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n° 00937Fiche technique32051 caractères32051
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Temps de lecture estimé : 23 mn
18/03/23
corrigé 18/03/23
Résumé:  Une de ses amies organise des rendez-vous coquins dans une ferme auberge des Vosges. Comme elle est à court de Messieurs, elle lui propose de participer.
Critères:  fh grossexe intermast cunnilingu pénétratio fdanus jeu -rencontre -jeux volupté
Auteur : Jean-Marc 3  (Homme 45a)
Week-end agréable

Un soir alors que je suis seul chez moi, confortablement installé en survêtement dans un fauteuil profond en cuir devant une agréable coupe de champagne, un livre entre mes mains, mon téléphone sonne. D’abord, je ne veux pas répondre, mais comme cela fait plus d’un mois que je suis seul, sans aucune compagnie, ma dernière amie m’ayant lâchement abandonné, je me dis que c’était peut-être l’occasion de renouer contact avec elle ou une autre… qui sait !


Je décroche donc après la troisième ou quatrième sonnerie :



Cette conversation m’a beaucoup émoustillé, à tel point que ma virilité se manifeste sans retenue, j’ai très envie d’être trois jours plus âgé pour voir et bien sûr éventuellement caresser la charmante créature que Nathalie me réservera. Je vais me coucher en fantasmant sur mon prochain week-end et en imaginant mes relations à venir… ce qui ne manque pas de me faire répandre ma semence.

Le reste de la semaine me semble très long. Le vendredi matin, je me prépare à me rendre dans les Vosges : je fais ma valise et mets un slip échancré qui valorise mes attributs masculins très développés ; une chemisette à manches courtes blanche qui met en valeur mon teint bronzé des dernières vacances ; un pantalon genre jean très clair ; et me voilà en route vers les Vosges. Quatre heures de trajet par une belle matinée ensoleillée m’attendent pour rejoindre la ferme auberge de mes amis Nathalie et Gérald. Le trajet se passe sans encombre et j’arrive à 14 h 30, une petite demi-heure de retard, mais c’est une habitude chez moi, je n’aime jamais arriver le premier.


Je gare ma voiture sur le parking de la ferme auberge. C’est un endroit splendide. Mon regard vagabonde sur les sommets arrondis recouverts de forêts de sapins et, en dessous de moi, dans la vallée par laquelle je suis arrivé. C’est splendide, calme, rempli d’arômes merveilleux. Les abords de la ferme auberge sont superbement entretenus : gazons verdoyants tondus, massifs de fleurs telles qu’hortensias roses et bleus, jardinières de géraniums roses et rouges à toutes les fenêtres, des arbustes et des haies superbement entretenues. Non loin de là, une basse-cour, un parc avec une bonne douzaine de magnifiques chevaux et des ânes, au loin les prairies avec des vaches et des chèvres.

Sortant de la ferme, Nathalie m’appelle et court vers moi ; elle porte une petite robe jaune qui lui va à ravir et qui laisse voir sa belle poitrine et ses superbes jambes. Je suis très sensible aux jambes des dames et entrevoir de belles cuisses sous une petite jupe me plaît beaucoup. Elle m’enlace, dépose deux gros baisers sur mes joues. Je la regarde et lui dis :



Je prends ma valise et Nathalie me prend par le bras pour me conduire vers le corps du bâtiment. Nous montons l’escalier extérieur menant au balcon fleuri qui ceinture le bâtiment et sur lequel donnent toutes les portes des chambres… nous nous arrêtons devant l’une d’elles. Elle ouvre, s’écarte pour me permettre de rentrer. C’est une chambre magnifique, grande, avec un coin salon devant la porte d’entrée et une cheminée à l’âtre entre le coin salon et la partie chambre. Elle est magnifiquement décorée et meublée. Les murs sont habillés de bois et munis de plusieurs aquarelles. Des rideaux bordeaux se trouvent devant la porte et la fenêtre donnant sur le balcon. Le coin salon comprend une table basse en bois, deux fauteuils et un canapé en rotin recouvert de coussins jaunes et bordeaux. Dans la chambre, un superbe et très grand lit avec un couvre-lit de la même couleur que les coussins du salon, deux descentes de lit en peau de chèvre écrue à longs poils, une table de bureau avec deux chaises, un grand placard encastré dans le mur avec portes munies de miroirs dans lesquels se projettent le lit et les deux tables de chevet.

