n° 01034 | Fiche technique | 17680 caractères | 17680 3144 Temps de lecture estimé : 13 mn |
11/05/23 corrigé 11/05/23 |
Résumé: Florence et son mari sont allés à une soirée. Eliane et son mari se font attendre... Le mari de Florence parle avec un inconnu au bar. | ||||
Critères: fh ff extracon boitenuit voir exhib facial fellation cunnilingu préservati pénétratio | ||||
Auteur : Florence_Mirage (Florence) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Devoirs de vacances Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
La soirée avait commencé depuis une bonne heure déjà, et toujours pas d’Éliane en vue ni de son sinistre mari. Je m’inquiétais un peu, mais surtout m’ennuyais beaucoup. Mon mari avait décidé de faire la gueule n’ayant pas du tout apprécié le fait de l’avoir laissé tout seul cet après-midi pour aller faire les magasins avec la femme du « beauf ». Maintenant, pour se venger, il faisait le cow-boy au bar avec un autre ivrogne de service… moi qui m’étais faite toute belle avec ma nouvelle robe bleue moulante ! Je l’avais assortie à des dessous affriolants tout en dentelle fine, bleue elle aussi, qui se dessinait tout en relief sous le tissu de ma robe. Pour accompagner de mignons petits escarpins blancs et des ongles vernis de frais : ma coiffure de danseuse faite par Manu, le tout relevé d’un maquillage à peine plus accentué que d’habitude et arrosé d’un parfum aux senteurs magiques. Bref, tout à l’heure devant mon miroir je me trouvais très mignonne, voire carrément top sexy, je vous interdis de ne pas me croire, et tout ça pour faire banquette avec mon verre de champagne dans un coin du grand salon de réception, il n’en était pas question !
« On va voir ça mon bonhomme, si tu ne vas pas faire le premier pas ». J’ai posé mon verre et me suis dirigée vers la piste de danse, celle-ci était presque vide, juste quelques adolescentes. Seule adulte à danser, je me fis vite remarquer et comme je n’aimais pas ça, j’en rajoutais un maximum.
Mes mains suivirent les lignes de mon corps au rythme des regards de ces messieurs plutôt qu’à celui de la musique, puis je me suis levée, les bras très hauts en l’air dans une danse du ventre à ma façon, ce qui eut pour effet de faire remonter outrageusement ma robe sur mes cuisses. Je restai stoïque devant le regard de mon mari qui se faisait sévère, et l’achevai en ondulant du bassin, la robe maintenant au ras des fesses. C’était gagné, la jalousie l’avait travaillé au corps, il vint me chercher avec un sourire de convenance pour les spectateurs, sauvant l’honneur en prétendant vouloir me présenter à son compagnon de bar.
Ledit compagnon s’appelait Marc, plutôt mignon et d’une conversation agréable, célibataire de surcroît, mais c’est mon mec à moi qui m’intéressait pour le moment. Je n’aimais pas le voir faire la gueule, alors j’essayai de le dérider. Petits bisous par-ci, mains baladeuses par-là, mots gentils au creux de l’oreille, et très vite mon ours redevint mouton.
Je sentais Marc très réceptif à la façon dont j’avais ramené mon mari à de meilleurs sentiments à mon égard. De plus, un détail auquel je n’avais pas fait attention sur le moment, ils s’étaient assis sur des tabourets de bar fixés au sol, avec peu d’intervalles entre chacun. M’étant mise entre les deux, j’étais contre mon mari, mais entre les jambes de Marc tourné vers nous. Cela n’avait pas l’air de le gêner du tout ! J’ai commandé un Perrier tout en discutant avec l’un et l’autre, Marc nous parlait de sa région avec une verve qui pouvait faire penser à n’importe qui autour qu’il était à cent pour cent dans son sujet. N’importe qui, oui, mais pas à moi, j’avais toujours son genou côté bar contre mon bas-ventre et, nonchalamment, il avait mis sa main sur ce genou. Ce devait être un grand nerveux, car l’ensemble bougeait beaucoup !
Quand j’ai commencé à sentir un attouchement vers mon entrecuisse, j’eus un mouvement de recul, vite bloqué par son autre jambe. Mi-amusée mi-colère, je lui ai lancé un regard interrogateur auquel il répondit par un sourire. Gonflé, le mec, avec mon mari à côté ! Il fallait que je sorte de ce piège, mais au moment où j’allais faire volte-face vers la piste de danse, je sentis sa main venir se coller contre mon ventre. J’étais suffoquée par tant de culot, je le regardais, incrédule, il continuait tranquillement à parler sans que rien dans sa voix ni dans son regard ne trahisse son manège. Je pris sa main pour l’enlever, mais avec son genou il les coinça toutes les deux. Je regardai mon mari, mais celui-ci était complètement dans la discussion du beau parleur, à mille lieues de ce qui se passait sous son nez. Je sentis la main de Marc s’agiter bizarrement, des frissons me parcoururent le corps lorsque je compris.
