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n° 00984Fiche technique33812 caractères33812
Temps de lecture estimé : 21 mn
10/09/00
corrigé 12/11/10
Résumé:  Comment un homme amoureux d'une femme découvre des plaisirs insoupçonnés !
Critères:  hh fhh hbi couplus extracon collègues fépilée gymnastiqu douche intermast fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio sandwich hdanus hsodo init -inithh -couple+h
Auteur : Bubu.53            Envoi mini-message
Un désir peut en cacher un autre

Le sourire d’une femme peut me faire littéralement craquer. Évidemment, il ne faut pas que son corps soit difforme, mais si la silhouette n’est pas trop maigre, c’est des lèvres de cette personne que viendra ma première émotion. En second, les yeux !


Ne soyons pas hypocrite ; bien sûr que j’aurai fait le tour des formes de la personne, mais c’est sur ses yeux que je m’accrocherai, si le sourire est au rendez-vous.


C’est comme ça que Valérie est entrée dans mon cœur.


Nous nous connaissions depuis déjà des années pour le travail. Nos carrières nous ont amenés à être éloignés l’un de l’autre pendant longtemps mais là, depuis un an, nous sommes à nouveau proches l’un de l’autre. Son humeur joyeuse l’entraîne dans des éclats de rires incroyables qui m’émeuvent à chaque fois. De plus, elle a les yeux qui pétillent, du vrai champagne ! Je ne dirais pas qu’elle me porte à l’érection dès que je la vois, non, mais, je ressens cette émotion qui vous remplit le corps, qui vous noue délicieusement la gorge et vous plonge dans une gêne si exquise.


Comment la décrire ? Trente-cinq ans passés, mariée, deux enfants, cheveux châtains et yeux marron qui respirent la malice, taille moyenne, de bonnes joues qui se gonflent si joliment quand elle rit, des formes avantageuses comme je les aime, c’est à dire une poitrine généreuse mais pas plantureuse quand même, plantée sur un bassin solide (c’est vrai que la maigreur ne m’inspire pas du tout). Avec en prime, ce cadeau royal d’un sourire qui me secoue irrésistiblement. Mais elle ne sait rien de mes sentiments. Je n’en suis qu’au stade du fantasme que jusqu’à présent, je n’ai concrétisé que seul, avec ma main droite.


Ce matin, nous sommes assis côte à côte, dans un lieu qui nous est inhabituel : un laboratoire pharmaceutique. C’est samedi et je ne pensais pas que nous rencontrerions en pareil endroit. Nous sommes venus tous les deux pour une prise de sang ; je n’ai pas l’audace de lui demander pourquoi elle en a besoin. Pour moi, à quarante-cinq ans, il s’agit d’un petit contrôle pour voir si le taux de cholestérol n’a pas atteint la limite supérieure autorisée !


Après la bise et quelques banalités, le silence a repris la place qui est la sienne dans ce genre d’endroit. Je me sens tout chose, je la regarde mais je ne sais quoi dire. J’ai tellement de révélations à lui faire.


Nous ne sommes plus que tous les deux dans cette salle d’attente, la brave dame qui nous tenait compagnie vient d’être appelée par un homme en blouse blanche ; c’est comique de la voir aussitôt monopoliser son attention en lui racontant tous ses malheurs, et elle en a. Il n’en faut pas plus pour que Valérie se mette à rire. Ah ! Ce rire ! Moi, je ne ris pas ! Je bois littéralement ses yeux ! « Si seulement j’avais la force d’oser te dire tout ce que j’ai envie de te dire ! » pensai-je.


A-t-elle lu quelque chose dans mon regard ? En tout cas, elle m’interroge :



Je ne sais quoi lui dire. Elle me taquine :



C’est à mon tour de sourire ! (Un sourire bête, sûrement). Et je la fixe toujours des yeux. Délicatement, presque imperceptiblement, son visage rosit. Elle semble émue par mon attitude. Je devrais en profiter, mais je n’y arrive pas.


