Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 01080Fiche technique26527 caractères26527
Temps de lecture estimé : 15 mn
27/09/00
corrigé 19/07/07
Résumé:  Fabienne visite Disneyland, accompagnée de son mari et de ses enfants... Soudain Mickey lui fait signe d'approcher
Critères:  grp fsoumise contrainte cérébral hmast zoo conte humour -humour -fantastiq -sm
Auteur : Fumeur délirant  (J'aurais pas dû fumer...tout en relisant mes vieux albums...)
Les délires d'un amateur de BD (Bande Dessinée,pas Bondage!)



PREMIÈRE PARTIE : HORREUR À DISNEYLAND-PARIS




Se faufilant à travers la cohue de Disneyland-Paris, Fabienne essayait de rejoindre ses enfants. Pendant que Roland, son mari, se dévouait pour faire la queue afin d’acheter des billets pour le spectacle du soir, la jeune femme et ses enfants étaient allés faire un tour dans la rue principale. Apercevant Minnie à l’extrémité de l’avenue, Kevin, Jessica et Océane s’étaient aussitôt élancés vers elle. Les suivant comme elle pouvait, leur mère vit la femme-souris tourner à l’extrémité de la rue, entraînant ses jeunes fans à sa suite. Lorsque Fabienne arriva à son tour au coin, le groupe avait disparu.

La porte de la maisonnette la plus proche s’ouvrit, et un Mickey sembla faire signe d’entrer à la jeune femme. Fabienne le suivit machinalement, se disant que si Mickey était là, Minnie ne devait pas être loin.


À sa grande surprise, elle se rendit compte qu’elle était seule dans la baraque, à l’exception de Mickey et de son inséparable compagnon, le chien Dingo. Elle entendit derrière elle que l’on fermait la porte au verrou. Surprise, elle se retourna et se sentit empoignée, ses bras ramenés de force dans son dos.



L’une des énormes chaussures de l’homme-chien faucha les jambes de Fabienne, lui faisant perdre l’équilibre. Elle tomba à la renverse ; Dingo s’accroupit auprès d’elle et appuya sur ses épaules, pour la contraindre à rester allongée sur le dos.



L’éternel sourire de Mickey se transforma en une grimace sarcastique. Avec terreur, Fabienne se rendit compte qu’aucun masque en polyester n’aurait pu produire cet effet. L’homme-souris ôta ses gants blancs, révélant, non pas des mains humaines, mais des pattes munies de petites griffes… des pattes de souris, mais d’une souris à quatre doigts et à taille humaine.


Fabienne hurla. En réponse, un haut-parleur se mit soudain à diffuser, à plein régime, la musique du dernier dessin animé de Walt Disney. Du dehors, personne n’entendrait les cris de la jeune femme. Mickey s’agenouilla à côté d’elle. Les pattes de souris remontèrent son t-shirt et son soutien-gorge sous le menton, retroussèrent sa jupe sur les hanches, envoyèrent son slip à l’autre bout de la pièce. La jeune mère de famille trouvait ses seins trop lourds, mais elle était fière de son ventre plat et de ses longues jambes. À voir leurs regards, ses deux agresseurs trouvaient quant à eux tout bon.



Des dents de souris saisirent ses mamelons, les mordirent jusqu’au sang. Mickey se débraguetta. De façon plutôt inattendue, Fabienne songea à la phrase de Serge Gainsbourg : On peut me comparer à Mickey, j’ai de grandes oreilles et une queue mahousse. Et encore, Gainsbourg ne savait pas de quoi il parlait ! Fabienne, elle, le sut dans tous les détails. Dieu merci, cela ne dura que quelques secondes, avant qu’elle ne sente le sperme de l’homme-souris envahir ses entrailles. Mickey s’essuya sur la touffe blonde de Fabienne, se redressa, alla prendre la place de Dingo pour plaquer au sol les épaules de sa victime. À son tour, l’homme-chien ôta ses bretelles, abaissa sa salopette. Fabienne gémit. Elle avait jugé Mickey particulièrement bien monté, mais là…


