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n° 00973Fiche technique20265 caractères20265
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Temps de lecture estimé : 14 mn
18/05/23
corrigé 18/05/23
Résumé:  Découverte de l'amour, de la douceur et du corps d'une femme dans de tendres moments de plaisirs.
Critères:  fh amour volupté intermast cunnilingu pénétratio tutu
Auteur : Valentin      
Tendresse et douceur du premier amour

J’adresse ce petit fantasme à chaque lectrice, car ma timidité ne m’ayant jamais permis d’approcher une femme, ce n’est hélas, à 35 ans, toujours qu’un fantasme. Je ne désespère pas, et si une gentille personne veut bien m’aider à franchir le pas…



Avez-vous déjà connu la douceur d’un chaton, être d’une douceur sans pareil au poil si long, posé sur votre torse un soir d’été, allongé sur un lit ? Quel plaisir d’avoir cette petite boule de poil qui saute et bouge sur chaque partie de son corps, petite boule de poil que tu tiens dans ta main et qui ronronne déjà quand tu le poses sur ton ventre, communiquant à ton corps ses vibrations et finissant par s’endormir doucement.


C’est un petit moment très intense de bonheur, crois-moi, et si un jour tu es dans la même situation, avec cette petite boule blottie sur ton ventre, sa tête posée sur la courbe d’un sein, je ne pourrais m’empêcher de comparer la douceur de ta peau au duvet de cet amour endormi…


Lentement, j’effleurerais son long duvet, je caresserais en même temps la peau satinée de ton ventre si doux, tes yeux se fermant lentement, et tu commencerais à ronronner comme le petit minou s’étirant de tout son long et ronronnant comme toi pour recevoir au maximum mes câlins.


Remontant son ventre, remontant le tien jusqu’à son cou, le long de sa tête et de la courbure de ton sein, arrivant au sommet de la pointe de ses oreilles qui frôleraient la pointe de ton sein, imperceptiblement je passerais d’une pointe à l’autre. Ton ronronnement et ton souffle deviendraient plus profonds lorsque je redescendrais cette courbe de velours où dominerait ce petit fruit rouge que de lents bisous viendraient faire vibrer.


La tête du minou tout proche, je l’entendrais ronronner, je sentirais sa minuscule patte venant me toucher la joue comme pour me supplier de ne pas l’oublier, alors, couvrant ton sein de baisers après avoir martyrisé sa pointe avec mes dents, ma langue et mes lèvres, ma bouche s’aventurerait lentement le long de ton ventre. Mon nez te massant une ligne continue entre tes seins et ton nombril, tes frissons me demanderaient de continuer, mais ma bouche sauterait sur le ventre de la petite boule de poil, redoublant son plaisir de partager le nôtre. Laquelle ronronnerait le plus ? Laquelle attendrait le plus mes caresses et mes bisous ?


Tes gémissements me demanderaient de revenir sur ton corps. Je caresserais cet amour de duvet, descendant son ventre, allant jusqu’au bout pour terminer par sa petite queue, à cet instant ma main caresserait presque entièrement ton ventre. Malgré la lenteur avec laquelle ma main avancerait, je ne pourrais m’arrêter à la fin de la queue du chat et, emporté par mon élan, j’effleurerais ta magnifique culotte de coton blanc sous laquelle dormirait un autre duvet, ce maigre écrin protégeant une fleur d’amour si délicate et si fragile.


Insensiblement, tu écarterais les cuisses, me laissant deviner la forme exacte de ce fruit défendu, mon doigt effleurerait alors ce sillon et sentirait la chaleur se dégager de ce petit volcan ne demandant qu’à entrer en éruption. Une petite tache humide en bas de ce mont, sur le délicat tissu blanc, trahirait une lente maturation de ce fruit.


Je ne pourrais m’empêcher de venir faire de longs bisous tendres sur ton frêle rempart blanc, à l’endroit où, je suppose, se cacherait tout près de mes lèvres ta petite perle d’amour, ton petit bouton de rose, si proche de ma langue, qui déclencherait un torrent de désirs, qui déclencherait un volcan de plaisir. Tes jambes s’ouvriraient, me permettant d’embrasser l’intérieur de tes cuisses si douces, si chaudes, de descendre vers tes genoux sensibles, jusqu’aux pieds que je masserais également pour te détendre et pour ton plaisir, notre plaisir. Je viendrais vers ta bouche t’offrir mes lèvres pour un long baiser d’amour, un long baiser d’amour pour ton corps.