Voilà qu’on vient la chercher. Elle s’en va et avant de disparaître dans le couloir, elle se retourne et me sourit. Quel nigaud je suis ! Les occasions où nous sommes seuls sont plutôt rares. Pour une fois que j’en tenais une, je l’ai bêtement gâchée. Je suis plongé dans mes pensées quand une petite voix me fait sursauter :



Dix minutes plus tard, je ressors du laboratoire. Valérie est partie, naturellement.


Je gagne le parking, et, à ma surprise, je la vois qui s’affaire autour d’un véhicule.



Elle est très fâchée ; je la découvre femme en colère et se dégage de sa personne une autre beauté que je ne lui connaissais pas. La colère peut embellir ! ! Je la regarde, elle parle, je ne l’entends pas puisque je la regarde encore et toujours.



Je baisse les yeux ! Je n’ai pas voulu lui faire de peine et j’ai réussi du premier coup !

Maintenant, elle fond en larmes ! Je m’approche pour lui donner mon épaule mais elle se dégage.


Nous sommes l’un à côté de l’autre, elle, effondrée, et moi, planté comme un poireau ! Je la laisse récupérer.



Et là, les mots me viennent sans réfléchir :



Pour toute réponse, je me sens envahi par une vague de chaleur que la rougeur de mes joues doit dévoiler.

« Dommage », murmure-t-elle en montant dans sa voiture. Elle met le moteur en route. Je me sens tenaillé par cette peur de lui parler et pourtant, alors qu’elle démarre, je me précipite à sa portière. Elle stoppe, baisse la vitre et je lui avoue :



Ma franchise l’a surprise. Comme à son tour, elle ne sait quoi dire, elle appuie sur la pédale de l’accélérateur, et je vois la voiture me fuir. Son regard ne m’a laissé que bien peu d’espoir. Surprise, ça c’est sûr ; ravie, j’en doute. Son sourire légendaire avait disparu.


« Quel couillon ! Pourquoi suis-je allé lui dire que je la désirais ! »


Je parle tout seul, dans ce parking. Un couple qui passe près de moi et qui me jette un regard perplexe, me ramène au silence. Mais, quand même, qu’est-ce qui m’a pris ! Il fallait prendre son temps : lui offrir des fleurs ou un dîner ; enfin, la courtiser, la séduire et non se jeter sur elle comme un malappris.


Tout le week-end, ma femme me trouve bizarre.



En ce lundi matin, il n’y a pas dix minutes que je suis arrivé au travail, que je me retrouve en sa compagnie. Fort heureusement, nous ne sommes pas seuls. Elle a son sourire habituel. À la voir, il semblerait que je ne lui ai rien dit. Finalement, je suis presque déçu ! Je m’attendais à ce qu’elle me fasse la tête ou qu’elle me jette des regards qui ne soient pas aussi neutres. Non, rien de tout ça ! À croire que mes propos sont tombés dans les oubliettes de sa mémoire. Ça ne comptait pas !


La semaine se passe, tristement banale. Elle, elle est enjouée comme à son habitude, n’évitant même pas mon regard. Nous travaillons dans la joie de l’instant présent, et c’est tout. Vraiment, cette rencontre n’a été un temps fort que pour moi.


Vendredi, en fin de journée, Marc, un collègue propose à l’équipe (nous sommes sept à travailler sur le même projet), de se retrouver, le lendemain, pour un après-midi badminton.


Le lendemain, nous sommes quatre à franchir les portes du gymnase : Valérie qui est venue avec son mari, Marc et moi. Les autres ont déclaré forfait.

Je suis certes troublé d’être en compagnie de la femme de mes songes mais également inquiet par la présence de son époux. Et si elle lui avait parlé ? C’est un coup à me retrouver avec son poing dans la figure. Les premiers moments sont difficiles ; je n’ose parler, attendant une quelconque réaction de sa part. C’est tout le contraire qui se produit. Il est fort sympathique, ne dédaignant pas la plaisanterie. Nous jouons en tournantes (on change de partenaire à chaque partie de 15 points – règlement très personnel –).