Et cela dura beaucoup plus longtemps qu’avec l’homme-souris. Les gémissements douloureux de Fabienne n’allaient pas tarder à être étouffés. Mickey, qui, fidèle à la réputation des souris, bandait toujours, poussa sa verge contre les lèvres de la jeune femme. Elle jugea inutile et dangereux de résister. Dans cette posture, elle pouvait difficilement voir ce qui se passait, mais elle sentit que Dingo déchargeait enfin, se retirait. Quelqu’un d’autre prit sa place dans le sexe presque anesthésié par la souffrance. Seigneur ! Était-ce des plumes qu’elle sentait frotter l’intérieur de ses cuisses ? Mickey éjacula, contraignant Fabienne à avaler précipitamment un flot de sperme pour ne pas s’étouffer. L’instant d’après, avec une série de cancans satisfaits, Donald jouissait dans le vagin de la jeune femme.


Picsou fut le plus abject. Il s’agenouilla entre les cuisses de Fabienne sans même ôter son haut-de-forme, ni déranger aucun de ses vêtements (rappelons que, comme Donald, il ne portait pas de pantalon). En même temps qu’il violait son sexe, il éprouva, du bout de sa canne, l’anus de sa victime. Fabienne crut que son sphincter allait se déchirer, sanglota de soulagement lorsque son agresseur retira la tige de bois sans aller plus loin. Mais ce fut bien pire lorsque le vieux milliardaire enfonça son pénis, au plus profond qu’il put, dans l’orifice qu’il avait éprouvé. Mickey dut monter le son de la musique pour couvrir les cris de Fabienne. Elle pria pour que la douleur la fasse s’évanouir, mais resta désespérément consciente jusqu’à ce que le vieux milliardaire pervers éjacule dans son rectum. Elle dut encore lécher la verge souillée pour la nettoyer.



À moitié aveuglée par les larmes et les plumes, Fabienne distingua, s’approchant à la file, Riri, Fifi et Loulou.



Alors, seulement, Fabienne sombra dans un oubli miséricordieux.



* * * * *



Lorsqu’elle revint à elle, la maisonnette était vide et la musique s’était tue. Ses seins et son bas-ventre étaient toujours dénudés ; le goût atroce dans sa bouche, la douleur qui brûlait ses entrailles, les plumes collées sur son visage et son entrejambe souillé prouvaient la réalité de ce qu’elle avait subi. Elle entendait encore la voix cinglante de Mickey à ses oreilles :



Elle s’essuya du mieux qu’elle put, rajusta son soutien-gorge, redescendit le t-shirt sur ses seins. Retrouvant son slip intact dans un coin de la pièce, elle l’enfila, laissa retomber sa jupe. Elle sortit en chancelant.


À son grand soulagement, Kevin, Jessica et Océane accouraient vers elle, escortés de leur père.



Dans les semaines qui suivirent, Fabienne essaya de reprendre une vie normale. Prévenir la police ? Mais pour leur dire quoi ? Elle s’efforça donc de ranger le drame dans un coin de sa mémoire. Tout au plus se renseigna-t-elle discrètement, auprès d’un vétérinaire, pour savoir si une souris, un chien ou un canard pouvaient transmettre le sida. Ils ne le pouvaient pas…


Quelques semaines plus tard, Fabienne crut pouvoir annoncer à Kevin, Jessica et Océane qu’ils auraient bientôt un frère ou une sœur. Au préalable, elle se soumit néanmoins à un examen dont elle attendit les résultats avec quelque angoisse. Jusqu’au jour où le médecin lui téléphona :



Le médecin s’était attendu à infliger un sérieux choc à sa patiente. Mais il dut reposer précipitamment le téléphone, effaré par les hurlements que Fabienne poussait sans pouvoir se contrôler.






DEUXIÈME PARTIE : LE CHÂTEAU



Plusieurs mois avaient passé depuis l’horreur de Disneyland. Le médecin avait jugé qu’attendre des quintuplés sans avoir programmé de grossesse, pour une femme déjà mère de trois jeunes enfants, était suffisant pour causer une dépression nerveuse. Lui et Roland avaient parfaitement compris que Fabienne se fasse avorter.


