. Je n’étais pas en reste et lui frottais le sexe, le faisant rouler sous le maillot, ce ne fut pas long avant de le voir franchir l’élastique et sortir largement de son slip de bain. Je le branlais maintenant doucement pendant qu’il usait de tous ses doigts entre mes lèvres toutes mouillées, pénétrant mon vagin, pinçant et branlant mon clitoris. Je lui rendis la pareille en jouant avec son gland si sensible, le caressant et le pinçant de moins en moins doucement. Maintenant très excité, il en oubliait la plage et les gens autour, se collant à moi, je compris vite qu’il voulait me prendre là, il allait trop loin, les personnes autour allaient s’en rendre compte.
Je m’écartai et, en réponse à son air tout triste, j’accentuai ma pression sur sa verge, il ferma les yeux, les dents serrées. Je le connais trop bien, il allait prendre son pied d’une seconde à l’autre. Je le regardais, j’adore le voir partir, on jouit l’un après l’autre, lui d’abord, moi ensuite de le voir prendre son pied ainsi sur la plage, je sentais son sperme chaud couler le long de mes doigts. Je lui souris et mis mes doigts dans ma bouche, je n’aime pas vraiment, mais ça ne me dérange pas. Lui adore, et moi j’aime trop son plaisir, malgré le goût tenace.
Il y a un avantage d’être une femme dans ces moments-là, j’arrange un peu ma tenue et me voilà comme si de rien n’était, tout juste le bas du maillot un peu humide. Mon homme, lui, avait le ventre sale, sans parler de son pénis et des restes dans son maillot, il était tout rouge et n’avait plus qu’une solution : courir se laver dans la mer, en traînant derrière lui une odeur que toutes les femmes sur son chemin allaient reconnaître sans peine ! Je me suis caché la tête entre les genoux pour qu’il ne se vexe pas, j’étais morte de rire.
Tiens, je l’avais oublié celui-là ! Mon bonhomme de tout à l’heure fuit lui aussi vers la mer, à toutes jambes, snif ! Snif ! Trop tard pour lui aussi.
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Nous avions commencé de dîner dans cette belle salle de restaurant, quand je les ai vus arriver, je l’ai de suite reconnu, et j’étais sûre qu’il allait nous demander de s’asseoir à notre table. Ça se fait, les grandes tables sont faites pour ça, pour que les gens ne restent pas tous seuls et qu’ils se rencontrent. Un sourire charmeur, un bagou d’enfer, sur le coup cela ne me déplaisait pas. La situation était juste embarrassante comme je l’aime, après mon exhibition du matin. La femme, elle, ne disait rien, juste des sourires, et elle acquiesçait à tout le baratin de son mari. Tout en parlant, il ne me quittait pas des yeux, ne s’adressant qu’à moi, ça en devenait embarrassant, mais surtout chiant. Pas un instant de répit, j’étais de toutes les discussions, mon mari s’amusait à me donner de petits coups de pied sous la table, y allant d’une main baladeuse pour me déconcentrer.
Le repas s’éternisait, et notre homme de se laisser aller à plus de naturel, il devenait lourd, très lourd, c’était lui le plus beau, le plus fort, moi la plus belle, mon mari n’existait pas et sa femme tout juste bonne à le servir, odieux ! Le café arriva enfin, on le goba, quitte à se brûler, et l’on prit congé. Plus tard dans le lit on en riait encore, pensant ne plus avoir affaire à eux.
Le lendemain, le temps était gris, pas envie d’aller à la plage, le club avait un super court de tennis, nous y sommes allés.
Je ne sais pas bien jouer, surtout comparée à mon mari, mais on était là pour s’amuser et il avait une patience d’ange.
J’aimais surtout lui jouer un autre jeu. Avec ma toute petite jupette blanche, si légère, je lui faisais oublier le score et les règles du tennis très facilement ! Je sautais et virevoltais, laissant apparaître ma culotte, sans parler du ramassage des balles sans plier les genoux. Il adorait, en redemandait et ratait de plus en plus de balles, c’était moi la meilleure !