Une bonne heure de jeu, pour un petit sportif comme moi, c’est plus que suffisant : je jette l’éponge et réclame une pause. Marc en profite pour s’esquiver (une visite à une amie, nous explique-t-il) et je m’assois pour regarder Valérie et Christophe (son mari) jouer. Honnêtement, mes yeux s’attardent beaucoup plus sur Valérie : ses seins qui bougent au moindre mouvement de bras ou au plus petit déplacement, son sourire qu’elle nous distille, ses délicieuses mimiques quand elle perd le point.


Le gymnase, petit à petit, se vide de ses occupants, et ils jouent toujours.



Nous regagnons les vestiaires, Christophe et moi, laissant Valérie sur notre droite.


À force de rester sans bouger, cette eau chaude me fait le plus grand bien. Christophe, aussi, a l’air d’apprécier : il sifflote (commentaire personnel : il joue mieux au badminton qu’il ne siffle). Nous ne risquons pas de nous faire du mal car nous sommes aux deux extrémités des sanitaires, et nous sommes les seuls occupants de ce lieu.


Je vais pour quitter la douche quand je le vois arriver près de moi. Il a le sourire aux lèvres :



Christophe me sent terriblement gêné ; son regard ne quitte pas mon visage. Je dois être rouge, sûrement ; ma nudité, soudainement, m’incommode. Que va-t-il faire ? Sa voix est restée aussi calme que s’il me parlait du beau temps, mais tout de même. Et je ne trouve rien à lui répondre. C’est alors qu’il m’interloque :



Il baisse les yeux sur mon sexe, et avant que je n’esquisse la plus petite réaction, il s’en saisit. Il faut dire qu’il est bien petit, mon scoubidou, l’eau n’ayant pas des effets bénéfiques sur moi. Le voilà qui commence à me masturber. Médusé, je ne bouge pas ! Sa main, encore pleine de savon, fait aller et venir la peau le long de mon sexe. Quand il décalotte mon gland, il pousse à l’extrême son action, faisant littéralement jaillir les veines de ma bite. Jamais je n’ai connu pareille caresse de la part d’un homme. Mon sexe anticipe mes pensées : il gonfle à vue d’œil pour atteindre rapidement la pleine érection.



Mais pourquoi est-ce que je lui raconte ça ? C’est vrai que cette caresse me trouble et que j’ai encore un peu peur de ce qu’il peut me faire, mais je ne suis pas obligé de lui raconter ma vie. Et je continue à répondre à ses questions :



Que c’est bon, cette caresse : il fait maintenant tourner sa main autour de mon sexe, tout en continuant les va-et-vient. Je me laisse porter par cette vague de félicité : mon corps domine mon esprit.


Maintenant, il me fixe dans les yeux. Il voit le plaisir qui monte en moi. Il me pousse contre le mur. L’eau ne coule plus mais je n’ai pas froid. Il passe alors sa main libre derrière mon cou. Il me caresse les cheveux. Je vois son visage s’approcher du mien. Jamais un homme ne m’a embrassé. Je n’imaginais pas pareille chose possible il y a seulement un quart d’heure, mais, j’ai envie de sa bouche. Depuis qu’il a commencé à me branler, je ne suis plus le même. À mon tour, j’approche mes lèvres et quand sa langue devient audacieuse, j’ouvre grand la bouche pour la recevoir. Il se colle contre moi. Il a lâché ma bite mais je connais une autre joie nouvelle pour moi : je sens son sexe battre contre le mien. Ses mains sont parties jouer sur mon corps.


Il parlait de timidité. Tout à l’heure, j’avais peur, mais maintenant certainement plus. Je copie ses gestes, reproduisant sur lui ce qu’il me fait : je place mes mains dans son dos, je glisse un doigt dans sa raie et lui chatouille l’entrée de son cul. Quand son doigt s’enfonce dans le mien, je l’imite. J’ai envie de jouir, jouir de lui, jouir d’un homme. Je ne m’en serais jamais cru capable, mais c’est comme ça. Nos langues n’en finissent pas de jouer à se lier, se vriller, s’enrouler, se démêler. Comme Valérie est loin, d’un seul coup ! Je vis l’instant présent, sans penser : je vis, je vibre, c’est tout ! Quand il reprend mon sexe en main, je saisis le sien. Là aussi, c’est ma première expérience. Mon sexe, je l’ai caressé tant de fois, mais là, c’est autre chose. L’émotion est très forte. L’extase n’est pas loin. C’est à ce moment qu’on entend Valérie :



Il me regarde. Nous sommes aussi malheureux l’un que l’autre. Nous devons nous rhabiller ! Je suis en plein brouillard ! Je ne réalise pas ce qui vient de m’arriver.