Ce jour-là, la jeune femme était seule à la maison, lorsqu’elle trouva un paquet dans sa boîte à lettres. Il était adressé à Kevin, Jessica et Océane, et portait l’en-tête des productions Disney. Prise d’un doute affreux, Fabienne l’ouvrit. Une lettre annonçait aux enfants que, leur numéro de billet ayant été tiré au sort après leur visite à Disneyland-Paris, ils avaient gagné, en avant-première, une cassette du tout nouveau court-métrage de Walt Disney.


Fabienne glissa la cassette dans son magnétoscope. Dès les premières images, elle sentit la nausée l’envahir. Il y avait là les personnages de Walt Disney, mais il y avait surtout elle-même, Fabienne, prise par Dingo - en levrette, bien sûr - pendant qu’elle suçait Mickey, ou subissant le vieux Picsou et sa canne, ou satisfaisant les trois Castors Juniors en même temps, un épisode qui avait jusqu’ici épargné sa mémoire…


Bien après la dernière image, elle était effondrée dans un fauteuil, tétanisée, lorsque le téléphone sonna. Elle aurait reconnu cette maudite voix de fausset entre mille.



Fabienne ne put que répéter à travers ses larmes « Salaud, salaud ».


Mickey continuait :



Et Mickey raccrocha, laissant la jeune femme sanglotant désespérément, effondrée à côté du téléphone.




Quinze jours plus tard, Fabienne, ayant embrassé son mari et ses enfants, portait un sac de voyage et marchait nerveusement vers une grosse voiture, garée à quelques centaines de mètres de chez elle. À travers les vitres fumées, elle ne put voir le visage du conducteur, mais une main lui fit signe d’approcher. Elle s’installa sur le siège arrière, fut surprise par l’obscurité qui régnait à l’intérieur du véhicule. Avant qu’elle ait pu s’y accoutumer, une voix déclara :



Elle se laissa faire, juste avant que la voiture ne démarre. Le voyage sembla durer plusieurs heures, jusqu’à ce que le véhicule s’arrête en tournant dans une allée de gravier. Les yeux toujours bandés, Fabienne sentit qu’on la faisait descendre, qu’on la guidait dans un escalier, à l’intérieur d’un bâtiment, dans des couloirs, un autre escalier… La bâtisse devait être immense. Lorsque enfin on lui ôta son bandeau, elle se trouva dans une petite chambre aux volets clos, meublée à l’ancienne. Auprès d’elle se trouvait un homme ressemblant à une caricature de majordome : grand, maigre et chauve, vêtu d’un habit et d’une jaquette à rayures.



Avant que Fabienne ait pu ouvrir la bouche, il était sorti par l’unique porte. La jeune femme l’entendit sans surprise tirer un verrou. Elle se dirigea vers la fenêtre, aperçut entre les volets les grands arbres d’une forêt… non, ils étaient trop bien taillés, ce devait être un parc. Lorsqu’elle voulut écarter les volets pour en voir plus, elle constata qu’ils étaient cadenassés.


Fabienne se résigna à se déshabiller, pour revêtir les vêtements et sous-vêtements apportés par le majordome. Elle se demanda un moment comment enfiler le soutien-gorge, avant de se rendre compte qu’il était conçu pour laisser la pointe des seins découverte. Les bas et les escarpins à hauts talons étaient juste à sa pointure. Elle boucla le porte-jarretelles, estimant avec raison qu’il était inutile de chercher un slip.


La robe, comme les chaussures et les bas, était juste à sa taille. À croire que Mickey et sa bande avaient pris ses mesures pendant qu’elle était évanouie. Largement fendu sur la cuisse, le vêtement était décolleté de façon à montrer le haut des aréoles. Fabienne se jeta un regard dans le miroir de la chambre. Elle avait souvent mis des vêtements et des dessous sexy pour plaire à Roland, mais cette fois, elle se trouva seulement l’air d’une putain qui va gagner sa nourriture quotidienne.