Dans notre long baiser, le doux minou viendrait se coucher près de nos têtes sur ton oreiller.


Je voudrais continuer le massage de ton corps de rêve, tu te retournerais sur le ventre. Ta petite culotte ne cacherait rien de la forme charnue de tes fesses à croquer. Je commencerais par masser la plante de tes pieds, prenant de mes deux mains chacun d’eux pour leur procurer de douces vibrations qui remonteraient tout le long de ton corps. De longs bisous, et de légers ronds avec la pointe de ma langue rendraient tes pieds frétillants et désireux d’encore plus de plaisir. Mes doigts effleureraient le dessin de tes mollets d’une douceur incomparable. Je chatouillerais le creux de tes genoux par de petits bisous furtifs et, lentement, j’embrasserais et caresserais tes cuisses satinées jusqu’à tes fesses sous leur écrin blanc, les pétrissant, les embrassant.

Tes cuisses s’ouvriraient imperceptiblement pour que je sois tenté par une aventure, mais ce serait ton dos, siège de tous les frissons, qui m’intéresserait à ce moment. Je remonterais le long de ta colonne vertébrale et sur tes côtes pour mêler les chatouilles à ton excitation et finir sur tes épaules, leur faisant subir un petit supplice de mes doigts, en profondeur dans ta chair, redescendant le long de tes bras avec de profonds baisers jusqu’au bout de tes ongles et de tes doigts de fée. Mes pouces remonteraient très lentement ton cou pour se perdre dans tes cheveux, que je masserais langoureusement, toujours de mes pouces, d’un va-et-vient sur ta nuque. Tu frissonnerais de tout ton corps.


Complètement offerte, tu te retournerais, proposant à mes mains ton doux visage lumineux du désir qui monterait lentement du plus profond de ton corps. Tes yeux se fermeraient sous le frôlement de mes doigts, les paumes de mes mains, sous ton menton, remonteraient sur tes joues pour se réunir sur ton front et redescendraient pour ton bien-être que je devinerais. Quelques bisous dans le creux de tes omoplates feraient vibrer ta peau sous mes lèvres, puis je rôderais longuement autour de ta poitrine en t’entendant languir d’impatience, car tes seins durcis et ton ventre brûlant réclameraient mes petites mains. Ma bouche ne serait pas de trop pour aider mes mains à satisfaire l’appétit de caresses de tes seins. M’attardant longuement sur tes tétons de braise qui trahiraient ton plaisir sans cesse grandissant, tes gémissements seraient toujours plus bruyants, et ton souffle, toujours plus court. Couvrant ton corps brûlant de baisers furtifs encore et encore, mes mains frôlant ta peau, ton corps serait à l’écoute de son plaisir.


Je m’attarderais avec tendresse sur ton ventre, puis appuierais de plus en plus fort pour que le désir pétille encore plus en son fond. Tu me ferais un petit sourire comme pour me dire d’aller plus loin, et j’approcherais mes mains fébriles sur les bords de ta si belle petite culotte, commençant lentement à descendre ce dernier écrin protecteur entre ton trésor d’amour et mon désir brûlant. J’apercevrais la naissance de ton duvet, tu soulèverais tes fesses et écarterais un peu tes cuisses pour m’encourager dans la découverte de ta nudité totale, dans la découverte de ton intimité la plus profonde.

Je ferais alors glisser la dentelle sous tes fesses, sans oublier de les frôler au passage. Comment une peau pourrait-elle être aussi douce ? Mes doigts découvriraient le duvet de ton jardin secret, le tissu continuerait de descendre pour découvrir le fruit de tous mes désirs, ton petit abricot d’amour dévoilé devant mes yeux. Ton bassin soulevé me ferait admirer sa courbe, sa peau si fine.

Le frêle tissu continuerait sa descente, je le ferais glisser sur le velouté de ta peau satinée le long de tes cuisses, le long de tes jambes. Je ne pourrais m’empêcher de respirer ton odeur, de m’imprégner de ton intimité, et tu écarterais doucement les cuisses pour m’offrir ton trésor secret.