Trois portes donnent sur la chambre : deux sont entrouvertes, la troisième est fermée. J’ouvre l’une des portes entrouvertes que je referme : ce sont les toilettes, propres, aux murs recouverts de carrelage blanc. La seconde porte entrouverte donnait sur une magnifique salle de bains avec douche, baignoire ronde, lavabos, murs revêtus de carrelage couleur rose pâle avec en motif une belle fresque représentant trois jeunes filles bien potelées dans le plus simple appareil, un miroir… Superbe, quoi ! La troisième porte résista quand je voulus l’ouvrir. Je me retourne vers Nathalie qui me tend une clé :



Je la suis. Nous arrivons dans la grande salle par l’intermédiaire d’une mezzanine à partir de laquelle nous avons une vue plongeante sur les invités en train de discuter entre eux et de prendre un rafraîchissement. Il y avait cinq dames et cinq messieurs, dont Gérald, à qui je fais un signe de la main.



Mon regard fait rapidement le tour des protégées de mon amie… Deux d’entre elles m’apparaissent un peu trop âgées, quoique bien mises et encore bien faites, une autre est en tailleur-pantalon, ce qui est assez rédhibitoire pour moi compte tenu de mon attirance pour les jambes de nos compagnes, et les deux autres me tentent bien. L’une d’entre elles est grande et rondelette, mais a une belle poitrine et des jambes bien moulées gainées de brun ; elle porte un tailleur vert et caraco noir et une jupe au-dessus du genou ; elle a des cheveux bruns courts, elle est souriante, se tient debout, et est chaussée de superbes escarpins noir verni. L’autre est un peu plus petite, elle a des cheveux mi-longs auburn ; elle est mince, mais avec une poitrine et des hanches qui semblent plus développées que chez l’autre ; ses jambes gainées de noir sont superbes et semblent infinies ; elle porte un tailleur jaune orangé dont la veste laisse voir un caraco bordeaux ; elle est souriante, mais semble tout en retenue, voire triste ; debout elle aussi, elle porte des chaussures jaunes à haut talon.



Je la suis vers la grande salle où Nathalie me présente aux autres. Je serre la main à ces messieurs et je fais la bise à ces dames. J’observe Amélie qui m’apparaît encore plus mignonne de près.


Nathalie invite tout le monde à s’asseoir autour de la grande table campagnarde. Elle rappelle les règles du jeu et annonce le tirage au sort qui va désigner les couples pour ce week-end. Les dames sont priées de prendre une carte dans un panier rouge en contenant cinq, et de ne pas la montrer. La plus jeune commence. Puis Nathalie prend un panier bleu qui contient également cinq cartes, elle les mélange et le tend aux messieurs. Un petit mot nous demande de prendre la carte du dessus, ce que je fais lorsque mon tour arrive. J’ai le trois de trèfle.

Nathalie s’apprête à lever le voile sur le mystère. Les dames, très causantes jusque-là, se taisent et pâlissent même. J’observe Amélie du coin de l’œil et il me semble que sa respiration s’est accélérée.



Mon voisin se lève et une des dames que je considérais comme trop âgée dit timidement et en rougissant :



Il se dirige vers elle, la prend par la main, elle se lève, lui fait face et ils se font la bise ; tout le monde applaudit. Puis le quatre de trèfle est appelé, c’est la dame en tailleur-pantalon qui est concernée. Elle se lève à son tour et se blottit dans les bras de son compagnon ; ils s’embrassent à pleine bouche. Et ainsi de suite jusqu’au trois de trèfle qui est appelé en dernier. Amélie me regarde depuis longtemps déjà, se sachant, depuis l’appel précédent, désignée à passer le week-end avec moi.

Je me lève, m’approche d’elle et lui tends un petit écrin que j’avais dans ma poche. Elle le prend, l’ouvre, enfile le bracelet qu’il contient, m’enlace, dépose deux baisers sur mes joues, me regarde, se ravise, et m’embrasse à pleine bouche. Je sens sa langue jouer avec la mienne, l’effet dans mon pantalon est immédiat.