Avant de quitter les sanitaires, il me murmure :



Pour me convaincre définitivement, s’il en est besoin, il s’agenouille devant moi, baisse mon pantalon de survêtement, mon slip, et engouffre mon sexe dans sa bouche pour un autre baiser, attouchement qui a pour effet de me clouer sur place. Le temps de réagir, il a quitté la pièce. Je rajuste ma tenue et avant de sortir, jette un dernier regard sur ce lieu qui aura été le théâtre d’émotions que je ne soupçonnais pas. J’ai envie de me faire jouir, maintenant, mais la perspective de l’après-midi de demain me retient !


Ce midi, j’avais envie de Valérie ; maintenant, je désire Valérie et Christophe, Christophe et Valérie ! Une femme et un homme !


Que vais-je inventer auprès de ma femme pour la laisser seule cet après-midi. Je décide de lui mentir le moins possible (si on peut dire !) ! À onze heures, je lui annonce que je vais devoir appeler Christophe pour un problème de travail. Je gagne mon bureau, compose un numéro et entame une conversation fictive. Après avoir raccroché, je vais l’avertir de la nécessité d’aller chez Christophe pour boucler un dossier important. Elle est un peu surprise, déçue de devoir restée seule. Ouf ! C’est fait !


J’ai eu bien du mal à dormir la nuit dernière. Cette main sur mon sexe, cette langue dans ma bouche, cette queue dans ma main, c’était à un homme. Ma morale réprouve de tels agissements. Les pédés, les homos, beurk ! Et pourtant, j’ai vécu un merveilleux moment. Je me suis branlé deux fois en pensant que c’était Christophe qui le faisait. Deux fois, j’ai joui en pensant à cet homme. Honte, interdit, plaisir, obsédé, les mots n’ont pas manqué dans ma nuit. Les uns m’accablaient, les autres me défendaient. Finalement, au matin, c’est le plaisir qui avait gagné. La morale va devoir fermer les yeux. Je suis bien décidé à assouvir cette envie que j’ai, de connaître le plaisir physique avec un autre homme. Et Valérie ? Quand j’ai joui, dans mon fantasme, elle partageait nos jeux : le plaisir vécu avec l’un n’empêche pas l’envie de l’autre.


14 heures. Je range ma voiture sur la petite place qui jouxte la maison de Christophe et Valérie. Une dernière fois, je pense à ce qui va arriver. Je sais maintenant que je le veux. Je bande déjà alors que je sonne.


Il s’écarte pour me laisser entrer. Il est vêtu d’un peignoir bleu marine et affiche un regard qui me ravit.



Sa voix m’a troublé, de par son manque d’assurance. Je ne suis pas le seul à être ému !


Nous entrons dans la salle de bain. Il ôte son peignoir. Je me déshabille.

Il est là à deux pas de moi et il bande, il bande merveilleusement. Tout en enlevant mon slip, je fixe ce sexe qui, je le sais déjà, va me combler tout à l’heure. Je le rejoins dans la cabine de douche ; dans un premier temps, nous nous touchons le moins possible, nous enduisant de gel douche jusqu’à ce que, sous l’effet de l’eau, nous soyons comme huilés par cet « onguent ». Nos mains passent alors à l’action pendant que nos yeux se parlent (et se comprennent). Fous de désir, nous reprenons ce baiser que nous avions échangé au gymnase. Mais très vite, nos corps réclament plus que ces caresses. Vite rincés, nous nous essuyons l’un l’autre, en évitant de nous attarder sur nos sexes, comme si nous voulions garder cette étape pour le lit où nous allons nous ébattre.


