n° 00945 | Fiche technique | 12422 caractères | 12422 2186 Temps de lecture estimé : 9 mn |
04/09/00 corrigé 18/05/23 |
Résumé: Orelia vient d'avoir 18 ans. Elle veut tout essayer, toutes les perversions, toutes les situations. Un pastiche de choses parfois lues sur ce site ! | ||||
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Auteur : Jean-Sébastien Tiroir (Garçon ! Un pastiche !) Envoi mini-message |
Hello ! Je m’appelle Orélia et j’ai eu 18 ans très récemment, je vous livre quelques pages parmi les plus chaudes de mon journal intime.
Jeudi 1er juin
Demain, c’est mon anniversaire. Que vont-elles m’acheter ? Je dis « elles », car nous allons faire cela en petit comité, il y aura ma mère (qui, à 40 ans, est encore une femme superbe !), ma Tante Sidonie que j’adore et ma grande sœur Bénédicte. Mon père ne sera pas là, il est en prison et on ne veut pas me dire pourquoi !
Vendredi 2 juin
Oh là, là ! Que d’émotions ! Ce jour restera à jamais gravé dans ma mémoire. Après un bon repas préparé par ma mère (qui, à 40 ans, est encore une femme superbe, on ne le répétera jamais assez), celle-ci est allée chercher le dessert. Ma première réflexion fut de m’étonner que les bougies ne soient pas allumées.
Je m’aperçus ensuite que ce n’étaient pas des bougies qui ornaient mon gâteau d’anniversaire, mais des godes, dix-huit godes plantés dans le gâteau au moka !
J’embrassai ma mère et ma sœur pour les remercier, puis, alors que je m’apprêtais à déposer un chaste baiser sur les douces joues de ma tante Sidonie (qui, elle aussi, à 40 ans, est également une femme superbe !), cette dernière dévia mon visage afin de coller ses lèvres contre les miennes, et me roula carrément un patin. Quel plaisir divin de se faire rouler une pelle par sa douce tata, je me laissai faire, bien sûr ! Elle me précisa que ce baiser faisait aussi partie des cadeaux.
Bon, c’est pas tout ça, mais il fallait bien le manger, le gâteau ! Je fis la remarque qu’il manquait les petites assiettes et les cuillères :
Se saisissant de l’un des godes, elle l’enfonça dans le gâteau, le ressortit et le lécha. Voilà une excellente idée. Nous étions toutes les quatre en train de sucer nos godes pleins de crème au moka ! Bien sûr, ce genre de situation excite, et Tata Sidonie fut la première à enlever sa culotte, pour faire un usage un peu plus classique du godemiché. Quelques instants après, elle en prit un deuxième afin de combler son petit trou qui devenait jaloux.
Nous n’avons pas tardé à imiter Tata Sidonie (qui, à 40 ans, est toujours une femme superbe !). Tata Sidonie a voulu m’assister dans cette tâche, pensant que je manquais de pratique (si elle savait, la pauvre !). Je me suis laissé faire. Elle m’a aussi demandé de lécher le gode qu’elle s’était introduit dans la chatte, j’ai pu ainsi déguster les saveurs intimes de ma Tata, et c’est moi qui lui ai demandé ensuite de lui nettoyer le gode qu’elle s’était carré dans le cul. Ensuite, Tata m’a demandé de la lécher pour la faire jouir. Cette partie à quatre a alors duré jusqu’à notre épuisement complet.
Mardi 6 juin
J’ai bouffé trop de gâteau, j’ai été malade, ce matin ça va mieux, j’ai 18 ans, le monde est à moi. Avec l’argent de poche que j’ai eu, je vais renouveler ma garde-robe. Je m’habille très, très court, je mets le plus beau des 18 godes dans mon sac à main et je me décide à commencer par le marchand de chaussures. En pleine rue, je me dis que je n’aurais pas dû mettre de culotte, alors je la retire dans l’indifférence générale.
J’essaie quelques godasses, la vendeuse est mignonne, et je m’arrange pour qu’elle remarque mon absence de culotte. Mais elle fait semblant de ne pas voir, cette pétasse !
Ça me contrarie ce genre de réponse parce que ça ne correspond pas au scénario que j’avais dans la tête, alors je me décide à forcer la dose, je sors mon gode et me l’enfonce dans la chatte, puis je fais démarrer les piles du vibrateur. Quelques personnes se détournent juste un peu, mais c’est tout ! Un type se pointe devant moi :
J’accompagne le mec dans une arrière-salle, j’espère qu’il va me violer, j’aimerais bien qu’on me viole, aujourd’hui, il paraît que c’est super comme expérience !
Le type avait une bite monstrueuse, je léchais un peu son gros membre parcouru de grosses veines bleues, mais j’avais du mal à mettre dans ma bouche son énorme gland violacé. Pourtant, au bout de trois minutes, il me lâcha une considérable giclée. Je croyais que l’affaire allait en rester là, mais il m’indiqua qu’il rebandait déjà et m’intima l’ordre de me tourner afin qu’il m’enculasse.
Ayant peur que cet engin surdimensionné me déchire le fondement, je décidai de fuir et me mis à courir. En traversant le magasin, je trébuchai sur une boîte à chaussures et m’affalais, le cul à l’air. Deux vendeuses m’empoignèrent et me ramenèrent manu militari dans l’arrière-boutique.
Il me fit très mal, mais, comme dans les histoires, après la douleur vint le plaisir et c’est toute contente que je sortis du magasin avec mes chaussures à l’œil.