Je m’approcherais lentement, émerveillé devant la beauté de tes lèvres fermées comme le serait un enfant devant un jouet qu’il n’aurait pas encore le droit de toucher. J’effleurerais très lentement de mon index ce sillon, deux gouttes de ton liquide d’amour étincelleraient dans ta fente, mon doigt les récupérerait pour les étaler sur tes lèvres d’amour. Je tapoterais alors ton écrin avec la pointe de mes doigts et chaque coup te ferait réagir, mon action s’amplifiant pour faire vibrer chaque muscle de ton petit corps tendu.


Remplaçant mes doigts par ma langue, je glisserais sur la peau lisse, toujours plus humide, toujours plus odorante. Je sentirais ton ventre frissonner à travers tes lèvres toujours fermées, mais lentement la cage s’ouvrirait, les pétales de ta fleur d’amour s’entrouvriraient sans l’aide de ma langue, seulement par ton désir intense. Le bout de ma langue s’engouffrerait dans ce petit canyon de dentelle de peau. Lentement, ton papillon ouvrirait ses ailes, me laissant apercevoir au sommet ta petite perle d’amour, ton petit clitoris dans son écrin de soie rose proche de ton duvet enivrant attirant mes mains.


Mes doigts se perdraient dans tes poils si doux, je verrais ton corps vibrer sous tes mains qui caresseraient ton ventre à la peau de bébé, tes mains si sensuelles parcourant la courbe de tes seins, symbole si envoûtant de féminité, enserrant tes tétons entre tes doigts si fins pour les faire durcir et gonfler encore plus si possible. Tes yeux fermés et ta tête penchée en arrière m’ordonneraient d’aller toujours plus loin pour ton plaisir et le plaisir de voir lentement grandir la jouissance qui bientôt envahirait ton corps.


Lentement, ma langue un peu plus pressante entrouvrirait toujours plus ton doux nid d’amour, ton petit oiseau ne cherchant que la chaleur et la douceur serait comblé. Tu écarterais encore plus tes cuisses de satin pour me laisser t’offrir avec ma bouche un baiser sur les lèvres humides de ta vulve si chaude, exactement comme si c’était ta bouche.


Des deux mains, je desserrerais l’étau pour découvrir ton petit bouton de rose que j’admirerais, je l’embrasserais et le titillerais du bout de la langue. Je te verrais toujours caresser ton corps et t’attarder sur tes seins, mes doigts dégageraient lentement ton bouton, ma langue tournerait tout autour, tendrement, puis, l’écrasant entre mon index et le pouce, je commencerais à faire tourner et à branler ta minuscule perle d’amour.


Tes lèvres seraient alors grandes ouvertes, ma bouche et ma langue récupéreraient ton jus qui coulerait de ta fontaine d’amour et ma bouche retournerait inonder ton clitoris qui ne cesserait de grandir, car je l’aspirerais violemment, je l’aspirerais tout entier, ma langue danserait avec lui, mes dents le serrant avec précaution, le pressant, faisant danser ton corps vers une issue que tu connais bien. Je partirais à la découverte de ta fleur grande ouverte sécrétant son miel pour que ma langue butineuse vienne récolter ce liquide si précieux, je le lécherais avec frénésie comme s’il allait venir à manquer.


Pendant ce temps, j’introduirais discrètement un doigt, puis deux dans ton vagin, et commencerais un va-et-vient irrégulier, tournoyant et allant chercher le moindre recoin n’ayant pas eu sa dose de plaisir. J’enfoncerais encore et encore mes doigts dans ton écrin chaud, doux et humide, puis ma langue les remplacerait pour tourner et entrer le plus profondément possible dans ton ventre si doux. Je sentirais alors ton plaisir monter dangereusement, mon pouce et mon index viendraient presser le haut de tes lèvres pour faire jaillir ton bouton de rose, me permettant de revenir l’aspirer une dernière fois avant ce moment magique.


Ton ventre exploserait, mon cœur, tu jouirais dans un souffle si profond, me pressant la tête avec tes mains raidies par la violence de ton orgasme, ne contrôlant plus ton corps. Je boirais ton élixir d’amour avec un délice tendre. J’ouvrirais tes lèvres complètement inondées pour enfoncer deux doigts dans ton vagin, ton orgasme serait violent, géant de plaisirs et de spasmes, ton corps cambré et durci, mes doigts pris au piège de chaque vague de ta jouissance, la buvant sans en perdre une goutte.