Petit à petit, pli après pli, il remontait ma robe. Je sentis bientôt le contact de ses doigts sur le bas de mon ventre. La chair de poule m’envahit lorsque sa main vint se plaquer sur ma culotte, la sensation était très agréable. Tourné ainsi vers le comptoir, personne ne pouvait voir sa main sous ma robe et j’avais maintenant trop envie de le laisser faire. Sa main passa sous la dentelle et ses doigts vinrent se mélanger dans les poils de mon pubis, puis, plus grand-chose, la position ne lui permettait pas de descendre plus bas. Il avait beau se tordre, s’étirer, il ne pouvait aller plus loin sans se faire remarquer ; je m’amusais comme une folle, le regardant d’un air moqueur, ne faisant rien pour l’aider. Ses yeux me suppliaient de trouver une position, de me rapprocher, mais non, après tout, j’aimais cette sensation très agréable de ses doigts qui s’agitaient à quelques millimètres de mon clitoris.
De toute façon, Éliane arriva suivie de son mari, il y avait quelque chose de pas habituel chez eux : elle était tout sourire et lui aussi, mais avec un ton moins présomptueux qui tranchait avec son attitude habituelle.
Éliane me prit par le bras et m’amena m’asseoir un peu plus loin. Elle était tout excitée, son mari avait d’abord critiqué sa nouvelle coiffure, la trouvant trop jeune, mais petit à petit elle avait remarqué que son attitude changeait. Quand elle mit la robe sexy achetée ensemble, il devint même très amoureux. Leur retard de plus d’une heure s’expliquait, ils avaient fait l’amour avant ! Elle ne put s’empêcher de me décrire leurs ébats, il y avait si longtemps qu’il ne l’avait pas prise avec autant de fougue. Je la regardais, c’est vrai qu’elle avait changé, elle rayonnait, elle était tout simplement belle et heureuse. D’un côté, je me réjouissais d’en être un peu l’instigatrice, mais de l’autre la description de sa partie de jambe en l’air avait attisé le feu de mon ventre, allumé par Marc et sa main baladeuse. Quand on parle du loup, le voilà qui arrivait avec mon mari et celui d’Éliane, ils s’assirent avec nous, Marc en face de moi, un hasard ?
La discussion était tournée franche rigolade, mais je regardais Marc du coin de l’œil, il avait le regard sans arrêt braqué sur moi. Je lui lançai un regard interrogateur, auquel il répondit par un geste de ses mains sans équivoque, il voulait que j’écarte les jambes. Je lui souris en pensant qu’il n’était pas possible ce mec, mais je lui fis plaisir, écartant mes jambes de façon qu’il puisse voir ce qu’il n’avait que frôlé tout à l’heure. La vue de mes cuisses ouvertes sous ma petite robe et ma culotte ainsi dévoilée lui faisait un effet pas possible, plus que je ne l’aurais cru. Il parlait moins pour ne pas se trahir, car sa voix se faisait tremblotante ; je m’amusais discrètement à lui envoyer de petits bisous, à passer ma langue sur mes lèvres en le regardant, à laisser glisser mes mains sur mes cuisses jusque sous ma robe… pire, à resserrer mes jambes pour lui faire croire que le spectacle était fini avant de lui en remettre une couche ! Devant aller voir un ami, il finit par déclarer forfait en prenant congé de nous, je le regardais s’éloigner quand il se retourna me faisant signe de le rejoindre. Prétextant un problème tout naturel, je me dirigeais vers le fond de la salle quand je le vis près de la porte de secours qu’il ouvrit en me faisant signe de le suivre. À peine dehors, il se jeta sur moi, m’embrassant fougueusement, ses mains cherchant sous ma robe ce qui leur avait été refusé tout à l’heure.