Nathalie nous propose une coupe de champagne, avant de rejoindre les chambres où nous pourrons ranger nos affaires. Elle nous informe que le dîner sera servi à partir de vingt et une heures. Je trinque avec Amélie et, nos verres vides, je lui propose de rejoindre nos chambres. Je me charge de ses bagages et nous rentrons dans ma chambre qu’elle visite et qu’elle trouve superbe. Je lui tends la clé de la porte de communication, elle s’approche de moi, se blottit dans mes bras et m’embrasse à pleine bouche. N’en pouvant plus, je me plaque contre elle et nous nous serrons très fort l’un contre l’autre. Haletant, nous nous séparons et elle me dit qu’elle désirerait partager la mienne. Je n’y vois, bien sûr, aucun inconvénient. Je lui propose une petite promenade dans les dépendances. Nous nous promenons aux alentours de la ferme auberge. Je lui ai naturellement pris la main. On visite les abords, la basse-cour, le parc où gambadent les chevaux et les ânes. Bien sûr, nous jetons des graines aux poules et aux oies, nous nous attardons devant le paon qui fait la roue et nous tendons du foin aux chevaux et aux ânes, puis nous nous dirigeons vers la forêt de sapins qui s’élève vers les ballons. Il fait bon et sombre sous les futaies. Je la prends par la taille, elle me sourit, la tension monte. Un peu plus loin, je l’étreins et l’on s’embrasse, nos langues s’enlacent et se frottent dans nos bouches, ma main caresse son dos, puis ses fesses à travers sa jupe. Elle gémit et se presse contre mon ventre… elle doit ressentir la raideur de mon sexe tendu. Mon autre main se pose sur son sein que je caresse à travers la veste du tailleur, il a l’air mignon et bien ferme. Après cette longue étreinte, nous nous séparons et nous nous sourions. Elle me dit :



Nous montons l’escalier menant au balcon et nous nous dirigeons vers notre chambre. En passant devant une fenêtre, nous entendons des gémissements qui ne trompent pas sur l’activité du couple qui occupe la chambre en question. J’observe Amélie qui rougit. Nous nous arrêtons et nous jouons les voyeurs en écoutant. Les gémissements de la dame sont de plus en plus intenses. La rougeur d’Amélie et, je suppose, son excitation doivent croître proportionnellement avec ces gémissements ; elle se serre contre moi. Les gémissements de la dame se transforment en quelques syllabes :



  • — Oui, oui, encore, c’est bon.


Puis elle dit :



  • — Oh oui, je vais venir ! Retiens-toi, chéri. Oh !


Ces paroles sont suivies d’une longue plainte mêlée de grognements du monsieur.


Amélie a croisé ses jambes et serre les lèvres. Dans la chambre, nous entendons :



  • — C’était superbe, chéri, mais tu sais, je t’avais prévenu. Je risque fort d’être enceinte.


Nous nous éloignons rapidement, tout émoustillés, et rejoignons notre chambre. Elle m’observe, toute rouge, mais souriante maintenant, à croquer. Je suis dans un état inimaginable au niveau de mon pantalon et je vois son regard se poser sur la bosse le déformant. Elle me dit :



Je l’attire vers le canapé sur lequel nous nous asseyons côte à côte. Nous nous embrassons. Je déboutonne sa veste de tailleur et découvre un tout petit débardeur qui me dévoile son nombril. Je glisse ma main en dessous et me saisis de son sein enveloppé d’un très fin bonnet de soutien-gorge au travers duquel je ressens son téton durci. J’embrasse son cou, sa gorge, la naissance des seins tout en continuant à la peloter. Elle s’offre, se détend, ronronne. Sa jupe remonte sur ses superbes cuisses qui sont légèrement entrouvertes. Je pose ma main sur sa jambe, juste au-dessus du genou. Elle tressaille ; je la regarde, elle me sourit. À la suite de cet encouragement, je caresse la partie offerte à ma vue de sa cuisse, puis glisse le bout de mes doigts sous l’ourlet qui borde sa jupe. Elle continue de me sourire et se déplace légèrement de telle façon que l’accès à sa féminité me soit facilité. Je l’embrasse et laisse remonter ma main sous sa jupe. Elle ronronne, elle m’enlace, elle écarte ses jambes davantage, elle s’offre.