Le majordome entra à nouveau, resta une seconde à la contempler.



Encore des escaliers, des couloirs, des salles. Le domestique abandonna Fabienne dans une pièce où elle sentit le regard de plusieurs hommes. Des mains grossières se posèrent sur la taille, une haleine parfumée au whisky lui arriva en plein visage. Une voix rugit :







TROISIÈME PARTIE : LA MACHINE



Lorsque Fabienne s’éveilla, dans sa chambre, le jour commençait à décliner. La nuit, la troisième depuis son arrivée, allait bientôt commencer. Pendant les quarante-huit heures qu’elle avait déjà passées au château, elle n’avait connu que de brèves plages de sommeil. Le Capitaine, le Moussaillon, le Professeur et, bien sûr, le Majordome - qui, comme il l’espérait, avait eu son pourboire, et plutôt deux fois qu’une - les quatre hommes ne se désignaient jamais autrement entre eux. Ils avaient tiré d’elle toute la jouissance que l’on peut obtenir d’une femme docile. Elle avait même failli partager ce plaisir, une fois, dans les bras du Moussaillon. La sentant près de s’abandonner, les quatre hommes l’avaient poussée dans cette voie, mais elle avait victorieusement résisté, en une lutte qui l’avait laissée nerveusement épuisée. Elle ne leur accorderait pas cette joie. Elle était leur putain, mais ils ne feraient jamais d’elle une FVSC (Femme Violée Super Contente) et encore moins une EQER (Et Qui En Redemande).


S’ils n’avaient pas pu la faire gémir de plaisir, les quatre hommes l’avaient en revanche fait supplier, sangloter et hurler de douleur. Fabienne examina son corps nu dans le miroir. Les menottes par lesquelles ses poignets avaient été suspendus à une poutre, les pinces sur ses seins, la cravache sur son dos et son ventre, n’avaient pas laissé de traces. La douleur avait disparu, mais elle avait l’impression que chaque centimètre carré de sa peau était souillé, sans parler de ses profondeurs intimes. Les larmes lui vinrent aux yeux lorsqu’elle pensa à Roland et aux enfants. Comme Mickey le lui avait promis, elle avait pu téléphoner à son mari. Kevin, Jessica et Océane s’étaient succédés au bout du fil. S’ils avaient su que leur maman leur téléphonait étendue, en dessous sexy, sur le lit où quatre hommes l’avaient utilisée de toutes les façons possibles…


La porte s’ouvrit. Par réflexe, elle cacha sa nudité de ses mains, tout en sachant bien que l’intrus la connaissait déjà parfaitement. C’était le Professeur ; un inventeur autodidacte, avait dit le Majordome. Fabienne eut un frisson de dégoût en se rappelant que son imagination érotique égalait son imagination scientifique. C’était lui, par exemple, qui avait eu l’idée de faire entrer le petit chien blanc…



Elle jeta un regard hésitant à sa tenue de putain qui était entassée sur une chaise, puis à l’armoire contenant les vêtements qu’elle avait amenés dans son sac.



Elle finit par enfiler une robe de chambre et des mules, puis suivit le Professeur à travers le parc, jusqu’au petit pavillon qui lui servait de laboratoire. Devant le bâtiment se trouvait un étrange assemblage de cadrans, de roues qui tournaient, de tubes où circulaient des liquides colorés.



Fabienne, comme sans doute les lecteurs de cette histoire, s’était accoutumée à ne plus rien trouver absurde.



Ils entrèrent dans le pavillon, et le Professeur montra à Fabienne le costume qu’il lui réservait. Un restant de pudeur la fit se mettre à l’écart pour le revêtir. C’était une robe droite, comme en portaient les Grecques ou les Romaines de l’Antiquité, maintenue aux épaules par deux broches. Des sandales, lacées jusqu’au-dessous des genoux, complétèrent sa tenue. Aucun sous-vêtement n’était prévu. En revenant vers le Professeur, Fabienne put constater que, selon ses mouvements et l’éclairage, la robe devenait parfois complètement transparente, dévoilant la forme et même la couleur de ses aréoles et de sa toison intime.