Qu’il serait bon, mon amour, de te voir jouir, de te faire jouir et de participer activement à ton plaisir !

Qu’il serait bon, mon trésor, de te voir offerte à moi !


Dans mon excitation, j’intensifierais mes actions. Ton odeur m’enivrerait, le goût de ton miel serait un régal dont je ne pourrais plus me passer. Ma bouche, ma langue et mes doigts seraient enduits de ton jus de plaisir. Je sucerais mes doigts, les introduirais de nouveau dans ta chatte ardente et les passerais dans ton duvet. Ma main trempée remonterait ton ventre avant de faire briller tes seins tendus de liquide d’amour, liquide que je retournerais chercher plusieurs fois pour enduire tout ton duvet, ton ventre, de ton odeur enivrante et luisante.


J’arriverais jusqu’à ta bouche, ta langue viendrait à ma rencontre pour goûter aussi à ce jus de plaisir. La vision de ta langue tendue à la recherche de mes mains augmenterait le plaisir que j’aurais à te faire languir et jouir… je ne me lasserais pas de t’aimer, de regarder ton sourire et tes yeux mi-clos, d’entendre tes gémissements. Oui, je te ferais l’amour et adorerais ça. Ton écrin ruissellerait, tu jouirais, tu jouirais, tu coulerais encore et toujours, mes doigts toujours plus curieux au fond de ta grotte, tu n’arrêterais toujours pas de jouir. Je te représenterais mes doigts pleins de ton jus et tu les avalerais, tu les sucerais comme s’ils représentaient ma verge tendue. Lentement, tu reprendrais conscience et tes bras m’entraîneraient vers ton sourire pour un baisé plein de tendresse et de chaleur. Mon ange, mon cœur, mon trésor, tu m’embrasserais avec une telle passion que mon cœur pulserait de plus en plus vite à chaque instant. Dans un murmure, dans un souffle, tu me demanderais de venir au fond de toi pour partager la chaleur de ton ventre, pour goûter la douceur de ton puits, pour envahir ta grotte d’amour avant de mélanger nos élixirs à travers un violent orgasme qui nous envahirait.


Lentement, tu me ferais entrer en toi, n’espérant plus cet instant magique ta grotte d’amour serait brûlante. Je resterais immobile au fond de toi, profitant pleinement du bonheur de t’aimer, tes cuisses enserrant mes hanches, tes mollets pressant mes reins et mes fesses pour que je m’enfonce encore plus profondément, mon ange. Chaque partie de nos corps serait en contact maximum, tes bras m’entoureraient si tendrement et si fortement, ton baiser profond ferait danser nos langues et ferait danser nos corps dans un ballet d’amour qui nous conduirait à une jouissance commune dans de torrides gémissements.

Le rêve, le plaisir total nous secouerait de nos spasmes dans une jouissance profonde et si intense. Tu serais belle, tu serais magnifique, mon cœur, en jouissant, ton sourire envahissant ton visage d’ange. Épuisé, je resterais collé contre ton corps, t’embrassant tendrement. Tes mains n’étant pas assez nombreuses, tes jambes continueraient à me serrer contre ton corps, dans ton corps. Tu voudrais profiter encore de notre plaisir en me plaquant contre toi et lentement on finirait par s’endormir dans de tendres baisers…


Le matin frapperait lentement aux volets, ce serait une chaude matinée d’été. Nous viendrions de terminer une nuit si douce, nos corps enlacés, nos mains soudées et nos baisers si intenses.

Les volets entrebâillés laisseraient entrer un rayon de soleil doré dans la chambre. Toi aussi, tu serais mon rayon de soleil doré. Ton corps étendu, ta peau bronzée douce comme de la soie, tes seins provocants, ton duvet m’appelant je commencerais à caresser ton corps doucement, l’effleurant, le réveillant de frissons par de doux baisers dont je le couvrirais. Tes cuisses déjà offertes et ouvertes proposeraient sans le savoir la vision de tes lèvres intimes à mon regard et à mon imagination. Les petits bonbons au sommet de tes seins appelleraient ma bouche qui ne tarderait pas à leur offrir une érection matinale qui nous exciterait déjà fortement.