Ma main rencontre la chair nue de ses cuisses : elle porte des bas tenus par des jarretières. Je caresse sa peau nue qui me trouble, puis ma main glisse entre ses cuisses et touche sa culotte. Elle gémit fort, elle se cambre et je sens son entrecuisse se mouiller sous mes doigts. Nous nous séparons, elle me sourit et me dit :



Je l’amène près du lit, et là, je retire sa veste, puis son débardeur. Je la retourne, défais la fermeture éclair de sa jupe que je descends. Elle m’apparaît de dos, en soutien-gorge bordeaux, en petite culotte « tanga » assortie, en bas noirs tenus par des jarretières assorties au soutien-gorge et à la culotte. Elle est craquante. J’observe le côté face dans la glace. Elle me sourit.



J’ouvre le lit, et me déshabille dans son dos : chemise d’abord, pantalon ensuite. Elle me voit dans la glace, sa main se porte entre ses cuisses et elle se met à se caresser. Je m’approche d’elle en slip et plaque mon sexe énorme contre ses fesses :



Je la retourne vers moi, on s’enlace, on s’embrasse, puis je la soulève dans mes bras et la porte sur le lit. Nerveuse et excitée, elle se met à rire. Je m’allonge contre elle et dégrafe son soutien-gorge. Je me retrouve face à deux superbes globes à la peau claire, surmontés de deux tétons roses dressés et durs au centre d’une petite aréole. Je pose ma main câline sur l’un des globes. Amélie ronronne et ferme les yeux. Je la caresse, la pelote, et pose ma bouche sur le deuxième téton. Je suce, lèche et aspire. Amélie se tortille, m’enlace et me caresse le dos et la poitrine. La tension entre nos corps augmente de plus en plus. J’ai très envie de me calmer rapidement en elle, mais comme j’ai peur de la brusquer, je poursuis les préliminaires pour l’amener au plaisir. Je continue à sucer son sein tandis que ma main descend et caresse son ventre – elle cambre ses reins et gémit de plus en plus –, ma main poursuit sa descente sur sa culotte puis sur la chair nue de ses cuisses. Lentement, elle écarte ses jambes et je considère cela comme une demande de caresses sur son pubis. J’y place ma main et le caresse de son plat. Elle se met à me parler :



Je précise mes caresses en utilisant mes doigts ; je sens sa fente intime à travers sa culotte et je la caresse en me servant du tissu pour exciter son intimité. Elle se tortille et gémit fort. Je l’enlace plus fermement pour qu’elle bouge moins et ressente pleinement mes caresses. Soudain, elle se crispe, elle gémit très fort et longuement, je sens sa culotte devenir mouillée entre ses cuisses.


Je la regarde en souriant. Elle me regarde, les yeux troubles, les lèvres tremblantes. Dans un souffle, elle me dit :



Je la reprends dans mes bras, je l’embrasse et je constate à la tension de ses tétons que le désir est à nouveau présent en elle. Elle se met à me caresser et j’en profite pour saisir l’une de ses mains qu’elle a bien soignées, aux doigts fins et longs, sans bijoux, avec des ongles arrondis recouverts de vernis du même bordeaux que ses dessous. J’amène lentement cette main vers mon slip et la pose sur mon sexe tendu. Elle frémit, se met à le caresser et à en prendre la mesure en le palpant ainsi que ma bourse à travers mon slip. Pour l’encourager, je lui dis:



Sous ses caresses, la tension monte énormément dans ma chair et il m’apparaît que nous devons changer rapidement de jeu si je ne veux pas éclater trop rapidement. Je me déplace donc lentement pour me mettre à genoux dans le prolongement de ses jambes qu’elle a repliées. Je caresse ses cuisses et mes deux mains se posent sur sa culotte tout en lui caressant le ventre. Lentement, je me saisis du bord de sa culotte et, des deux mains, la fais descendre. Elle gémit, mais se laisse faire. Je retire complètement cette culotte et la voilà uniquement vêtue de ses bas. J’écarte lentement ses jambes et je vois son sexe, magnifique, aux lèvres très fines avec une très fine toison châtain très clair. Il est luisant et humide de sa précédente jouissance. Je demeure en admiration devant ce trésor que je vais pénétrer sous peu. Elle me regarde, devinant mon trouble, sa respiration s’accélérant. Ma main passe sur sa toison, puis doucement j’écarte ses lèvres très fines pour découvrir un antre rosé avec un superbe bouton turgescent. Je caresse son clitoris avec douceur. Elle respire vite et gémit, les yeux fermés. Son corps s’agite. J’incline mon buste entre ses cuisses et embrasse ce trésor à pleine bouche. Quel arôme ! Elle sent l’amande, la lavande. Son goût est magnifique, on dirait de la pistache, c’est sublime, j’y enfonce ma langue. Amélie crie, mais je continue, je veux qu’elle jouisse dans ma bouche. Elle mouille de plus en plus. Je glisse ma main sous ses fesses bien fermes et mon doigt s’insinue dans sa raie. Elle crie de plus en plus ; des sons, oui, des sons, non, des sons encore. Mon doigt rencontre son petit trou qu’il caresse, puis doucement pénètre. Elle hurle, se cambre, se laisse aller. Sa mouille inonde ma figure. Je me relève, la regarde. Elle me dit, encore plus marquée par le plaisir que la première fois :



Je m’allonge sur elle entre ses jambes. Elle m’essuie le visage avec sa culotte. On s’embrasse, se caresse. Je lui glisse à l’oreille :



Je m’allonge sur le dos, Amélie se met à genoux à mes côtés et se met à m’embrasser. Elle me caresse la poitrine, puis sa bouche se hasarde sur ma poitrine, s’attarde sur mes tétons, tandis que sa main descend sur mon ventre, puis sur mon sexe à travers mon slip. Pendant ce temps-là, je lui caresse le dos et les fesses. Elle se relève, me regarde, me sourit tout en continuant à caresser ma virilité de sa main experte.



Elle le descend et ma queue bien tendue se dresse fièrement devant elle. Il faut dire que je suis assez bien membré, alors elle pousse un « Oh! » de surprise, et tout en regardant fixement mon fier attribut, elle retire complètement mon slip.



Elle se penche sur ma queue et commence à la caresser délicatement. Sa deuxième main s’emploie sur ma bourse et masse bien mes couilles. Le mouvement de sa main s’accélère le long de ma hampe ; elle me branle. À ce rythme, je ne vais pas pouvoir tenir bien longtemps, mais elle vient à mon secours en arrêtant de me branler, elle approche sa bouche, et l’embrasse. Je me calme un peu, la tension baisse. Elle me suce lentement, d’abord l’extrémité, puis elle se la met de plus en plus profondément dans sa bouche. Je sens sa langue me la lécher puis elle aspire par à-coup ; c’est une super suceuse et à ce rythme je vais éclater.


Elle me regarde tout en continuant de me sucer. Je n’en peux plus ; elle le voit, ses yeux brillent de plus en plus, mais elle continue son ouvrage. J’en déduis qu’elle désire que je jouisse, et comme je n’en peux plus, je me laisse aller. Mon sperme monte dans ma queue, je jouis comme rarement. Elle s’arrête de sucer, mais conserve ma queue dans sa bouche où mon sperme jaillit. Elle reçoit tout, sa bouche en est pleine. Elle retire ma queue, me regarde la bouche pleine et, doucement, commence à déglutir. C’est si excitant que ma queue reprend immédiatement de la vigueur. Sa bouche enfin vide, elle me dit :



Je l’allonge sur le lit et m’installe à genoux entre ses cuisses que j’écarte largement. J’ai ainsi une superbe vue sur sa chatte aux lèvres légèrement entrouvertes. Je caresse son clitoris d’un de mes doigts et sens son bourgeon de chair durcir alors que son bas-ventre entame un lancinant mouvement de va-et-vient. Je glisse mon autre main sous ses fesses, mon doigt dans sa raie pénètre son petit trou. Elle se tord, elle gémit. Ma queue énorme est rouge et prête à remplir son rôle en la remplissant. Je retire mes doigts de ses orifices et la tiens par la taille de mes deux mains. Je présente ma queue à l’entrée de sa moule toute trempée, elle ne bouge plus et ferme les yeux, sa respiration devient haletante. J’avance mon bassin avec douceur, je vois ma queue la pénétrer, ses lèvres s’entrouvrent davantage, la longueur visible de ma queue diminue. Son visage est tendu, elle gémit en criant un long et profond « oui ». Je poursuis la pénétration dans son doux et étroit fourreau humide et chaud. C’est merveilleux. Nos pubis se touchent, je reste un moment ainsi sans bouger et ressens les contractions de son muscle vaginal. Je commence un doux va-et-vient dont j’accélère le rythme, elle n’arrête plus de gémir et de prononcer des paroles désarticulées sans lien entre elles.