Je me retrouvai vite la robe roulée sur le ventre, Marc m’enleva la culotte en se mettant à genoux devant moi. Me retrouver contre ce mur, la robe retroussée et les fesses à l’air avec tout ce monde à deux pas m’excitait au plus haut point. De plus, la lune brillait si fort qu’il ne faisait pas vraiment sombre et Marc, la tête au niveau de mon sexe, se délectait de sa vue. Je pris son visage de mes mains et l’amenai vers moi tout en écartant les jambes, il comprit et sa langue partit à la recherche de mon clitoris. Trop excitée, je ne pus empêcher un orgasme que Marc accompagna d’un mouvement de langue de plus en plus rapide un peu partout au creux de mon vagin, sur mes lèvres, et il me finit en mordillant mes lèvres inférieures, mon clitoris tout entier sortit de sa cachette. Il se leva ensuite, le visage brillant, et m’embrassa avec sur ses lèvres et sur sa langue le goût de mon sexe et de mon plaisir. Puis, fermement, de ses mains sur mes épaules, il me fit mettre à mon tour en position à genoux. Je descendis son pantalon et son slip en dessous des fesses et caressai d’une main ses testicules et de l’autre son sexe déjà prêt à exploser. Je comprenais qu’il voulait que je lui rende le plaisir qu’il m’avait si brillamment donné, mais je le sentais si proche de la jouissance que cela me faisait peur sans préservatif. Je commençai néanmoins une fellation, essayant de ne pas trop garder dans ma bouche son gland, sachant qu’il allait en sortir un geyser d’un instant à l’autre. Je préférai donc y aller de ma langue sur sa verge, ses testicules, frottant son gland sur mes joues, mes yeux, mon menton, en regardant fixement Marc avec un sourire et une attitude que je voulais la plus salope possible.
De petits coups de langue un peu secs sur son gland lui arrachèrent des grognements de plaisir ; je serrai fortement sa verge qui était tendue dans une formidable érection, avalant son gland, je suçai le tout, toujours sur le qui-vive de son éjaculation. Je compris vite, quand il commença à tendre tout son corps vers moi, à ses mains qui appuyèrent très fort sur ma tête, que le moment était proche de faire un repli stratégique. Je sentis dans ma main sa verge se tendre encore plus et je m’écartai légèrement tout en le branlant plus vite et plus fort, il eut une plainte et je sentis un liquide chaud sur mes yeux et mon nez. J’avais évité son sperme dans la bouche pour des raisons de sécurité normale, mais pas sur mon visage ! J’eus une moue qui le fit éclater de rire, puis il se pencha et avec un mouchoir se mit à me nettoyer doucement, me couvrant de baisers du côté propre de mon visage. Bon, cela ne suffisait pas… bonjour l’odeur ! Marc me prit par la main et m’entraîna vers les toilettes, là, avec douceur, il me lava le visage en me couvrant de bisous et recommença à avoir la main baladeuse. Des gens entrés et sortis nous regardaient nous bécoter ainsi contre un lavabo, le plaisir me faisait oublier la crainte de tomber sur une personne connue, et ce fut Éliane qui nous trouva, mon mari inquiet lui avait demandé d’aller voir ce que je faisais. Elle resta là un instant sans bouger à nous regarder nous embrasser, ne cessant de dire, mais sans grande conviction, que l’on était complètement fous. Marc lui fit signe de s’approcher, lorsqu’elle fut assez près, il passa sa main dans la fente de sa jupe. Éliane se raidit, eut un petit cri de réprobation, mais ne bougea pas. Je devinais la main de Marc s’agiter entre les cuisses d’Éliane qui, figée comme une statue, les bras le long du corps et les yeux fermés continuait à marmonner « ils sont fous, ils sont fous ».
Marc ouvrit une porte de côté qui donnait dans un réduit où les femmes de ménage rangeaient leurs affaires, il nous y introduisit, toutes les deux contre le mur, lui devant nous avec une main sous chacune de nos robes. Éliane y prenait vraiment du plaisir, elle m’avait pris la main et laissait entendre de petits cris tandis que Marc ne put s’empêcher de décrire à quel point elle mouillait, ses doigts n’avaient aucune peine à pénétrer dans le sexe de la belle. J’avais trop envie de m’en rendre compte par moi-même, je pris la place de Marc et fis tomber la robe d’Éliane, celle-ci me regarda avec de grands yeux étonnés, je la regardai un moment, immobile contre le mur en petits dessous et la robe en vrac à ses pieds. Je posai une main entre ses cuisses et remontai doucement, Éliane eut un petit tremblement, quant à Marc il trouvait la situation géniale et son sexe sortant de sa braguette en attestait.
À ne pas y croire, Le string d’Éliane était réellement trempé ; ma main passa sous le tissu et caressa tantôt les poils, tantôt les lèvres mouillées. Éliane était du genre passive, mais très réceptive, elle ne bougeait toujours pas, mais tout en m’avouant son désir depuis le début de notre rencontre dans un mignon tremblement de voix, elle m’arrosait la main de son plaisir. Marc n’en pouvait plus, je l’avais vu enfiler un préservatif et je compris son désir quand je le sentis derrière moi. Je me cambrai au maximum et laissai sa verge me pénétrer tandis que deux de mes doigts fouillaient l’intérieur du vagin d’Éliane. Celle-ci bougea enfin, mais juste pour me relever encore plus la robe et profiter du spectacle. Marc n’avait jamais vu deux femmes ensemble et ne tint pas le choc, il ne fit que quelques allers-retours de son sexe dans le mien avant de jouir, tout penaud, il s’excusa et préféra nous laisser.
