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n° 00847Fiche technique16457 caractères16457
Temps de lecture estimé : 10 mn
22/08/00
corrigé 11/08/07
Résumé:  La transsexuelle Jennifer sort de prison. Elle n'aura pas de travail avant quatre mois. Il lui faut en attendant trouver un petit boulot.
Critères:  hh photofilm trans hmast fellation 69 préservati hsodo gifle -hhomo -bureau
Auteur : Jean-Sébastien Tiroir  (Merci de me permettre de sortir mes histoires de mes tiroirs)            Envoi mini-message
Jennifer Plait - Le photo modèle club


Jennifer est une belle femme aux longs cheveux blonds et raides, son visage s’orne d’un sourire malicieux, elle est un peu grande, un peu forte, mais elle plaît. Jennifer a malgré tout quelque chose de très particulier. Et cette particularité se trouve là, un peu plus bas, entre ses cuisses, sous la forme d’une belle verge de dimension fort correcte. Jennifer est une transsexuelle non opérée (et qui n’en a d’ailleurs pas du tout l’intention).


Jennifer sort de prison.. De la prison pour trafic de drogue, alors qu’elle n’avait rien trafiqué du tout, se contentant de stocker chez elle des paquets que lui avait confiés une connaissance, des paquets ne contenant rien d’illégal, lui avait-on menti. Une bouffée de haine l’envahit quand elle repense à tout ça, la perquisition, la garde à vue avec les injures et les coups gratuits des flics, la tronche de ce salaud de juge, et puis la prison où, proche de la déprime, elle avait failli se suicider. Pour lutter, elle s’était mise à écrire, d’abord des romans érotiques, mais l’état dans lequel cela la mettait l’incita à chercher autre chose. Alors elle avait eu l’idée de rédiger des bouquins pour les gosses, des histoires toutes fraîches se passant chez les Esquimaux, loin des embrouilles de la civilisation. Elle contacterait des éditeurs dès qu’elle aurait réglé le reste. Finalement elle fut libérée pour bonne conduite


Le reste ! Oui, parce que sortir de prison c’est bien beau, mais si vous n’avez ni famille, ni amis, vous faites quoi ? Il existe des associations caritatives qui s’occupent des transsexuelles, heureusement que ce genre de truc existe, mais elle pensait pouvoir se débrouiller toute seule.


Au moins n’avait-elle pas de soucis de logement, étant propriétaire d’un studio dans le XVIIème. Mais tout avait été coupé, le gaz, l’électricité, le téléphone. Personne ne s’était occupé de sa boîte aux lettres prête à éclater, des dizaines de courriers avaient probablement été perdues, il y avait quand même une belle lettre d’huissier, lui signifiant que l’on faisait une saisie-arrêt sur son compte afin de payer les charges. Charmant. Il lui faudrait plusieurs jours pour régler tout cela.


Elle sortit trouver une cabine. Un coup de fil chez son ancienne patronne - elle travaillait avant comme manucure chez XXX (Désolé vous ne saurez pas l’adresse - n.d.l.a.), une bonne boîte réservée à une clientèle avertie, car il n’était pas rare que certains habitués demandent l’accès à l’arrière-salle, dans laquelle les soins prodigués concernaient des parties du corps beaucoup plus intimes. Elle se demanda si la boîte était encore ouverte. Oui, elle l’était ! On lui demande de patienter. N’importe quel juge d’instruction pouvait la fermer du jour au lendemain pour proxénétisme, mais il fallait croire qu’ils avaient des complicités bien placées. Enfin, elle obtint la patronne. Est-ce qu’elle allait la jeter ?



Jennifer calcula, cela faisait presque quatre mois à tenir, elle avait un petit pécule, jusque-là, elle pourrait vivoter.



Il faudrait aussi qu’elle s’achète un portable ! Elle remercia la dame et raccrocha. Elle fit rétablir l’électricité, passa à sa banque, fit quelques courses, puis entreprit de faire ses comptes.


Ça faisait juste-juste pour tenir jusqu’à la date indiquée, où elle pourrait demander une avance sur salaire. Rogner sur la nourriture, elle pouvait essayer, mais le reste ? Elle avait maigri en prison, il aurait fallu qu’elle renouvelle sa garde-robe, et puis il y a toujours les impondérables. Il lui fallait trouver un petit boulot pour améliorer tout cela. Quelques passes, en se limitant juste à ses besoins ? L’idée l’effleura. Mais comment ? Le bois de Boulogne ? Ou alors passer une annonce dans XXX (Non, on ne vous dira pas le titre de cette revue très spéciale et très pratique - n.d.l.a.) pour faire ça en studio ? NON ! La prostitution, c’était l’argent facile, mais aussi des risques énormes, que le fait d’être transsexuelle aggravait encore. Elle refusait pour l’instant cet engrenage !


Histoire de se changer les idées, elle entreprit d’allumer la télé, qui ne voulut rien savoir, restant désespérément éteinte. Elle vérifia la prise, le courant passait, c’était donc une panne d’alimentation, il fallait soit appeler le réparateur soit racheter une télé. Les impondérables commençaient.


Elle réglerait ça plus tard, et se prépara à prendre une douche, son regard se porta sur son propre portrait, elle avait pris un coup de vieux, mais elle était toujours désirable. Il était beau, ce portrait, ça datait du temps où elle posait pour des photographes.


Clic !