Tout de même, si on ne peut pas venir acheter des chaussures sans culotte, sans se faire enculer, où va-t-on ?
Mercredi 7 juin
Je cherche un petit ensemble, j’en trouve un super mignon, il faut que je l’essaie, je vais donc dans une cabine. Ils sont fous dans ce magasin, ils mettent des rideaux aux cabines, je laisse bien sûr la mienne ouverte et me déshabille, j’essaie le truc. Il me va très bien, je me déshabille à nouveau et, dans la foulée, j’enlève aussi mes sous-vêtements. Les gens passent, mais ne s’arrêtent pas. C’est désespérant. Je renouvelle la tactique de la veille et je sors mon gode en réglant le vibrateur à fond. Une bonne femme arrive en pétard !
Je ne réponds pas, j’espère bien que la sécurité va venir, j’espère aussi qu’ils vont me violer (j’aimerais bien qu’on me viole, aujourd’hui, il paraît que c’est super comme expérience). Ça y est, la sécurité arrive ! C’est un grand gaillard d’environ un mètre quatre-vingt-dix-huit !
Et joignant le geste à la parole, il m’enlève le gode, baisse le vibrateur, et le remet en place
Le goujat, il ne m’a même pas violé. Une fille rentre, une belle fausse blonde.
La fille baisse son pantalon et sa culotte, s’accroupit et se met à pisser au milieu de la cabine d’essayage, provoquant la création d’une énorme mare d’urine.
Jeudi 8 juin
Bon, c’est pas tout ça, mais on ne m’a pas encore violée (j’aimerais bien qu’on me viole, aujourd’hui, il paraît que c’est super comme expérience). Je décide de forcer la chance et je prends un train de banlieue aux heures creuses, je m’installe dans un wagon à moitié vide, il n’y a que trois loubards dans le fond, et un vieux monsieur qui est à moitié planqué derrière un journal. Je retire ma culotte devant leurs yeux médusés et commence à jouer avec mon gode.
Hmmmm, ça m’excite, tous ces mots doux.
Et après avoir rigolé grassement, déjà deux d’entre eux m’immobilisent, le troisième s’approche de moi, son haleine sent la bière trop forte et le big-mac mal digéré. Il sort son énorme bite (les violeurs ont toujours des bites énormes) mal lavée et, sans préliminaires, me la fourre dans le con (c’est plus littéraire de dire « con » que « chatte », personne ne parle comme ça, mais ça ne fait rien). Il jouit illico presto.
Ils me retournent et le deuxième s’attaque derechef à mon trou du cul. Je hurle ! Il me fait très mal ! Il ne s’occupe évidemment pas de mon propre plaisir et ne pense qu’à lui. Il ressort son énorme pieu et me le fourre dans la bouche tandis que le troisième le remplace derrière. Je nettoie la bite du deuxième. Elle ne sent vraiment pas la rose, mais que voulez-vous, un viol, c’est un viol ! Je ne vais pas en modifier les règles ! Le troisième n’arrive pas à jouir. Mon cul est en marmelade.
Tout d’un coup, l’un des loubards, se rappelant la présence du petit vieux à l’autre bout, l’appelle :
Le type ne bronche pas.
Le type affolé se précipite vers le signal d’alarme, ce qui ne tarde pas à immobiliser le train. Les trois loubards sautent par la portière et disparaissent dans la nature. Dans la foulée, ils ont eu le courage et la bonté de me piquer mon sac à main. Les braves violeurs ! Qu’ils étaient beaux, mes violeurs !
Quand même quand on y pense… se faire prendre comme cela par des individus mal lavés, mal éduqués, à moitié bourrés, qui ne respectent pas les femmes, qui nous insultent, nous considèrent toutes comme des salopes et disposent de notre corps comme des brutes en ne pensant qu’à leur propre plaisir et en nous faisant mal ! Quel pied ! Et en plus, ils piquent les sacs à main. Tiens ? Rien que d’y penser, je mouille !
Vendredi 9 Juin
Je vais passer chez Pépé ! Pépé, c’est mon grand-père maternel, donc le père de ma mère. Je vous ai, je crois, parlé de ma mère (qui, à 40 ans, est encore une femme superbe). Ma mère est fâchée avec son propre père depuis qu’elle a surpris ce dernier en train d’enculer son mari (donc mon père, vous suivez ?) Ce sont des choses qui ne se font pas. La sodomie est chez la femme un plaisir exquis, c’est le dessert de l’acte, et même si ça fait mal, quel plaisir de voir cette douleur se transcender en plaisir (au fait, j’ai encore mal au cul suite à mes conneries d’hier) ! Tandis que, chez l’homme, la sodomie est un avilissement honteux.
Mais j’aime bien mon pépé ! Il est encore bel homme et n’a que 56 ans.
Il m’énerve, il ne veut pas me donner d’argent, et voilà qu’il se met à avoir des principes !
Il devient cramoisi.
Le pépé sort alors son énorme gland et s’avance vers moi. Je recule !
Il va chercher quelques billets.
En sortant, je me demandais ce que cet acte avec ce vieux dégoûtant m’apportait de plus ! Mais je me disais que l’essentiel était de l’avoir fait, de pouvoir me dire que je l’avais fait et de pouvoir écrire que je l’avais fait.
Ce week-end, je me repose, lundi j’ai rendez-vous chez Sonia, car je veux absolument essayer Kiki. Kiki, c’est son doberman !