À peine eut-il passé la porte que la douce et soumise Éliane se transforma et se jeta sur moi pour m’embrasser ; elle n’avait jamais fait l’amour avec une femme, elle me donna pourtant mille plaisirs. J’étais restée debout pendant qu’elle, à genoux, sa tête entre mes cuisses, agitait sa bouche sur mon sexe, embrassant mes lèvres, mordillant mon clitoris, passant sa langue de mon vagin à mon anus où elle l’enfonçait avec un plaisir évident. De temps à autre, elle arrêtait et je la voyais alors apparaître, un large sourire sur son minois tout mouillé jusqu’au bout du nez. Lorsque je jouis, au lieu d’arrêter, Éliane accentua la cadence de sa bouche sur et dans mon sexe, et d’un doigt dans mon anus enfoncé jusqu’à la garde que je sentais délicieusement bouger à l’intérieur. Je devenais folle, la suppliant d’arrêter. Peine perdue, au contraire, elle en rajoutait encore aspirant mon clitoris entre ses lèvres, cela devenait un supplice, mes jambes me lâchaient, j’étais à moitié assise, mes mains crispées sur sa tête que je voulais décoller de mon sexe, je tremblais de tout mon corps. Puis je sentis le feu dans mon ventre, mon corps se tétanisa vers cette bouche qui me martyrisait et, au bord de l’évanouissement, je sentis la tempête dans ma tête, je ne pouvais m’empêcher de gémir et de lui en demander encore et encore. Ce coup-ci, je tombai assise, jambes écartées, soumise aux caprices de celle que je n’aurais jamais imaginé si cochonne ; elle me masturba à m’en faire mourir, de ses deux mains dont trois doigts allaient et venaient dans mon vagin tandis que maintenant deux s’agitaient dans mon si petit et serré trou du cul. Je criai mon plaisir, un feu brûlant sortant de tous mes orifices, et tout mon corps d’un seul coup devint lourd, j’étais couchée par terre sans force, ne sachant plus vraiment ce qui m’était arrivé.
Éliane s’approcha, me posa un baiser sur le front et me dit d’une voie douce quelle était heureuse de m’avoir donné du plaisir, que c’était un cadeau en remerciement de ce que j’avais fait pour elle et pour son couple. Toujours assise par terre, et encore dans un nuage, je vis avec amusement Éliane se rhabiller et mettre ma culotte. Tout en riant je le lui fis remarquer, elle me regarda étonnée, me demandant si j’étais sûre, puis son regard se fit malicieux et elle me tendit son string noir… souvenir, souvenir. Nous rejoignîmes nos hommes qui avaient l’air de s’entendre beaucoup mieux et ne nous posèrent pas trop de questions, croyant sur parole notre histoire de discussion sans fin avec une autre copine, puis la soirée se continua, disons, plus calmement.
Au petit matin (aux alentours de midi et demi), je fus réveillée par un délicieux bisou de mon mari accompagné d’un petit-déjeuner. Je me la jouais star et préférais déjeuner sur la belle terrasse arrosée de soleil de notre chambre. Mon mari s’installa sur un transat et me regarda déjeuner, sourire aux lèvres et très attentif. Il faut dire que je n’avais pas pris la peine de m’habiller et étais tranquille en nuisette sans culotte. Alors, allongé sur son transat, il avait une vue idéale sous la table. Il me demanda d’écarter les jambes, ce que je fis de bonne grâce, Je ris de le voir s’exciter ainsi, son bermuda commençait à avoir un drôle de pli sur le devant. Je le trouvais plutôt en forme après cette nuit si courte. Je poussai un cri à effrayer tout l’hôtel lorsqu’il se jeta sous la table et que je sentis son visage entre mes cuisses et sa langue qui aussitôt se frayait un chemin au creux de mon sexe. Sensation magnifique, j’étais là à continuer de déjeuner sur ce grand balcon à la vue si magnifique sur le parc et la plage à peine plus loin, avec tous ces gens qui passaient un étage plus bas et, invisible pour le reste du monde, mon mari qui me faisait un cunni d’enfer. Je m’amusais à dire bonjour à des gens comme ça au hasard, juste pour avoir le plaisir de leur parler en même temps que mon mari s’agitait entre mes cuisses, plaisir subtil !
Bien sûr, je ne restais pas de glace longtemps et nous finîmes évidemment tous les deux sur le transat à faire l’amour avec le frisson d’être surpris par un voisin d’un moment à l’autre. Le pire fut de s’endormir ainsi, nus sur le transat avec pour seul abri un parasol que nous avions déployé au-dessus de nous. Au réveil, suprême effort, nous allâmes nous allonger sur la plage !
Oui, mais voilà, ceux qui ont suivi ce feuilleton de vacances auront remarqué un léger oubli : mon rancart avec ma jolie black du magasin de vêtements…