Le déclic ! Elle était là, la solution !



Elle revêtit une robe légèrement décolletée de couleur parme qui laissait les bras nus, mais la recouvrit d’un petit corsage transparent assorti, elle serra sa taille d’une ceinture de cuir noir et se chaussa d’escarpins blancs (ce ne fut pas évident, car elle avait perdu l’habitude de ce genre de choses).


Un coup de fil d’une cabine pour s’assurer que l’agence existait encore. Eh bien non, elle n’existait plus, mais un message enregistré proposait de s’adresser au Photo Modèle Club de la rue XXX. Elle se rendit à l’adresse indiquée, pas de boutique, rien ! Se serait-elle trompée ? Elle pénétra dans l’immeuble où s’affichait une liste des occupants. Devant le nom de l’un des résidents avait été rajouté "Photo Modèle Club". C’était au deuxième. Elle sonna. Un type vint lui ouvrir. Le genre monsieur quelconque :



Il lui serre la main et se présente : Charles Van den XXXX.



La tête du type, qui n’en revient pas d’accueillir ce genre de créature ! Il n’y a pas de bureau, c’est tout simplement l’appartement du responsable de l’agence. Il la fait asseoir sur le canapé, et prend quelques documents dans un tiroir.



La chance !



Le type prend son "pola", demande à Jennifer de faire un joli sourire, prend la photo et dégage l’épreuve.



Jennifer lui sourit, lui montrant ainsi que ses propos ne la choquent pas.



Le type bafouille, il ne sait plus où il en est. Jennifer n’est pas folle, elle a compris, encore un salopard qui profite de la situation, alors autant rester maîtresse du jeu, elle lui met carrément sa main à la braguette, où elle sent effectivement une rigidité qui n’a rien d’innocente.



Jennifer dégrafe la fermeture éclair de Charles, et s’amuse à caresser sa bite à travers le slip, puis la dégage complètement, elle approche sa langue de son gland et le lui lape, comme pour goûter, mais une seule fois. Elle savoure d’avance le plan qui vient s’échafauder dans son esprit !



Réaction prévisible, Jennifer se lève pour partir, c’est maintenant que tout va se jouer. Une chance sur deux, si elle perd, il y a d’autres agences.



Gagné ! Le type revient deux minutes après, il est resté tel qu’il était, il ne s’est même pas déshabillé, et son pantalon est légèrement mouillé.


« Il ne sait plus où il en est, le mec ! »


Jennifer branle un peu la queue de Charles pour lui redonner de la vigueur, puis porte le gland à ses lèvres, fait tourner sa langue dessus puis, par petits mouvements successifs, la fait avancer dans sa bouche. Quand elle estime ne pouvoir en entrer plus, elle commence alors des mouvements de va-et-vient, tout en continuant d’astiquer le gland avec sa langue.


« Mais c’est que c’est toute une technique ! »


Charles est aux anges


« Si seulement il pouvait jouir tout de suite, ce serait une bonne chose de faite ! »



Jennifer baisse sa culotte, et déjà la main de Charles s’y aventure et tripote, il se penche pour la sucer.


« Maintenant, l’estocade ! »


Soudainement, Jennifer le gifle.



Le type se précipite sur la queue de Jennifer et la gobe. À sa grande surprise, il suce bien, ce ne doit pas être sa première fellation.



Charles s’allonge, Jennifer se met au-dessus de lui et lui redonne sa bite à sucer, puis elle se couche sur lui afin d’atteindre la sienne. Ils se sucent mutuellement ainsi, en 69, pendant plusieurs minutes. Puis Jennifer abandonne sa fellation.



Jennifer se déshabille de son côté. Charles revient rapidement. Il a un regard amusé en découvrant la jolie poitrine de la transsexuelle, mais sans plus.


« Ça ne doit pas l’intéresser, ce connard ! »


Jennifer lui demande de se coucher sur le dos sur le canapé, puis se place au-dessus de lui, écarte ses fesses et engloutit sa bite dans son trou du cul. Elle aime cela, Jennifer, elle aime jouir du cul et elle aime cette position car elle peut tout contrôler, vitesse et profondeur, mais la position est néanmoins fatigante. Elle pivote alors sur le côté, afin de continuer en "paresseuse". Du coup c’est Charles qui doit maintenant besogner.


« Il manque de technique, le mec ! »


Jennifer se retire.



Jennifer place alors la deuxième capote sur sa propre queue



Et clac ! Une nouvelle gifle !



Déjà il se met en position.



Jennifer pose un peu de salive sur l’anus de Charles, puis pousse avec sa bite, la capote lubrifiée aide le passage, une fois bien rentrée, elle commence ses mouvements alternatifs. Jennifer se sent prête à jouir dans son cul.



Les orgasmes de Jennifer sont toujours très violents, elle pousse un rugissement en lâchant son foutre dans la capote, puis se retire de son cul ! Charles n’a pas encore joui et continue à se branler.



Il est tout étonné, Charles, mais c’est aussi ça, dominer quelqu’un : c’est lui faire plaisir de façon inattendue. Du coup, le Charles ne tarde plus à jouir et lâche son foutre sur les seins de la belle transsexuelle.



« Aïe ! Surtout ne pas lui dire non ! »



Jennifer fit quelques pas et s’empara du téléphone.




Jean-Sébastien Tiroir - 1983 - Revu et corrigé en 2000