Tu sourirais, une joie profonde se dégagerait de ton visage. Je caresserais ton corps lentement jusqu’à ta fente, passant légèrement ma langue sur toute sa longueur en faisant attention de ne pas l’ouvrir, puis lentement ma langue écarterait tes lèvres de soie. Tu écarterais encore plus tes jambes pour me laisser caresser ton minou si enivrant, ma bouche pressant sur tes lèvres. Tournant ma langue à l’intérieur, jouant avec ta petite « langue », il ne t’en faudrait pas plus pour que tu appuies ma tête sur ton fruit d’amour nu qui se mettrait à couler abondamment de ton jus précieux.

Ta perle rose serait complètement durcie et je continuerais à la titiller avec le bout de ma langue, puis je la sucerais passionnément avec Amour. J’introduirais ma langue dans ton puits d’amour, tu serais déjà si chaude et si mouillée. Il serait bon, mon amour, de boire ton miel pendant que tu ne pourrais plus retenir plus longtemps un orgasme tendre, plaisir absolu de notre douceur et du plaisir d’être ensemble.


Les cigales berceraient nos têtes pour un réveil en douceur. Après un long moment de regards complices et de bisous si tendres, tu me ferais à ton tour sursauter en faisant frissonner toute ma peau avec ta langue. Avec cette chaleur, on serait déjà trempés. Il y aurait une magnifique petite salle de bain dans la chambre avec une magnifique douche à jets multiples. Tu partirais sous la douche pour te rafraîchir un peu, je te suivrais discrètement pour te surprendre à te caresser lentement les seins frappés par deux jets habilement dirigés, mais d’autres le seraient encore mieux. Un jet placé assez bas et dirigé vers le haut se fracasserait contre ton duvet, et sûrement contre ta perle d’amour, je devinerais tes lèvres s’ouvrir sous la pression.

Regardant ce spectacle divinement érotique, je te rejoindrais et me collerais contre ton dos, ma queue écrasée contre la raie de tes fesses, mes mains remplaçant le jet sur tes petites lèvres pour masser avec délicatesse ton petit bouton de plaisir. Je t’embrasserais dans le cou, partout sur tes joues, je remonterais mes deux mains, entourant mes bras sur ton ventre vers tes seins, ta gorge, ta bouche, tu mordrais mes doigts au moment où le jet te ferait partir dans une jouissance saccadée, tu serais belle, mon amour.


Suçant maintenant mes doigts, je récupérerais ton miel précieux pour goûter au plaisir de ton ventre. Tu retournerais la tête pour partager un baiser d’une douceur extrême et me plaquerais le dos contre les jets, ça me chatouillerait de partout, tu m’enduirais de gel douche et tu glisserais sur mon corps pour l’étaler, pour faire venir la mousse que tu répandrais partout à ton ventre et tes seins. Ton beau corps contre moi me ferait me tortiller sous tes attouchements, attendant que tu descendes lentement.

Tu te mettrais à genoux, caressant mon membre en douceur, insistant sur le rebord sensible de mon gland gonflé au maximum, ta langue remonterait le long de ma petite queue bien dure, la mordillant, l’aspirant pour que monte ma sève d’amour. Ta langue et tes dents me feraient fermer les yeux de plaisir, tu te redresserais pour m’embrasser, tes seins écrasés contre mon torse, ton ventre contre ma queue si douce et prête à exploser. Tu masserais ton ventre contre mon membre écrasé de plaisir dans un mouvement circulaire qui nous exciterait dangereusement, tu me soufflerais dans un murmure de plaisir de te faire l’amour ici. Tu glisserais une cuisse le long de la mienne, remontant ton genou pour ensuite me guider au fond de ton ventre. Ce serait délicieux, mon amour. Ton ventre chaud et inondé m’accueillerait délicatement dans de lents mouvements qui ne mettraient pas longtemps à nous faire jouir, enlacés à nous faire mal, dans un bonheur à peine descriptible, nous embrassant sans fin, désirant que cet instant dure toute une vie. Ta douceur infinie me ferait chavirer dans un bonheur sans fin.

On finirait de se laver et de se rincer sensuellement. On se sécherait à peine et on retournerait sur le lit, moi suçant et lapant ta peau pour finir de te sécher.


Il resterait un endroit où j’aurais beau m’acharner, ta petite fleur d’amour n’arrêterait jamais de couler de plaisir pour moi. Je te collerais tendrement contre mon corps pour sentir ton souffle et battre ton cœur contre le mien, des milliers de bisous viendraient te remercier pour le bonheur dans lequel je vivrais.