Le savant apparut, quant à lui, revêtu d’une toge romaine.



Fabienne serra les dents. Mickey l’avait dupée une fois de plus. Alors qu’elle s’asseyait aux côtés du Professeur dans la machine, elle se rendit soudain compte que quelque chose ne cadrait pas avec ses lectures d’enfance. Elle risqua :



L’inventeur sourit.



Le Professeur manipula quelques cadrans, mettant en marche la machine. Fabienne eut une sensation d’aspiration, puis…




Ils étaient toujours dans le parc. Non : les arbres étaient plantés de façon irrégulière, c’était bel et bien une forêt. Il faisait nuit, mais le Professeur, éclairé par la pleine lune qui brillait à travers les feuilles, entraîna rapidement Fabienne vers une petite lueur que l’on apercevait dans le lointain. Ils débouchèrent dans une clairière, au centre de laquelle brûlait un grand feu. Tout autour du foyer, dans le cercle de lumière qu’il créait, des tables accueillaient quelques dizaines de personnes qui festoyaient, en bavardant joyeusement dans une langue inconnue. Fabienne remarqua, avec quelque inquiétude, qu’il n’y avait que des hommes.


Les conversations s’interrompirent lorsque le Professeur entra dans le cercle de lumière. Les convives lui jetèrent des regards hostiles en chuchotant entre eux. Le savant leva le bras en signe de paix et commença à parler. Il s’exprimait en latin, et Fabienne fit appel à ses souvenirs de lycée pour le comprendre.



Le Professeur fit entrer Fabienne, à son tour, dans le cercle de lumière. Il y eut un tonnerre d’acclamations. Les convives se mirent à frapper sur les tables en scandant quelque chose dans leur dialecte celtique. Le Professeur se tourna vers Fabienne :



Un des hommes, qui jusqu’ici était resté à l’écart, bâillonné et ligoté à un tronc d’arbre, se mit à faire des signes désespérés. Un Gaulois se dévoua pour aller le libérer. L’homme sortit une flûte de Pan de sa poche, et commença à en tirer une mélodie langoureuse.


Au point où elle en était… Un sourire de commande aux lèvres, Fabienne monta sur l’une des tables. Ondulant au rythme de la mélodie, elle défit les broches de sa robe, et commença à la faire glisser le long de son corps.






QUATRIÈME PARTIE : FIN DE L’ÉPISODE



Kevin sentit qu’il allait parvenir à ses fins. Il resserra les doigts autour de son sexe, éjacula en gémissant. Il tendit l’oreille, pour vérifier si le bruit n’avait pas traversé les cloisons et alerté ses jeunes sœurs : non, apparemment, Jessie et Océane dormaient tranquillement dans leurs chambres.


Il sourit de son propre ridicule. Passe encore que pour ses masturbations, il pensait non pas à une copine de lycée, à une prof ou à une quelconque actrice, mais à sa mère. De l’avis général de ses camarades, maman était "un canon". Mais que, pour la mettre en situation, il n’imaginât rien d’autre que des décors tirés de bandes dessinées !


Et, en plus, des bandes dessinées dont sa mère lui autorisait la lecture ! Il pensa aux fascicules que ses camarades et lui s’échangeaient discrètement. Ce serait marrant, un jour, d’imaginer maman dans une histoire vraiment gore…


Abandonnant pour le moment cette idée, Kevin parcourut du regard sa bibliothèque. Quel serait son prochain fantasme ? Gaston Lagaffe ? Non : l’odieux P.D.G., Monsieur de Mesmaeker, culbutant sa secrétaire Fabienne sur la photocopieuse, l’avait amusé deux ou trois fois, mais c’était d’un banal… Lucky Luke ? Mais oui, bien sûr ! Les quatre Dalton, une tribu indienne et un régiment de Tuniques Bleues feraient des personnages secondaires idéaux pour le prochain épisode des aventures de maman…