Christophe me guide vers sa chambre. Il me demande de m’allonger, ce que je fais avec plaisir. Mon regard lui dit ce que je n’ose lui avouer : « Viens, prends-moi ! »


Il se couche près de moi, sur le côté. Il se penche sur moi. Je sens son sexe qui touche ma cuisse. Comme il est dur ! Je vois sa bouche s’entrouvrir, sa langue s’avancer vers moi. J’ouvre la bouche et ferme les yeux pour mieux être en communion avec lui. Sa main droite commence une douce caresse le long de mon corps. Il passe autour de mon sexe mais n’y touche pas. J’ai beau gémir à ce moment-là et me cambrer pour l’inviter à le faire mais il s’y refuse. Il est maintenant sur moi. Nos langues n’en finissent pas de jouer une danse endiablée et il fait frotter son membre contre le mien. Combien de temps cela dure ? Une éternité de plaisir, à coup sûr !


Il se lève et va chercher un petit pot qu’il pose sur le lit. Au lieu de me rejoindre, il reste au pied du lit. Je le vois s’accroupir et lentement monter vers mon sexe. Je repense au moment furtif connu au gymnase. Mon sexe est près d’éclater. Il sait ce que la bouche de Christophe va lui faire. Lentement, Christophe remonte jusqu’à ma bite qu’il engloutit. Quand sa bouche se dégage, c’est pour me fixer dans les yeux. Je n’ai pas besoin de lui dire que je raffole de ce qu’il me fait. Il entre, il sort, il me lèche, du gland jusqu’au sommet des couilles. Il se redresse légèrement, me sourit et place ses mains sous mes fesses. Il se penche à nouveau.


Sa langue explore un chemin que personne, pas même ma femme, n’a emprunté : il lèche mes couilles et se faufile entre mes fesses qu’il écarte le plus qu’il peut. Il est en train maintenant de jouer avec mon cul. Oui, sa langue tourne autour de mon trou, essaie de s’y introduire, revient sur ses pas pour mieux recommencer. Je gémis de plaisir et lui crie de continuer. Il revient près de moi, le pot à la main. Il l’ouvre et le pose sur le lit. Tout en me bécotant le visage, il me murmure :



Le bout des doigts couverts de crème, il glisse sa main entre mes cuisses que j’ai bien écartées. Sa langue a repris possession de ma bouche alors que ses doigts virevoltent autour de mon cul. Un doigt s’y introduit, suivi d’un deuxième. À mon regret, sa main quitte mon cul ; c’était si bon ! Non, elle revient, chargée d’une nouvelle couche de crème et le jeu continue jusqu’à ce que je lâche sa bouche pour lui avouer :



Il arrête aussitôt ses soins et me tend le pot :



Il est sur ses genoux, face à moi, qui me suis redressé. Tout en couvrant sa bite de crème, je ne la perds pas des yeux, comme si je cherchais déjà le plaisir qu’elle va me donner. Lui aussi est tout près de jouir car rapidement, il me demande d’arrêter. Je repose le pot de crème et m’allonge complètement. Comme j’allais me mettre sur le ventre, il me dit de rester sur le dos : il veut voir le plaisir monter en moi. Il vient se placer sur moi. Ma respiration devient plus difficile !


Des mains, j’écarte mes fesses, il place sa bite à l’entrée de mon cul. Il se penche maintenant en avant pour que nos visages se frôlent :



Je demande du regard sa bouche et dès que sa langue me fouille, j’appuie sur ses fesses pour que son pieu pénètre mon cul. Sans à-coups, il se glisse en moi, au plus profond de moi. Il ne bouge plus ; je sens sa chaleur se mêler à la mienne ; seuls, par instants, des petits coups de bite troublent merveilleusement mon attente. Nos yeux se cherchent, se trouvent et ne se quittent plus. Il vient de reculer, lentement, doucement, pour que je sente au plus fort de moi, ce morceau de chair. Mes mains sur ses fesses commencent à lui imprimer un rythme lent mais ininterrompu de va-et-vient.