Pause, mon homme avait soif. Mes jeux de jambes et ma jupette avaient fait de l’effet, il avait chaud et était très amoureux ! Ses mains baladeuses se promenèrent sous ma jupe tandis que l’on s’embrassait. Il me dit qu’il aimait quand je l’allumais ainsi, mais qu’il voudrait que, pour une fois, j’en rajoute un peu et que j’enlève ma culotte.
Le bar et le terrain de boule étaient à deux pas, pleins tous les deux, et des jeunes jouaient au basket à peine plus loin, je refusai gentiment. Il n’insista pas, mais retourna sur le court en bougonnant, il savait que je ne résistais pas quand il faisait le petit garçon triste. J’ai regardé autour de moi et j’ai vite enlevé ma culotte. Mon cœur battait très fort, je me sentais nue, ce n’était pas possible, tout le monde allait s’en apercevoir, c’était sûr. En tout cas, lui n’avait encore rien vu et il faillit lâcher sa raquette lorsque je ramassai une balle, me tournant dos à lui de façon qu’il ait une vue imprenable sur mes fesses à l’air.
Je trouvai vite la situation agréable, à chaque mouvement de ma jupette mon voyeur de mari se délectait du spectacle, finalement j’avais trouvé le truc pour le gagner, il ne rattrapait plus une balle ! L’air frais sous ma jupette, l’excitation de mon mari, l’idée que d’autres pouvaient me voir, tout ça devenait bien plus que plaisant, très excitant.
J’avais trop envie de faire l’amour maintenant, je le lui dis, par provocation j’en rajoutais lui donnant le choix : soit on rentrait, soit il me prenait là sur le court. L’idée était plaisante, mais peu réalisable dans la réalité, pourtant elle avait fait son chemin dans son esprit, car, tout en m’embrassant, il me coinça contre la chaise d’arbitre et glissa sa main entre mes cuisses. Je ne pus retenir un petit cri de plaisir en sentant ses doigts entre mes lèvres à la recherche de mon clitoris, je passai ma main dans son short, il bandait vraiment très fort. Il me remonta le tee-shirt d’un coup sec et m’embrassa les seins, j’étais perdue entre mon désir et un reste de pudeur. Je devais offrir un beau spectacle, les seins à l’air, le soutien-gorge ayant suivi le tee-shirt, la jupe retroussée et un mâle en chaleur contre moi. Bon, c’était mon mari, mais quand même ! Je ne trouvai qu’une solution pour le calmer, aller plus loin que lui dans son jeu. D’un seul coup, il se retrouva le short avec son slip sur les genoux, il se bloqua, me regarda incrédule et remonta vite son short en me traitant de folle. Il plaisantait, mais je la trouvais un peu forte quand même. Eh oui, c’est ça les hommes, on peut voir nos fesses, mais pas les leurs.
On décida donc de retourner à l’hôtel, c’était quand même mieux.
Ce fut en sortant du court, bras dessus bras dessous, comme deux amoureux que nous étions pressés de retrouver notre chambre et d’étancher notre soif de plaisir, que tout s’écroula, nous vîmes arriver face à nous le couple maudit ! Lui, comme d’habitude, toujours super bien habillé, que de la marque pour sa tenue de tennis. Elle, pantalon de jogging large et tee-shirt blanc, le tout de la boutique « Des Chiens ».
Évidemment, il voulut faire un double. On s’excusa poliment, il insista bêtement, adieu notre sieste crapuleuse ! Je le détestais déjà depuis le repas d’hier soir, mais là je le hais de nous couper dans nos ébats amoureux.
La partie commença, mon mari jouait quasiment tout seul, je n’avais pas pu remettre ma culotte et comme il était hors de question que je me redonne en spectacle pour ce mec-là, je restai plantée, n’osant bouger, mais son talent compensant, les autres « caves » se prenaient une vraie raclée, le mec de râler, de critiquer le jeu de sa femme. À l’entendre, c’est elle qui le faisait perdre. J’en avais marre, il m’énervait trop, et de toute façon je ne pouvais pas jouer sans culotte avec lui. Une idée me vint, je proposai à sa femme de laisser les deux hommes jouer ensemble, prétextant que nous étions décidément trop mauvaises ! Elle ne se fit pas prier, lui par contre sentit le piège, trop tard pour, il allait en baver, mon homme était vert de rage de n’avoir pas pu faire l’amour, il devait en avoir mal au bas-ventre.