La tension monte de plus en plus dans mon bas-ventre. Je sens que mon sexe va explose, alors je m’allonge sur elle et poursuis mon va-et-vient profond et rapide tandis que tout mon corps se frotte sur le sien. On gémit très fort tous les deux. À l’oreille, je lui dis que je vais l’inonder, elle m’enlace très fort et mon sperme gicle dans son ventre. Je me sens me vider littéralement et elle hurle en tournant la tête dans tous les sens. On reste ainsi allongé un certain temps, l’un sur l’autre et l’un dans l’autre, savourant chacun notre plaisir et récupérant de la bonne fatigue physique accumulée lors de nos ébats. Alors, Amélie me dit :



Elle se lève, ouvre sa valise et sort ses affaires de toilettes. Je la regarde, encore allongé sur le lit. Elle va dans la salle de bains et très vite j’entends l’eau couler… à ce moment-là, je me dis que je serais bien avec elle sous la douche. Ma queue se met immédiatement au garde-à-vous, je me lève et je vais dans la salle de bains. J’entrouvre le rideau et la vois toute couverte de mousse. Elle me regarde et constate mon état, elle me sourit. Je vais la rejoindre, je la soulève contre moi, l’appuie contre la paroi de la douche, et ma queue trouve immédiatement l’entrée de sa fente merveilleuse. Je la branle rapidement. Je suis fou d’elle et cette fois, je ne pense vraiment qu’à mon plaisir dans ce corps de rêve. Soudain, elle se met à gémir et rapidement à hurler. Je la branle de plus en plus vite. Elle crie toujours et je libère mon jus en elle et, à ce moment, elle émet un long cri et j’ai l’impression d’avoir un pantin désarticulé dans mes bras. Je me ressaisis et la pose au sol, elle m’enlace, m’embrasse et me dit que jamais elle n’avait tant joui.

Moi, je tremblote également après cette forte jouissance. Elle s’empare de son shampoing et se met tendrement à me laver les cheveux, puis elle prend son gant de toilette sur lequel elle met son gel douche, et se met à me laver tout aussi tendrement. Elle insiste sur mes parties intimes et s’occupe de ma raie arrière. Je me mets à rebander, mais là, elle me dit :



Je lui souris et, toujours avec ma trique, je prends son gant de toilette, y dépose du gel douche et me mets également à la laver en insistant sur ses seins, son entrecuisse, sa fente intime que je pénètre d’un doigt, puis sa raie culière où j’insiste longuement sur son petit trou. Puis, on fait couler une douche, d’abord chaude, puis tiède, et finalement froide, ce qui nous calme et nous permet de mettre nos peignoirs et de nous sécher les cheveux calmement.

Lorsque je la rejoins dans la chambre, elle a rangé ses affaires. Je range ma valise lorsqu’elle me dit en me montrant une petite robe vert pâle :



Elle sort à ce moment des dessous verts – eux aussi – de l’armoire. Je lui prends la main qui tient ces dessous et lui dit :



Elle enfile sa robe qui met son corps très en valeur, mais, effectivement, je vois légèrement son intimité à travers : ses tétons qui assombrissent légèrement le tissu et une image plus foncée de son triangle pubien et de sa raie culière, mais elle est splendide et adorable ainsi.



Nous allons vers la grande salle où Nathalie s’empresse auprès d’Amélie. Je les entends parler à voix basse et échanger des secrets de femmes. Nathalie s’approche de moi et me dit :




Nous avons passé un week-end merveilleux chez Nathalie où nous avons fait de nombreuses folies que nous vous raconterons peut-être si ce premier essai vous a plu. Car, bien sûr, nous avons écrit ce texte ensemble. Depuis, nous sommes toujours ensemble et nous nous aimons toujours plus.