Soudain, il se retire entièrement :



Il prend le coussin du fauteuil qui décore la pièce, se met à genoux dessus. Quand il me pénètre une seconde fois, le plaisir me semble encore plus fort : je retrouve une chaleur qui déjà me manquait. Sa main droite prend ma bite et réitère les caresses prodiguées auparavant. Mais de sentir en plus, son sexe aller et venir dans mon cul qui jase de plaisir, je ne peux me retenir longtemps. Christophe me voit commencer à me tortiller. Il pressent l’explosion ; son regard change, ses yeux semblent vouloir sortir de leur orbite. Ensemble, nous crions notre bonheur. Mon jus gicle sur mon ventre pendant que le sien m’inonde le cul. Ai-je déjà connu jouissance aussi longue ? Il sort de mon cul et se jette littéralement sur moi, à la recherche de mes lèvres. Nous nous embrassons longuement collés l’un à l’autre. Nous ne parlons pas. Nos langues, nos mains sont plus expertes.


Christophe m’entraîne à nouveau dans la salle de bain pour une nouvelle douche, mais sans caresses. Puis, nous retournons sur le lit. Nous sommes allongés, côte à côte, ivres de bonheur.


Christophe se tourne vers moi et me glisse à l’oreille :



Quelques jours auparavant, je ne me serais pas cru capable d’une pareille chose, mais, là, je n’hésite pas l’ombre d’une seconde. Je me retourne et me retrouve la tête à la hauteur de son sexe, mes pieds proches de sa tête. Je caresse d’abord lentement presque religieusement sa bite. Rien que de penser au plaisir qu’elle m’a donné, mon membre se redresse. Pour m’achever, Christophe vient de me saisir les jambes pour me positionner sur lui. Un 69, voilà ce que je suis en train de faire avec un homme, et pour mon plus grand plaisir !


Lequel jouit le premier ? Peu importe, mais il ne faut pas bien longtemps pour que nos bouches se retrouvent pleines du foutre de l’autre.


Cette ci, nous sommes K.O.


Un nouveau passage sous la douche et je me rhabille. Avec bien du mal, car Christophe, sans arrêt, essaie de placer ses mains dans mon slip ou sa langue dans ma bouche.

"



Il est près de 17 heures quand je reprends ma voiture. Je sais que ma vie, désormais, ne sera plus la même, mais je ne regrette rien. Je n’ai pas osé le dire à Christophe, mais plutôt que ses amis, c’est Valérie que je voudrais bien voir participer à nos ébats.


Le samedi suivant, Christophe appelle à la maison. C’est ma femme qui lui répond, vu que je suis parti remplir le frigo au supermarché du coin. À mon retour, je vois à sa tête que ça ne va pas :



Je ne réponds pas. Si ma tendre épouse pouvait imaginer ce que je vais aller faire cet après-midi avec Christophe !


Christophe et moi, retrouvons les émotions vécues lors de ma première visite. L’ordre est seulement différent. Nous commençons nos ébats par un 69 jusqu’à ce que jouissance s’en suive.


Nous n’en arrêtons pas pour autant nos jeux. Après de longues caresses, Christophe s’enduit le sexe pour bien me montrer ce qui va m’arriver. Pour toute réponse, je lui souris et réclame ses lèvres qu’il me donne avec fougue. Il me demande de me mettre à quatre pattes sur le lit. Il ne faut pas longtemps pour que sa queue me remplisse le cul. Il me propose alors un nouveau jeu :



Amusé, j’accepte. C’est vrai que les yeux fermés, ça amplifie les sensations que je ressens. Je vois de l’intérieur, plus attentif au moindre geste, à la moindre odeur. Je m’attends à quelque chose de nouveau, mais je ne sais pas quoi ! Christophe, depuis un moment, conserve le même rythme, comme pour tromper ma vigilance ; je suis bien, le plaisir monte lentement, lentement ; soudain, je sens des lèvres se poser sur mon sexe.