J’étais morte de rire, entre lui qui ne touchait pas une balle face à mon champion et elle qui contenait difficilement son plaisir de le voir ainsi. Elle faisait plaisir à voir, tout sourire, elle rayonnait. Je pris le temps de la détailler, la quarantaine, pas très grande, mais a priori, vu les habits trop amples, pas mal foutue, par contre, la coiffure d’un autre âge, quelques cheveux blancs et un maquillage raté de chez raté. C’est là que j’ai eu l’idée, il y aurait du boulot, mais je voulais la « relooker ».
Je la branchai sur la soirée, un repas dansant était prévu, elle était catastrophée, elle n’avait rien prévu d’habillé et pensait ne pas y aller. Je lui proposai de venir fouiller dans ma garde-robe, ce quelle accepta, on laissa les hommes et monta dans ma chambre. Je lui sortis les trois tenues un peu habillées que j’avais amenées, elle était horrifiée, les trouvant plutôt déshabillées ! J’insistai, lui montrant une robe jaune serrée sur la taille et évasée, avec des dentelles sur le bas, courte, mais pas trop. Elle abdiqua et se déshabilla. Là, je n’en perdis pas une miette… pas terrible les dessous à vingt balles, mais par contre, un joli corps. Des seins lourds, mais non tombants, une taille de guêpe, des fesses de rêve. S’il me fallait être méchante, son seul défaut se situait au niveau des chevilles, on aurait dit qu’elle n’en avait pas, Les mollets arrivants sur les pieds, dommage.
Malgré qu’elle soit serrée au niveau de la poitrine, la robe lui allait à ravir. Malicieusement, je lui demandai de tourner sur elle-même. Immédiatement, la robe suivit le mouvement et monta, monta à l’horizontale de sa taille, lui laissant les cuisses et jusqu’au bas du ventre à l’air, je rigolai de bon cœur, je n’aurais pas dû !
Elle l’enleva immédiatement prétextant qu’elle n’oserait jamais la porter et que, de toute façon, son mari s’y opposerait. Je la pris par la main, la fis asseoir à côté de moi, la rassurai, lui dis que l’on allait trouver autre chose.
Tiens, on allait faire les boutiques, je devais aller au coiffeur, elle pourrait m’accompagner et, par la même occasion, je lui ferais connaître mon petit génie de la coiffure, il trouverait la coupe géniale qu’il lui fallait. Elle hésita, réfléchit, s’inquiéta de la réaction de son mari, non, décidément, elle ne pouvait pas, c’était impossible.
J’étais horrifiée, je l’interrogeai sur ses rapports avec son mari. De quel droit lui interdisait-il de se faire belle ? Là, elle se lâcha et parla d’elle de son mari, des enfants qu’elle n’avait pas eus, de ce divorce tant de fois décidé puis remis. Elle s’appelait Éliane, avait 42 ans, mariée depuis 15 ans à Didier. Comme beaucoup, du bonheur puis de l’ennui, enfin du mépris, la joie quoi ! Elle était à cran et finit par pleurer, je la serrai contre moi, sa tête sur mon épaule. Ma main était posée sur une de ses cuisses, mon autre bras autour de son cou. Elle était toujours en sous-vêtements, ses seins grossissant au rythme de ses sanglots, je ne pouvais m’empêcher de les regarder, trop envie de les caresser. Je laissai courir ma main sur sa cuisse, puis glissai sur le tissu de sa culotte et m’arrêtai sur son ventre qui, lui aussi, suivait la cadence de ses pleurs. Je lui parlai doucement, comme à une petite fille et posai un baiser sur son front, elle me regarda, me sourit entre deux sanglots. Ma main continua sa progression et vint s’enrouler à la base d’un de ses seins, je ne respirai plus, attendant sa réaction. Elle se blottit un peu plus contre moi, passant ses bras autour de mon cou, je sentis ses larmes chaudes sur ma joue et elles coulèrent dans mon cou.
Ma main un peu tremblante était maintenant sur son sein, j’étouffai. Il était chaud, doux et ferme, j’étais bloquée, n’osant aller trop loin, ne voulant pas la brusquer. Elle se retira, un sourire magnifique aux lèvres, et me dit :