Et c’est vrai que ça me plaît la présence d’une autre personne qui multiplie par deux les plaisirs qui me sont offerts…


La bouche se fait plus entreprenante : elle enserre désormais mon gland, cherche à aller plus loin mais aussitôt, y renonce pour se dégager presque entièrement, s’avance à nouveau pour emprisonner mon sexe puis fait à nouveau marche arrière. Le manège dure un bon moment, je sens la vague de plaisir prête à déferler quand, aussi soudainement que tout à l’heure, la bouche qui me suçait, me fuit.



Je me mets alors dans la position demandée, Christophe maintenant sa sodomie avec la même ardeur et la même lenteur. Il veut faire durer le plaisir.


Je sens une masse bouger sur le lit. Même sans remuer, je perçois un tissu (en fait, c’est un gros coussin) toucher mes cuisses. Une main, je crois reconnaître celle de Christophe, me branle deux ou trois fois avant de me glisser le sexe dans cette bouche inconnue que je retrouve avec infiniment de bonheur. La langue qui joue avec ma bite me semble plus fine que celle de Christophe, mais je ne peux en dire plus.

Les parfums que nous dégageons tous les trois accroissent leurs senteurs pour mon plus grand plaisir. Je signale à Christophe que je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps :



Et je me penche sur ce sexe que j’ai vu en imagination pendant qu’il me suçait, et c’est alors que je me rends compte que cette bite imaginée est une chatte rasée. Je me jette sur elle, ma langue buvant à pleines gorgées le jus qu’elle m’offre. Je ne peux voir à qui appartient cette vulve juteuse, mais je suis persuadé qu’elle appartient à Valérie, ma Valérie dont je rêve depuis si longtemps. Cette pensée décuple mon plaisir et immédiatement, je lui offre mon sperme au fond de sa bouche. Valérie se met à gémir si fortement que Christophe, follement excité, me lâche son foutre dans le cul.


Cette joute nous a épuisés. Valérie, car c’est bien elle, est entre nous deux. Nous vivons ce petit moment après l’amour où le silence et l’immobilité sont les seules réponses à ce que nous venons de vivre. Les mots n’apporteraient rien de plus.


C’est elle qui bouge la première. Elle se soulève, embrasse d’abord Christophe puis se tourne vers moi et me tend sa bouche que je m’empresse de saisir. J’en rêvais depuis si longtemps ! Elle se rallonge ensuite mais ne reste pas inactive. Elle prend nos sexes dans ses mains et il ne faut pas longtemps pour que Christophe et moi, nous soyons au garde-à-vous.


Elle se tourne vers Christophe et lui demande :



Par jeu, Christophe se lève alors, fait le tour du lit, s’agenouille devant ma bite qu’il enfourne. Je suis obligé de lui dire d’arrêter sinon je ne pourrais recevoir Valérie. Celle-ci s’installe sur moi. Elle commence par se frotter contre mon sexe puis demande à son homme de lui écarter les lèvres et de placer ma bite à l’entrée de son con. Sitôt dit, sitôt fait.


Valérie se penche sur moi, m’offrant sa langue tandis que ses seins dont j’ai tellement rêvé se collent à ma peau. Devinant mon envie de les caresser, elle se soulève légèrement pour que je les prenne dans mes mains. Christophe monte sur le lit. Je lâche les seins de Valérie pour ses fesses que j’écarte le plus largement possible. Je devine ce que Christophe va lui faire : lui lécher son joli petit cul comme il me l’a fait.


Un peu de crème, quelques roucoulades de Valérie, et elle pousse un cri. À travers son sexe, je sens celui de Christophe. Je ne peux plus guère bouger. Eux, par contre, se démènent. Christophe la défonce et Valérie lui répond par des déhanchements et de furieux coups de rein. Ils jouissent quasiment ensemble dans des gémissements que seule l’extase suprême peut provoquer. Il ne me faut pas longtemps pour les rejoindre !


Quand je repars de chez eux, je me retourne et regarde avec tendresse la maison où je viens de connaître des moments si forts, si inattendus et, je pense à ma femme ! Pourrait-elle se joindre à nous ? Est-ce souhaitable ?